jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1490

Saraya (Kédougou) : La terreur des orpailleurs de Kharakhéna tombe

Les hommes de l’adjudant Laye Diaw Ndiaye, commandant la brigade de la gendarmerie de Saraya ont réussi un joli coup de filet. Ils ont mis fin aux agissements d’un redoutable agresseur qui hantait le sommeil des populations du village aurifère de Kharakhéna. 
 
Jakardian Diarra puisque c’est de lui qu’il s’agit, avait fait irruption dans la nuit du 23 décembre dernier avec un sabre dans le comptoir d’or d’un certain A. Sow. Il le menacera et s’emparera de son or avant de se fondre dans la nature. Ouf ! C’est le moins que l’on puisse dire pour qualifier le joli coup de filet réalisé par la gendarmerie de Saraya dans la région minière du pays. Ce, après avoir constaté une série de vols à main armée avec violences sur des citoyens dont le dernier en date remonte dans la nuit du 23 décembre dernier. 
Cette nuit-la, Zakarian Diarra, originaire du Mali et décrit comme un malfaiteur violent à la force herculéenne, à la tête d’une redoutable bande de malfrats, avait fait irruption dans le comptoir d’or du sieur A. Sow, commerçant établi au village aurifère de Kharakhéna dans le département de Saraya. Encagoulé et muni d’une machette, il menace le maitre des lieux avant de s’emparer de son or d’une importante quantité non estimée. Son forfait accompli, il bat en retraite sans être inquiété. Les populations qui n’en revenaient pas, avaient fini par lui tailler la réputation de bandit insaisissable. Les plaintes se multipliaient sur la table du commandant Laye Diaw Ndiaye. Ce dernier jure de détruite le mythe qui hante le sommeil des orpailleurs. Comme un crime n’est jamais parfait, la chance finit par lâcher le malfrat à la suite d’un dispositif de fouilles de case de fortune au village de Kharakhéna appelé Niafa». 
 
L’effort des pandores ne sera pas vain puisqu’il a permis de mettre la main sur l’agresseur Zakarian Diarra. Mis à nu et n’ayant plus d’échappatoire après avoir vu les preuves rassemblées par les gendarmes enquêteurs, il a fini par battre sa coulpe en reconnaissant sans ambages les faits à lui reprochés, avant de balancer les noms de ses acolytes qui ont réussi en un temps record à prendre la poudre d’escampette en direction du Mali voisin. Une perquisition effectuée chez le mis en cause, a permis de mettre la main sur une hache toute neuve, une tenue treillis et une cagoule. Il a été déféré mardi au parquet du tribunal de Grande instance de Kédougou au terme de sa durée légale de garde à vue. L’enquête se poursuit pour retrouver ses acolytes.   

Hôpital Le Dantec : l’État traîne une dette de 4 milliards

Les 35 fournisseurs de l’hôpital Aristide Le Dantec sont en colère. Regroupés au sein d’un collectif depuis l’annonce de la reconstruction de l’établissement de santé, ils réclament le règlement de leurs prestations. «Plus de 100 milliards de francs CFA sont prévus pour reconstruire cet hôpital alors qu’au même moment des fournisseurs courent toujours derrière 4 milliards de francs CFA et personne n’en parle», dénonce le président du collectif, Amadou Kane, qui était face à la presse hier, mercredi.

Ce dernier, repris par Bés Bi, révèle avoir contacté la directrice des établissements publics de santé, mais son courrier est resté lettre morte. «Nous sommes face à un mur et nous ne savons plus à quel saint nous vouer», alerte Amadou Kane.

Les fournisseurs de Le Dantec compte sur la ministre de la Santé pour rentrer dans leurs fonds. «Nous faisons partie de sa famille, rappelle le président du collectif des fournisseurs de l’établissement de santé. C’est notre ministre de tutelle, elle doit rencontrer les fournisseurs pour essayer de trouver des solutions.»

Clinique Mohamed V de Camberène : Les agents de santé en sit-in pour dénoncer leurs difficiles conditions de travail

Les agents de santé de la clinique ophtalmologique Mohamed V de la cité Fayçal de Camberène étaient en sit-in, ce matin. Ce, pour dénoncer leurs difficiles conditions de travail.

D’après eux, il n’y a eu aucune avancée significative dans cet établissement sanitaire et ce, depuis 12 ans. Ils comptent ainsi investir la rue jusqu’à avoir gain de cause. Sur les ondes d’iRadio, ces agents ont exprimé leur mécontentement.

Leur porte-parole, Soda Ndiaye, s’explique : «On a fait 12 ans dans cette clinique. On n’a pas eu d’avancement. On avait déposé une plateforme revendicative. Il nous dit que ce n’est pas lui qui décide et qu’il a  transmis aux autorités compétentes. On a fait un rappel ; sans succès. C’est pour cela qu’on est en mouvement pour que les gens qui sont en haut nous contactent et décident, puisqu’on ne sait pas à qui s’adresser», dit-elle.

 En plus d’être restés douze longues années sans avancement, ces travailleurs fustigent la suspension de leurs primes de fin d’année. «On avait une prime qu’on recevait tous les ans, depuis  2020. On a reçu l’année dernière. Cette année, en décembre, on n’a rien reçu. On part le voir, il nous dit qu’il n’a pas trouvé de notification. En tout cas, on restera en sit-in, le temps que les autorités nous contactent pour voir comment ça va se passer», précise-t-elle.

Abus de pouvoir, intimidation, licenciements : Dr Abdourahmane Diouf traîné à l’inspection du travail

Jadis symbole de probité dans la scène politique sénégalaise, la réputation du Dr Abdourahmane Diouf vient d’être écornée par une supposée affaire d’abus de pouvoir. Du moins, selon quatre de ses employés à l’Agence africaine pour le commerce et le développement (2ACD) qui l’ont attrait devant l’inspection du travail pour retards de paiement de salaire et autres abus. Les sieurs Abdoulaye Waly Faye, Franck Sanka, Ndèye Khady Guèye Fall et Fatoumata Ba, en conflit avec leur PDG Abdourahmane Diouf, ont joint Seneweb pour exposer le fond du problème. 
 
Tout serait parti d’un retard de paiement de deux mois de salaire (Septembre et octobre) qui a finalement viré à un licenciement pour motif économique mettant fin à 6 années de collaboration. « Nous restions parfois jusqu’au 20 du mois pour percevoir nos salaires. Puis nous sommes  restés deux mois entiers (septembre et octobre) sans salaire et par-dessus tout la direction ne nous avait donné aucune explication, ni communiqué là-dessus », narrent-ils. 
Leur tort aura été d’avoir osé interpeller la direction à ce propos, le 8 novembre dernier. A la place d’une réponse claire, ils ont reçu des remontrances. « Le 15 novembre, le PDG Abdourahmane Diouf nous a convoqué. Lors de cette réunion aux allures d’intimidation, il nous avait reproché le fait d’avoir évoqué le code du travail qui exige un paiement de salaire au plus tard le 8 de chaque mois. Il a également dit que nous l’avions trahi. Il avait usé de son pouvoir pour essayer de nous humilier devant les autres employés. Il nous avait fait savoir qu’il n’avait pas de quoi nous payer et qu’il ne savait pas quand est-ce qu’il pourra le faire», racontent ces employés que Dr Diouf a, par la suite, reçu séparément pour leur prodiguer comme conseil « d’aller chercher du  travail ailleurs ». Une façon, selon eux, de les « chasser de son entreprise » sans avoir à les licencier. 
 
« 2ACD n’a pas régularisé les cotisations sociales (Ipres et caisse de sécurité sociale) »
Flairant la supercherie, ces derniers ont porté plainte auprès de l’inspection du travail. « Nous avons mené notre petite enquête et nous nous sommes rendu compte que 2ACD n’a pas régularisé les cotisations sociales (Ipres caisse de sécurité sociale). Nous avons alors déposé une plainte et avons remis une convocation à la direction qui nous a, à son tour, convoqués à une réunion d’information qui devait se tenir le lendemain à 10h. Lors de cette réunion, le PDG en la personne de El Hadji Abdourahmane Diouf, nous faisait savoir qu’il allait licencier tout le personnel sans exception car 2ACD ne pouvait plus payer ses employés et que la procédure allait être engagée de suite auprès de l’inspection du travail», poursuivent-ils.
 
Devant l’inspecteur du travail, les deux parties en conflit ont conclu de négocier à l’amiable les termes de licenciement pour motif économique. Après leur avoir communiqué leurs soldes, le PDG Abdourahmane Diouf, d’après les plaignants, avait pris l’engagement de les payer, ainsi que les mois de novembre et décembre, en 3 mois « c’est-à-dire jusqu’au mois mars 2022 ». Une proposition rejetée par les quatre employés qui ont exigé le paiement de tous leurs droits à la réception de la lettre de licenciement pour motif économique. 
« Finalement nous avons reçu les salaires des mois de septembre et d’octobre en décembre. Le 27 décembre, nous avons reçu chacun nos lettres respectives de licenciement pour motif économique. Dans ces lettres étaient joints les certificats de travail ainsi que les “libellés” du solde de tout compte et un moratoire de 5 mois au lieu des 3 mois initialement proposés », dénoncent-ils exigeant le respect des termes de l’accord. 
 
Jointe par Seneweb, la directrice Aïssatou Diouf (sœur de Dr Diouf) n’a pas souhaité se prononcer sur le sujet. 

Saint-Louis : le corps d’un jeune talibé repêché dans le fleuve

Un jeune talibé d’environ 8 ans s’est noyé cet après-midi à Saint-Louis. Le drame s’est déroulé dans le petit  bras que les enfants ont l’habitude de fréquenter pour la baignade. Ce sont des personnes qui se trouvaient dans un hôtel face au fleuve, qui ont alerté les sapeurs-pompiers afin de porter secours à deux jeunes talibés qui avaient disparu dans les eaux du fleuve au quartier Sindoné (Sud). Arrivés sur les lieux, les sapeurs-pompiers ont repêche le corps sans vie de l’un d’eux.

 

Hôpital Le Dantec : l’État traîne une dette de 4 milliards

Les 35 fournisseurs de l’hôpital Aristide Le Dantec sont en colère. Regroupés au sein d’un collectif depuis l’annonce de la reconstruction de l’établissement de santé, ils réclament le règlement de leurs prestations. «Plus de 100 milliards de francs CFA sont prévus pour reconstruire cet hôpital alors qu’au même moment des fournisseurs courent toujours derrière 4 milliards de francs CFA et personne n’en parle», dénonce le président du collectif, Amadou Kane, qui était face à la presse hier, mercredi.

Ce dernier, repris par Bés Bi, révèle avoir contacté la directrice des établissements publics de santé, mais son courrier est resté lettre morte. «Nous sommes face à un mur et nous ne savons plus à quel saint nous vouer», alerte Amadou Kane.

Les fournisseurs de Le Dantec compte sur la ministre de la Santé pour rentrer dans leurs fonds. «Nous faisons partie de sa famille, rappelle le président du collectif des fournisseurs de l’établissement de santé. C’est notre ministre de tutelle, elle doit rencontrer les fournisseurs pour essayer de trouver des solutions.»

Pikine : un couple arrêté avec 13 cailloux de crack et 23 G de chanvre indien

Un couple de (concubins), qui s’activaient dans le trafic de drogue dure appelée crack et de l’usage de chanvre indien a été arrêté à Pikine. Les limiers ont saisi sur les deux amants 13 cailloux de crack et 25 grammes de chanvre indien.
Tout est parti d’une dénonciation d’un tiers relative à l’existence d’un réseau de trafic de drogue dans le quartier. Ainsi, les flics opérant en civil investissent le secteur et fouillent les coins et recoins dans le but de mettre le grappin sur les dealers en question.
Ils finissent par localiser la maison et font irruption sur les lieux. Suite à une fouille minutieuse, les policiers découvrent 13 cailloux de drogue dure appelée crack et 25 grammes de chanvre indien à la pesée.
Cuisinée, Salimata S, commerçante, cafouille et s’emmêle les pinceaux dans ses explications. Vu que cette dernière est en mauvaise posture, Issa C, agriculteur, vole à son secours, assume tout et revendique la paternité de toute la drogue ; une manière de l’épargner d’une éventuelle arrestation.
Tous les deux ont été malgré tout cueillis puis mis au frais. Ils devraient être présentés aujourd’hui pour association de malfaiteurs, trafic de drogue dure, détention et usage de chanvre indien.

Saint-Louis : le corps d’un jeune talibé repêché dans le fleuve

Un jeune talibé d’environ 8 ans s’est noyé cet après-midi à Saint-Louis. Le drame s’est déroulé dans le petit  bras que les enfants ont l’habitude de fréquenter pour la baignade. Ce sont des personnes qui se trouvaient dans un hôtel face au fleuve, qui ont alerté les sapeurs-pompiers afin de porter secours à deux jeunes talibés qui avaient disparu dans les eaux du fleuve au quartier Sindoné (Sud). Arrivés sur les lieux, les sapeurs-pompiers ont repêche le corps sans vie de l’un d’eux. 

Coopération UE/UA : Rencontre entre Macky Sall et Thierry Breton

Le chef de l’Etat, Macky Sall, a reçu jeudi à Tambacounda (est), le commissaire en charge de la politique industrielle à l’Union européenne (UE), Thierry Breton.
 
Il a reçu M. Breton, peu avant l’ouverture officielle de la  Journée nationale de l’élevage, qui se tient cette année dans la région orientale du Sénégal.
Sur ses pages sur les réseaux sociaux, le président Sall s’est réjoui de l’entretien “convivial [qu’il a eu avec M. Breton] sur des questions d’intérêt commun touchant à la coopération entre l’Union africaine (UA) et l’Union européenne”.
 
Le chef de l’Etat séjourne depuis lundi à Tambacounda, où il a pris ses quartiers à la gouvernance de la région orientale du Sénégal.
 
Il y a accordé des audiences à diverses personnalités, dont M. Breton, commissaire européen également en charge du marché intérieur, du tourisme, du numérique, de l’audiovisuel, de la défense et de l’espace. 

Affaire Amy Gniby : Ce que réclame le Pur, à quelques jours du verdict du procès !

 

Les deux députés du Parti de l’Unité et du Rassemblement (Pur), Massata Samb et Mamadou Niang, sont actuellement en prison. Ils attendent le verdict de leur procès fixé au 2 janvier prochain. Mais, leur parti veut qu’une contre-expertise soit faite sur le certificat médical de l’accusatrice. Car, dit Cheikh Tidiane Youm, leader de la formation politique, “ils ne doivent pas être condamnés sur du faux, sur un mensonge”.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention