L’Union européenne (UE) prévoit de durcir les conditions d’obtention du visa. Ces restrictions vont concerner le Sénégal et la Gambie. « La commission de l’UE a adopté des propositions visant à introduire des mesures de visa pour les détenteurs de passeports du Sénégal et de la Gambie comme levier pour pousser ces deux pays à coopérer davantage sur la réadmission de leurs ressortissants qui séjournent actuellement illégalement dans l’un des pays de l’UE », a appris Vox populi du site Shengenvisainfo.com.
D’après la source, le pays qui ne coopère pas pour reprendre ses citoyens en séjour irrégulier sera soumis à des demandes plus strictes dont la suspension de la délivrance de visa à entrées multiples, ainsi que l’exonération facultative des frais de visa pour les titulaires de passeport diplomatique ou de service. La décision a été prise le 9 novembre dernier.
Espace Schengen : Vers des restrictions de visa pour le Sénégal et la Gambie
Le Président Macky Sall aux soldats “Le bon soldat se méfiera toujours de l’appel des sirènes et de l’exposition aux médias et réseaux sociaux qui flattent son…”
Le président de la République a rendu un vibrant hommage aux soldats Sénégalais, ce vendredi, lors de célébration de la Journée des Forces Armées. Une occasion saisie par Macky Sall pour mettre en garde la grande muette contre l’exposition aux médias et aux réseaux sociaux. « Le bon soldat se méfiera toujours de l’appel des sirènes et de l’exposition aux médias et réseaux sociaux qui flattent son égo et brouillent ses références. Le bon soldat acceptera toujours les servitudes que lui imposent les charges de son sacerdoce militaire. Le bon soldat obéira toujours à ses supérieurs pour apprendre à commander. Le bon soldat inspirera toujours ses subordonnés par le respect de l’exemple et non de la peur ; parce qu’il sait que c’est le respect et non la peur qui nourrit le devoir d’obéissance et allie les exigences du commandement aux nécessités de la fraternité d’armes et de la vie en communauté », a listé le président lors de son discours.
Covid-19 : les mesures de contrôles aux frontières levées
Les mesures de contrôle sanitaire aux frontières dans le contexte de la pandémie Covid19 sont maintenant levées. Selon le ministère de la Santé et de l’Action sociale, «cette décision est due à la tendance baissière des cas de Covid19 notée au Sénégal». Toutefois, les autorités sanitaires précisent que «les mesures de surveillance épidémiologique sont renforcées à tous les niveaux de la pyramide sanitaire nationale».
Achat de crédit : Orange débloque Wave
Désormais, il est redevenu possible d’acheter du crédit Orange à partir de la plateforme Wave.
Au moment où la tornade bleue a démarré ses activités en force, elle a été secouée par ses concurrents qui ne veulent plus coopérer. En effet, Free Sénégal a catégoriquement bloqué l’achat de crédit à partir de l’application de Wave. Idem pour Orange. Mais, il est désormais possible d’acheter directement du crédit Orange, via l’application Wave. Orange annonce dans un communiqué que ceci sera prochainement possible via l’application K-Pay.
« Acheter du crédit quelle que soit votre application mobile money ! Vous pouvez désormais recharger du crédit mobile Orange via Wave, bientôt K-Pay et d’autres à venir… Wave Digital Finances a en effet signé le contrat proposé par Sonatel SA et permettant à nos clients de disposer de la recharge de crédit Orange via son application mobile », a annoncé Orange.
A rappeler que Wave avait saisi l’ARTP, qui avait demandé à Sonatel : ” d’appliquer, sans réserve, les principes d’égalité et de traitement, de transparence et de non-discrimination, en accordant à WAVE MOBILE MONEY les mêmes conditions que celles appliquées à ses filiales ou ses associés “.
Tamba – Des récidivistes écopent de 3 mois de prison avec sursis : Les 4 braconniers avaient abattu une lionne
Habitués à abattre les espèces protégées, Boubacar Ba, Oumar Ba, Siradio Sidibé Jallow et Sakhoba Simakha ont encore été sanctionnés par la Justice, à Tambacounda. Ce, après leur interpellation le 22 octobre dernier. Ces quatre braconniers ont en effet écopé d’une peine de «3 mois de prison avec sursis pour braconnage et trafic de peaux d’animaux». C’est ce qu’on peut lire à travers les lignes d’un communiqué du projet Eagle Sénégal, rendu public hier. La faute à ce quatuor de délinquants : avoir «abattu une lionne dans la périphérie du parc. Les investigations, menées de concert entre les parcs nationaux, l’Ong Panthera et le projet Eagle, ont permis d’apporter suffisamment d’éléments au procureur de Tambacounda, qui a aussitôt saisi la Brigade de recherches de la gendarmerie pour interpeller les présumés braconniers dans leur cachette. Ce qu’ils réussirent».
Lors de l’arrestation des futurs condamnés, «une peau de ratel, un mammifère assez méconnu des Sénégalais dont le repas préféré est le miel, est retrouvé chez les présumés braconniers. Ce sont aussi plusieurs fusils et munitions dont un fusil de guerre, qui ont été saisis», souligne le communiqué du projet Eagle Sénégal.
L’opération ayant conduit à l’interpellation des quatre braconniers a permis de se rendre compte de «l’importance du commerce illicite des lions au Sénégal, des grands félins en général, malgré les efforts de conservation des autorités environnementales nationales et internationales au Sénégal». Poussant ainsi ces acteurs de la lutte contre la criminalité faunique à soutenir : «Le Sénégal oriental constitue en définitive, un haut-lieu de trafic et d’échange de peaux de lions et de léopards.» Suffisant donc pour en déduire : «L’abattage de cette lionne viendrait encore plus exacerber ce fléau puisque les deux lionceaux, qui se seraient retrouvés seuls dans la brousse, sans protection de leur mère, sont voués à une mort certaine.»
Déjà «connus des parcs nationaux» et considérés comme des «récidivistes», ces quatre braconniers avaient déjà fait l’objet d’une condamnation à une peine qui était assortie du sursis de 2 ans. Et les délits, qui leur avaient valu d’être sanctionnés par le juge, ont pour noms : «détention, circulation, tentative de commercialisation de 2 peaux de léopard et plusieurs pattes d’oryctérope (2 espèces intégralement protégées) dans le Parc national de Niokolo Koba (Pnnk)». C’est ce qui a amené l’Ong américaine Panthera, installée à Tambacounda dont la mission principale est de préserver les derniers lions d’Afrique de l’Ouest, à demander et obtenir l’appui du projet Eagle Sénégal «pour les aider à retrouver les auteurs d’un crime faunique ignoble».
«Menacée en Afrique, vulnérable et en danger critique d’extinction», la lionne, rappelle le projet Eagle Sénégal, «est une espèce intégralement protégée aux termes de l’article D36 du décret n°86-844 du 14 juillet 1986 portant Code de la chasse et de la faune».
Inscrit sur la liste rouge de l’Uicn (Union internationale pour la protection de la nature), le lion «bénéficie d’une protection dans l’Annexe II de la Cites. Le Sénégal possède une grande partie des derniers lions d’Afrique de l’Ouest. D’où l’impératif et l’immense responsabilité de les protéger jalousement».
Le mécanicien vole une moto du commissariat de Grand-Dakar
Samba N. a passé hier, une mauvaise journée. Le mécanicien qui n’exerçait pas son métier dans les règles de l’art, a été cité dans deux procédures distinctes. Attrait à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar, Samba N. avait été chargé de réparer une moto, appartenant au commissariat de Grand-Dakar où il avait l’habitude de fréquenter. Mais, il a préféré écouler le deux-roues. C’est ainsi qu’après plusieurs mises en demeure, le prévenu a tenté de faire croire aux flics que le scooter a été dérobé.
Baisse des produits Alimentaires : Les commerçants à l’écoute des fournisseurs
Le président de la République Macky Sall a annoncé une baisse de certaines denrées comme le sucre, le riz, le lait, l’huile, viande, etc. Les commerçants veulent bien entamer la baisse, mais demandent aux fournisseurs d’appliquer d’abord la baisse.
La baisse du prix de certaines denrées alimentaires avait été annoncée par le président de la République, Macky Sall. En conseil des ministres mercredi, il a demandé une application « stricte » des mesures, de concert avec le Ministre du Commerce. Quelques jours après l’annonce, en attendant le décret d’application, les commerçants ont réagi à la nouvelle qui constituait le débat au niveau des lieux de commerce. C’est le cas au niveau du marché de Fass où Pape Diop tient sa boutique.
Répondant aux questions sur l’application de la mesure, il répond en ces termes : « Il y a quelques semaines, une baisse avait été annoncée, mais elle n’a pas été appliquée. Mais ce n’était pas de notre faute, vu que l’ordre n’avait pas été appliqué par les fournisseurs ! Donc si cette fois-ci, c’est le président de la République qui prend tout en main, les fournisseurs seront obligés de baisser le prix des produits alimentaires. » Mor Samba est d’avis que cette baisse sera effective. « Nous espérons que cette baisse soit bientôt appliquée par les fournisseurs, car les produits alimentaires sont vraiment chers.
Donc, il faut libérer le reste de nos marchandises afin de pouvoir appliquer la baisse », espère-t-il. D’autres commerçants restent pessimistes bien qu’ils soient au courant de la nouvelle. C’est le cas de Baye Ndiaye, commerçant au marché Fass. A l’en croire, la baisse des produits alimentaires commence auprès des fournisseurs d’abord. « Si cela est fait alors, nous allons procéder à la diminution des produits alimentaires. Nous sommes aussi fatigués que les clients car la vie est chère. Nul n’est épargné » avance le grossiste. Tous les commerçants indexent les fournisseurs qui, selon eux, « doivent jouer le jeu. »
Avec REWMI
Village de Diokoul: 03 Personnes périssent dans l’explosion d’un gaz
Un Drame s’est produit au village de Diokoul situé à 8 km de Kébémer. En effet un incendie d’une rare violence a décimé toute une famille plaçant les habitants du village dans l’émoi et la consternation.
Une explosion d’une bonbonne de gaz a occasionné la mort d’une jeune dame, de sa fillette âgée de six mois et sa de bonne. Elles ont toutes péri à la suite de l’incident. Selon les informations, la bonne préparait du thé avec une bonbonne de gaz. Et c’est une fuite de gaz qui serait à l’origine de l’explosion.
La fillette est décédée le mardi 01 Novembre, suivie de la bonne, qui a rendu l’âme le vendredi 4 novembre. La dame C. Fall, elle, a finalement succombé à ses blessures dans une clinique privée à Dakar, le mardi 9 novembre.
Mondial 2022 : Aliou Cissé publie sa liste et convoque Sadio Mané
Le sélectionneur du Sénégal, Aliou Cissé, a dévoilé ce vendredi sa liste de 26 joueurs retenus pour la Coupe du monde 2022. La principale information réside en la présence de Sadio Mané ! Bien que victime d’une blessure à la tête du péroné survenue mardi contre le Werder Brême (6-1), l’ailier du Bayern Munich figure bien dans le groupe.
Le sélectionneur du Sénégal, Aliou Cissé, a dévoilé ce vendredi sa liste de 26 joueurs retenus pour la Coupe du monde 2022. La principale information réside en la présence de Sadio Mané ! Bien que victime d’une blessure à la tête du péroné survenue mardi contre le Werder Brême (6-1), l’ailier du Bayern Munich figure bien dans le groupe.
En l’absence de Bouna Sarr, forfait, Cissé a fait confiance à Formose Mendy et Mustapha Name dans le couloir droit plutôt qu’à Noah Fadiga, qui a déclaré forfait sur blessure lors de sa première convocation en septembre. Appelés pour la première fois à ce moment-là, Ismail Jakobs, Pathé Ciss et Nicolas Jackson se font une place dans cette liste.
Les cadres Edouard Mendy, Kalildou Koulibaly, Gana Gueye ou encore Ismaila Sarr sont tous présents, à l’inverse de Baldé Keita, est indisponible car suspendu pour violation d’un contrôle antidopage.
Au Qatar, les champions d’Afrique affronteront les Pays-Bas (21 novembre), le Qatar (25 novembre) et l’Equateur (29 novembre) dans le groupe A.
- Gardiens
- Edouard Mendy
- Seny Dieng
- Alfred Gomis
- Défenseurs
- Kalidou Koulibaly
- Abdou Diallo
- Pape Abou Cissé
- Ismaïl Jakobs
- Fodé Ballo Touré
- Youssouf Sabaly
- Formose Mendy
- Milieux
- Pathé Ciss
- Moustapha Name
- Cheikhou Kouyaté
- Pape Matar Sarr
- Pape Guèye
- Nampalys Mendy
- Idrissa Gana Guèye
- Loum Ndiaye
- Attaquants
- Krépin Diatta
- Sadio Mané
- Ismaila Sarr
- Iliman Ndiaye
- Boulaye Dia
- Famara Diédhiou
- Bamba Dieng
- Nicolas Jackson
Carrière solo, divorce: les confessions de Mia Guissé
C’est le 10 novembre à 17 heures qu’elle a officialisé le début de sa carrière en solo, après la fin du duo qu’elle formait avec son ex-époux No-Face. Le groupe «Maabo», c’est de l’histoire ancienne, tout comme leur couple. A l’occasion de la sortie de son titre «Idda», Mia Guissé a mis les pieds dans le plat et a accepté de parler, pour la première fois, de son divorce et des blessures qu’elle a vécues dans son ménage dans un entretien accordé à nos confrères du journal L’Observateur
Aujourd’hui votre premier single en solo depuis votre séparation avec votre ex-époux est disponible. Peut-on affir- mer que c’est un nouveau tournant dans votre carrière ?
Je dirais plutôt une continuité, en réalité. J’ai toujours eu beaucoup à offrir en tant qu’ar- tiste, mais comme j’étais dans un groupe, il fallait que je me conforme à la ligne musicale. Néanmoins, j’espère que ce sera un énorme bond en avant pour ma carrière musicale.
Le titre « Idda » est en lui-même assez singulier, dans le sens où il évoque, le délai de viduité à laquelle une femme doit se soumettre après un divorce. Est-ce un choix délibéré de votre part ou le fruit du hasard?
«Idda» est pour moi la fin d’un épisode et le commencement d’un tout. Evidemment, c’est aussi la fin de la période de viduité, mais pour moi, il symbolise le deuil d’un passé révolu. C’est une libération et, pour moi, le début de l’affirmation de ma personnalité en tant qu’artiste et en tant que femme.
«IL A FALLU QUE JE ME REMETTE D’ABORD ET PANSE MES BLESSURES»
Pouvez-vous nous expliquer plus en détails, comment s’est passé la réalisation de cette chanson? Était-ce facile pour vous de vous remettre en selle et d’élaborer ce morceau ?
Alors, ce n’était pas évident du tout, il a fallu que je me remette d’abord et panse mes blessures. Mais, heureusement, j’étais très bien entourée par ma famille et mes proches. Ils m’ont soutenue et poussée de l’avant et, l’amour de la musique aidant, je me suis vite remise en selle (rires). C’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Vous savez, nous, artistes, nous exprimons nos sentiments par notre art. Personnellement, c’est ma meilleure manière de communiquer. Mes connaissances, qui me suivaient de loin, m’ont approchée et aidée. Mon grand frère s’est chargé de me produire et ça s’est fait très vite. AlHamdulilah.
Annonce-t-il d’autres productions de ce genre, pourquoi pas un album ? Si oui, ce sera pour quand ?
Evidemment, on ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Ce single est le premier, un autre sui- vra bientôt et on ira vers cet album que tous mes fans attendent. On travaille déjà dessus et je vous promets du lourd, Inchallah.
Sous quel registre musical, Mia compte-t-elle s’imposer? Allez-vous vous cantonner à un style bien particulier?
Oh que non (rires)! Vous savez, au temps je faisais même du Rap, du Jazz… Mais, comme je vous l’ai dit au début, j’étais dans’un groupe et je me suis restreinte à cela. Je compte m’af- firmer et chanter en tant que Mia et leur mon- trer une autre facette différente de celle à à laquelle ils sont habitués. J’aimerais faire des duos avec des artistes sénégalais et à l’interna- tional également.
Le paysage musical sénégalais est assez fourni. Entre les jeunes talents qui éclosent et les stars de renommée, pen- pouvoir tirer votre épingle du jeu?
Il y a de la place pour tout le monde. J’ai tou- jours encouragé mes jeunes frères et sœurs et salué le talent de mes aînés. La scène musicale sénégalaise est bien large (rires). Et je pens que je me suis quand même bien affirmée e tant qu’artiste, et je compte bien persévérer.
Quid de votre activité dans la couture Est-elle toujours d’actualité?
Bien sûr, vous verrez d’ailleurs que toutes les tenues portées dans le clip, sont de «Maabo Couture». En dehors de la passion que j’ai pour le stylisme, j’emploie des gens que je ne peux pas me permettre de laisser tomber aujourd’hui. Nous continuons la confection des tenues dessinées avec design et amour. Je compte bientôt participer à un festival de la mode dans la sous-région.
«J’AI VÉCU SOUS LA HOULETTE DE MON EX-MARI ET ME CONFORMAIS À SES DÉCISIONS»
Travaillez-vous seule ou vous êtes en collaboration avec un label de production?
Oui je travaille avec «PDG ARTS» qui est le label de production de mon grand frère. Il l’avait mis en stand-by depuis années, mais il l’a réactualisé pour moi exceptionnellement.
Ces derniers jours, on a découvert une Mia au top de sa forme, poster régulièrement des vidéos d’elle sur les réseaux sociaux. Comme si vous viviez une seconde jeunesse. Est-ce le cas? Que voulez-vous montrer par-là?
Je ne montre rien, haha! Je continue de vivre et d’évoluer. Si vous avez bien suivi, vous avez dû voir que ces vidéos sont des publicités pour des personnes ou entreprises, du boulot en quelque sorte. Vous savez, étant mariée, j’étais assujettie à beaucoup de restrictions, même quand il s’agissait de travail. Là, je me retrouve dans une situation où je peux rire, discuter, vivre sans avoir peur. Cette jeunesse dont vous parlez, je ne l’ai pas vécue, je me suis mariée très jeune et après, j’ai vécu sous la houlette de mon ex-mari et me conformais à ses décisions. Je n’ai rien à prouver, ni montrer à personne, je fais plaisir à mes fans et travaille par la même occasion, et je le fais par le canal des réseaux sociaux. C’est juste cela.
«IL N’Y A PLUS DE « MAABO ». AVEC NO-FACE, NOUS AVONS DIVORCÉ À TROIS REPRISES, MAIS IL RESTE LE PÈRE DE MA FILLE. C’EST LA SEULE RELATION QUE JE PEUX AVOIR AVEC LUI»
Quand est-il du groupe «Maabo» et de votre relation avec No-Face ? Y a-t-il des chances qu’on puisse voir à nouveau ce duo tant adulé des Sénégalais sur une scène ou à travers un clip?
Il n’y a plus de groupe « Maabo ». C’est de l’histoire ancienne. Quant à No-Face, nous avons déjà divorcé à trois reprises, nous sommes les deux Musulmans et suivons les prescriptions de notre religion. Néanmoins, il reste le père de ma fille, c’est la seule relation que je peux dorénavant avoir avec lui. Un duo avec lui n’est pas, pour le moment, envisageable. Je tiens à évoluer dans un environnement serein et sain, mais il reste un artiste sénégalais et il ne faut jamais dire jamais.
A vous entendre parler, on sent de pro- fondes blessures, des brimades. Dans un passé récent, il a été rapporté que vous subissiez des violences conjugales, que vous étiez une femme bat- tue. Est-ce vrai ou plutôt des rumeurs infondées?
Je ne souhaite pas entrer dans le vif du sujet pour le moment. Tout ce que je peux dire, par égard à ma fille et pour préserver ma dignité de femme, c’est que j’ai vraiment vécu des choses immondes. Je ne suis pas encore prête à en parler!
Le bonheur que vous affichiez à travers vos clips, n’était donc que façade?
Je vais m’en arrêter-là pour le moment….









