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Trafic de passeports de service : le frère du cerveau recherché

L’enquête se poursuit après le démantèlement d’un vaste réseau de trafic de passeports de service révélé par le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur. Le département dirigé par Aïssata Tall Sall avait saisi la Division des investigations criminelles (DIC). Aujourd’hui, les limiers recherchent activement 4 fugitifs dont le frère du cerveau, Kh. Tandian, juriste qui officiait à l’Agence sénégalaise de promotion des exportations (Asepex), informe L’Obs.

Lequel souligne : « Si les notes verbales et les passeports de service sont faux, le document pour l’établissement des passeports de service ne sont pas des faux. Qui les a rédigés ? C’est cette piste que les policiers sont en train d’enquêter. » Selon la source, cela s’est posé pour le cas de I. Ndiaye, un brancardier qui s’est présenté à l’ambassade des États-Unis comme directeur au ministère du Tourisme.

Sept personnes ont été déjà arrêtées, en décembre dernier, à leur sortie de l’ambassade des États-Unis où les mis en cause s’étaient rendus pour récupérer leurs visas. Ils seront dénoncés par les services consulaires américains qui ont découvert qu’ils avaient versé dans leurs dossiers de demande de visa des faux documents (ordres de mission, notes verbales…). Interrogés à la DIC, ils ont tous désigné Kh. Tandian comme le cerveau du trafic. Et qui, ont-ils confié aux limiers, leur a demandé chacun 5 millions « pour les acheminer aux États-Unis. »

Dans sa livraison de ce lundi 2 janvier, le journal signale l’arrêt de la production du document depuis la note de service annulant les passeports de service délivré entre le 1er janvier 2021 et le 13 décembre 2022. Mais, « des fonctionnaires peuvent avec leur passeport ordinaire et muni d’une note verbale obtenir leur visa dans les plus brefs délais », a-t-on soufflé à L’Obs.

Des pétards provoquent un incendie à Saint-Louis

Un incendie d’une rare violence s’est produit hier dans le quartier populeux de Léona de Saint-Louis, à quelques encablures de la maison familiale de Me Ousmane Ngom. L’incendie a débuté dans un terrain abandonné où il y avait beaucoup d’herbes. La fumée, de plusieurs centaines de mètres de haut, a ameuté le voisinage qui s’est déplacé en masse pour s’enquérir de la situation. Alertés, les sapeurs-pompiers sont vite arrivés sur les lieux, en déployant de gros moyens pour éteindre le feu. Il a fallu une vingtaine de minutes pour venir à bout des flammes.

Selon L’As, ce sont deux enfants qui jouaient avec des pétards qui seraient à l’origine de l’incendie. Mais il y a eu plus de peur que de mal. On ne déplore aucune perte en vie et les dégâts sont minimes. Les parents sont invités à redoubler de vigilance sur leurs enfants qui manipulent le feu avec les pétards.

“Quand c’est en Afrique, vous êtes moins atteints” : Omar Sy critique les Français sur leur perception des guerres

Omar Sy, héros d’un film sur les tirailleurs sénégalais pendant la Première Guerre mondiale, s’étonne dans Le Parisien que les Français se sentent plus touchés par la guerre en Ukraine que par d’autres conflits plus lointains. “Je suis surpris que les gens soient si atteints. Ça veut dire que quand c’est en Afrique vous êtes moins atteints?”
 
“Moi, je me sens menacé de la même manière quand c’est en Iran, ou en Ukraine”, assure-t-il. “Une guerre, c’est l’humanité qui sombre, même quand c’est à l’autre bout du monde”, souligne-t-il.
 
“Quand c’est loin, on se dit que ‘là-bas, ce sont des sauvages, nous, on ne fait plus ça’. Comme le Covid, au début, on a dit: ‘c’est que les Chinois'”.
 
“On se rappelle que l’homme est capable d’envahir, d’attaquer des civils, des enfants. On a l’impression qu’il faut attendre l’Ukraine pour s’en rendre compte”, ajoute-t-il.

Accaparement de leur forêt : Le collectif pour la sauvegarde et la défense des intérêts de Saly engage une justice populaire

Le collectif pour la sauvegarde et la défense des intérêts de Saly a manifesté son mécontentement en organisant une manifestation ce lundi matin contre l’accaparement de leurs terres.
 
Sur 577 ha aujourd’hui, il ne reste que 9 ha dans la forêt de Saly.
“La forêt de Saly a été vandalisée par tous les directeurs de la Sapco qui sont passés par-là. Il y a des personnes ou institutions avec des desseins inavoués qui sont en train de vandaliser nos terres. Il y a un crime environnemental et foncier qui se déroule à Saly. Nous disons non, nous ne laisserons personne s’accaparer de nos terres, voler nos ressources, les piller et aller dormir paisiblement”, dénonce Seydou Abdoul Diop, membre du collectif. 
 
Il explique qu’il détient des documents qui démontrent à suffisance les détournements de terre à Saly et que le moment opportun, il mettra l’acte à disposition du public. Les autorisations de construire ont été signées par la mairie de Saly. Le collectif ne compte pas s’en arrêter là, il compte engager une justice populaire.

Tivaouane / Affaire Amy Ndiaye Gniby : Des jeunes manifestent leur colère et parlent de «procès politique»

Des jeunes de la cité religieuse de Mame Maodo, dans une colère, ont hurlé leur amertume dans les rues de Tivaouane, ce lundi matin. Ils dénoncent la décision rendue dans le procès opposant les députés de Yewwi Askan Wi (YAW), Massata Samb et Mamadou Niang, reconnus coupables pour les faits de coups et blessures volontaires sur la personne de leur collègue Amy Ndiaye de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (BBY), Mairesse de Gniby, et condamnés à 6 mois de prison ferme avec la somme de 5 millions FCFA à payer solidairement à titre de dommages et intérêts.
 
Une manifestation de courte durée, très vite maîtrisée par les forces de sécurité déployées en grand nombre à travers les artères de la capitale de la Tidianiya, pour l’empêcher. Une occasion saisie par les nombreux manifestants qui seraient issus en majorité des rangs du parti PUR dirigé par le responsable moral des Moustarchidines Wal Moustarchidates, Serigne Moustapha Sy, pour dénoncer une « forfaiture » à travers ce qu’ils qualifient de « procès politique ». Aussi de prévenir : «Personne ne pourra nous empêcher de manifester contre ce verdict ». L’honorable député du Pastef de Pire Gourey, lui, se dit d’autant plus « choqué » par le verdict qui, souligne-t-il, « nous a tous mis K.O. parce qu’on ne s’y attendait pas ». Toutefois de rassurer : « on va continuer le combat ». Il considère que « c’est une énième forfaiture, avec une justice instrumentalisée par le pouvoir », ce qui, dit-il, « laisse croire que nous sommes tous en sursis ».
 
Avant que le tribunal ne délibère, l’inter-coalition Yewwi Wallu de Tivaouane avait remarqué que « l’épisode en question est un chapitre de cette longue série d’intimidations, de sarcasmes des députés de Benno. En sus de l’arrestation de Pape Alé Niang, l’audition de Ousmane Sonko, l’arrestation de ses gardes du corps, la surveillance quotidienne du leader du Pastef par les éléments de la police et la gendarmerie nationale à l’occasion de son “Nemekou tour”, le verdict de l’appel de Barthélémy Dias, l’introduction de la gendarmerie nationale à l’Assemblée nationale pour imposer, forcer un président fantoche, entre autres, constituent autant de dérives notées du côté du pouvoir pour intimider une opposition responsable et consciente ». Lesquelles dérives, pensent les responsables de l’opposition dans le département de Tivaouane, sont des « éléments qui prouvent à suffisance les exactions du pouvoir en place qui a réuni tous les ingrédients pour installer une dictature ad libitum ». Mais surtout de prévenir : « cette volonté de réduire l’opposition à sa plus simple expression ne prospérera guère ». Selon Sadieubou Mbaye, coordonnateur départemental de Taxawu Senegal Tivaouane, « en carence d’arguments, des députés de la coalition Benno se lancent sans vergogne dans une campagne de diabolisation et de stigmatisation de l’opposition pour empêcher les députés des autres coalitions à faire briller la vérité. Leur maître mot ou mot d’ordre, c’est chahuter, saboter, invectiver, faire l’apologie de Macky Sall ».

Début de la veillée funèbre de Pelé au stade du Santos FC

Plusieurs centaines de Brésiliens rendaient lundi un dernier hommage à Pelé, quatre jours après sa mort à 82 ans, saluant le cercueil situé au centre de la pelouse du stade des premiers exploits du “Roi” du football, à Santos.
 
Les portes du stade de la Vila Belmiro, du Santos FC, ont été ouvertes à 10H00 (13H00 GMT) pour une veillée funèbre de 24 heures. Quand ils ont été autorisés à entrer, les supporters ont applaudi et ont commencé à crier : “Pelé, Pelé, Pelé !”
 
Mardi, une procession parcourra les rues de Santos, une ville située à 75 kilomètres au sud-est de Sao Paulo, avant l’enterrement, auquel seule la famille assistera.
 
Des dizaines de gerbes de fleurs, envoyées par des personnalités du football comme la star du Paris SG Neymar ou des clubs étrangers comme le Real Madrid ont été disposées autour du cercueil, abrité sous une grande tente blanche.
 
Parmi les premiers à le saluer, le président de la Fifa, Gianni Infantino, qui s’est spécialement déplacé au Brésil pour rendre hommage à celui que beaucoup considèrent comme le plus grand footballeur de tous les temps.
Le président de la confédération sud-américaine de football(Conmebol), Alejandro Doinguez, était aussi présent, aux côtés de l’épouse de Pelé, Marcia Aoki.
 
Trois banderoles géantes ont été placées dans les tribunes de l’enceinte de 16.000 places : l’une montrant Pelé de dos avec le maillot “10” que l’ex-attaquant a immortalisé, tandis que sur les deux autres on pouvait lire “Vive le roi” et “Pelé 82 ans”.
 
– “Le plus grand” –
De nombreux supporters étaient présents autour du stade bien avant l’ouverture des portes.
 
Parmi eux, Carlos Mota, 59 ans, venu spécialement de Rio de Janeiro, à environ 500 km de Santos, pour rendre hommage à Pelé. Il porte le maillot de Fluminense, son club de coeur, et son fils Bernardo, 12 ans, celui du FC Barcelone.
 
“J’ai toujours dit à mon fils qu’il y avait trois choses qui ne se discutaient pas : le ballon est rond, la pelouse est verte et Pelé est le plus grand”, déclare-t-il à l’AFP.
“Je n’ai jamais vu Pelé jouer en vrai, juste quelques extraits de matchs en vidéo, mais je suis sûr que c’est meilleur joueur de tous les temps”, renchérit le jeune Bernardo.
 
“Je suis très émue. On adorait voir ses matchs en famille”, dit pour sa part Vera Lucia, une retraitée de 75 ans qui vit à Sao Paulo.
 
À l’extérieur du stade, des bouquets de fleurs ornent un buste et une statue de Pelé, tandis que des bannières à son effigie étaient déployées dans un autre quartier de la ville où se trouve également un monument à sa mémoire. “J’ai enchanté le monde avec le ballon à mes pieds”, pouvait-on lire sur l’une d’elles.
 
– “Éternel” –
Dans le reste du Brésil, des hommages étaient également visibles comme sur l’un des murs du siège de la Confédération brésilienne de football (CBF) à Rio de Janeiro, où figure une image géante de l’ancien numéro “10” avec le maillot de la “Seleçao” et le mot “éternel”.
 
Une minute de silence à sa mémoire a par ailleurs été observée dimanche pendant l’investiture du président Luiz Inacio Lula da Silva, à Brasilia.
 
La sécurité a été renforcée à l’aéroport de Congonhas de Sao Paulo en prévision de l’arrivée de sportifs, hommes politiques et autres personnalités prévoyant d’assister à la veillée funèbre, selon le journal Folha de S. Paulo.
La mort du joueur de génie, qui a marqué 1.283 buts en 21 ans de carrière, la plupart avec son club de Santos, a ému au-delà du Brésil et suscité un tsunami de condoléances.
 
Edson Arantes do Nascimento, dit Pelé, a passé un mois à l’hôpital Albert Einstein de Sao Paulo jusqu’à sa mort, le 29 décembre, des suites d’une insuffisance rénale et cardiaque, d’une bronchopneumonie et d’un adénocarcinome du côlon, selon le certificat de décès publié par plusieurs médias locaux.
 
“Nous étions avec lui” le 21 décembre, a assuré sa soeur Maria Lucia. “Il était très calme, on a un peu parlé, mais je sentais déjà qu’il le sentait, il savait déjà qu’il allait partir”, a-t-elle témoigné.

Boy Niang raconte… “Comment j’ai vaincu Balla Gaye”

Hier dimanche, «Boy Niang II» a terrassé Balla Gaye II. Une victoire surprise pour beaucoup d’observateurs, mais pas pour le vainqueur qui a expliqué comment il est venu à bout du «Lion de Guédiawaye».

«Je savais que comme c’est un lion, il allait attaquer», a déclaré le tombeur de Balla Gaye II, dans les colonnes du journal «Les Échos». Une intuition qui ne le trompera pas, puisque le Fils de Double Less va attaquer :«Il a essayé de m’atteindre. Je lui ai donné un coup. Puis, il s’est attaqué à mes jambes. Je l’ai pris, malheureusement il m’a échappé, surement parce qu’il avait de la sueur au corps», raconte-t-il.

Mais, le fils de «De Gaulle», prendra son mal en patience. «Je ne me suis pas précipité. Mais il a oublié que je lui avais dit qu’il est un grand lutteur, mais il n’est pas meilleur que moi (rire). J’ai pris le temps par la suite de le contrôler puis je l’ai plaqué et il avait ses deux mains au sol. Mais je me suis dit que le combat devait surtout se terminer au sol et c’est ce qui est arrivé», explique-t-il.

Pour une interruption de grossesse : Une femme condamnée à 6 mois de prison

Alors que son mari est un émigré qui vit en France depuis trois ans, D. Thiombane est tombée enceinte d’un autre homme.
 
Selon les confidences du «soleil» de ce jour, la femme a été jugée à la barre du tribunal de grande instance de Dakar pour interruption d’une grossesse de quatre mois. Cela fait suite   une enquête menée par la brigade de gendarmerie de Keur Massar, le 10 décembre dernier, après la découverte, dans la fosse septique d’un immeuble à Keur Massar, d’un fœtus de quatre mois.
 
C’est ainsi que toutes les femmes enceintes ont été auditionnées et conduites chez le gynécologue.
 
Seulement, il se trouve que la dame  D. Thiombane, née en 1992, était la seule à avoir avorté récemment.
 
Devant la barre du tribunal, la femme a soutenu qu’elle a fait la connaissance d’un autre homme en auto-stop. Ils ont échangé leur contact et au fil du temps, ils ont eu de l’intimité. En revanche, elle estime qu’il n’y a pas de pénétration, mais «qu’elle prenait des herbes dénommées ‘quatre côtés’ pour régler ses menstrues irrégulières  et a volontairement interrompu sa grossesse».
Elle détaille  qu’elle a fait bouillir les feuilles et a bu la tisane qui a provoqué une diarrhée. Une fois aux toilettes, elle a senti quelque chose  sortir, a coupé le cordon et  a enfoncé le fœtus dans la cuvette de la chaise anglaise. Par conséquent, elle a demandé à son mari de lui accorder le divorce. Mais ce dernier lui a signifié ne pas l’abandonner à cause de cette erreur.
 
La représentante du parquet a requis 2 ans ferme. Quant à l’avocat de la défense, il a demandé la clémence du tribunal, au motif que sa cliente est orpheline  de père et  de mère, et qu’elle a été élevée  par son oncle paternel, a arrêté ses études en classe de 5e et n’a même pas eu l’occasion de passer une nuit avec son mari.
 
Après délibération, la prévenue a écopé de six mois ferme et d’une amende de 50 000 F CFA

Lien supposé entre l’affaire Pape Alé Niang et la disparition de Badji et Sambou : Les éclairages du colonel Sakoung Faty

Sakoung Faty, colonel de la gendarmerie à la retraite, a donné trois raisons pour expliquer que la disparition du sergent Fulbert Sambou et de l’adjudant-chef Didier Badji n’est en rien liée à l’affaire Pape Ale Niang.
 
D’abord il informe que les fonctions occupées par les deux ne peuvent en rien être utiles à un journal. L’un est à la direction de la défense et de la sécurité extérieure (DDSE). Cette direction gère toutes les menaces extérieures le long des frontières du pays. En quoi cela intéresserait-il Pape Ale Niang? se demande-t-il.
Ensuite, de la même manière, l’ancien colonel a soutenu que le second est à l’inspection générale d’État qui publie tous les rapports. Alors, quel secret, un agent de l’IGE pourrait-il confier à un journaliste? s’est-il demandé encore.
Enfin, le colonel précise que dans le milieu militaire, on n’exécute pas les fautifs. ” Si un militaire commet une connerie, il est traduit devant le tribunal, puis il est radié. C’est aussi simple que ça”. Pourquoi on n’a pas tué le capitaine Touré et les autres qui ont commis des bêtises en fonction ? Une question qui a permis au colonel, en sa qualité de président régional des associations de la société civile de s’attaquer à la désinformation et à l’intoxication entretenue selon lui par ses pairs.
 
Et de dire que la société civile sénégalaise se compromet et se décrédibilise dans des activités qui ne sont les leurs. Son rôle, dit-il, est de sensibiliser, de conscientiser et d’éveiller les populations en leur facilitant l’accès à la bonne information. Ainsi, un peuple bien formé, prend lui-même ses responsabilités et son destin en main. Mais “la société civile n’est pas dans son rôle d’éveil des consciences. Elle est plutôt politique”, conclut-il.

Affaire Amy Ndiaye Gniby : La défense des deux députés va contre-attaquer, la partie civile minimise

La décision est tombée dans l’affaire dite Amy Ndiaye Gniby du nom de la député frappée à l’Assemblée nationale, le 1er décembre 2022. Ses deux collègues jugés pour ce délit ont été reconnus coupables et condamnés à 6 mois de prison, ce lundi 2 janvier, par le Tribunal des flagrants délits de Dakar. Toutefois, la défense est contre la décision rendue. « Nous allons relever appel. De plus, nous allons introduire une requête pour demander une contre-expertise médicale sur la grossesse de la dame Amy Ndiaye Gniby. Nous allons introduire aussi une procédure aux fins de mise en liberté provisoire», a fait savoir, Me Abdy Nar Ndiaye, avocat des parlementaires du Parti de l’unité et du rassemblement (PUR).
 
 
Suite à cette déclaration, la partie civile a réagi. Me Souleymane Soumaré d’asséner: «Nous concernant, nous sommes satisfaits de la déclaration de culpabilité parce qu’il s’agissait de marquer le coup. Il n’est pas permis au Sénégal de lever la main sur une personne à fortiori sur une femme enceinte».
 
Amy Ndiaye va-t-elle saisir la Cour d’appel pour les dommages et intérêts ?
Mieux, le conseil a souligné qu’on ne peut pas parler de contre-expertise à ce stade de la procédure. Pourquoi ? Me Soumaré s’explique : «l’affaire a été jugée et la possibilité qui s’offre à la partie adverse c’est d’aller en appel. Sur la grossesse, on se limite aux déclarations des médecins. Ce qui est constant, c’est que dans le dossier figurent des documents qui attestent que notre cliente est en état de grossesse. Les coups reçus ont porté préjudice à cet enfant là qu’elle porte ».
A propos des 5 millions des dommages et intérêts que devront verser Massata Samb et Mamadou Niang, les avocats de la victime estime que cette somme est faible par rapport aux 500 millions de FCFA qu’ils avaient demandés lors du procès. « Il y a la réparation du préjudice intégral pour la mère et l’enfant. Nous allons nous concerter avec notre cliente pour voir si on va interjeter appel sur les intérêts civils ».
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