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Avenir de l’éducation au Sénégal : Le cours magistral du Pr. Souleymane Bachir Diagne

Le professeur Souleymane Bachir Diagne a animé, hier, une leçon inaugurale à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, à l’occasion de la célébration des 60 ans de la Fastef. Connu pour ses brillants exposés, le philosophe a servi un véritable cours magistral sur le thème ‘’Éduquer pour demain’’.
 
 Selon le Pr. Diagne, à cette époque où l’on parle de décolonisation dans plusieurs secteurs, il faut d’abord penser à trouver quelque chose qui serait mieux. “Il faut interroger le mot d’ordre de décoloniser, le savoir en demandant quel sens lui donner et à quoi ressemble un curriculum qui serait un curriculum décolonisé, car il est facile de dénoncer un canon pédagogique comme étant occidental et colonial, il est plus difficile de proposer celui qui doit le remplacer, celui auquel il faut éduquer et former pour demain”, a-t-il fait savoir.
“Il faut, évidemment, que nos langues africaines prennent toute leur place, c’est-à-dire la place qui doit être la leur dans notre système d’enseignement. Mais si nous considérons que les raisons pour lesquelles ces langues doivent être présentes, c’est qu’il nous faut répéter notre identité épistémologique, nous nous trompons totalement sur la signature même de l’éducation”, avertit Souleymane Bachir.   
Le professeur d’ajouter : ‘’On ne saurait mieux définir l’éducation comme décentrement. Ne vous enfermez pas dans votre identité, fut-elle celle de l’islam, ni dans votre langue, fut-elle celle de la révélation. Mais comprenez que l’éducation est sortie hors de chez soi pour mieux revenir en soi.” 

Plusieurs blesses lors d’une collision entre un camion et un bus Tata sur le pont de poste Thiaroye

Un accident de circulation s’est produit ce mercredi 21 décembre vers 11 heures à Poste Thiaroye. Un chauffeur de bus voulant éviter le bouchon sur le pont pour se frayer un chemin, a finalement heurté un camion transportant des briques. Les deux véhicules étaient sur le même axe, Rufisque-Dakar. 
Alertés, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour évacuer les blessés.

Fastef : Les premiers diplômes signés par le recteur remis aux 652 sortants

Ils sont au nombre de 652 enseignants du moyen et du secondaire, des corps de contrôle de l’éducation à recevoir leur diplôme, hier, lors de la célébration des soixante ans de la Faculté des sciences et technologies de l’éducation et de la formation (Fastef). Ils sont aussi la première promotion des sortants de la Fastef à recevoir des diplômes signés par le recteur de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad).
 
Parmi ces récipiendaires, on compte 24 professeurs de collège d’enseignement moyen et général, 322 de l’enseignement moyen, 233 de l’enseignement secondaire, 32 inspecteurs de l’enseignement élémentaire et 41 inspecteurs de l’enseignement moyen secondaire formés en initial et en présentiel.  

Kédougou / « Agissements » de Sored Mines : Le Maire de Khossanto poursuivi pour dénonciation calomnieuse

Convoqué par la Brigade de gendarmerie de Khossanto pour être entendu dans l’affaire l’opposant à la société de recherche et de développement des mines, le maire de Khossanto est ressorti au bout de trente minutes de son face-à-face avec le commandant de la brigade de gendarmerie territoriale de Khossanto. Mamady Cissokho  confie à Seneweb que l’audition n’aura finalement pas lieu car la plainte aurait été retirée.
 
En présence des populations du Bélédougou sorties massivement l’accompagner jusqu’à la brigade de gendarmerie, il soutient que la société Sored Mines établie à Khossanto serait en train d’exploiter leur ressource en cachette. Et Mamady Cissokho d’ajouter : “Je n’ai pas été entendu parce qu’il y a eu renonciation et les gens savent que nous sommes dans nos droits. Nous sommes dans une république, il faut savoir respecter les citoyens. Ils ont voulu que je reçoive la commission conjointe dépêchée par le ministre des Mines séparément avec le préfet du département de Saraya, ce qui n’est conforme aux directives du ministre. Si je comprends bien, après mon audition, on devait se rendre sur le site. Ils ont refusé et j’ai dis qu’à partir de ce moment, je ne recevrai personne “, tient-il à expliquer. 
 
Il faut rappeler que suite à une lettre adressée par le maire de la commune de Khossanto dénonçant les activités de Sored Mines, l’administrateur général de ladite société avait saisi les autorités judiciaires pour qu’il apporte les preuves de ses allégations. Ce qui lui a valu cette plainte à la gendarmerie de Khossanto. 
Aujourd’hui, les mouvements de contestations prennent de plus en plus d’ampleur dans les zones minières particulièrement à  Sabodala où hier des jeunes qui tenaient un point de presse  pour  dénoncer le non-respect des accords liés au déplacement  des villages de Sabodala et de Madina Sabodala vers le nouveau  site, ont été  dispersés à coup de grenades lacrymogènes. Le correspondant de l’APS et le cameraman de Kédougou 7 avaient été interpellés par les gendarmes puis libérés par la suite. Une dizaine de personnes interpellées au cours de cette manifestation sont toujours en garde à vue au poste de gendarmerie de Sabodala. 
 
Ce vent de contestations qui souffle en ce moment sur les différents sites miniers  doit faire l’objet d’une prise en charge réelle des préoccupations des populations.

Kédougou / « Agissements » de Sored Mines : Le Maire de Khossanto poursuivi pour dénonciation calomnieuse

Convoqué par la Brigade de gendarmerie de Khossanto pour être entendu dans l’affaire l’opposant à la société de recherche et de développement des mines, le maire de Khossanto est ressorti au bout de trente minutes de son face-à-face avec le commandant de la brigade de gendarmerie territoriale de Khossanto. Mamady Cissokho  confie à Seneweb que l’audition n’aura finalement pas lieu car la plainte aurait été retirée.
 
En présence des populations du Bélédougou sorties massivement l’accompagner jusqu’à la brigade de gendarmerie, il soutient que la société Sored Mines établie à Khossanto serait en train d’exploiter leur ressource en cachette. Et Mamady Cissokho d’ajouter : “Je n’ai pas été entendu parce qu’il y a eu renonciation et les gens savent que nous sommes dans nos droits. Nous sommes dans une république, il faut savoir respecter les citoyens. Ils ont voulu que je reçoive la commission conjointe dépêchée par le ministre des Mines séparément avec le préfet du département de Saraya, ce qui n’est conforme aux directives du ministre. Si je comprends bien, après mon audition, on devait se rendre sur le site. Ils ont refusé et j’ai dis qu’à partir de ce moment, je ne recevrai personne “, tient-il à expliquer. 
Il faut rappeler que suite à une lettre adressée par le maire de la commune de Khossanto dénonçant les activités de Sored Mines, l’administrateur général de ladite société avait saisi les autorités judiciaires pour qu’il apporte les preuves de ses allégations. Ce qui lui a valu cette plainte à la gendarmerie de Khossanto. 
 
Aujourd’hui, les mouvements de contestations prennent de plus en plus d’ampleur dans les zones minières particulièrement à  Sabodala où hier des jeunes qui tenaient un point de presse  pour  dénoncer le non-respect des accords liés au déplacement  des villages de Sabodala et de Madina Sabodala vers le nouveau  site, ont été  dispersés à coup de grenades lacrymogènes. Le correspondant de l’APS et le cameraman de Kédougou 7 avaient été interpellés par les gendarmes puis libérés par la suite. Une dizaine de personnes interpellées au cours de cette manifestation sont toujours en garde à vue au poste de gendarmerie de Sabodala. 
 
Ce vent de contestations qui souffle en ce moment sur les différents sites miniers  doit faire l’objet d’une prise en charge réelle des préoccupations des populations.

Tribunal de Dakar : en plein procès, un drogué accuse un juge de fumer du yamba

Dans un dossier consacré ce mercredi aux histoires insolites lors des audiences des tribunaux, L’Observateur a recueilli les témoignages d’avocats et de magistrats. Ces derniers sont revenus sur de croustillants épisodes dont ils ont été les témoins durant ces procès.

Celui rapporté par Me Baboucar Cissé est renversant. Il s’est déroulé en 2005 devant le tribunal des flagrants délits de Dakar. Il concernait un jeune homme qui avait l’habitude de comparer pour le même chef : détention et usage de chanvre indien.

Appelé à la barre, le mis en cause reçoit un savon du juge, d’après Me Baboucar Cissé, qui cite le magistrat : «Qu’est-ce qui t’empêche d’arrêter de fumer du chanvre indien ?» Réponse du prévenu : «Monsieur le juge, vous ne savez pas décidément pas ce qui se passe dans ce pays. Au Sénégal, tout le monde fume du chanvre indien.»

Le juge marque son étonnement : «Ah bon ?» Le jeune drogué embraye et, sans sourciller, balance : «Même vous, vous fumez du chanvre indien.»

Le président de l’audience manque de s’étrangler, d’après le récit de l’avocat. «Ah bon ?», tonne-t-il avant d’inviter le procureur à prononcer ses réquisitions. Le chef du parquet demande un an ferme. Une peine doublée par le juge outré avec la recommandation suivante au condamné : «Va te reposer.»

Gambie: Une tentative de coup d’État déjouée

Le gouvernement de la Gambie a déclaré mercredi qu’une tentative de coup d’Etat militaire avait été déjouée la veille et quatre soldats arrêtés.
 
Le gouvernement du plus petit Etat d’Afrique continentale a assuré dans un communiqué que la situation était “totalement sous contrôle”.
 
Aucune confirmation n’a été obtenue d’autre source que le communiqué gouvernemental.
 
De rares témoignages ont fait état de mouvements de soldats autour du siège de la présidence dans le centre de la capitale Banjul mardi soir, et les rumeurs ont circulé durant la nuit sur une tentative de coup de force dans ce pays ayant accédé en 2017 seulement à un fragile régime démocratique après plus de vingt années de dictature sous Yahya Jammeh.
 
Ce serait la dernière tentative de coup de force en date en Afrique de l’Ouest depuis 2020, après deux putsch réussis au Mali et au Burkina Faso et un autre en Guinée, et une tentative de fait accompli en Guinée-Bissau.

Son album, You et Lamine Faye, mystique au cimetière de Pikine… Pape Diouf cash!

«Écoutez». C’est le cadeau de fin d’année que Pape Diouf offre aux sénégalais. Le leader de la «Génération consciente» propose, dans ce nouvel album, 16 titres envoûtants à ses inconditionnels. Dans cette interviews accordé à iGFM, l’artiste évoque son nouveau produit, ses rapports avec Lamine Faye, Youssou Ndour et Cie., L’artiste en a profité pour évoquer l’indiscipline dans le pays, les pratiques mystique au cimetière de Pikine etc.

Cour d’appel de Tambacounda : le meurtrier de Binta Camara devant la barre

La Cour d’appel de Tambacounda va statuer, ce mercredi, sur l’affaire du meurtre de Bineta Camara. Condamné à la réclusion criminelle pour  « tentative de viol et meurtre sur la personne de Bineta Camara », par le tribunal de grande instance de ladite localité, l’accusé Pape Aliou Fall avait interjeté appel. Lors du procès qui s’est ouvert ce matin, les avocats de la défense ont, dès l’ouverture du procès, soulevé des exceptions de nullité de procédure. Mais l’avocat général, Soyibou Sy et les deux avocats de la partie civile ont rejeté lesdites exceptions. Selon la Rfm, le meurtrier Pape Aliou Fall est en train de répondre aux questions du président de la Cour, Souleymane Téliko. Nous y reviendrons!

Gambie: Une tentative de coup d’État déjouée

Le gouvernement de la Gambie a déclaré mercredi qu’une tentative de coup d’Etat militaire avait été déjouée la veille et quatre soldats arrêtés.
 
Le gouvernement du plus petit Etat d’Afrique continentale a assuré dans un communiqué que la situation était “totalement sous contrôle”.
 
Aucune confirmation n’a été obtenue d’autre source que le communiqué gouvernemental.
 
De rares témoignages ont fait état de mouvements de soldats autour du siège de la présidence dans le centre de la capitale Banjul mardi soir, et les rumeurs ont circulé durant la nuit sur une tentative de coup de force dans ce pays ayant accédé en 2017 seulement à un fragile régime démocratique après plus de vingt années de dictature sous Yahya Jammeh.
 
Ce serait la dernière tentative de coup de force en date en Afrique de l’Ouest depuis 2020, après deux putsch réussis au Mali et au Burkina Faso et un autre en Guinée, et une tentative de fait accompli en Guinée-Bissau.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention