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Mondial 2022 : Aliou Cissé publie sa liste et convoque Sadio Mané

Le sélectionneur du Sénégal, Aliou Cissé, a dévoilé ce vendredi sa liste de 26 joueurs retenus pour la Coupe du monde 2022. La principale information réside en la présence de Sadio Mané ! Bien que victime d’une blessure à la tête du péroné survenue mardi contre le Werder Brême (6-1), l’ailier du Bayern Munich figure bien dans le groupe.

Le sélectionneur du Sénégal, Aliou Cissé, a dévoilé ce vendredi sa liste de 26 joueurs retenus pour la Coupe du monde 2022. La principale information réside en la présence de Sadio Mané ! Bien que victime d’une blessure à la tête du péroné survenue mardi contre le Werder Brême (6-1), l’ailier du Bayern Munich figure bien dans le groupe.

En l’absence de Bouna Sarr, forfait, Cissé a fait confiance à Formose Mendy et Mustapha Name dans le couloir droit plutôt qu’à Noah Fadiga, qui a déclaré forfait sur blessure lors de sa première convocation en septembre. Appelés pour la première fois à ce moment-là, Ismail Jakobs, Pathé Ciss et Nicolas Jackson se font une place dans cette liste.

Les cadres Edouard Mendy, Kalildou Koulibaly, Gana Gueye ou encore Ismaila Sarr sont tous présents, à l’inverse de Baldé Keita, est indisponible car suspendu pour violation d’un contrôle antidopage.

Au Qatar, les champions d’Afrique affronteront les Pays-Bas (21 novembre), le Qatar (25 novembre) et l’Equateur (29 novembre) dans le groupe A.

  • Gardiens
  1. Edouard Mendy
  2. Seny Dieng
  3. Alfred Gomis
  • Défenseurs
  1. Kalidou Koulibaly
  2. Abdou Diallo
  3. Pape Abou Cissé
  4. Ismaïl Jakobs
  5. Fodé Ballo Touré
  6. Youssouf Sabaly
  7. Formose Mendy
  • Milieux
  1. Pathé Ciss
  2. Moustapha Name
  3. Cheikhou Kouyaté
  4. Pape Matar Sarr
  5. Pape Guèye
  6. Nampalys Mendy
  7. Idrissa Gana Guèye
  8. Loum Ndiaye
  • Attaquants
  1. Krépin Diatta
  2. Sadio Mané
  3. Ismaila Sarr
  4. Iliman Ndiaye
  5. Boulaye Dia
  6. Famara Diédhiou
  7. Bamba Dieng
  8. Nicolas Jackson

Carrière solo, divorce: les confessions de Mia Guissé

C’est le 10 novembre à 17 heures qu’elle a officialisé le début de sa carrière en solo, après la fin du duo qu’elle formait avec son ex-époux No-Face. Le groupe «Maabo», c’est de l’histoire ancienne, tout comme leur couple. A l’occasion de la sortie de son titre «Idda», Mia Guissé a mis les pieds dans le plat et a accepté de parler, pour la première fois, de son divorce et des blessures qu’elle a vécues dans son ménage dans un entretien accordé à nos confrères du journal L’Observateur

Aujourd’hui votre premier single en solo depuis votre séparation avec votre ex-époux est disponible. Peut-on affir- mer que c’est un nouveau tournant dans votre carrière ?

Je dirais plutôt une continuité, en réalité. J’ai toujours eu beaucoup à offrir en tant qu’ar- tiste, mais comme j’étais dans un groupe, il fallait que je me conforme à la ligne musicale. Néanmoins, j’espère que ce sera un énorme bond en avant pour ma carrière musicale.

Le titre « Idda » est en lui-même assez singulier, dans le sens où il évoque, le délai de viduité à laquelle une femme doit se soumettre après un divorce. Est-ce un choix délibéré de votre part ou le fruit du hasard?

«Idda» est pour moi la fin d’un épisode et le commencement d’un tout. Evidemment, c’est aussi la fin de la période de viduité, mais pour moi, il symbolise le deuil d’un passé révolu. C’est une libération et, pour moi, le début de l’affirmation de ma personnalité en tant qu’artiste et en tant que femme.

«IL A FALLU QUE JE ME REMETTE D’ABORD ET PANSE MES BLESSURES»

Pouvez-vous nous expliquer plus en détails, comment s’est passé la réalisation de cette chanson? Était-ce facile pour vous de vous remettre en selle et d’élaborer ce morceau ?

Alors, ce n’était pas évident du tout, il a fallu que je me remette d’abord et panse mes blessures. Mais, heureusement, j’étais très bien entourée par ma famille et mes proches. Ils m’ont soutenue et poussée de l’avant et, l’amour de la musique aidant, je me suis vite remise en selle (rires). C’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Vous savez, nous, artistes, nous exprimons nos sentiments par notre art. Personnellement, c’est ma meilleure manière de communiquer. Mes connaissances, qui me suivaient de loin, m’ont approchée et aidée. Mon grand frère s’est chargé de me produire et ça s’est fait très vite. AlHamdulilah.

Annonce-t-il d’autres productions de ce genre, pourquoi pas un album ? Si oui, ce sera pour quand ?

Evidemment, on ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Ce single est le premier, un autre sui- vra bientôt et on ira vers cet album que tous mes fans attendent. On travaille déjà dessus et je vous promets du lourd, Inchallah.

Sous quel registre musical, Mia compte-t-elle s’imposer? Allez-vous vous cantonner à un style bien particulier?

Oh que non (rires)! Vous savez, au temps je faisais même du Rap, du Jazz… Mais, comme je vous l’ai dit au début, j’étais dans’un groupe et je me suis restreinte à cela. Je compte m’af- firmer et chanter en tant que Mia et leur mon- trer une autre facette différente de celle à à laquelle ils sont habitués. J’aimerais faire des duos avec des artistes sénégalais et à l’interna- tional également.

Le paysage musical sénégalais est assez fourni. Entre les jeunes talents qui éclosent et les stars de renommée, pen- pouvoir tirer votre épingle du jeu?

Il y a de la place pour tout le monde. J’ai tou- jours encouragé mes jeunes frères et sœurs et salué le talent de mes aînés. La scène musicale sénégalaise est bien large (rires). Et je pens que je me suis quand même bien affirmée e tant qu’artiste, et je compte bien persévérer.

Quid de votre activité dans la couture Est-elle toujours d’actualité?

Bien sûr, vous verrez d’ailleurs que toutes les tenues portées dans le clip, sont de «Maabo Couture». En dehors de la passion que j’ai pour le stylisme, j’emploie des gens que je ne peux pas me permettre de laisser tomber aujourd’hui. Nous continuons la confection des tenues dessinées avec design et amour. Je compte bientôt participer à un festival de la mode dans la sous-région.

«J’AI VÉCU SOUS LA HOULETTE DE MON EX-MARI ET ME CONFORMAIS À SES DÉCISIONS»

Travaillez-vous seule ou vous êtes en collaboration avec un label de production?

Oui je travaille avec «PDG ARTS» qui est le label de production de mon grand frère. Il l’avait mis en stand-by depuis années, mais il l’a réactualisé pour moi exceptionnellement.

Ces derniers jours, on a découvert une Mia au top de sa forme, poster régulièrement des vidéos d’elle sur les réseaux sociaux. Comme si vous viviez une seconde jeunesse. Est-ce le cas? Que voulez-vous montrer par-là?

Je ne montre rien, haha! Je continue de vivre et d’évoluer. Si vous avez bien suivi, vous avez dû voir que ces vidéos sont des publicités pour des personnes ou entreprises, du boulot en quelque sorte. Vous savez, étant mariée, j’étais assujettie à beaucoup de restrictions, même quand il s’agissait de travail. Là, je me retrouve dans une situation où je peux rire, discuter, vivre sans avoir peur. Cette jeunesse dont vous parlez, je ne l’ai pas vécue, je me suis mariée très jeune et après, j’ai vécu sous la houlette de mon ex-mari et me conformais à ses décisions. Je n’ai rien à prouver, ni montrer à personne, je fais plaisir à mes fans et travaille par la même occasion, et je le fais par le canal des réseaux sociaux. C’est juste cela.

«IL N’Y A PLUS DE « MAABO ». AVEC NO-FACE, NOUS AVONS DIVORCÉ À TROIS REPRISES, MAIS IL RESTE LE PÈRE DE MA FILLE. C’EST LA SEULE RELATION QUE JE PEUX AVOIR AVEC LUI»

Quand est-il du groupe «Maabo» et de votre relation avec No-Face ? Y a-t-il des chances qu’on puisse voir à nouveau ce duo tant adulé des Sénégalais sur une scène ou à travers un clip?

Il n’y a plus de groupe « Maabo ». C’est de l’histoire ancienne. Quant à No-Face, nous avons déjà divorcé à trois reprises, nous sommes les deux Musulmans et suivons les prescriptions de notre religion. Néanmoins, il reste le père de ma fille, c’est la seule relation que je peux dorénavant avoir avec lui. Un duo avec lui n’est pas, pour le moment, envisageable. Je tiens à évoluer dans un environnement serein et sain, mais il reste un artiste sénégalais et il ne faut jamais dire jamais.

A vous entendre parler, on sent de pro- fondes blessures, des brimades. Dans un passé récent, il a été rapporté que vous subissiez des violences conjugales, que vous étiez une femme bat- tue. Est-ce vrai ou plutôt des rumeurs infondées?

Je ne souhaite pas entrer dans le vif du sujet pour le moment. Tout ce que je peux dire, par égard à ma fille et pour préserver ma dignité de femme, c’est que j’ai vraiment vécu des choses immondes. Je ne suis pas encore prête à en parler!

Le bonheur que vous affichiez à travers vos clips, n’était donc que façade?

Je vais m’en arrêter-là pour le moment….

El Tactico donne une bonne nouvelle à propos de Mané : « il n’y a pas d’opération »

Aliou Cissé est très optimiste concernant la situation de Sadio Mané. Le sélectionneur national qui espère le recouper en cours de la compétition, informe que le joueur ne sera pas opéré.

« On est en train de le suivre. Le médecin de l’équipe nationale a déjà été envoyé vers lui. Il a passé une journée à Munich (jeudi) puis est parti en Autriche pour des examens supplémentaires. La bonne nouvelle est qu’il n’y a pas d’opération, c’est une très, très bonne nouvelle. On va se retrouver dans une semaine pour faire une nouvelle évaluation de sa blessure et voir l’évolution. Je préfère le garder dans le groupe.

Dernière minute- Le Verdict est tombé pour le fils du ministre Mbaye Ndiaye

C’est acté ! Le fils du ministre Mbaye Ndiaye va passer sa première nuit en prison.  Arrêtés par la Section de Recherches de Thiès avec 1 milliard en billets noirs, Cheikh Issa Ndiaye et  ses cinq compères  (tous membres d’un  même  réseau) ont été placés sous mandat de dépôt, ce mardi, selon une source autorisée de Seneweb.Suite à un retour de parquet, les six faussaires arrêtés à Thiès avec un milliard en billets noirs, ont été inculpés et placés sous mandat de dépôt par le juge d’instruction chargé de leur dossier. Le fils du ministre Mbaye Ndiaye et ses cinq compères sont actuellement à la prison Centrale de la capitale du Rail, selon une source autorisée de Seneweb.

Ces six membres d’un  même réseau présumé de faux-monnayeurs ont passé une  partie de la journée de ce mardi dans la cave du tribunal de grande instance de Thiès.

Pour rappel, la Section de Recherches de Thiès a  procédé à une saisie record de faux billets jamais réalisée par cette unité de la gendarmerie nationale.
Ces redoutables pandores avaient démantelé un puissant réseau de trafiquants et saisi un milliard  FCFA en billets noirs.
Les gendarmes avaient réussi à faire chuter six délinquants. Parmi ces derniers  figure un fils du ministre Mbaye Ndiaye, membre  fondateur de l’Apr selon les informations de Seneweb.

Tout est parti lorsque les éléments de SR de Thiès ont reçu un renseignement relatif à un vaste réseau de faux-monnayeurs.
Sans désemparer, les agents de cette unité d’élite de la gendarmerie nationale, basée à Thiès, ont tendu un piège aux faussaires qui voulaient laver les billets noirs.
Cheikh Issa Ndiaye, fils de l’ancien ministre de l’Intérieur sous Macky Sall, a été arrêté en compagnie de Abdoulaye Faye, cerveau de cette mafia très dangereuse pour l’économie du pays. Le reste de la bande a été neutralisé le même jour.
D’après les sources de Seneweb proches du parquet, les six faussaires sont passés aux aveux.
Au terme de l’enquête, le fils du ministre Mbaye Ndiaye,  Cheikh Issa Ndiaye et les cinq autres malfaiteurs, ont été présentés hier au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de la capitale du Rail. Les mis en cause étaient poursuivis pour association de malfaiteurs, tentative de lavage de faux billets noirs, trafic de faux billets noirs en coupure en euros et en dollars selon nos sources proches du parquet.

Soumbédioune : Ibou Cissé dérobe le porte-monnaie d’une mendiante

Le tribunal des flagrants délits de Dakar a condamné, mercredi, Ibou Cissé à trois mois de prison ferme. Il est reconnu coupable de vol au préjudice de la mendiante Ndèye Dieynaba Ba. Selon “Source A” qui rapporte l’information, Ibou Cissé est un voleur récidiviste sans vergogne. Son  lourd passé pénal ne lui a pas servi de leçon, bien au contraire. Mais cette fois-ci, il a été inhumain en osant soustraire le porte-monnaie d’une mendiante. Pour ces faits, il s’est encore octroyé un ticket pour la prison. En effet, jugé hier mercredi à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar, il a été reconnu coupable de vol et a écopé de trois mois d’emprisonnement ferme. Le 3 novembre dernier, pendant que le peuple retenait son souffle à cause de l’audition d’Ousmane Sonko, Ibou Cissé a jeté son dévolu sur l’aumône collectée par Ndèye Dieynaba Ba. Mendiante depuis 40 ans, la dame, qui essuyait injures et menaces quand elle a désigné Ibou comme étant son voleur, déclare : «Je mettais tout mon argent dans le sac que j’accroche à mon fauteuil roulant. Le jour des faits, j’avais 29 mille francs dans ma pochette. J’y ai défalqué 10 mille francs. Quelques minutes après, j’ai introduit ma main dans le sac pour prendre ma radio. C’est là que je me suis rendu compte de la disparition de la pochette.  Comme il était assis derrière moi, je l’ai interpellé en le suppliant de me rendre mes documents et de prendre l’argent.  Mais il m’a injuriée et taxée de prostituée et de sorcière.» «J’ai supplié mon frère de laisser tomber. Ce sont les éléments qui avaient interpellé les gardes du corps de Sonko qui sont tombés sur la scène, avant de l’embarquer. Une fois au commissariat central, on m’a dit de  porter plainte», a-t-elle expliqué. Face aux enquêteurs, Ibou Cissé nie tout en bloc et plaide : «Je partais tous les jours là-bas pour y gagner ma vie. C’est une jeune fille du nom de Mamita qui m’a dit qu’un individu est en train de comploter contre moi. Et son plan consistait à demander à une femme de m’accuser de vol.  Par la suite, la partie civile m’a accusé à tort d’avoir subtilisé son sac en plein centre-ville», a-t-il tenté de se défendre. Étant convaincue de la culpabilité de Ibou, la plaignante a réitéré sa demande à la barre. «Je ne demande rien. Je veux qu’il me restitue les documents administratifs qui se trouvaient dans le portefeuille», a-t-elle murmuré à la barre. Le substitut du procureur de la République a, pour sa part, requis l’application de la loi pénale. Malgré ses dénégations, Ibou Cissé retourne une troisième fois en prison. Reconnu coupable du délit de vol, il est condamné à trois mois d’emprisonnement ferme.

Liste de Aliou Cissé : les huit champions d’Afrique qui n’iront pas au Mondial

Le journal Record place huit champions d’Afrique dans le groupe des joueurs qui n’iront pas au Mondial. Le quotidien sportif parie que les concernés ont peu de chance de figurer sur la liste de Aliou Cissé qui sera publiée vendredi prochain.

Record cite Alioune Badara Faty, gardien du Casa Sports et quatrième de la hiérarchie des portiers à la CAN 2021, Bouna Sarr (Bayern Munich), Moustapha Name (Pafos FC, Chypre), Joseph Lopy (Sochaux), Keïta Baldé (Dynamo Moscou), suspendu deux mois pour dopage présumé, Mama Baba Thiam (Kayserispor, Turquie), Habib Diallo (Strasbourg) et Saliou Ciss (sans club).

Aliou Cissé, qui fera face à la presse vendredi, publiera une liste de 26 éléments dont trois gardiens.

Chavirement d’une pirogue à Saint-Louis : Trois des six pêcheurs retrouvés vers Potou

Trois des six pêcheurs portés disparus ont été retrouvés sains et saufs vers Potou.

Selon le secrétaire général de l’Union régionale de la pêche artisanale de Saint-Louis, qui s’exprimait dans les colonnes du quotidien ‘’le soleil’’, les six jeunes pêcheurs étaient âgés de 25 à 30 ans.

Les recherches se poursuivent pour les trois autres portés disparus.

Pour rappel, leur pirogue a chaviré, le mardi 8 novembre, à l’embouchure du fleuve Sénégal, occasionnant la disparition de six membres de l’équipage qui revenaient d’une partie de pêche.

Matam : Une classe en plein air suscite l’indignation

“L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde”, disait Nelson Mandela. Mais, quelquefois, il est difficile de croire que les autorités ou personnes habilitées investissent dans ce secteur pour former de futurs cadres dans le but de développer un pays.
 
Si certains Sénégalais s’indignent de la construction de classes en paillote, d’autres ne disposent même pas de ces standards “minimes”.
 
En effet, dans le village de Thiancone Hiraye,  situé à quelque 5 km de Ourossogui, dans la commune de Ogo du département de Matam, ce qu’on peut qualifier d’espace scolaire laisse à désirer. L’image  d’élèves assis à même le sol pour suivre les cours suscite l’indignation.
 
D’après la source de Seneweb, ces élèves ne disposent même pas de toilettes. Une situation que le village voudrait faire parvenir au ministère de l’Éducation nationale et au chef de l’État Macky Sall.

Blessure de Sadio Mané : Fatma Samoura espère un miracle des marabouts

L’attaquant international du Sénégal Sadio Mané est sorti à la 21e minute de jeu avec le Bayern Munich, mardi, contre le Werder Brême et pourrait être indisponible pour la Coupe du monde au Qatar. “C’est une très grande et triste nouvelle”, a réagi Fatma Samoura , secrétaire générale de la FIFA, dans un entretien accordé à Europe 1 et qui sera à retrouver en intégralité, jeudi soir, dans l’émission Europe 1 Sport.

“Nous, on va utiliser nos marabouts”, a-t-elle déclaré. À la question “ils sont efficaces chez vous les marabouts ?”, cette dernière a répondu avec un rire : “Je ne sais pas mais en tous cas cette fois-ci on va les implorer”, avant d’ajouter : “On espère des miracles, il faut qu’il soit là.”

Sorti sur blessure, mardi, lors d’un match de Bundesliga contre le Werder Brême, Sadio Mané est attendu par tout un peuple, voire tout un continent. “Sadio, il faut que tu joues le 21”, a clamé Fatma Samoura dans un appel à la tonalité fataliste, en référence au premier match du Sénégal, le 21 novembre face aux Pays-Bas.

Sénégal : Le long processus de validation du budget

Pour parler de l’adoption du budget par les députés à l’Assemblée nationale, il est coutume de parler de marathon budgétaire. Et pourtant, ce marathon-là commence bien avant que le projet ne soit déposé sur la table du patron de l’hémicycle. Le processus d’élaboration a été révélé mercredi 9 novembre 2022, lors d’une session de formation organisée par la Cosydep au bénéfice des journalistes sur la question du financement de l’Éducation au Sénégal. Selon Malick Ngary Faye, expert en finance publique, pour déterminer le budget de l’année suivante, le processus démarre en février. Autrement dit, la machine est lancée alors que le budget en cours est à peine entamé. Du 15 février au 15 mars, se tiennent les conférences de performance entre le ministère chargé des Finances et les ministères sectoriels et institutions tels que la Cour des comptes, le Conseil constitutionnel, le Cese, le Hcct… Après cela, le 25 mars, les résultats du cadrage budgétaire (projection des dépenses) sont transmis au service chargé des prévisions économiques. C’est ainsi que la première version du premier cadrage macroéconomique est élaborée le 15 avril par le ministère des finances, la cheville ouvrière. Du 20 avril au 15 mai,  la primature entre en jeu avec l’élaboration puis la transmission du Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) par le ministère des finances. Le 30 avril déjà, le projet de lettre de cadrage est transmis au Premier ministre pour signature et notification aux institutions. Le 31 mai, la lettre est notifiée aux ministères et institutions. Il faut attendre le 15 juin pour que le DPBEP soit adopté en conseil des ministres. Le débat d’orientation budgétaire peut ainsi démarrer le 30 juin entre le ministère des finances et l’Assemblée. C’est le moment où l’Exécutif et le Législatif s’accordent sur le choix des politiques publiques. A la suite de cela, les lettres de notification des enveloppes triennales et la circulaire budgétaire sont envoyées aux institutions intéressées le 5 juillet. Un mois après, le 4 août, démarrent les conférences budgétaires. C’est le moment de négociations entre le ministère des finances et les institutions où chacun essaie de défendre ses projets et expose ses contraintes. Au bout d’un mois (5 septembre), il y a une synthèse des propositions et un premier arbitrage du ministère des Finances. Le 10 septembre a lieu la révision du cadrage macroéconomique et le projet de loi de finances est adopté le 20 septembre en conseil des ministres. Un travail d’actualisation sera fait avant que le projet de budget et ses annexes ne soient déposés sur la table de l’Assemblée nationale, le 15 octobre. A partir de là, ce sont les travaux de commissions qui commencent entre le MFB et les parlementaires, loin des regards du public. A la fin des commissions, c’est le grand show des députés, appelé marathon budgétaire, entre fin novembre et début décembre.  Jusqu’ici, le budget passait comme lettre à la poste au Sénégal. Mais avec cette nouvelle législature où les forces sont équilibrées, rien n’est acquis d’avance. Même si l’Exécutif dispose d’autres leviers non parlementaires.
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