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Gambie: Les détails du coup d’Etat déjoué

Les autorités gambiennes ont livré jeudi pour la première fois des détails sur la tentative de coup d’Etat déjouée le 20 décembre à Banjul, affirmant que ses auteurs avaient prévu d'”arrêter des hauts responsables du gouvernement et de les utiliser comme otages pour empêcher toute intervention étrangère”.
 
“Ils avaient également l’intention de retirer (de leurs fonctions) tous les officiers supérieurs de l’armée à partir du grade de major et au-dessus, ainsi que de restructurer les forces armées gambiennes”, a assuré Abubakarr Suleiman Jeng, le conseiller à la sécurité nationale, qui a lu la déclaration devant les médias au quartier général de la Défense à Banjul.
 
Une commission d’enquête, qui doit rendre son rapport dans un mois, a été créée mardi en Gambie pour faire la lumière sur cette tentative de putsch présumée, la dernière en date en Afrique de l’Ouest depuis 2020, après deux putschs réussis au Mali et au Burkina Faso, un autre en Guinée, et une tentative en Guinée-Bissau.
Sept soldats ont été arrêtés dans le cadre de cette affaire.
 
Par ailleurs, un responsable politique, ancien ministre des Affaires présidentielles sous le régime de Yahya Jammeh (1994 – 2017) et membre du principal parti d’opposition, le Parti démocratique unifié (UDP), est aussi détenu après être apparu dans une vidéo suggérant que le président sera renversé avant les prochaines élections locales. Son parti exige sa libération immédiate.
 
Le plan détecté par les autorités “montre la composition de la formation qui devait participer” à la tentative de putsch ainsi que son plan pour prendre le pouvoir, notamment le contrôle des médias d’Etat, a déclaré M. Jeng.
“Entretemps, il a été établi que les comploteurs (…) ont établi des contacts, tenu des réunions clandestines dans certains endroits identifiés à l’intérieur du pays” pour planifier le coup d’Etat, a-t-il poursuivi, évoquant en outre des complicités de civils à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
 
L’accession surprise d’Adama Barrow à la présidence en janvier 2017 avait mis fin à deux décennies de gouvernement autocratique dans ce petit pays pauvre de deux millions d’habitants.
 
M. Barrow a largement remporté un deuxième mandat en décembre 2021, lors d’une présidentielle constituant la première transition ouverte à la tête de cette ancienne colonie britannique depuis la dictature.

Mali: le procès de 46 militaires ivoiriens ajourné à vendredi

Le procès des 46 militaires ivoiriens soupçonnés d’être des “mercenaires” et détenus au Mali depuis juillet, ouvert jeudi à la Cour d’appel de Bamako, a été suspendu jusqu’à vendredi, ont indiqué à l’AFP l’avocat général et l’un de ceux de la défense.
 
Ce procès intervient avant l’ultimatum fixé au 1er janvier 2023 par les chefs d’Etat ouest-africains à la junte malienne pour libérer les 46 militaires et une semaine après que le ministre ivoirien de la Défense a assuré que l’affaire était “en voie de résolution” après une visite officielle à Bamako.
 
Le 10 juillet, 49 soldats ivoiriens, qualifiés de “mercenaires”, avaient été arrêtés au Mali, puis inculpés mi-août de “tentative d’atteinte à la sûreté extérieure de l’Etat” et formellement écroués. Trois femmes ont été libérées par la suite.
 
Abidjan assure que ces soldats étaient en mission pour l’ONU, dans le cadre d’opérations de soutien logistique à la Mission des Nations unies au Mali (Minusma) et exige leur libération.
La première journée du procès s’est tenue à huis clos et sous haute surveillance des forces de sécurité, selon un journaliste de l’AFP. Rien n’a filtré des échanges dans la salle d’audience.
 
“C’est la suspension de l’audience” avant “la reprise demain (vendredi) des débats”, a affirmé dans un message à l’AFP un des avocats de la défense Ben Mamata.
 
L’avocat général Mamadou Diawara a confirmé la suspension pour une “reprise demain matin” vendredi, dans une déclaration à l’AFP, sans donner plus de détails.
 
Il y a une semaine, la rencontre à Bamako entre les autorités des deux pays s’est déroulée dans un esprit “fraternel” et s’est conclue par la signature d’un mémorandum.
Le contenu des discussions concernant les militaires ivoiriens n’a pas été rendu public, mais le ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop a parlé devant la presse d’un “incident malheureux”, tandis que le ministre ivoirien de la Défense a évoqué un “malentendu”. Des termes bien éloignés de ceux de “prise d’otage” et “mercenaires” employés par les deux parties depuis plusieurs mois.

Burkina: une tentative de coup d’état déjouée

Le parquet militaire indique dans un communiqué publié mercredi soir, que “les premiers éléments” d’une enquête ouverte après dénonciation, “révèlent que des militaires en collusion avec des civils étaient en train de préparer une déstabilisation des institutions de l’Etat”.

Un adjudant-chef, Charles Neboa, et un sergent, Adama Traoré, sont cités comme faisant partie du groupe, selon le dénonciateur cité par le parquet militaire.

Ce groupe “serait en contact avec l’unité ‘Mamba vert’ du lieutenant-colonel Emmanuel Zoungrana et projetait de lancer des attaques simultanées sur la radio-télévision du Burkina (RTB), la maison d’arrêt et de correction des armées (Maca) où était détenu cet officier supérieur pour des faits similaires, et la résidence du chef de l’Etat”, le capitaine Ibrahim Traoré, selon le procureur militaire.

Le lieutenant-colonel Zoungrana avait été interpellé une première fois le 14 janvier et incarcéré pour “tentative de déstabilisation des institutions de l’Etat”, “détournement de biens publics, faux et usage de faux, enrichissement illicite et blanchiment de capitaux”.

A l’époque, le Burkina Faso était dirigé par Roch Marc Christian Kaboré, président élu en 2015 et réélu en 2020.

Il a été renversé par un premier putsch le 24 janvier ayant porté au pouvoir une junte militaire dirigée par le lieutenant-colonel Damiba, à son tour renversé par le capitaine Ibrahim Traoré le 30 septembre.

Emmanuel Zoungrana avait été remis en liberté provisoire le 15 décembre, avant d’être à nouveau interpellé le 27 décembre à son domicile à Pabré, à une vingtaine de kilomètres au nord de Ouagadougou, “non sans résistance”, selon le parquet militaire.

Dans une vidéo largement relayée sur Facebook, il a affirmé avoir été victime de deux tentatives d’empoisonnement lors de son incarcération et surveillé par des drones depuis sa remise en liberté provisoire.

Ex-chef de corps du 12e régiment d’infanterie commando, basé à Ouahigouya, chef-lieu de la région du Nord, le lieutenant-colonel Zoungrana, âgé de 41 ans, avait passé le témoin le 21 décembre 2021, avant de regagner Ouagadougou où il attendait une nouvelle affectation.

Ancien commandant du groupement des forces du secteur ouest, engagées dans la lutte antiterroriste dans ce pays régulièrement endeuillé par des attaques jihadistes, il avait été décoré pour ses faits d’armes, notamment pour avoir repris des localités assiégées.

Saly : Le Mouvement Religieux pour l’Emergence invite à la paix et à la cohésion sociale

Il met en garde contre d’éventuels conflits qui pourraient saboter la paix et la stabilité du pays. Leur discours est le même : faire tout pour éviter que le mal et le chaos s’installent au Sénégal.

D’ailleurs, ces religieux interpellent les responsables politiques à plus de responsabilités dans leurs actions.

‘’À tous les responsables, nous rappelons les valeurs auxquelles ils doivent tenir compte dans le déroulement de leurs activités politiques. Nous prions et félicitons Amadou Bella Diallo qui œuvre beaucoup au service de sa cité, à Saly”, interpelle le grand Serigne de Thiès Cheikh Mbaye Ndiaye Diop.

Pour le MRE, la paix constitue le socle de la stabilité d’un pays. Les religieux étaient à Saly chez le responsable politique de l’Apr, Amadou Bella Diallo pour disent-ils, prêcher la paix et la concorde.

“Prions pour la paix. Seul Dieu est détenteur de qui doit être Président. Il est hors de question de déstabiliser notre pays. Notre pays s’achemine vers la tenue des élections, il s’agira d’un tournant décisif dans la vie de notre Nation. Le Sénégal doit apprendre des autres pour mieux garder sa stabilité et sa tranquillité. Des pays de la sous-région sont dans une instabilité. Juste pour rappeler que le Sénégal est dans une ceinture de feu. C’est pratiquement le seul pays en Afrique de l’Ouest qui est jusque-là stable. Par conséquent, nous devons tout faire pour garder cette stabilité. Et sachez que nous ne laisserons personne gâcher cette stabilité ’’, enchaîne imam Dramé.

Dans cet même ordre d’idées, ils estiment que militer en faveur de la paix est une chose sacrée. Ils invitent la population à éviter “les discours injurieux.’’

Leur message s’adresse aussi à la presse, en tant que ‘’quatrième pouvoir’’, les religieux les invitent à plus d’éthique et un comportement responsable.

29 décembre 1923-29 décembre 2022 : Cheikh Anta Diop (CAD) aurait eu 99 ans

Par Xaadim Njaay (Historien-Philosophe – Canada)

On présente généralement CAD comme un sage, une personne calme, posée, plongée dans ses recherches et abhorrant les mondanités. On le décrit comme une personne bienveillante, qui aimait recevoir dans son bureau même de l’IFAN, pas seulement des chercheurs du monde entier, mais les gens ordinaires, les paysans venus du fin fond du Sénégal.

C’est lui-même qui nous le dit : « Chez nous, tout est absorbé par le social, du matin au soir. Je fais du social, vous savez, les gens qui viennent du fin fond de la brousse, qui meurent de faim et supportent des conditions matérielles très difficiles, etc. Vous connaissez ces problèmes… Et bien malgré tout cela, il faut travailler tout le temps, et ce n’est pas facile ».

L’empathie, la compassion, la bienveillance étaient des sentiments dont il était constamment imprégné. Il précise : « Toute ma vie, je resterai avec tous les Africains, je n’ai jamais cultivé la distance, à quelque catégorie qu’ils appartiennent, entre les Africains et moi. Chez moi, les gens viennent quand ils veulent, rien n’est fermé. »

Jeune étudiant, CAD était pourtant bouillonnant. Politiquement engagé, il était impliqué dans toutes les luttes des jeunes Africains pour l’indépendance de l’Afrique.

Déjà élève à Diourbel, CAD, opposé aux idées racistes de son enseignant colonialiste, a un jour conduit sa voiture sans autorisation et l’a fait accidenter. M. Levasseur, c’est son nom, rouge de colère, demande qu’on le rembourse. Mame Cheikh Anta Mbacké (de qui CAD tient son prénom), frère de Cheikh Ahmadou Bamba, mis au courant de l’affaire, ne sermonne pas le jeune CAD. Tout le monde dans ce milieu comprenait que c’était une forme de résistance. Mame Cheikh Anta demande simplement qu’on lui dise le prix d’une telle voiture et déclare qu’il est même prêt à en payer 10 s’il le faut.

Au lycée Faidherbe à Saint-Louis, CAD a organisé une grande manifestation pour s’opposer à la venue du général Giraud. Ce dernier, envoyé par de Gaulle, avait des positions colonialistes clairement exprimées.

À Paris, CAD était de toutes les luttes. Il a plusieurs fois eu maille à partir avec la police. Quand ses amis étaient malmenés par les forces de l’ordre, il prenait leur défense sans même savoir de quoi il retournait. Il se faisait donc embarquer avec eux dans les fourgonnettes de la police.

Son ami, le professeur Pathé Diagne (à qui on souhaite une bonne santé) nous dit que c’est seulement en cours de route qu’il demandait à ses amis : « Bon, dites-moi maintenant, ce que vous avez encore fait et de quoi il s’agit ? »

Même Guy Marius Sagna n’a pas fait ça ! 🤣

Les jeunes bouillonnants étudiants de l’époque nourrissaient même le projet d’assassiner le gouverneur général de l’AOF, Paul Béchard (clin d’œil à Lorenzo Italia), accusé des dérives colonialistes de la métropole.

Dénonçant toutes formes d’injustices touchant les étudiants et les Africains du continent, CAD nous dit qu’il était un jeune homme en colère : « J’étais un jeune homme en colère à l’époque et plus on me résistait, plus je devenais déterminé et têtu. »

Il se sentait, comme beaucoup de jeunes de son époque, doté d’une mission, celle de libérer un continent. « J’appartiens, dit-il, à cette génération qui a fait le serment intérieur de reconstruire l’Afrique, rien ne devait nous arrêter… Aucun obstacle ne devait tenir devant nous, voilà la vérité. Il fallait faire fi de tout, faire une croix sur tout. »

Devenu adulte, replié en ermite dans son laboratoire de l’IFAN, il savait que le continent aurait toujours besoin de la fougue de la jeunesse pour se libérer. Il s’est constamment adressé aux jeunes dans ses textes et dans ses discours :

« La jeunesse, écrivait-il, doit être à l’avant-garde de la libération de notre continent ».

« Je sens, disait-il, que les masses trouveront dans leurs propres rangs le type d’avant-garde politique, composé de jeunes Africains, altruistes et politiquement motivés, pour déclencher un puissant mouvement à l’échelle du continent. »

Son message ultime est d’ailleurs adressé aux jeunes : « Le plus grand plaisir que vous puissiez faire à un homme comme moi, disait-il, serait de découvrir en vous, cette volonté inébranlable de construire l’Afrique, de continuer le peu qui a déjà été fait. »

Les jeunes, je le crois, semblent avoir entendu le message.

Joyeux anniversaire au ciel !

Gouvernance : Abdoul Mbaye flanque une mauvaise note à Macky Sall

Rien n’a évolué en une année au Sénégal, c’est en tout cas l’avais d’Abdoul Mbaye. Le président de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) a fait un bilan de la gouvernance de Macky Sall en cette fin de l’année 2022.

Une occasion pour l’ancien premier ministre de faire un round up de tous les secteurs d’activités. Une analyse qui fait dire au leader d’Act que rien n’a évolué en une année au Sénégal. « La dégradation économique s’est- poursuivie malgré toute sorte de statistique trompeuse. Le peuple a vécu une baisse du pouvoir d’achat par inflation et la perte de revenus partout en campagne mais aussi dans les villes ».

Selon Abdoul Mbaye, l’amélioration des conditions de vie et l’amélioration du pouvoir d’achat sont des indicateurs pour jauger la réussite des politiques mises en œuvre par l’Etat. Pour le président de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail, lorsque ces indicateurs n’évoluent pas et régressent « il y a échec et il faut céder la place ».

Le leader politique réfute l’argument de la réalisation des infrastructures, plus faciles à réaliser, comme facteur de développement. « Il suffit d’avoir les bonnes études, de s’endetter ou de ponctionner dans le budget, de réaliser et d’inaugurer et de mettre la charge de l’endettement sur le dos des générations futures » a-t-il expliqué. Pour Abdoul Mbaye, le défi réside dans l’amélioration des conditions de vie générales des populations.

Selon le premier PM de Macky Sall, “aujourd’hui, l’entrée en autocratie et en dictature est en cours” « C’est vrai que les propos sont graves. Mais j’en veux comme preuve la non-application des décisions de la CEDEAO concernant le parrainage qui est “un délit de justice. S’y ajoute la non-application des recommandations de l’Union européenne, des auditeurs indépendants qui appellent à une réforme de la loi électorale sur l’automaticité des recommandations de droits civils en cas de condamnation pénale sans perte express de ses droits décidée par le juge ».

Selon l’ancien Premier ministre : « le régime en place manipule la justice pour rendre un opposant inéligible. Nous sommes témoins de nombreux décès, de disparitions inexpliquées. Où en est l’enquête des 14 vies perdues en mars 2021 ? Le combat engagé contre les journalistes, les activistes, les réseaux sociaux, le débat sur le nombre de mandats », a-t-il soutenu.

Avant de poursuivre : « ce régime est minoritaire, parce que les élections législatives ont fini de le prouver. C’est d’ailleurs pourquoi il veut violer ce caractère intangible d’une partie de notre Constitution en direction de (la Présidentielle de) 2024 ».

Gestion Fonds Covid : la Cour des comptes va saisir le ministère de la Justice

La Cour des comptes va saisir le ministère de la Justice aujourd’hui, pour demander l’inculpation des personnes citées dans le rapport sur la gestion des fonds de lutte contre les effets de la pandémie de Covid-19.

La machine judiciaire dans l’affaire de détournement qui éclabousse la gestion des Fonds Covid s’emballe. En effet, le Premier président de la Cour des comptes, Mamadou Faye, va saisir la Chancellerie afin d’enclencher des poursuites contre toutes les personnes épinglées dans le rapport pour des faits constitutifs de crimes ou délits. Le chef de l’Etat a d’ailleurs rappelé hier, en réunion du Conseil des ministres à Tambacounda, ses instructions, pour que les ministres mettent rapidement en œuvre toutes les recommandations de la Cour des comptes, telles que formulées dans ledit rapport, et veiller à ce que tous les mis en cause s’expliquent devant les juridictions compétentes.

9 ministères épinglés

Les 9 ministères en cause sont ceux de la Santé et de l’action sociale, de la Microfinance et de l’économie solidaire, du Développement communautaire, de l’équité sociale et territoriale, du Commerce et des petites et moyennes entreprises, de la Femme, de la famille, du genre et de la protection des enfants, de la Culture et de la communication, ainsi que du Développement industriel et des petites et moyennes industries. Pour la plupart de ces départements ministériels, ce sont les Dage qui sont mis en cause pour des montants divers.

En tout état de cause, toutes les personnes impliquées ou mouillées auront le loisir de se faire entendre devant les juridictions compétentes, et en ce qui le concerne, le président de la République, selon ses proches, n’entend couvrir personne dans cette affaire. Comme aiment à le dire certains confrères, il ne mettra le coude sur aucun dossier.

Le fait déjà pour le président de la Cour des comptes de saisir dès ce jeudi le ministère de la Justice, est aussi le signe que le gouvernement aimerait déterminer le plus vite possible, si des sanctions administratives devraient suivre certaines éventuelles condamnations, ou si comme il peut également être attendu dans certains cas, des personnes seront en mesure de se laver de toute infamie.

Au cours d’un point de presse tenu le vendredi 23 décembre dernier, les ministres des Finances et du budget, Mamadou Moustapha Ba, et du Commerce, Abdou Karim Fofana, avaient souligné que la Cour des comptes avait énoncé 85 recommandations, «qui seront capitalisées et internalisées au titre de bonnes pratiques en matière de bonne gouvernance des ressources publiques, dans des situations d’urgence et de crise».

Dans ces 85 recommandations, il y a celles qui préconisent la poursuite en Justice d’auteurs présumés de faits assimilables à des détournements de deniers publics ou des surfacturations. Moustapha Bâ allant jusqu’à préciser que les montants estimés comme devant faire l’objet de poursuites judiciaires, concernaient exactement 6 milliards 686 millions 784 mille 410 francs Cfa, «soit 0,7% du montant total du Pres décaissé». Le Pres étant le Programme de résilience économique et sociale.

D’autres recommandations à caractère non pénal, qui portent sur des fautes de gestion, vont aboutir à envoyer leurs auteurs devant la Chambre de discipline financière de la Cour des comptes. Une pratique courante dans l’Administration, et qui concerne des centaines de fonctionnaires chaque année.

Mbappé répond aux moqueries des Argentins

Kylian Mbappé a répondu en étant grand seigneur aux provocations venues d’Argentine lors des célébrations de victoire en Coupe du monde.

Kylian Mbappé sort du silence, et le fait avec classe. En effet, à la suite des célébrations provocantes du gardien argentin Emiliano Martinez, après la victoire de l’Albiceleste en finale de Coupe du monde face à la France, l’attaquant du PSG, pris pour cible, n’avait jusqu’à maintenant pas réagi. Ce mercredi 28 décembre, interrogé par la presse à ce sujet après la rencontre PSG-Strasbourg, le footballeur a pris le temps de s’exprimer. “Les célébrations, c’est pas mon problème, je ne perds pas d’énergie dans des choses aussi futiles, l’important pour moi c’est de donner le meilleur de moi-même pour mon club, et on va attendre que Leo revienne pour continuer à marquer et gagner des matches”, a confié l’athlète devant les journalistes.

Mairie de Dakar : le vote du budget accouche d’une surprise

Le budget 2023 de la mairie de Dakar est voté. Après leur séminaire à Saly, les conseillers municipaux de la Ville se sont retrouvés hier, mercredi pour fixer l’enveloppe. Et selon Les Échos, qui donne l’information, il y a eu une petite surprise.

En effet, rapporte le journal, le budget a été adopté à l’unanimité. Une surprise, si l’on considère les profondes divergences qui opposent les chapelles des membres de l’équipe municipale dirigée par le maire Barthélémy Dias.

Les Échos renseigne que pour 2023, la mairie de capitale s’appuiera sur un trésor de guerre de 59 milliards 834 millions 649 mille 789 francs CFA pour dérouler son programme. C’est presque douze fois le budget de la mairie de Ziguinchor (5 milliards) qui, pourtant, a connu une hausse de 2 milliards.

Ménopause : 5 conseils pour la surmonter

La périménopause et la ménopause ne sont pas des périodes évidentes pour les femmes. Quelques conseils permettent de mieux se préparer à ces moments. L’âge moyen de la ménopause est d’environ 51 ans. Il s’agit du moment où les femmes n’ont plus leurs menstruations. L’arrêt est souvent progressif et la durée varie d’une personne à l’autre. Généralement, on considère une femme comme étant ménopausée un an après ses dernières règles. Néanmoins, certaines femmes ont des changements plusieurs années avant d’être ménopausées, c’est la périménopause, et aussi plusieurs années après. La raison est que la ménopause entraîne une baisse des niveaux d’hormones de reproduction féminines. Celle-ci n’impacte pas uniquement le système de reproduction mais aussi la circulation sanguine, la santé des os, le système immunitaire ainsi que le système neurologique, ce qui explique les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes, les changement d’humeur, la fatigue, la sécheresse vaginale et les troubles du sommeil. Il reste difficile de dire précisément combien de temps dure la périménopause mais des recherches scientifiques estiment qu’elle serait comprise entre quatre à huit ans. Selon des travaux intitulés Penn Ovarian Aging Study qui incluaient 259 participantes, 79 % d’entre elles avaient des bouffées de chaleur avant l’âge de 50 ans, le plus souvent entre 45 et 49 ans. Une autre étude explique que les femmes souffraient de bouffées de chaleur modérées à sévères plus de dix ans après l’arrêt de leurs règles… Et même jusqu’à 70 ans selon ces travaux de 2017. Périménopause et ménopause : des symptômes longs et gênants Les symptômes de la périménopause et de la ménopause sont donc longs, gênants voire douloureux pour certaines femmes. Mais quelques astuces peuvent les aider à mieux s’y préparer. Tout d’abord, il faut parler aux femmes de son entourage familial : sa mère, sa grand-mère, sa ou ses tantes, ses sœurs. Les différentes expériences pourront aider à anticiper cette période. Et ce, d’autant plus qu’il existe des similitudes entre les membres d’une même famille quant à la ménopause. Ensuite, il est essentiel d’écouter son corps et de ne pas minimiser les changements qu’il peut subir, qu’importe l’âge ou le temps qu’ils prennent à se manifester. Ainsi, dès que vous remarquez quelque chose, notez-le pour en parler avec votre médecin généraliste ou votre gynécologue. Des applications de suivi de la ménopause existent également pour aider les femmes ne pas passer à côté de symptômes et à archiver tous ces éléments. De la même façon, il est toujours recommandé de noter son cycle menstruel, c’est-à-dire le début mais aussi la durée des règles, le flux et les changements. Là aussi, il existe des applications pour cela. Enfin, en cas d’inquiétude, il faut toujours demander l’avis d’un professionnel de santé qui pourra vous conseiller sur les moyens d’atténuer les symptômes ou vous indiquer le bon spécialiste à consulter.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention