jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1634

« Koun Fa Ya koun : les épitres du buisson ardent » : Récit d’un être en quête d’élévation spirituelle

La foi, il y a ceux qui la vivent et ceux qui la vivent pleinement. Dr Moussa Diop s’inscrit dans la deuxième option avec la volonté de parcourir les lointaines contrées de la spiritualité. Ce titulaire en science de l’information et de la communication s’est penché sur la question de l’élévation spirituelle dans son recueil de 33 textes intitulé « Koun Fa Ya Koun : Les épitres du buisson ardent ». Dans ce livre, l’auteur se base sur des enseignements soufis pour raconter son périple « inabouti » vers cette graduation de l’âme. Pour Seneweb, l’homme revient de fond en comble sur les raisons qui l’ont poussé à rédiger cet ouvrage. Il revient par la même occasion sur les BA B.A de cette élévation spirituelle et son importance pour le croyant.

« Koun Fa Ya Koun, les épitres du buisson ardent », de quoi est-il question dans ce livre ?

J’ai terminé mon premier manuscrit, j’avais alors 12 ans. C’est depuis cet âge-là que j’ai commencé à écrire. Écrire étant pour moi, un procédé par lequel j’interrogeais mon monde et au-delà. Beaucoup de questions sur la vie, le monde, la nature humaine, Dieu sa nature, sa fonction etc… .. Dès lors Koun fa yakoun représente la matérialisation de toutes ces questions inscrites cette fois-ci dans un cheminement, cette fois-ci spirituel.

En évoquant le terme « buisson ardent », nos regards sont naturellement tournés vers la révélation de Dieu à Moïse sur la montagne. Ce titre est-il une référence à ce passage ?

Oui, ce titre est une référence à l’histoire du prophète Moussa asws notamment dans sa qualité de « Kalimoullah » : celui qui parle avec Dieu.

“On n’attend pas d’être parfait pour aspirer à Dieu, c’est dans nos imperfections que nous allons vers Lui : là est la beauté de la rencontre”

 

Dans votre résumé, vous précisez que cette œuvre n’est point « un traité d’initiation » mais « un témoignage ». Quel est l’intérêt, pour vous, de vous confier à présent surtout que vous affirmez que ce « processus alchimique »-que vous avez entamé-est inabouti ?

Je ne me confie pas, je témoigne. Il y a une différence. Je partage  avec les publics mon parcours dans le cheminement soufi, mes questionnements, mes tiraillements, mon désir d’amour, ma recherche active de la présence divine ainsi que ses signes. Cette démarche de vie est inscrite pour ma part, dans l’éternité. On n’attend pas d’être parfait pour aspirer à Dieu, c’est dans nos imperfections que nous allons vers Lui : là est la beauté de la rencontre. Mon témoignage est une note d’espoir pour toutes ces personnes qui aimeraient prendre le chemin de la marche vers Dieu, en Dieu et pour Dieu mais dont le vécu de leur état de pécheur, faible et déviant empêche toute quête de la présence sanctissime.

Revenons à l’essence de votre livre, le Soufisme. Qu’est-ce donc ?

Il existe plusieurs définitions du soufisme. Des définitions qui adoptent plusieurs perspectives : linguistiques, historiques, religieuses (Cora, Sunna, pratique des sahaba). J’ai laissé des indications détaillées dans l’introduction de mon ouvrage. Cela dit le soufisme est appelé « Ilm al akhawal » (la science des états spirituels) ou encore (ilmoulma’anrifa) la science de la gnose divine…Je vais vous citer les paroles de notre vénéré maître Cheikh Ahmad Al Mbacky ( serigne tuuba) dans son ouvrage « Massaalikul jinaan » (Les itinéraires du paradis). Pour lui  : « La science se divise, selon les savants, en deux parties, ésotérique et exotérique. L’exotérique régit l’action des hommes, l’ésotérique, les états d’âme. La première est connue sous le nom de “fiqh” ou jurisprudence et la deuxième est appelée “tasawwuf” ou soufisme. Puis il est obligatoire à l’homme de commencer par le “fiq.h” avant d’aborder le soufisme. Quiconque omet le “fiq.h”, périt ici-bas par le jugement des docteurs de la loi. Celui qui omet la deuxième, périra demain par le jugement du Seigneur Très-Haut. Il est donc obligatoire à tous les serviteurs de les rallier afin de réaliser la récompense escomptée. Celui qui applique le “fiq.h” et fait fi du soufisme est un véritable fripon. Il faut le savoir 88. Celui qui fait l’inverse, est un “zindîq” (hérétique), affirme-t-on. Mais qui arrive à réunir les deux, (le “fiq.h” et le “tasawwuf”) est un beau modèle; il faut suivre son exemple. Cette affirmation a été faite par le grand Imam Malick (qu’ALLAH lui fasse miséricorde et lui accorde son agrément).

 

“Tout le monde n’est pas voué à la spiritualité. Ce n’est pas une obligation religieuse. En outre, il faut de la sincérité, de la lucidité sur soi, de la patience”

Quels sont les fondamentaux nécessaires pour parvenir à cette élévation spirituelle?

Je ne suis pas un maître spirituel, je ne suis qu’un adepte de la voie. Ce que je peux dire c’est qu’il faut sans doute l’élection divine : être choisi par Dieu pour cette forme très particulière du vécu religieux. Parce qu’en réalité tout le monde n’est pas voué à la spiritualité. Ce n’est pas une obligation religieuse. En outre, il faut de la sincérité, de la lucidité sur soi, de la patience. Sans oublier la compagnie d’un maître véritable de la voie.

Que représentent les confréries pour le soufisme ?

Il y a un principe (le soufisme c’est-à-dire le cheminement) et ses manifestations, autrement dit les multiples moyens de vivre le soufisme (les confréries ou voies spirituelles). Dès lors, les confréries sont autant d’écoles pour une seule et même discipline.

L’atteinte de cette élévation spirituelle ne peut-elle se faire que sur orientation d’un guide, d’un maître ?

Il y a plusieurs versets du coran qui précisent de manière explicite la nécessité de rechercher la compagnie ou le suivi de ceux qui sont arrivés à Dieu. Par exemple : sourate al Kahf verset 28 « Fais preuve de patience [en restant] avec ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir, désirant Sa Face. Et que tes yeux ne se détachent point d’eux, en cherchant (le faux) brillant de la vie sur terre. Et n’obéis pas à celui dont Nous avons rendu le cœur inattentif à Notre Rappel, qui poursuit sa passion et dont le comportement est outrancier ». Ou encore Sourate Luqman verset 15 : « Et si tous deux te forcent à M’associer ce dont tu n’as aucune connaissance, alors ne leur obéis pas; mais reste avec eux ici-bas de façon convenable. Et suis le sentier de celui qui se tourne vers Moi. Vers Moi, ensuite, est votre retour, et alors Je vous informerai de ce que vous faisiez ». Il y a de même des hadiths (parole prophétique) qui informent sur cette injonction divine. La vraie question c’est qui est maître ou guide spirituel, celui qui est véritablement tourné vers Dieu ?

A quel moment peut-on savoir que nous touchons au but ?

La spiritualité s’inscrit dans une pratique active du corps, du cœur et de l’esprit dans une perspective éternelle. On vise Dieu, or Il est immuable, sans début ni fin. L’Homme qui s’engage dans le cheminement s’insère dans la perspective d’une marche spirituelle marquée du sceau de l’éternité. Cheikh Ibrahim Niass disait :« ManzaakahaYassiirousayrilabadiyadjnilma’anrifi bi fadliMadad », celui qui a goûté en la gnose divine s’inscrit dans une marche éternelle, puisant ainsi des connaissances divines (ma’anrif).

Une fois atteinte, l’élévation spirituelle est-elle impérissable ou s’entretient-elle perpétuellement ?

L’élévation, l’évolution spirituelle peuvent se perdre. D’ailleurs la Fitrah  précédant notre venue sur terre, si elle ne s’entretient pas par la pratique religieuse, nous la  perdons. Comprenons-donc que l’élévation spirituelle si elle existe s’entretient pour l’éternité et toutes les vies. La voie spirituelle n’a pas de contradiction avec la shariah (la voie ou la loi musulmane fondamentale). Dès lors toute élévation spirituelle s’obtient par une pratique spirituelle active doublée d’un respect scrupuleux des préceptes de la religion. Il n’y a d’évolution que dans la conformité au modèle prophétique sws. Dès lors dans ce cheminement, pas de salut en dehors de la shariah et de la sunnah. C’est dans ce sens que nous pouvons comprendre la chute spirituelle, la déchéance spirituelle d’un individu.

Deuxième facteur de risque de décès : la pollution de l’air, tueur silencieux dans les villes africaines

“La pollution de l’air (dans les villes africaines) est élevée et en augmentation, elle augmente assez rapidement”, a déclaré Desmond Appiah, le directeur ghanéen du Clean Air Fund, l’ONG britannique qui a publié l’étude. “C’est un tueur silencieux”. La pollution urbaine a été largement négligée en Afrique, selon cette étude. La population africaine est majoritairement rurale et n’a connu que récemment l’exode vers des centres urbains. Or, disent les auteurs, “plus de 65% de la population du continent devrait vivre dans des zones urbaines d’ici 2060. D’ici la fin du siècle, l’Afrique accueillera 5 des 10 plus grandes mégapoles du monde.” Des recherches antérieures parues dans la revue The Lancet Planetary Health sont arrivées à la conclusion que l’air toxique – en particulier les particules et les gaz industriels et des transports, mais aussi des poêles à bois – a provoqué la mort prématurée d’1,1 million de personnes en 2019. À titre de comparaison, 650.000 personnes ont perdu la vie à cause des maladies liées au VIH-sida dans le monde la même année, selon des chiffres de l’ONU. L’étude s’est penchée sur la situation dans quatre villes du continent africain qui connaissent une croissance rapide – la capitale du Ghana, Accra, Le Caire, Johannesburg et Lagos – pour évaluer les coûts sanitaires, environnementaux et économiques de la pollution. Elle compare les résultats entre une trajectoire “business-as-usual” jusqu’en 2040 avec un scénario écologique dans lequel les villes prendraient des mesures pour améliorer la qualité de l’air, comme la modernisation des transports publics et l’introduction de cuisinières plus propres. Adopter une approche écologique pourrait sauver 125.000 vies et permettrait d’économiser 20 milliards de dollars de coûts et réduire aussi les émissions dans ces villes d’environ 20% d’ici à 2040, d’après cette étude. Si rien ne change, la facture financière va être multipliée par six. “La croissance économique de l’Afrique sera poussée par des villes en expansion rapide”, a déclaré Clean Air Fund. Par ailleurs, un groupe de recherche ayant son siège à Boston, le Healyh Effects Institute (HEI), a averti ce 27 octobre que le coût humain de la pollution atmosphérique en Afrique figurait parmi les plus élevés de la planète. En Afrique subsaharienne, le taux de mortalité liée à la pollution de l’air est de 155 décès pour 100.000 personnes, soit près du double de la moyenne mondiale qui est de 85,6 décès pour 100.000 personnes, a expliqué le HEI dans un rapport. Selon le HEI, la pollution de l’air est le deuxième facteur de risque de décès en Afrique, qui abrite cinq des dix pays les plus pollués au monde en termes de particules fines ambiantes (PM2,5). En novembre 2022, le monde se réunira pour les négociations climatiques de la COP27 à Charm-el-Cheikh, en Égypte. Le débat se concentrera sur la possibilité d’une transition des combustibles fossiles tout en s’adaptant au changement climatique.

Trafic de passeports diplomatiques : le cerveau, le relais, les fantômes, les commerciaux…, voici les huit membres du réseau

Le procès de l’affaire de trafic de passeports diplomatiques s’ouvre ce vendredi devant le tribunal militaire. Si l’audience est prévue devant cette juridiction d’exception, c’est parce que deux gendarmes sont parmi les mis en cause. Il s’agit de Mamadou Lamine Ba et de Assane Ndione. Le premier était en poste à la Présidence tandis que le second officiait au ministère des Affaires étrangères. Ils seront dans le box des accusés aux côtés de Limamoulaye Seck, Badara Sambou, Ibnou Samb et Aly Ndao. Tout ce beau monde est en ce moment sous mandat de dépôt. Voici le rôle de chacun dans le scandale.

Dans son édition de ce vendredi, Libération a révélé le PV (procès verbal) des déclarations devant les enquêteurs de la DIC des six mis en cause dans l’affaire de trafic de passeports diplomatiques entre la Présidence et le ministère des Affaires étrangères. Le document permet de situer le niveau d’implication de chacun et son rôle dans ce réseau de faussaires au mode opératoire huilé. Les deux gendarmes de la bande, Mamadou Lamine Ba et Assane Ndione, en sont les pivots. Le premier au niveau de la Présidence et le second au ministère des Affaires étrangères. Les autres étaient chargés, notamment, de démarcher les clients. Ils seront tous jugés ce vendredi devant le tribunal militaire.

Mamadou Lamine Ba

C’est son nom à l’état civil. Il est adjudant-chef de la gendarmerie. Il était en service à la Présidence au moment des faits. Depuis l’éclatement de l’affaire, c’est lui qui est désigné sous le nom Ousseynou Ba. D’après les témoignages de Limamoulaye Seck et Badara Sambou, il est le cerveau de la bande. Il indiquait la procédure à suivre et le ton des lettres de demande de passeport diplomatique aux clients du réseau. À charge pour lui de glisser les dossiers dans le parapheur présidentiel. Il a reçu plusieurs transferts d’argent via Orange Money et Wave sur deux numéros d’opérateurs différents.

Assane Ndione

Ce gendarme était en service au niveau du Bureau des passeports diplomatiques du ministère des Affaires étrangères. Après que Mamadou Lamine Ba de la Présidence a obtenu les autorisations présidentielles (à l’insu du chef de l’État) pour les demandes frauduleuses, il oriente les clients du réseau au ministère des Affaires étrangères. Sur place, Assane Ndione se charge de leur faire accomplir, à la vitesse de l’éclair, les formalités de dépôt permettant l’obtention du précieux sésame.

Limamoulaye Seck

Il a été arrêté en même temps que deux agents du ministère des Affaires étrangères, Badara Sambou et Ibnou Samb, et un opérateur économique nommé Aly Ndao. Il a confié aux enquêteurs que son rôle consistait à démarcher les clients pour l’obtention de passeports diplomatiques. Pour chaque dossier, il empochait une commission de 500 000 francs CFA. Il a révélé avoir intégré le réseau par le biais d’un certain A. K, qui serait établi en France et lui aurait permis de disposer lui-même d’un passeport diplomatique. Il a reconnu avoir permis à six personnes d’obtenir (indûment) des passeports diplomatiques. Il assure que les recettes étaient versées, après déduction de sa commission, à Mamadou Lamine Ba et un certain A. K, qui est basé en France.

Badara Sambou et Ibnou Samb

Comme Limamoulaye Seck, ils jouaient aux commerciaux pour le réseau. Ils se chargeaient eux aussi de démarcher des candidats pour l’obtention de précieux document. Ils étaient en service au ministère des Affaires étrangères. Badara Sambou aidait le gendarme Assane Ndione dans les procédures d’enrôlement des clients de la bande. Ibnou Samb a confié aux enquêteurs que c’est le premier qui l’a intégré dans le réseau. Tous les deux, ils ont pris en charge, notamment, les dossiers de l’ex-miss Sénégal Fabienne Féliho et du défenseur des Lions Kara Mbodji. Ces derniers leur ont versé deux millions et trois millions de francs CFA pour obtenir des passeports diplomatiques.

Aly Ndao

Il est présenté comme un opérateur économique. Il démarchait lui aussi des clients pour le réseau. Il a permis à une certaine Mariétou Ba d’obtenir un passeport diplomatique moyennant 4 millions de francs CFA. Un montant qu’il déclare avoir versé à Limamoulaye Seck après avoir prélevé sa commission de 500 000 francs CFA.

A. K et Fofana

Leurs noms sont apparus dans les déclarations des mis en cause, mais ils n’ont pas encore été arrêtés, encore moins entendus. Avec Mamadou Lamine Ba, A. K serait l’un des cerveaux du réseau. Limamoulaye Seck le désigne comme étant celui qui l’a fait intégrer la bande. Il serait l’auteur de la fausse lettre de Alassane Diop, directeur général de Dubaï Port World, sollicitant auprès du chef de l’État un passeport diplomatique pour sa femme qui devait rallier la France pour des soins. La femme en question, qui n’est pas l’épouse de Diop, se nomme Mariétou Ba. Elle obtiendra un passeport diplomatique moyennant 4 millions de francs CFA. Fofana, lui, a été cité une fois par Ibnou Samb. Ce dernier affirme qu’il est un membre actif du réseau. Sans plus de précision.

Africaine ADIGA Group SAS :À l’assaut d’une nouvelle inondation

 COMMUNIQUÉ DE PRESSE

LE PREMIER JEU VIDEO AFRICAIN (DE TYPE MOBA)

 

Suite à une importante levée de fonds de près d’un demi-milliard de F CFA, la Start Up Africaine ADIGA Group SAS (Africa Digital Game), basée à Dakar, au Sénégal, vient de réaliser la conception de la version « ALPHA » du tout premier jeu vidéo, purement africain, de type MOBA intitulé « SOUL OF KING » (l’Esprit des Rois). Sa version « BETA », quant à elle, mobilisera 5 millions d’euros soit plus de 3,2 milliards de F CFA.

 

La Start-up ADIGA Group, éditeur de jeu vidéo, réalise ainsi le 1er MOBA Panafricain
(« SOUL OF KING »). MOBA (Multiplayer Online Battle Arena), traduit en français, signifiant Arène de Bataille Multi-joueurs en ligne. Cette innovation majeure panafricaine, lui confère une place de leadership dans le domaine de la stratégie numérique et la positionne, de fait, comme catalyseur de l’accélération de l’Economie Créative en Afrique.

 

« SOUL OF KING », créé et développé par la Start Up ADIGA Group SAS, déjà valorisé à 5 millions d’euros, apportera une nouvelle approche à l’industrie du numérique, par une innovation différenciante sur le marché international du jeu vidéo qui pesait plus de $192,7 Milliards  en 2021 dont 1,8% soit plus de 732 Milliards de F CFA représentait la part de l’Afrique durant la même période.

 

« SOUL OF KING », l’Esprit des Rois, permettra à la jeunesse africaine de se réconcilier avec la richesse de son histoire et de sa culture. C’est également, là, une grande opportunité pour les politiques publiques africaines puisqu’il représente un levier de croissance non négligeable dans le cadre de la transformation digitale du continent.

 

L’Esprit des Rois, « SOUL OF KING », en toute nouvelle vision pour l’Afrique, participera à l’essor de cette industrie créative d’envergure mondiale, car étant un vivier de créations, de valeurs et d’emplois pour sa jeunesse.

 

 

EL H Mansour J. SAGNA ALIAS LORD ALAJIMAN                                      CONTACT PRESSE (+221)  77 445 67 36                                                                                                     

DIRECTEUR GÉNÉRAL ASSOCIÉ                                                                                                 Dakar (+221) 77 590 77 37 (WhatsApp)

 (+221) 77 672 18 73 (WhatsApp)

Email : info@adiga.gg  Visitez : www.adiga.gg 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est IMG-20221028-WA0008-723x1024.jpg.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est IMG-20221028-WA0009-576x1024.jpg.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est IMG-20221028-WA0010-1-576x1024.jpg.L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est IMG-20221028-WA0011-576x1024.jpg.

 

Mouhamadou Mactar Guissé, Proche collaborateur et Conseiller du Président Dethié Fall.

L’opposition est largement en avance par rapport à Monsieur Macky Sall, sur le plan politique
Il faut que la coalition BBY s’oriente vers une dynamique de sortie honorable a son Excellence.
J’invite les partis de la coalition BBY à prendre toutes leurs responsabilités face au dictaroriat de Macky Fall
Seul le peuple est souverain, il n’acceptera pas d’être sous les désirs d’un homme illégitime, illégal qui a déjà terminé ses 2 mandats et qui sera obligé de céder la place.
J’invite solennellement le Président  du Parti Rewmi à respecter sa parole de 2017, disant que s’il ne passe pas en 2019, il créera les conditions d’élection du Président Dethié en listant toutes les qualités d’un homme d’Etat à l’endroit du Président du PRP.
Le Président Dethié Fall est dans la rencontre des citoyens Sénégalais vivant à l’étranger en rappelant qu’il ne laissera aucune compétence Sénégalaise échapper le SENEGAL.
Le Président Dethié Fall est dans le chemin de la constance et du développement du peuple Sénégalaise.

Mali: l’Etat Islamique aurait massacré des centaines de villageois

Des groupes armés affiliés à l’organisation Etat islamique ont massacré des centaines de villageois depuis le début de l’année dans le nord-est du Mali de manière apparemment systématique, et les autorités n’en font pas assez pour protéger les civils, alerte Human Rights Watch (HRW) jeudi. Des dizaines de milliers de villageois ont été poussés à fuir ailleurs au Mali ou vers le Niger voisin après avoir perdu leur bétail et tous leurs biens dans ces attaques commises depuis mars dans les régions de Ménaka et Gao, dit l’organisation de défense des droits de l’Homme dans un rapport. Elle souligne que les exactions ont en grande partie visé les Daoussahak, une tribu touarègue. Elle souligne aussi que de vastes pans de territoire sont passés sous la coupe des groupes affiliés à l’organisation Etat islamique au grand Sahara (EIGS). Les jihadistes “ont mené des attaques terrifiantes et apparemment coordonnées contre des villages, massacrant des civils, pillant des maisons et détruisant des biens”, dit HRW. “Le gouvernement malien devrait faire davantage pour protéger les villageois particulièrement exposés aux risques d’attaques, et leur fournir une plus grande assistance”, déclare une responsable de HRW, Jehanne Henry, citée dans un communiqué. Ces propos contredisent ceux des militaires qui ont pris le pouvoir par la force en 2020 dans ce pays secoué depuis 2012 par la violence et la propagation jihadiste. Les autorités maliennes se sont détournées depuis un an de l’allié français et de ses partenaires, et tournées vers la Russie. Elles répètent avoir inversé la tendance sécuritaire et avoir mis en débandade les groupes jihadistes. Mercredi la sous-secrétaire d’Etat américaine Victoria Nuland, de retour du Sahel, avait déclaré que la sécurité s’était considérablement détériorée au Mali depuis que la junte a fait appel, selon les Etats-Unis et leurs alliés, aux mercenaires de la société russe Wagner en 2021. – Zone d’action élargie –HRW détaille, témoignages à l’appui, des attaques dans treize localités suivant un modus operandi similaire. A Inkalafane (région de Ménaka) le 28 mars, “un important groupe d’hommes armés est arrivé dans un véhicule armé et à moto”. Ils ont tué 35 civils, raconte un berger de 55 ans. La situation sécuritaire s’est largement détériorée depuis huit mois dans les régions de Ménaka et Gao suite à une offensive de l’EIGS au-delà de ce qui était alors sa zone d’action et d’influence. Les jihadistes ont d’abord pris d’assaut l’immense et désertique région de Ménaka en mars et avril. L’EIGS a ensuite dirigé son feu plus à l’ouest, dans la région de Gao. Des attaques ont été signalées autour de la capitale régionale, et pour la première fois une localité d’importance, Talataye, a été prise d’assaut et temporairement contrôlée par l’EIGS en septembre. HRW écrit que cette flambée de violence coïncide avec le retrait du Mali de la force antijihadiste française Barkhane, poussée au départ par la junte. Etablir des bilans précis des victimes de ces assauts est extrêmement difficile en l’absence de remontées d’informations fiables en provenance de territoires largement inaccessibles. La mission de l’ONU au Mali (Minusma) devrait quant à elle “intensifier ses patrouilles, ses vols de dissuasion et ses interactions avec les communautés touchées”, dit HRW. La Minusma se plaint des entraves mises par les autorités maliennes à ses opérations.

UGB : Les étudiants décrètent l’arrêt immédiat du paiement des chambres

Les étudiants de l’université Gaston Berger de Saint-Louis ont encore renoué avec les hostilités.
Selon l’”As quotidien”, les étudiants n’ont pas apprécié le fait que les services de l’hébergement insistent toujours pour se faire payer ces trois mois, alors qu’ils avaient alerté sur le respect de la décision de non-paiement.
Pour faire face à cet entêtement, la Coordination  des étudiants de Saint-Louis décrète l’arrêt immédiat de tous les paiements des chambres  jusqu’à nouvel ordre.

Risque d’attentat en Afrique du sud : Ramaphosa juge “malencontreuse” la mise en garde américaine

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a condamné jeudi l’alerte de sécurité émise la veille par l’ambassade des Etats-Unis en Afrique du Sud, mettant en garde contre un risque d’attentat à Johannesburg.
 
“Il est assez malencontreux que les Etats-Unis émettent ce genre d’avertissement sans en avoir discuté le moins du monde avec nous”, a déclaré le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse.

| MACKY SALL MOBILISE LA POLICE CONTRE LA CAMPAGNE “BUKO SAX JEEM” – CONTRE SA 3ÈME CANDIDATURE |

Saraya : Un acheteur grugé avec des pierres mélangées à des substances à la place de l’or

La ficelle de l’escroquerie est tellement grosse qu’on a du mal à y croire. Et pourtant,  un commerçant acheteur d’or établi au village de Kharakhena dans le département de Saraya a été floué alors qu’il espérait acheter de l’or pur auprès de deux individus qui ont mis au point un scénario alambique de cette escroquerie. 
 
En lieu et place de l’or, les escrocs ont pris des pierres qu’ils ont mélangées avec des substances permettant aux pierres de briller comme le métal jaune. Loin de se douter, le commerçant met la main à la poche. En échange de son argent, le commerçant n’a reçu que du faux en or. Une rocambolesque affaire que les hommes de l’adjudant Laye Diaw Ndiaye, commandant la brigade de gendarmerie de Saraya, ont réussi à élucider. La ténacité et la perspicacité des gendarmes ont permis de démanteler le réseau composé de Demba Diallo, 24 ans et de Sirima Keita, 22 ans. 
 
Mis à nu, les malfrats ont reconnu les faits à eux reprochés et sollicitent la clémence. Ils ont été déférés devant le procureur de Kédougou.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention