jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1515

« Yewwi, une coalition de « voleurs » qui crie au voleur ! » (Massaly)

Khalifa Sall, Ousmane Sonko, Habib Sy, ils ont si tort, ces cyclothymiques ! Ils font partie de ces politiciens qui ravalent toujours ce qu’ils ont vomi pour se rassasier.

Khalifa Sall, son nom fait immédiatement penser à la caisse d’avance de la mairie de Dakar qu’il dirigeait ,avec une désinvolture si prédatrice qu’il fut condamné à 5 ans de prison pour avoir détourné 1,3 milliard FCfa. Il crie « Au voleur » contre les épinglés de la Cour des Comptes. Mais, il fait éclater de rire les uns, enragent les autres et aiguillonne le dédain que les Sénégalais ont des acteurs politiques de Yewwi, tous roublards, hâbleurs, esbrouffeurs et mythomanes. Khalifa Sall doit se soucier de son avenir politique, qui ne peut être relancé qu’au lendemain d’une amnistie votée à l’Assemblée nationale, suite à une condamnation dans l’affaire de la «Caisse d’avance».

Ousmane Sonko, lui, fond sous le poids du stress face à ses démêlés judiciaires dans l’affaire Adji Sarr, révélatrice de la «nuisette rouge» à la Cité Keur Gorgui, mais aussi des génuflexions articulaires, autour du jacuzzi à Sweet Beauty. Sonko qui donne à Yewwi une image abjecte, vile, indécente et répugnante, a été épinglé dans l’affaire des 94 milliards FCfa. En effet, Ousmane Sonko était en négociation entre les familles via les sociétés AFEX, ALTAS et Mercalex, pour réclamer 12 milliards F CFA de commissions. Ousmane Sonko avait des intérêts dans cette affaire, qu’il a essayée de cacher en déposant une plainte pour la politiser, à cacher son rôle dans le dossier et divertir l’opinion.

On est submergé par un sentiment de pitié et d’amertume profond, en voyant Habib Sy user ses pantalons sur les chaises de la permanence de Pastef, s’accompagner de jeunes qui ont l’âge de ses enfants, sans avoir la poigne et l’autorité pour prendre les choses en main, afin d’indiquer le chemin à suivre à cette jeunesse de l’opposition. Rappelons que Habib Sy a été traîné en justice par un nommé Alioune Badara Thiane, un homme d’affaires, qui lui avait cédé, en 2012, une voiture de marque Mercedes GL 450 immatriculée sous le numéro DK 1575 AN, au prix de 33 000 000 FCfa. A l’origine de cette brouille, après une avance de 5 à 7 millions F Cfa, l’ancien maire de Linguère reste devoir 28 millions FCfa au plaignant.

Selon “SourceA” qui rapporte l’information, à cela, s’ajoute un terrain de 340 mètres carrés que l’ancien ministre d’Etat avait filé à la partie civile et qui s’est révélé, malheureusement, litigieux. Il a été condamné, en première Instance, à payer 30 millions et 5 autres briques, en guise de dommages et intérêts.

Yewwi compte énormément de prédateurs dont les masques sont tombés et les forfaitures hideusement dénudées. Et ce sont ces pillards et fossoyeurs qui crient « Au voleur ! ». Qu’ils se taisent ou se taisent ! Yewwi est un cartel d’acteurs politiques sans projet de société. Leur dénominateur commun, c’est la haine qu’il nourrit contre le président de la République.

Mouhamadou Lamine Massaly,
Président du parti Union Pour une Nouvelle République (UNR)
PCA de l’ONFP

(Vidéo) Retour inattendu de Diarra sen P’tit Gallé, Réaction surprenante de Aïcha Koné «nieuwam bi dafa..»

(Vidéo) Retour inattendu de Diarra sen P’tit Gallé, Réaction surprenante de Aïcha Koné «nieuwam bi dafa..»

« Discours à la nation » : Yewwi Askan Wi annonce un concert de casseroles et décline un plan d’action

Communiqué partagé sur la page officiel Facebook de Cheikh Tidiane Youm, avant, pendant et après le « Discours à la nation » Yewwi Askan Wi décline son plan d’action qui sera marqué par un concert de casseroles au moment où le président Macky Sall va s’adresser aux Sénégalais.« Discours à la nation » : Yewwi Askan Wi annonce un concert de casseroles et décline un plan d’action

 

Selon son post, après la publication du Communiqué du 23 décembre, une grande majorité des citoyens a réagi pour suggérer la tenue du concert de casseroles le 31 décembre exactement au moment de l’adresse du président de la République à la Nation.

C’est ainsi que la Conférence des leaders de Yewwi Askan Wi s’est immédiatement réunie pour répondre à cette demande générale des Sénégalais, et réajuste son agenda comme suit :

– Mercredi 28 décembre 2022 : Conférence de presse de la Coalition Yewwi Askan WI ;

– Vendredi 30 décembre 2022 : Participation massive au rassemblement populaire de la Société civile à la Place de la nation ;

– Samedi 31 décembre 2022 : Concert de casseroles à 20 heures, coïncidant avec l’adresse du président de la République à la Nation ;

– Vendredi 06 janvier 2023 : Rassemblement national du peuple, partout au Sénégal et dans la diaspora.

 

Linguère : Le gendarme, la veuve et les millions

En 2017, l’adjudant-major, I. Diop, était chargé d’élucider les circonstances de la mort de l’ancien chef d’agence de la Sonatel de Linguère, I. Fall, trouvé mort torse nu, dans sa maison. Le journal Source A qui en parle ce matin ignore la suite de l’enquête. Mais, une chose est sûre : le gendarme déjà marié et père de 7 enfants, a fini par courtiser B. Sow, la veuve du défunt. Affecté à la Brigade de Sangalkam, I. Diop a voulu rompre, accuse cette dernière. Aujourd’hui, les ex-amants s’expliquent à la barre du Tribunal.
 
« Il m’a déclaré son amour en me promettant qu’il allait me marier », a confié la veuve. Face aux enquêteurs de la Section de recherches, elle a même juré qu’elle appuyait « financièrement » son amant de l’héritage laissé par son défunt mari. Payant, dit-elle, tantôt ses dettes auprès des commerçants de Linguère ou parfois à la Brigade de Louga.
La commerçante souligne que le gendarme lui « a demandé à plusieurs reprises de payer l’argent qu’il avait détourné à la Brigade en versant les sommes à celles de Louga. »
 
« Il m’avait même poussé à avorter d’une grossesse dont il est l’auteur. C’est lorsqu’il a été affecté à Dakar que j’ai compris qu’il profitait de moi », a-t-elle enfoncé.
 
C’est sa parole contre celle de son ex-amant. En face, le gendarme l’a trainée en justice pour escroquerie, charlatanisme et association de malfaiteurs, accusant son ex-amante et ses acolytes de lui avoir soutiré la somme de 52 millions F CFA.
Actuellement en mission en Gambie, I. Diop était représenté à la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar par son avocat, qui a demandé la somme de 50 millions F CFA en guise de dommages et intérêts.
 
B. Sow finalement relaxée devra payer la somme de 20 millions F CFA à l’adjudant-major.

Tambacounda : Une “niaarel” tente d’empoisonner son mari et sa coépouse en état de grossesse

Pour comprendre cette affaire de tentative d’assassinat sur son époux émigré M. D et sa coépouse D. M âgée de 19 ans, il faut remonter dans la nuit du 21 décembre dernier, date à laquelle le sieur M. D. émigré en France, s’est présenté dans les locaux du commissariat central de Tambacounda pour porter plainte contre sa 2e épouse, F. T âgée de 18 ans qu’il a mariée il y a juste 1 mois. Il l’accuse d’avoir tenté de l’empoisonner avec la “awo” D. M âgée de 19 ans, en état de grossesse très avancé.
 
Lors de son audition, l’époux a déclaré que la nuit des faits, sa deuxième femme a attendu l’absence de sa première épouse pour servir le dîner qu’elle n’a pas préparé. Mais à peine a-t-il commencé à manger avec la “awo” qu’il a senti un morceau de verre dans sa bouche. Il demande à sa deuxième épouse d’arrêter de manger. Surpris, il interpelle son épouse, qui n’a pas répondu. Le mari prend son courage à deux mains et se rend au commissariat central  pour se plaindre.
 
La ténacité et la perspicacité des enquêteurs font constater la présence de tessons de bouteille dans le repas, après y avoir versé de l’eau. Cueillie et conduite dans les locaux de la police, la deuxième épouse reconnait avoir mélangé des tessons de bouteille avec le dîner dans le but de tuer son mari et sa coépouse. Elle explique son geste par le fait que c’est une femme établie dans le Boundou qui lui a suggéré de tuer son mari et sa coépouse. L’enquête des limiers a permis de découvrir dans la valise de F. T un sachet rempli de tessons de bouteilles soigneusement dissimulés sous ses habits. Le mari et sa 1ere femme ont été évacués à Kaolack où ils été référés après un passage au centre hospitalier régional de Tambacounda. 
 
Déférée vendredi 23 décembre au parquet, la deuxième femme est inculpée pour les délits «de tentative d’assassinat», puis placée sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt et de correction de Tambacounda. Elle file vers une session de chambre criminelle. 

Chambre criminelle : le gérant de fast-food poignarde à mort son client pour un billet de 1000 F CFA

Gérant de fast-food, M. A. BA a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle pour homicide. Le Procureur avait requis 15 ans de prison pour assassinat. Les faits ont été requalifiés. 
 
Les faits remontent au 10 octobre 2019, relate L’Obs du jour. Armé d’un couteau, M. A. BA le plantera sur le torse de A. Ndiaye, lors d’une bagarre. La victime âgée de 21 ans succombera à la suite d’hémorragies internes et externes d’origine traumatiques, d’après le certificat de genre de mort.
 
Avant la bagarre, le mis en cause, qui a plaidé la légitime défense, a confié que A. Ndiaye était venu se plaindre auprès de lui car le caissier lui avait rendu un billet de 1000 F CFA en mauvais état. Or, le billet en question ne faisait pas partie des billets qui lui a rendus le caissier, jure BA.
 
Entendu en qualité de témoin, le propriétaire du fast-food, P. E. Faye, a confirmé les déclarations de son employé. Sauf qu’un autre témoin a soutenu le contraire, affirmant que BA s’est introduit à l’intérieur du fast-food pour récupérer le couteau.

Privées de terres cultivables depuis leur conflit avec Babacar Ngom Sédima, les populations de Ndingler investissent les rues de Dakar pour interpeller Macky Sall

Le directeur exécutif de la section d’Amnesty International (AI) Sénégal, Seydi Gassama, a participé à la marche pacifique de solidarité avec la population de Ndingler ce vendredi 23 décembre 2022. La marche a pris départ sur l’avenue Bourguiba au Rond-point FASTEF jusqu’au rond-point Jet d’eau. Elle avait pour but de décrire la situation périlleuse vécue ces populations depuis l’arrêté préfectoral leur interdisant toute activité agricole sur leurs propres terres à cause de leur conflit avec Babacar Ngom.

« Chers compatriotes d’ici et d’ailleurs, et citoyens du monde entier, nous voici aujourd’hui marcher sur les terres de la capitale pour réclamer les nôtres confisquées depuis deux longues années. Pour rappel, M Babacar Ngom propriétaire de la sedima était venu dans un premier temps le 7 février 2014, accompagné du maire sortant solliciter un partenariat avec les paysans de Ndingler. Je cite « je suis venu aujourd’hui accompagné de votre maire parce que j’ai une délibération de 300 ha dont les 80 ha sont situés dans le périmètre communal de Ndiaganiao », ont déclaré ces populations.

Avant de poursuivre: « Alors nous aimerons nouer une collaboration avec vous. Cinq ans plus tard, le monsieur brandit un titre foncier sans que les paysans en soient informés durant toute la procédure administrative. Dans l’illégalité, il décide quand même d’engager un bras de fer avec les paysans. Cette situation conflictuelle a conduit à une attaque dangereuse de ses ouvriers sur les paysans; ce qui avait poussé l’actuel préfet de Dakar, préfet de Mbour à l’époque des faits, de sortir un arrêté ».

Les populations de Ndingler, avec le soutien d’Amnesty International, d’affirmer: « Cet arrêté N° 059/DMB/P en date du 4 mai 2021, interdisait toute activité agricole sur la superficie d’une étendue de 80ha que nous exploitions des décennies avant l’installation de la Sedima. Ledit arrêté était pris de façon provisoire suite à l’agression des travailleurs de la sedima, plus d’une centaine contre trois paysans venus effectuer des travaux en pré-hivernage. Voici donc le contexte qui a prévalu à une interdiction à durée indéterminée. Nous voudrions préciser que cette interdiction n’affecte en rien la Sedima et à ses activités, qui continue d’exploiter son domaine au détriment des paysans de Ndingler qui assistent avec tristesse à ce spectacle désolant d’une perte de l’essentiel des terres qui leur restent aujourd’hui ».

Ainsi, disent-elles, « Nous marchons, vieux, jeunes, hommes et femmes pour dénoncer une injustice qui a trop duré, une injustice qui continue de semer le désarroi et provoquer l’enlisement de la pauvreté. Nous sommes abandonnés à nous-mêmes. Nos moyens de survie face aux difficultés auxquelles nous sommes confrontées sont très limités. Nous ne bénéficions pas des projets agricoles mis en œuvre par le gouvernement parce que nos terres sont fertiles. Alors, il faut les céder ou disparaitre. Nous marchons pour informer l’opinion qu’avec les villages voisins comme celui de Djilah, nous vivons en parfaite harmonie depuis la nuit des temps. Nos champs sont imbriqués et jamais il n’y a eu de difficultés entre les communautés encore moins un sentiment de haine entre nous ».

Elles ajoutent: « Nous marchons pour recouvrir nos terres et nous en demandons l’arbitrage du Président de la République la seule personne, qui aujourd’hui est capable de trouver issue définitive et heureuse à cette situation malheureuse qui a trop duré. Le président de la République détient à lui seul le pouvoir de restituer les terres aux ayants droit; ce qui sera une issue définitive, équitable et heureuse. SUNU SUF SUNU DUND SUNU SUF SUNU YAAKAR RENDEZ-NOUS NOS TERRES ! ».

Chargé d’enquêter sur la mort de l’ancien chef d’agence de la Sonatel de Linguère : le commandant de Brigade I. Diop courtise sa veuve sur fond d’une pluie de millions F Cfa

Censé élucider les circonstances de la mort de Ibrahima Fall, ancien chef d’agence de la Sonatel de Linguère, en 2017, l’adjudant-major Ibra Diop, présentement en mission en Gambie en tant que chef de détachement prévôtal, finira par courtiser la veuve laissée par le défunt. Si l’adjudant-major a profité de cette relation, Binta Sow, la veuve de Ibrahima Fall, encaissera de son amant d’importantes sommes d’argent estimées à 20 millions F Cfa. Mme Sow sera finalement trainée en justice pour escroquerie même si elle bénéficiera d’une relaxe. L’adjudant-major réclame, par ailleurs, la somme de 50 millions F Cfa comme dommages et intérêts..
Tout a commencé à Linguère, en 2017. Ibrahima Fall, alors chef d’agence de la SONATEL de la ville, est trouvé mort, torse nu, dans sa maison. C’est ainsi que le commandant de brigade de Linguère d’alors, Ibra Diop, est saisi pour mener l’enquête, afin d’élucider ce drame. La suite de cette enquête ? On l’ignore. Mais une chose est sûre. Une relation amoureuse  – le gendarme est marié et père de 07 enfants – est entreprise par Ibra Diop à l’endroit de la veuve de Ibrahima Fall. Selon les procès-verbaux soumis à nos soins, l’adjudant-major rendait visite à Binta Sow à son domicile, prétextant qu’il voulait assister la dame pour surmonter cette épreuve. De fil en aiguille, à en croire les PV, la veuve, à peine sortie de son veuvage, fréquentait à son tour la brigade de Linguère.
«Quelque temps après, il m’a déclaré son amour en me promettant qu’il allait me marier », confie Binta Sow aux agents enquêteurs de la Section de recherches. D’après Mme Sow, de l’héritage laissé par son défunt mari, elle appuyait financièrement son amant en payant tantôt ses dettes auprès des commerçants de Linguère ou parfois à la brigade de Louga. « Il m’a demandé à plusieurs reprises de payer l’argent qu’il avait détourné à la brigade en versant les sommes à celle de Louga », raconte la dame, présentée comme une commerçante.
«Il m’avait même poussée à avorter d’une grossesse dont il est l’auteur», explique la dame, finalement trainée en justice par l’adjudant-major Ibra Diop pour escroquerie, charlatanisme et association de malfaiteurs portant sur 20 millions F Cfa
En janvier 2018, l’adjudant-major Ibra Diop est affecté à la brigade de Sangalkam. Selon la dame, à Dakar, le commandant de brigade a voulu rompre leur relation. « C’est lorsqu’il a été affecté à Dakar que j’ai compris que Ibra Diop profitait de moi. Car, il avait coupé toute relation avec moi. J’avoue que le sieur Diop m’a déçue de par sa réaction. En plus, il m’avait même poussée à avorter d’une grossesse dont il est l’auteur », raconte Binta Sow sur Pv.
Toutefois, elle reconnaît avoir soutiré de l’argent, à hauteur de 20 millions F Cfa, à son amant en prétextant être malade, ou la maladie de ses enfants, ou parfois la mort de ses proches. Elle sera ainsi trainée en justice par l’adjudant-major Ibra Diop pour escroquerie, charlatanisme et association de malfaiteurs. « Je reconnais que c’est en voulant récupérer mon argent que j’ai réagi de la sorte. J’ai estimé ce que je lui dois à la somme de 20 millions F Cfa ».
L’adjudant-major Ibra Diop raconte sa mésaventure et accuse son ex-amante et ses ”acolytes” de lui avoir soutiré 52 millions F Cfa  
Seulement, c’est la parole de Binta Sow contre celle de l’adjudant-major Ibra Diop qui estime la somme à hauteur de 52 millions F Cfa. D’emblée, Ibra Diop, en mission en Gambie en tant que chef de détachement prévôtal, dira aux éléments enquêteurs qu’il s’est fait escroquer plusieurs fois par la dame ainsi que les proches de cette dernière. « Pour me faire chanter, elles ont scanné mon nom sur une copie du titre de Binta Sow avant de m’en envoyer une copie en me rassurant que c’était la volonté du défunt avant sa mort. Avec des rôles différents, les membres de l’association se succédaient jusqu’à Ourèye Thiam et Awa Sarr qui bien qu’étant déclarées malades auraient survécu à leur maladie (voir plainte). C’est ainsi qu’elles m’ont soutiré d’importantes sommes d’argent dont le total est estimé à 52 millions F Cfa », dira l’adjudant-major aux enquêteurs de la Section de recherches.
L’affaire atterrit devant le Tribunal des flagrants de Dakar où l’avocat de l’adjudant-major réclame à son ex 50 millions F Cfa comme dommages et intérêts et 20 millions F Cfa pour le chef d’escroquerie
Actuellement en Gambie, Ibra Diop a été représenté, hier, devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar par son avocat qui a demandé la somme de 50 millions F Cfa comme dommages et intérêts. Toutefois, à la barre, la prévenue Binta Sow a reconnu seulement la somme de 20 millions F Cfa. Le Parquet a requis que la dame soit déclarée coupable du chef d’escroquerie et condamnée à 6 mois dont 3 ferme. Après délibéré, Binta Sow bénéficie d’une relaxe mais devra payer la somme de 20 millions à l’adjudant-major.

Informations judiciaires demandées par la Cour des Comptes : voici la liste des coupables présumés

La Cour des comptes a demandé l’ouverture d’une information judiciaire contre 12 personnes dans son rapport sur la gestion du fonds Force Covid-19. Selon ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce vendredi, il s’agit de Lamine Diallo, Comptable sortant de l’établissement public de santé de niveau 1 de Kaffrine ; Ndiamé Ndiaye, directeur du Fonds d’Impulsion de la Microfinance ; Aliou Sow, directeur de l’Administration générale et de l’Equipement sortant du Ministère du Développement Communautaire, de l’Equité sociale et territoriale ; Mouhamadou Sène, directeur de l’Administration générale et de l’Equipement du Ministère de la Jeunesse ;  Madeleine Suzane LO, directeur de l’Administration générale et de l’Equipement du Ministère du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises ; Mouhamadou Bamba Amar, Aide comptable au Ministère du Développement industriel et des Petites et Moyennes Industries, Ndèye Aminata Loum Ndiaye, directeur de l’Administration générale et de l’Equipement dudit ministère et Moustapha Diop, gestionnaire du compte bancaire «fonds d’appui à la petite et moyenne entreprise» ouvert à la BOA, Djiby DIAKHATE, Directeur de l’Administration général et de l’Equipement du Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants, Léons Nzalley, directeur de l’Administration générale et de l’Equipement du Ministère de la Communication et de la Culture ; Alassane Diallo, Directeur de l’Administration et de l’Equipement du Ministère des Mines et de la Géologie.

Sonko – Adji Sarr : Amnesty international saisit Antoine Diome pour …

L’affaire prend de l’ampleur. Dr Al Fousseynou Gaye, le gynécologue ayant consulté l’accusatrice de Sonko, Adji Sarr, craint pour sa vie. « Il ne se passe pas une semaine, sans que son véhicule ne soit attaqué dans la circulation », a-t-il déjà alerté.
 
Lors du marathon budgétaire, à l’Assemblée nationale, le député Mamadou Lamine Diallo en avait parlé au ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Diome : « Dr Alfousseyni Gaye vit une situation difficile, depuis l’éclatement de l’affaire Sweet Beauty ».
Les Echos révèle dans sa livraison de ce samedi 24 décembre que le gynécologue a finalement saisi Amnesty international. Par la voix du Directeur exécutif de la section Sénégal, l’organisation de défense des droits de l’homme a demandé hier une protection de la part du ministère de l’Intérieur.
 
Le journal confie qu’une lettre devrait être adressée au premier flic du pays dans ce sens. Amnesty n’exclut pas d’attirer l’attention de la communauté internationale.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention