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Grève à l’Aftu : les minibus « Tata » à l’arrêt dès ce lundi à Dakar

Mauvaise nouvelle pour les usagers des transports en commun de Dakar et sa banlieue. Le collectif des travailleurs de l’Association de financement des transports urbains (Aftu) a annoncé, ce dimanche 14 septembre 2025, la suspension de ses activités à partir de ce lundi 15 septembre.

Dans un communiqué signé par leur président, Abass Sarr, les employés justifient cette décision par l’insécurité grandissante à laquelle ils font face. Ils dénoncent des actes de saccage répétés qui mettent en danger leur intégrité physique et rendent leurs conditions de travail intenables. « Cette perturbation est indépendante de notre volonté, c’est juste que notre sécurité est menacée », précise le texte.

Cette interruption risque de provoquer un chaos dans les déplacements quotidiens de milliers de Sénégalais qui dépendent des minibus « Tata » pour se rendre au travail, à l’école ou sur les marchés. Déjà saturé, le réseau de transport urbain pourrait être paralysé, avec un impact direct sur les populations les plus vulnérables.

Thierno Alassane Sall : « Le Sénégal est dirigé par une équipe incompétente qui risque de couler le pays »

Le député et président du parti La République des valeurs/Réewum Ngor, Thierno Alassane Sall, a dénoncé avec véhémence la situation politique actuelle du Sénégal. Présidant une rencontre du Réseau national des enseignants RV ce dimanche 14 septembre 2025, à Thiès, l’ancien ministre de l’Énergie a tiré la sonnette d’alarme sur ce qu’il considère comme une crise grave de gouvernance.

« Après tous les combats, les morts, les blessures, les maisons et les sociétés brûlées, nous pensions que certaines aberrations cesseraient », a-t-il déclaré. Selon lui, le pays est pris en otage par une guerre froide opposant le président de la République et le Premier ministre, au détriment des véritables priorités des Sénégalais.

Thierno Alassane Sall a qualifié le gouvernement actuel d’« équipe d’incompétents », estimant que certains ministres sont de véritables « catastrophes » mais restent en place à cause des divergences entre les deux têtes de l’exécutif sur leur remplacement.

Pour le parlementaire, le Sénégal subit directement les conséquences de cette rivalité : « Nous sommes à un moment crucial où la médiocrité se généralise et se démocratise, même au sommet de l’État. Les dirigeants peinent à s’exprimer, à se comporter, à gérer, et auraient besoin d’être rééduqués. »

Il est allé plus loin en avertissant : « Quand on leur confie un port, ils le coulent. Aujourd’hui, on leur confie le Sénégal et ils risquent malheureusement de couler le pays. »

Taxe sur le mobile money : Le gouvernement sénégalais vise 220 milliards FCFA

Le gouvernement sénégalais prévoit d’introduire une nouvelle taxe sur les transactions effectuées via le mobile money, devenu un outil central pour les paiements et transferts d’argent.

Le projet prévoit une taxe de 0,5 % sur les transferts de personne à personne et de 1,5 % sur les paiements marchands, dont le coût serait partagé entre le client et le commerçant. Dans certains cas, les commerçants pourraient également subir une retenue de 2 % sur les montants encaissés. L’État espère ainsi mobiliser près de 220 milliards FCFA sur la période 2025-2028.

Cette réforme entraînera un surcoût pour les usagers : un transfert de 10 000 FCFA coûtera désormais 50 FCFA de plus. Une hausse qui risque de peser sur les ménages à faibles revenus et de réduire l’usage du mobile money, au profit des paiements en espèces.

Les commerçants, de leur côté, pourraient répercuter la taxe sur les prix, contribuant à une hausse du coût de la vie. Si la mesure vise à renforcer les recettes fiscales, elle pourrait freiner l’inclusion financière et ralentir la transition vers une économie plus digitalisée.

FINANCES PUBLIQUES – Pas de financements, le FMI attend toujours « les vrais chiffres »

Entre le Sénégal et le FMI, les choses commencent à ressembler à de l’amour vache. À chaque voyage à Washington de notre tandem de l’Immeuble Peytavin, ou à chaque rencontre de nos dirigeants avec une mission du Fonds, l’opinion espère des nouvelles rassurantes sur la reprise prochaine d’un appui pour notre pays… et on déchante aussitôt. Le point de presse de Mme Julie Kozack, Directrice du Département de la communication du FMI, tenu hier, n’a pas dérogé à cette règle, a rapporté Le Quotidien.

Interrogée sur les suites à attendre de la récente visite d’une mission du Fonds au Sénégal, Mme Kozack, tout en rappelant les grandes lignes publiées dans le communiqué du mardi 26 août de ladite mission, a expliqué que « d’autres mesures ont été discutées entre les autorités et la mission, et ces discussions doivent d’abord aboutir à une conclusion avant que le Conseil d’administration ne puisse songer à en finir avec la question des déclarations erronées ».Invité de l’émission Jury du dimanche sur iRadio, le député Mbaye Dionne a exprimé ses inquiétudes quant à l’avenir des grands projets de développement au Sénégal. Mbaye Dionne a ainsi lancé un appel à une « clarification urgente » des discussions avec l’institution internationale, estimant qu’il est essentiel de restaurer la confiance.
« On peut vouloir une souveraineté économique, mais il faut aussi sécuriser les financements qui permettent de faire avancer le pays », a-t-il conclu.

Sonko fait bouger l’économie à Milan, Touba sinistrée et le Sénégal agonise

Le premier ministre Ousmane Sonko était à Milan où il a rencontré les membres de la communauté sénégalaise établie en Europe. Cette audience, dit-on, s’inscrit dans le cadre de la présentation du Plan de Redressement Economique et Social (PRES). Et cette
occasion a été pour les militants de Pastef  de se glorifier du fait que le maire de la
ville aurait demandé à connaître Ousmane.

Sonko du fait que la ville a bougé  économiquement. « Sa présence à Milan a fait bouger la ville économiquement. Tous les hôtels sont pleins », a-t-on rapporté. Pendant ce temps, la ville sainte de Touba est sous les eaux notamment Soura, Guèdè, Darou Khoudouss, Ngiraanen, Këur Niang, Madiyana Maarya, Dianatoul Firdawsy et Garabu Serigne Ibra. Les populations et le long du fleuve abandonnent leurs maisons à cause des fortes pluies qui se sont abattues ces derniers jours. Elles ont provoqué des inondations dans plusieurs
quartiers dont le bassin de rétention de Keur Kabb qui a cédé sous la pression des eaux pluviales, aggravant une situation déjà préoccupante. Cet incident survient seulement quelques semaines après la rupture du bassin de Pofdi. Le député Pape Djibril Fall, est monté au créneau après une visite de terrain dans plusieurs quartiers lourdement touchés. Il en profité pour exhorter les autorités à utiliser le Fonds de solidarité pour venir en aide aux sinistrés, rappelant que la souffrance des populations de Touba ne saurait être reléguée au second plan. Selon lui, « des centaines de maisons sont impactées, des mosquées ont été abandonnées, des familles entières ont été
obligées de quitter leur domicile ».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention