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Escroquerie-Faux et usage de faux : placée sous mandat de dépôt, la Sg du Sames de l’hôpital Roi Baudoin jugée mardi

Le secrétaire général de la sous-section Sames (Syndicat autonome des médecins du Sénégal) de l’hôpital Roi Baudoin de Guédiawaye, localité située dans la banlieue dakaroise, est dans de beaux draps. Dr Mariétou Traoré, comme c’est de lui qu’il s’agit, a été arrêtée et placée sous mandat de dépôt pour « escroquerie et usage de faux sur document administratif ». Elle sera jugée demain, mardi 3 janvier.

Le tribunal de Grande instance de Dakar va se pencher demain, mardi sur le dossier de la secrétaire générale de l’hôpital Roi Baudoin, Dr Mariétou Traoré. Arrêtée le 16 décembre dernier puis placée sous mandat de dépôt suite à une plainte déposée par M. Dème, officiant au Trésor, la mise en cause, neurologue et cheffe de service dans ladite structure sanitaire, répondra aux chefs d’accusation d’ »’escroquerie et faux et usage de faux sur document administratif ».

Une source de PressAfrik revient sur ce qui s’est passé. « Dr Mariétou Traoré avait proposé à M. Dème, son ancien malade qui officie au Trésor, de s’associer et de travailler ensemble. En effet, profitant du fait qu’il n’y avait pas d’appareil de neurologie ni de salle de kinésithérapie et du manque de certains appareils au sein de l’hôpital, Dr Traoré avait demandé à son collaborateur d’investir la somme de 6 millions F Cfa pour acheter ces appareils »..

Ainsi, poursuit notre interlocuteur, « une salle de kinésithérapie a été installée dans une clinique située à Hamo 6 (Guédiawaye) et un autre appareil électro-neuro-myogramme implantée dans une  clinique à keur Massar. Depuis avril dernier, M. Dème du Trésor qui  avait remis la somme de 6 millions F Cfa pour la réalisation de ce projet, n’a reçu aucun franc de la part de sa collaboratrice qui, pourtant, travaille avec les appareils achetés avec son argent».

Interpellée plusieurs fois par son collaborateur, Dr Traoré aurait fait la sourde oreille. Face à l’indifférence de la neurologue, M. Dème a saisi le  procureur d’une plainte à travers la Division des investigations criminelle (Dic) pour « escroquerie ».

Pis, la mise en cause aurait falsifié le document que lui avait présenté un huissier, attestant de la dette. Dans un nouveau document avec le cachet de l’huissier, elle aurait mentionné avoir remis la somme de 2,5 millions de F Cfa au plaignant en guise de remboursement.

Une deuxième plainte a été, alors, déposée par le huissier contre Dr Traoré pour « faux et usage de faux sur document administratif.

Toujours, selon notre source, la mise en cause a tenté de fuir le territoire après son premier audition. Mais, elle a été signalée et interpellée à l’Aéroport International Blaise Diagne de Diass (AIBD) le 13 décembre dernier.

Deux jours après, le 16 décembre, elle a été arrêtée et placée sous mandat de dépôt suite à son face à face avec le procureur. Elle sera jugée demain mardi.

Football Afrique 2022 : le Maroc, le Sénégal et l’Afrique du Sud entrent dans l’histoire

2022 a été une grande année de football pour le continent africain, avec la Coupe d’Afrique des nations au Cameroun pour commencer, puis la Coupe du monde au Qatar pour finir. Le premier titre continental du Sénégal, le parcours historique du Maroc lors du Mondial, le couronnement des Sud-Africaines et du Wydad… Retour sur les événements majeurs de l’année.

CAN : une première pour le Sénégal de Sadio Mané…

50 ans après la dernière Coupe d’Afrique des nations à domicile, le Cameroun a accueilli à nouveau le grand événement continental, en janvier-février. Mais comme en 1972, les Lions indomptables n’ont pas triomphé chez eux. La victoire s’est offerte au Sénégal, l’une des favoris, finaliste malheureux en 2019.

La finale, entre l’équipe de Sadio Mané et l’Égypte de son camarade à Liverpool Mohamed Salah, a été équilibrée jusqu’au bout du temps réglementaire et de la prolongation. Il a donc fallu en passer par les tirs au but pour départager les Lions de la Téranga et les Pharaons. Sur sa ligne, Édouard Mendy a sorti un arrêt décisif devant Mohanad Lasheen. Et derrière, le capitaine Mané, malchanceux dans le même exercice au début du match, n’a pas tremblé. L’attaquant a marqué le tir au but de la gagne, offrant ainsi que Sénégal son premier sacre continental (0-0, 4 tirs au but à 2). Sadio Mané a en plus eu le plaisir d’être élu Meilleur joueur de la CAN.

Parmi les surprises positives de cette édition 2021 jouée début 2022, retenons notamment les Comores et la Gambie. Les Cœlacanthes, qui participaient à leur première CAN, ont réussi à se hisser jusqu’en huitièmes de finale, en dépit du Covid-19 qui a provoqué plusieurs forfaits et obligé un joueur de champ, Chaker Alhadhur, à évoluer au poste de gardien lors du match perdu face au Cameroun. Les Scorpions gambiens, eux aussi novices et guidés par le globetrotter belge Tom Sainfiet, sont allés jusqu’en quarts de finale, où ils sont également tombés face aux Camerounais.

Cette CAN masculine restera aussi dans les mémoires en raison d’un drame survenu au stade d’Olembé, avant le match Cameroun-Comores, le 24 janvier. Un mouvement de foule aux portes de l’enceinte neuve a provoqué la mort de huit personnes, dont un enfant.

 

… et pour les Sud-Africaines

Le Maroc rêvait de remporter à domicile la 14e édition de la CAN féminine, la première dont la phase finale réunissait 12 équipes. Cependant, après un tournoi maîtrisé, les Marocains ont dû s’incliner devant l’Afrique du Sud (2-1), à l’issue de la finale jouée à Rabat, le 23 juillet 2022.

Dans un stade Moulay-Abdallah plein à craquer (45 000 spectateurs) et sous une chaleur accablante, le match a basculé après l’heure de jeu, quand la fatigue s’est manifestée dans les rangs du Maroc. Les Banyana Banyana ont marqué deux fois en dix minutes. Les Marocaines, hébétées, ont réussi à réagir et à réduire l’écart, mais cela n’a pas suffi pour espérer mieux.

Le Nigeria, avec ses 11 sacres dont les trois derniers, laisse donc la couronne cette année à l’Afrique du Sud. Après cinq défaites en finale, les filles de Desiree Ellis inscrivent enfin leur nom au palmarès. L’Afrique du Sud est le troisième pays à remporter la CAN féminine, après le Nigeria donc, et la Guinée équatoriale (deux victoires).

Sadio Mané au sommet, Hakimi-Ziyech brillants, Salah valeur sûre

Parmi les stars du football africain, quatre ont été particulièrement performants en 2022 : les Marocains Achraf Hakimi et Hakim Ziyech, le Sénégalais Sadio Mané et l’Égyptien Mohamed Salah. Retour sur leurs prouesses réalisées en Premier League, en France, durant la CAN et, bien sûr, pendant la Coupe du monde au Qatar.

Sadio Mané se rappellera longtemps de cette année 2022. Le footballeur sénégalais, passé de Liverpool au Bayern Munich pendant l’été, a vécu la meilleure saison de sa carrière. En janvier-février, il a remporté la Coupe d’Afrique des Nations avec le Sénégal, premier sacre continental de l’histoire des Lions de la Téranga. Malheureux sur penalty au début de la finale contre l’Égypte, l’attaquant s’est rattrapé en transformant le tir au but qui a donné la victoire au Sénégal. Cerise sur le gâteau : il a également été nommé Meilleur joueur du tournoi.

S’il n’a pas pu participer à la Coupe du monde à cause d’une blessure, Sadio Mané a tout de même été honoré pour sa grosse saison en terminant deuxième du Ballon d’Or 2022, derrière Karim Benzema et devant Kevin De Bruyne. Il s’agit du meilleur résultat pour un joueur africain depuis 1995, quand le trophée avait été gagné par George Weah, actuel président du Liberia.

France Football a aussi attribué à Sadio Mané le prix Socrates, qui récompense les joueurs engagés dans des projets sociétaux et caritatifs. Le footballeur du Bayern Munich a en effet financé des projets de développement de son village natal, dans le sud du Sénégal, dont un hôpital.

Achraf Hakimi, à seulement 24 ans, a vécu une très bonne première saison au PSG, avec 4 buts à son actif et une complicité évidente avec Kylian Mbappé. Le joueur, formé au Real Madrid, a brillé deux fois dans la saison avec le maillot de l’équipe nationale marocaine.

D’abord à la CAN, en début d’année : au Cameroun, le défenseur s’est distingué en marquant deux buts sur coup franc, contre le Gabon et le Malawi. Puis, neuf mois après, pendant le Mondial qatari, il a démontré combien il était indispensable, tant dans les phases défensives que dans la construction du jeu.

Sa panenka décisive lors de la victoire aux tirs au but contre l’Espagne, en huitièmes de finale, est la meilleure démonstration du talent et de l’assurance du défenseur droit, qui compte déjà plus de 60 matchs avec les Lions de l’Atlas. Rapide, technique, offensif, il est un symbole du latéral moderne.

Hakim Ziyech a retrouvé la lumière grâce à la Coupe du monde. Le joueur né aux Pays-Bas a vécu une année longtemps poussive. À Chelsea, il n’est pas titulaire et ne dispose que d’un temps de jeu limite. Et il est resté éloigné de la sélection marocaine pendant un bon moment, car banni par Vahid Halilhodzic. L’ailier n’était donc pas de la CAN au Cameroun.

Mais tout a changé fin août, quand Walid Regragui a pris la suite du technicien bosnien sur le banc du Maroc. L’entraîneur a rappelé Hakim Ziyech, qui n’avait plus porté le maillot de l’équipe nationale depuis juin 2021. Regragui, qui a toujours eu des mots bienveillants à l’égard de l’ancien joueur de l’Ajax, n’a pas eu à le regretter.

Cette confiance a été largement récompensée pendant le Mondial avec des prestations de leader sur le terrain et un but signé contre le Canada au premier tour. Avec Sofiane Boufal et Youssef En-Nesyri, Hakim Ziyech a pris une part importante dans le superbe parcours des Lions de l’Atlas. Et désormais, plusieurs grands clubs européens, dont l’AC Milan, sont intéressés par son profil.

Mohamed Salah n’a pas connu la plus grande réussite avec l’Égypte cette année. La Coupe d’Afrique des nations lui est passée sous le nez avec une nouvelle défaite en finale, cette fois face au Sénégal, comme un cruel rappel de l’échec de 2017 contre le Cameroun. Et l’équipe nationale n’a pas réussi à se qualifier pour la Coupe du monde.

Mais avec Liverpool, par contre, le Pharaon a encore été exceptionnel. Mohamed Salah a terminé une nouvelle fois meilleur buteur de Premier League (23 buts), comme en 2018 et 2019. Il a également été élu Meilleur joueur du championnat anglais, par les supporters et par ses pairs. Côté palmarès, l’attaquant a remporté la League Cup, la Cup et le Community Shields avec les Reds, mais pas la Ligue des champions. En finale, le Real Madrid a eu le dernier mot.

À 30 ans, Mohamed Salah continue d’écrire l’histoire à Liverpool, son club depuis 2017. Il est entré dans le Top 10 des meilleurs buteurs des Scousers, et le Top 5 n’est plus très loin. Avec 172 réalisations, l’Égyptien se rapproche de Steven Gerrard et ses 186 buts.

Le Sénégal compte plus de 340.000 salariés au 3e trimestre 2022 [ANSD]

L’Agence nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) vient de publier sa note d’analyse trimestrielle de l’Enquête sur l’Emploi, la Rémunération et les Heures de travail (EERH).

Au troisième trimestre 2022, le nombre d’employés salariés dans le secteur moderne hors administration publique est évalué à 340 656 contre 329 365 un an plus tôt, soit une augmentation de 3,4%, indique l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD). Le document souligne que les rémunérations globales (+3,3%) ont également progressé sur la même période.

En revanche, les heures hebdomadaires moyennes travaillées par employé (-0,8) ont diminué. Par ailleurs, le nombre d’employés dans le secteur moderne, hors administration publique, s’est accru de 3,4% au troisième trimestre 2022, comparativement à celui de la période correspondante de l’année précédente. Une hausse qui est consécutive à la progression des effectifs dans le commerce (+12,9%), la construction (+5,6%) et les services (+4,4%).

Par contre, il est noté une régression des effectifs dans l’industrie (-2,2%). L’accroissement des effectifs dans le secteur des services est imputable, principalement, à l’augmentation du nombre d’employés dans les sous-secteurs des activités de soutien et de bureau (+25,2%) et de l’information et la communication (+3,3%). Quant à la diminution du nombre d’employés dans le secteur de l’industrie, elle est liée à celle des effectifs dans la production et distribution d’eau (-7,2%) et dans les activités de fabrication (-2,7%).

CHAN 2023 : les lions locaux ont reçu le drapeau national

Les joueurs de l’équipe nationale locale, en partance pour le 7e Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) de football, ont reçu, lundi, le drapeau national des mains du Secrétaire général du ministère des Sports, Paul Dionne, a constaté l’APS.

La cérémonie de remise du drapeau s’est déroulée au siège du ministère des Sports, en présence du président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, des joueurs, du staff de l’équipe et des membres du comité exécutif de l’instance fédérale.

« Après 11 ans d’absence du Sénégal à cette compétition, vous voilà encore au-devant de la scène pour écrire encore de nouvelles pages de l’histoire du sport sénégalais, du football en particulier. Cette tâche ne sera pas facile, mais nous ne doutons guère de votre aptitude à relever ce défi et à surmonter tous les obstacles qui se dresseront devant vous », a dit Paul Dionne au joueurs.

Il intervenait lors de la cérémonie de remise du drapeau aux joueurs de l’équipe nationale locale devant prendre part au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) qui se jouera en Algérie du 13 janvier au 4 février.

Prononçant le discours du ministre Yankhoba Diatta, le Secrétaire général du ministère des Sports a demandé à l’équipe nationale locale de faire « preuve de courage et de patriotisme durant toute la compétition », car le peuple sénégalais, à l’unisson et dans la solidarité, accompagnera l’équipe avec espoir et beaucoup d’admiration.

Absente depuis la deuxième édition du CHAN, disputée au Soudan, en 2011, l’équipe locale va participer à la 7ème édition de cette compétition qui regroupe des joueurs évoluant dans les champions locaux. Elle va se dérouler en Algérie du 13 janvier au 4 février.

Les Lions sont logés dans la poule B en compagnie de la RDC, de la Côte d’Ivoire et de l’Ouganda.

Les Lions locaux vont livrer leur premier match le 14 janvier à partir de 19 h, contre la Côte d’Ivoire, quatre jours après ils affronteront l’Ouganda. le dernier match de la poule les mettra aux prises avec la RDC le 22 janvier.

Lors de la première édition organisée en 2009, le Sénégal avait terminé à la quatrième place. Il n’avait pas fait mieux en 2011 en se faisant éliminer dès le premier tour.

Le spectre de la radiation plane sur leur tête !

Ce lundi 2 décembre, 2023, les députés Massata Samb et Mamadou Niang ont été condamnés à 6 ans de prison ferme. Une condamnation, qui risque de jeter le flou sur leur avenir au sein de l’hémicycle.

Car, selon la constitution, en son article 61, alinéa 7, «Le député qui fait l’objet d’une condamnation pénale définitive est radié de la liste des députés de l’Assemblée nationale sur demande du Ministre de la Justice».

Et au vu de la configuration actuelle de l’Assemblée, leurs adversaires, qui sont majoritaire à l’hémicycle, ne risquent pas de leur faire de cadeau.

L’avocat des parlementaires, qui en est certainement conscient, a automatiquement annoncé un recours. «Nous allons immédiatement interjeter appel contre la décision», a annoncé Me Abdi Naar Ndiaye.

Ainsi donc, l’avenir des deux députés dépendra, certainement, du résultat qui sortira des recours futurs.

Boy Niang raconte… “Comment j’ai vaincu Balla Gaye”

«Je savais que comme c’est un lion, il allait attaquer», a déclaré le tombeur de Balla Gaye II, dans les colonnes du journal «Les Échos». Une intuition qui ne le trompera pas, puisque le Fils de Double Less va attaquer :«Il a essayé de m’atteindre. Je lui ai donné un coup. Puis, il s’est attaqué à mes jambes. Je l’ai pris, malheureusement il m’a échappé, surement parce qu’il avait de la sueur au corps», raconte-t-il.

Mais, le fils de «De Gaulle», prendra son mal en patience. «Je ne me suis pas précipité. Mais il a oublié que je lui avais dit qu’il est un grand lutteur, mais il n’est pas meilleur que moi (rire). J’ai pris le temps par la suite de le contrôler puis je l’ai plaqué et il avait ses deux mains au sol. Mais je me suis dit que le combat devait surtout se terminer au sol et c’est ce qui est arrivé», explique-t-il.

[Mandat] Chronique de l’Article 27 : Histoire de ruses, d’artifices et de polémiques

Onze ans après les tensions et drames qui ont jalonné la troisième candidature d’Abdoulaye Wade, la question du troisième mandat se pose encore au Sénégal. L’article 27 retouché lors de la révision constitutionnelle de 2016 soulève encore polémique. Plongée dans l’histoire tumultueuse de cette disposition constitutionnelle en Afrique et au Sénégal. 

Les manifestations aussi bien à la place de la nation (ex Obélisque) qu’à la place de l’indépendance, tout comme dans les autres régions du pays, ne faiblissent plus. Malgré plus d’une dizaine de morts, le peuple sénégalais a investi les rues pour barrer la route à la candidature « de trop » du président Abdoulaye Wade…11 ans après l’histoire est sur le point de bégayer alors que celui qui est actuellement au pouvoir avait donné toutes les gages pour faire de cette séquence douloureuse de l’histoire politique du Sénégal une page sombre à fermer définitivement. Il en avait fait le serment et l’avait réitéré à plusieurs reprises avant d’en faire une loi.

N’empêche, ses actes et les propos contradictoires soulevés par d’éminents dignitaires de son camp font craindre le pire. Les démons de la division et de l’instabilité rodent et risquent de se rameuter d’ici peu si le président Macky Sall venait à matérialiser la volonté qu’on lui prête, à tort ou à raison, de briguer à nouveau et pour la troisième fois, la magistrature suprême. Les défenseurs de cette candidature se sont engouffrés dans les ‘’failles’’ rédactionnelles du fameux article 27 de la constitution pour lui trouver une certaine caution juridique, à travers un dangereux glissement sémantique.

Source de tous les conflits politiques, notamment en Afrique, les dispositions ayant trait à la durée du mandat présidentiel et de la limitation de son renouvellement, évoqué dans l’article 27 de la constitution du Sénégal, ont toujours été brodées avec du fil de ruse et une aiguille de supercherie politique. Ceci pour donner au président en exercice un manteau constitutionnel sur mesure. Une pratique ancrée en Afrique en général et au Sénégal en particulier, depuis plusieurs décennies. La problématique de la limitation des mandats présidentiels demeure entière, même si elle a été instaurée pour la première fois au Sénégal il y a 52 ans et 32 ans dans les autres pays africains (alors qu’en France la limitation n’a été formalisée que depuis 2008 et le 21 mars 1947 aux Etats-Unis à travers le 22e amendement sous Harry Truman).

Une limitation des mandats anesthésiée partout en Afrique

Depuis 1970, le seul article qui suscite controverse parmi les 103 que compte la constitution sénégalaise, c’est bien l’article 27 qui se construit et se déconstruit selon les volontés du président en exercice. Ce dernier le contorsionne à souhait pour durer au pouvoir. Au Sénégal, pourtant précurseur de cette disposition limitant le nombre de mandat, tout comme dans les autres Etats africains, cette limitation est « anesthésiée ». C’est la conviction du Dr en droit, Yaya Niang. Livrant son avis sur la question du mandat lors du symposium organisé par le parti Awalé de Abdourahmane Diouf, vendredi dernier, 30 décembre 2022, l’enseignant-chercheur est revenu en long et en large sur l’historique rocambolesque de cette limitation en Afrique.

« Le mandat est limité partout en Afrique depuis 1990. Au Sénégal, c’est depuis 1970. Au lendemain des transitions démocratiques, on a organisé partout en Afrique, à l’exception du Sénégal, de la Côte d’Ivoire et du Mali, des conférences nationales. Ce qui a sous-tendu la tenue de ces conférences c’est que l’Afrique a vécu des crises liées à l’exercice du pouvoir.  C’est au sortir de ces assises que partout en Afrique on a limité les mandats en 1990 », soutient-il.

Mais ironie du sort, 30 ans après, l’histoire a montré que cette limitation est rarement appliquée. « Oumar Bongo au Gabon, 40 ans de pouvoir, remplacé par son fils à sa mort en 2009. Au Togo, Gnassingbé Eyadema, 38 ans au pouvoir, est remplacé par son fils depuis sa mort en 2005. Idriss Déby au Tchad, 31 ans au pouvoir, remplacé par son fils à sa mort en 2021. Denis Sassou-Nguesso, Congo, 25 ans au pouvoir. Paul Biya, 40 au pouvoir », liste le docteur en droit. Une entorse à l’esprit de la limitation qui était de faire en sorte qu’un président ne fasse pas plus de 14 ans au pouvoir et d’assurer la rotation, c’est-à-dire une alternance à la tête du pouvoir.

« La magie constitutionnelle » pour s’éterniser au pouvoir

Pour s’éterniser au pouvoir avec un semblant de caution juridique, il faut bien une magie. Il s’agit d’utiliser des tours de passe-passe constitutionnels pour faire dire à la loi tout et son contraire. Le Dr Yaya Niang a identifié trois techniques qu’utilisent habituellement les chefs d’Etats africains pour rester au pouvoir par un semblant de légalité. « La première technique c’est l’abrogation. A chaque fois que la limitation apparaît comme un obstacle à la candidature du président en exercice, il abroge la constitution en adoptant une nouvelle. On parle d’une nouvelle République : le passé est oublié, le compteur remis à zéro. C’est ce que Alpha Condé a fait en 2020. C’est ce que Ouattara a fait en 2016 », souligne-t-il.

La deuxième technique consiste à supprimer la disposition qui limite les mandats. C’est cette technique que Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf Diouf ont utilisé de 1970 en 2001 : « On instaure la limitation le 26 février 1970. On la supprime en 1976. On restaure en 1991. On la supprime encore en 1998. On restaure en 2001. C’est un enchaînement de restaurations et suppressions ». La troisième technique, selon Niang, est celle qui consiste « au courant de l’exercice de son mandat, de modifier la durée du mandat seulement pour semer la confusion sur le décompte du nombre. Tout porte à croire que c’est cette dernière technique que le président en exercice veut utiliser ».

Probable 3e mandat de Macky Sall, deux thèses s’affrontent

Si certains juristes-constitutionnalistes estiment que la question du mandat telle qu’elle se pose actuellement au Sénégal ne mérite même débat car étant claire et limpide, d’autres estiment qu’elle n’est pas aussi simple. D’une approche arithmétique, le débat est tranché vu qu’un mandat plus un autre mandat font deux. Mais du point de vue juridique, la démonstration fait naître deux thèses antagonistes. Celle qui milite en faveur d’une possibilité légale pour le président Macky Sall de briguer un autre mandat et celle qui l’écarte de fait. Et force est de constater que les défenseurs de ses deux thèses ne manquent pas d’arguments.

Adhérant pour une interprétation en faveur de la recevabilité d’une candidature du président Macky Sall en 2024, Dr Abdoulaye Guissé, enseignant-chercheur en droit à l’université Gaston Berger à Saint-Louis a cueilli à froid l’assistance en soutenant la thèse de la recevabilité. Selon lui, elle s’avère plus probante et qu’elle est, par conséquent, « juridiquement fondée ».

« A la lecture de l’article 27 de la constitution, il est possible de soutenir, à prime abord, la thèse de l’irrecevabilité de la candidature du président Sall après deux mandats consécutifs. Cet article dispose : la durée du mandat du président de la République est de 5 ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. Il s’agit là de dispositions simples dans leur lettres et dans leur esprit dont l’application pourrait exclure toute possibilité d’une candidature supplémentaire du président en fonction », analyse-t-il d’emblée.

Cependant, ajoute-t-il, « l’absence de disposition transitoire intégrant le premier mandat dans le décompte et sa durée qui est de 7 ans, fragilise le fondement des arguments de l’irrecevabilité ». En effet, selon lui, si le principe de la limitation est clairement posé, tant dans la durée que dans le nombre, « il vaut sans équivoque pour les prochains présidents ». Il s’explique : « il est clair que le problème du mandat est définitivement réglé pour l’avenir au moyen de la clause d’éternité qui verrouille le système de limitation. Toutefois, en ce qui concerne le président en exercice, la question du décompte du nombre de mandats reste intacte. Il semble se trouver dans une situation transitoire, favorable à la possibilité d’un mandat supplémentaire ».

Cette thèse s’adosse, à l’en croire, sur deux principes fondamentaux de droit : la non-rétroactivité et l’indivisibilité de l’article 27. « En l’absence de dispositions transitoires précisant la rétroactivité de l’article 27, il est possible d’invoquer la non-rétroactivité de la loi. Le souci majeur de ce principe est de préserver les situations acquises antérieurement à l’entrée en vigueur de la loi. De surcroît, l’article 27 est caractérisé par son indivisibilité. Il comporte deux dispositions. La durée du mandat dont il est question dans l’article est de 5 ans, or, le président en exercice a fait un premier mandat de 7 ans ». Il en veut pour preuve l’avis émis par le conseil constitutionnel en 2016 qui avait fondé sa décision sur la non-rétroactivité de la loi et avait invoqué l’article 104 qui dispose : « le président de la république en fonction suit son mandat jusqu’à son terme ».

La révision de 2016 ne remet pas en cause le nombre de mandat

Ses confrères balaient en touche sa théorie, en apportant des arguments qui semblent fragiliser son argumentaire. Et c’est le Dr Yaya Niang qui est le premier à se lancer en battant en brèche la thèse de « l’association entre les deux dispositions de l’article 27 ». Soutenir cette thèse, selon lui, équivaudrait à dire qu’en d’autres termes, « ce qui est limité finalement ce sont deux mandats de même durée ».

« Je défends la thèse de la dissociation entre la durée et le nombre pour deux raisons. La première : qu’est-ce qu’un mandat ? Ni la constitution, ni le code électoral du Sénégal n’ont défini le mandat. Par contre, c’est le code des obligations civiles et commerciales qui a défini le mandat à son article 450 comme étant un contrat par lequel une personne qu’on appelle le mandant demande à une autre qu’on appelle le mandataire d’agir à son nom et pour son compte pour une durée », analyse-t-il.

Si on le ramène en matière constitutionnelle, on parle « d’habilitation à exercer le pouvoir au nom et pour le compte du peuple ». « Par conséquent, poursuit-il, le 30 mars 2012 le conseil constitutionnel a proclamé Macky Sall élu président de la République avec 65% des voix. Une première habilitation à exercer le pouvoir. Le 5 mars 2019, il a eu sa deuxième et dernière habilitation ».

La deuxième raison, argue-t-il, c’est « qu’interpréter ne signifie pas réécrire la constitution ». « Quand on dit que la durée est indissociable du nombre de mandats. Cela veut dire que si on a deux mandats qui ne sont pas de même durée, le premier ne compte pas. C’est ce que j’appelle réécrire la constitution. Depuis 2001 la limitation du mandat est permanente. Ce qui est variable c’est la durée. Peu importe la durée, un mandat reste un mandat », a martelé le praticien du droit.

Le président Sall lié par ses propres déclarations

Ce débat juridique a été tranché par le président Sall lui-même en dégonflant la bulle médiatique autour du mandat en 2018. C’est ce que pense, Pr Ababacar Guèye qui rappelle que le président avait, de son propre chef, anticipé sur la question en soulignant que s’il était réélu en 2019 il fera son second et dernier mandat. Des propos qui lient le président en tant qu’initiateur de la loi.

S’y ajoute qu’en dehors de l’éthique politique, la règle de droit écarte d’office toute candidature pour Macky Sall car d’abord, précise Pr Ababacar Guèye, « la constitution ne fait pas de distinction par rapport à la durée du mandat. Elle limite le nombre de mandat consécutif à deux en occultant la durée. Peu importe la durée, qu’il s’agit d’un mandat de 3, 5 ou 10 ans, le nombre de renouvellement c’est une seule fois ».  Ensuite, ajoute le constitutionnaliste, « la révision de 2016 n’a aucune incidence sur le nombre de mandats. Certes elle impacte la durée car elle l’a réduit (7 à 5 ans), en ne touchant pas la limitation à deux qui était déjà prévue par la mouture initiale de la constitution du 22 janvier 2001 ».

Un avis partagé aussi bien par le Pr Ababacar Guèye que l’avocat Me Doudou Ndoye qui estiment que les lois constitutionnelles sont d’application immédiate et que le président est bel et bien engagé par sa parole donnée.

Le référendum de 2016, un dol constitutionnel

Il s’agit donc plus d’une question d’éthique, une vertu qui ne semble plus être un viatique pour les hommes politiques sénégalais de nos jours. Un « wax waxete » de Macky Sall transformerait le référendum de 2016 à une vulgaire manœuvre dolosive, fulmine le professeur en droit à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, Dr Oumar Diop.

« Dans quel pays du monde a-t-on vu le chef de l’Etat s’engager dans une campagne référendaire et appeler les citoyens à voter oui et que l’objectif affirmé était de limiter les mandats présidentiels à deux, une fois le texte approuvé, il revient plusieurs années plus tard pour leur dire, ce n’est pas ce que j’avais voulu » ? S’interroge-t-il.

Son intime conviction est que : « la question du mandat n’est pas une question juridique mais de la question de respect des sénégalais dans ce qu’ils ont de plus sacré c’est-à-dire la parole donnée, la dignité et le sens de l’honneur. Ce débat traduit la perversion du droit constitutionnel qui change de signification en fonction des circonstances et de la volonté du chef de l’Etat ». Autant de tares qui semblent prendre leurs quartiers dans le pays, que la société sénégalaise gagnerait à régler définitivement.

Pelé: Lula da Silva explique pourquoi il était « en colère » contre lui

Le monde du football continue de pleurer le roi Pelé. La légende brésilienne s’en est allée jeudi dernier. Une pluie d’hommages est tombée de partout dans le monde après la mort du triple champion du monde. Au Brésil, le président élu Luiz Inacio Lula da Silva a rappelé dans un long tweet, le formidable joueur qu’était Pelé, mais aussi la raison pour laquelle il le mettait en colère. 
 
« J’ai eu le privilège que les jeunes Brésiliens n’ont pas eu : j’ai vu Pelé jouer, en direct, à Pacaembu et Morumbi. Jouer, non, J’ai vu Pelé faire un spectacle, parce que lorsqu’il prenait le ballon, il faisait toujours quelque chose de spécial qui se terminait souvent par un but. J’avoue que j’étais en colère contre Pelé, car il massacrait toujours mes Corinthians (célèbre club de football brésilien) » a écrit Lula dans son tweet.
 
« La colère a vite fait place à la passion »
 
L’homme politique fait cependant remarquer qu’il admirait par-dessus tout le champion. « La colère a vite fait place à la passion de le voir jouer avec le maillot 10 de l’équipe nationale brésilienne. Peu de Brésiliens ont porté le nom de notre pays aussi loin que lui » a poursuivi le président brésilien élu, convaincu que le triple champion du monde est maintenant avec d’autres stars éternelles du ballon rond. Lula da Silva a notamment cité “Coutinho, son grand partenaire à Santos,  Didi, Garrincha, Nilson Santos,Socrates, Maradona”.
 
 Pour l’homme politique, Pelé a laissé une certitude : « Il n’y a jamais eu de numéro 10 comme lui ». Edson Arantes do Nascimento sera inhumé le mardi 02 janvier 2023 au Brésil, pays où il a longtemps joué avant de rejoindre les États-Unis. Il n’a jamais évolué dans un club européen et pourtant il a gagné plusieurs fois la coupe du monde. Aujourd’hui, la donne a un peu changé. Les joueurs brésiliens viennent maintenant en Europe pour devenir des stars planétaires.

L1 :Lens inflige au PSG sa première défaite de la saison

Le PSG a concédé ce dimanche à Lens (1-3) sa première défaite de la saison. Les Sang et Or reviennent à 4 points du leader parisien de la Ligue 1.
 
Dans ce choc de la 17e journée entre les deux premiers du Championnat de France, le PSG, leader au classement, s’est incliné (1-3) face à une impressionnante équipe de Lens. Paris concède sa première défaite de la saison et voit revenir son adversaire du soir à 4 points.
 
 Le match : 3-1
 
Après le match nul à Nice (0-0) où l’attaque lensoise était restée muette, les Sang et Or ont attaqué très fort et rapidement pris les devants sur un centre, dévié par Gianluigi Donnarumma, et conclu par Przemyslaw Frankowski (5e). Mais, malgré un stade Bollaert incandescent, les Parisiens ont très vite réagi par l’intermédiaire d’Hugo Ekitike (8e), coupable, selon les Lensois, d’avoir commis une faute sur le gardien Brice Samba alors que ce dernier avait saisi le ballon.
 
  On croyait alors les joueurs de Christophe Galtier remis en ordre de marche après cette entame de match catastrophique. Mais 20 minutes après l’égalisation parisienne, Carlos Soler a perdu le ballon, permettant à Seko Fofana de lancer Loïs Openda vers le but de Donnarumma. Le Belge a conclu cette contre-attaque éclair avec sang-froid (28e, lire ci-dessous).
 
Devant au score à la mi-temps, les Lensois ont fait le break dès le retour des vestiaires. Fabian Ruiz, préféré à Vitinha et auteur d’un match catastrophique (14 ballons perdus), a vu Massadio Haïdara lui subtiliser le cuir juste devant sa surface. S’ensuivit une talonnade d’Openda pour Alexis Claude-Maurice à la conclusion (47e).
 
Et malgré Achraf Hakimi (53e) et Kylian Mbappé (60e), resté muet ce dimanche soir, les Parisiens n’ont jamais trouvé la solution face à un Brice Samba des grands soirs, à l’image de ce sauvetage sur la ligne devant Pablo Sarabia (75e).
 
Le joueur : Openda a régalé
Comme tous ses coéquipiers, il a survolé la rencontre du début à la fin. Sur une contre-attaque superbement lancée par Seko Fofana, dont la passe a effacé Sergio Ramos, le Belge a feinté Marquinhos avant de conclure face à Donnarumma, pas exempt de tout reproche sur ce coup-là (28e). Il est également décisif sur le second but (47e, voir ci-dessus). Remplacé par Wesley Saïd à la 73e minute de jeu.
 
40
Lens compte 40 points après 17 matches de Ligue 1 cette saison, soit le 2e plus haut total pour une équipe classée 2e e à ce stade de la compétition derrière Nîmes en 1959-1960 (41 en comptant 3 points pour une victoire, et 2e à l’issue de la saison).
 
Source : Opta

Cristiano Ronaldo : Ses premiers mots après sa signature à Al- Nassr en Arabie Saoudite

Après avoir forcé son départ de Manchester United, Cristiano Ronaldo a raté sa coupe du monde avec le Portugal. Il n’a inscrit qu’un seul but dans la compétition avant que le pays n’échoue en quart de finale devant le Maroc de Hakim Ziyech. Le Portugais qui n’avait alors plus de club a décidé de poursuivre sa carrière en Asie. Il a signé hier vendredi 29 décembre, un contrat de 2 ans et demi avec le club saoudien d’Al-Nassr. Le joueur évoluera donc dans le championnat saoudien jusqu’en juin 2025. Il touchera un salaire estimé à quelque  214 millions de dollars par an.
 
« Je suis impatient de découvrir un nouveau championnat de football »
 
Sur les photos publiées par le club, on le voit poser avec son nouveau maillot jaune et bleu, flanqué de son éternel numéro 7. « Je suis impatient de découvrir un nouveau championnat de football dans un autre pays. J’ai la chance d’avoir gagné tout ce que je voulais gagner dans le football européen et je sens maintenant que c’est le bon moment pour partager mon expérience en Asie » a-t-il déclaré. Sur les réseaux sociaux, il dira que la « vision » de son nouveau club est très inspirante et qu’il était heureux de rejoindre ses coéquipiers pour qu’ensemble, ils puissent « aider l’équipe à atteindre plus de succès ». Parmi les nouveaux coéquipiers de Ronaldo, il y a des figures très connues comme le Camerounais Vincent Aboubakar, le Colombien David Ospina et l’Argentin Gonzalo Pity Martinez.
 
Un rôle pour 2030 ?
 
Al-Nassr est heureux d’avoir le meilleur buteur de tous les temps. « Faire l’histoire. C’est une signature qui non seulement inspirera notre club pour un succès encore plus grand, mais aussi notre ligue, notre nation et les générations futures, garçons et filles à être la meilleure version d’eux-mêmes. Bienvenue@Cristiano dans votre nouvelle maison @AlNassrFc » a écrit le club sur son compte twitter. Cristiano Ronaldo pourrait donner un coup de pouce à la candidature de l’Arabie Saoudite pour l’organisation du mondial 2030. En effet, il se dit que le royaume compte faire de lui l’ambassadeur de cette cause.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention