jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1640

Suspension de sa ligne en Afrique centrale : Air Sénégal rétropédale

La compagnie nationale Air Sénégal va reprendre sa desserte vers l’Afrique centrale.

Récemment, Air Sénégal a annoncé la fermeture de la ligne Dakar-Cotonou-Douala-Libreville-Dakar. La décision a créé la surprise tant ces vols sont considérés comme les plus fréquentés après ceux de Dakar-Paris-Dakar. La compagnie nationale a fait marche arrière et compte reprendre ses lignes vers l’Afrique centrale. Toutes les ventes annulées de novembre 2022 sont en train d’être restaurées depuis hier lundi 24 novembre 2022.

Toutefois, il y aurait des pressions et des craintes sur la rentabilité. D’ailleurs un trou de 10 milliards expliquerait la fermeture des vols vers l’Afrique centrale. Et voici quelques chiffres qui permettent de comprendre les réserves exprimées après l’annonce de cette décision de la nouvelle direction d’Air Sénégal.

Depuis l’ouverture de la ligne, en mars 2021, 172 000 passagers ont été transportés pour 289 vols. Ce qui équivaut à un taux de remplissage moyen de 80%. En outre grâce à cette ligne, Air Sénégal détenait 65% de part de marché sur Douala.

Des voix autorisées à Air Sénégal prennent le contrepied des protestataires. Elles invoquent des raisons exclusivement économiques, signalant que malgré un taux de remplissage élevé, les vols à destination de l’Afrique centrale sont parmi les plus déficitaires du réseau de la compagnie nationale.

Sur cette desserte, les tarifs sont ultra bradés, anormalement bas, deux fois inférieurs à ce qu’ils devaient être.» Les mêmes sources embrayent : «Pour espérer équilibrer la ligne aux tarifs moyens actuels, il faudrait un taux de remplissage à plus de 160% (donc impossible) pour ne pas perdre d’argent. La décision de suspension est donc économiquement ultra rationnelle et justifiée, si l’on vise effectivement l’objectif de l’équilibre financier pour la société.»

Elles ajoutent : «Air Sénégal ne peut pas vivre en permanence sous perfusion d’argent étatique. Il lui faut équilibrer ses comptes avec une gestion rigoureuse et basée sur les seules réalités financières et de marché.»

Si la suspension des vols vers l’Afrique centrale (fermeture temporaire, précise-t-on à Air Sénégal) soulève des vagues, celle de l’axe New York-Baltimore fait l’unanimité. «Cette ligne devrait être fermée depuis longtemps.

Pédophilie, actes contre-nature… : l’ex-directeur au centre Dakar-Sacré Cœur sort de prison et solde ses comptes

Olivier Brice Sylvain est un homme blessé. Il a passé deux ans et huit mois en prison pour des faits qu’il jure n’avoir pas commis. Il s’explique et désigne ses bourreaux.

Olivier Brice Sylvain a été condamné par la Chambre criminelle de Dakar à deux ans de prison ferme pour détournement de mineurs. Celui qui était présenté comme préparateur physique de l’académie Dakar-Sacré Cœur (DSC), mais qui, en réalité, selon ses précisions, était le directeur du pôle Performance du centre, était accusé en 2019 d’actes contre-nature, pédophilie et détournement de mineurs.

Pour avoir purgé sa peine, après deux ans et huit mois de détention préventive, il a recouvré la liberté. Dans les colonnes de L’Observateur, il clame son innocence et affirme que ses déboires judiciaires sont un coup monté par d’ex-collègues. Dans la foulée, il solde ses comptes, notamment, avec le président de DSC qu’il accuse de l’avoir lâché.

«J’ai été surpris qu’on puisse écoper de cette peine avec aucun élément dans le dossier», a lancé Olivier Brice Sylvain. Pointant que «les parties civiles ont manqué de régularité dans leurs propos», que «le jour du procès, on a relevé des contradictions dans leurs propos».

Le rôle suspect de l’infirmier de DSC

Le Français de 33 ans estime avoir été victime de deux de ses ex-collègues. Il pointe d’abord l’infirmier du centre, Mamadou Diop qui, selon lui, «a joué un rôle suspect dans cette affaire». Sylvain lui répétait de ne pas habituer les pensionnaires du centre aux médicaments. De les laisser développer leurs défenses naturelles. Diop n’aurait pas apprécié.

«Il a amplifié les choses, martèle Olivier Brice Sylvain. Il m’a enfoncé durant l’audience. Mais il était totalement en désaccord avec son propre collègue Alphonse Ndour, qui était le kinésithérapeute du centre.»

L’ex-patron du pôle Performance de DSC soupçonne également ce dernier. Il croit savoir que Alphonse Ndour n’a pas, non plus, aimé les remarques qu’il lui faisait sur son travail. «Notre relation était tendue, admet-il. Je pense qu’il était prêt à tout. C’est lui qui avait lancé l’alerte. C’était de bonne guerre.»

Il ajoute : «Au fond, je ne pense pas que les enfants soient les uniques auteurs de cette histoire. Après avoir dérapé dans les mots, un adulte est allé plus loin. Mais en réalité, je n’ai aucun rapport sexuel avec ces jeunes joueurs.»

«Trop bon, trop con»

Mais Olivier Brice Sylvain signale que sa plus grande déception est liée à l’attitude du président de DSC. «S’il était véritablement un homme, il aurait pris le temps de m’entendre, assène le préparateur physique et mental. (…) Mais j’ai bien vu : trop bon trop con. Et c’est ça qui me touche le plus.»

L’ancien directeur à DSC explique : «Une personne qui semblait valeureuse s’est finalement montrée véreuse. Elle a préféré me tourner le dos, jusqu’au jour de mon arrestation. J’ai envoyé un message au président du club, il a osé me répondre : ‘C’est qui ?’. Il s’est bien foutu de moi quand il veut me faire croire qu’il n’a pas le numéro de l’un des plus gros salaires dans son club.»

Deux faits ont essentiellement précipité la chute de Olivier Brice Sylvain. Il est accusé de s’être livré à des attouchements sur des pensionnaires de DSC et d’avoir invité chez lui à plusieurs reprises des jeunes du centre. Le mis en cause jure qu’il n’en est rien. Les attouchements en question se seraient déroulés lors de séances de massages. «Le kinésithérapeute était sur place, rembobine-t-il. Il ne pouvait pas prendre tous les joueurs en une heure. C’est pourquoi je l’aidais en m’occupant de certains joueurs, uniquement des professionnels. Alors, il n’a pas aimé mes remarques.»

Le cousin de Madagascar

Pour les invitations de jeunes footballeurs à son domicile, Olivier Brice Sylvain rappelle que DSC, confronté à un problème de logement, lui avait envoyé des pensionnaires durant un stage de trois jours. «Il fallait vérifier les mails que j’avais envoyés à leurs tuteurs. Mais cela n’a pas été fait», regrette-t-il.

De plus, Sylvain révèle qu’il hébergeait son cousin de 13 ans, qui venait de Madagascar. «Chaque weekend, raconte-t-il, il invitait ses camarades à la maison. La journée, ils regardaient les matches ensemble. Le soir, ils avaient l’habitude de trainer en ville. On m’accuse de détournement de mineurs parce que tout simplement j’ai laissé mon cousin inviter ses amis à la maison.»

Mort de Aminata Touré «Méta» : rebondissement dans l’enquête

Un individu dont les initiales du nom sont C. O. D a été arrêté dans le cadre de l’enquête sur la mort de Aminata Touré dite «Méta». Le corps sans vie de cette dame a été retrouvé à Kolda où elle se rendait à bord d’un bus pour récupérer sa fille. La victime vivait en France. Elle était venue en vacances au Sénégal et s’était établie à Mbour.

Libération rapporte que le suspect a été déféré, mercredi dernier, au parquet de Kolda. Il a été placé sous mandat de dépôt. Le journal rapporte que le mis en cause est le chauffeur du véhicule de couleur blanche que les enquêteurs pistaient depuis le début de l’affaire. Cette voiture, rappelle la même source, a suivi le bus qui transportait «Méta» de Mbour à Kolda.

Le suspect a été arrêté avec le concours de la Section de recherches de Dakar, qui a pu le localiser grâce aux images d’un système de vidéo de surveillance installé au garage de Nioro à Kaolack. Il a tenté de nier sa présence à Kolda avant d’être confondu par d’autres images de vidéo de surveillance.

En plus, souligne Libération, son téléphone bornait dans la zone où le corps de la victime a été retrouvé. Un de ses amis a été convoqué dans le cadre de l’enquête. Il est dans le collimateur des gendarmes.

Avant l’arrestation de C. O. D, les enquêteurs avaient mis la main sur Mouhamed Moustapha Mbaye. Mais après vérifications, ces derniers se sont rendus compte qu’il n’était pas le conducteur du véhicule qu’ils recherchaient. Il a été libéré.

Mariages avec disparité de culte ou mariages mixtes: L’amour prend le dessus

Les mariages mixtes ou encore les mariages avec disparité de cultes sont de plus en plus nombreux. Une tendance qui ne fait que s’accroître au fil des années. Et pour cause, l’amour, qui défie toute loi de la nature, faisant que la différence religieuse ne constitue plus une entrave à l’union. Avec le sociologue Djiby Diakhaté, le père Alex Junior et Oustaz Fadel Gueye, on en sait un peu plus sur ces mariages.

Aujourd’hui, l’amour a pris le dessus sur les barrières culturelles, ethniques pour donner vie à cette sensation inexplicable qui fait que les deux êtres trouvent leur bonheur en leur couple. Dans un couple, s’aimer ne nécessite que l’engagement de deux personnes mais pour s’unir, il y a tout un arsenal de partis intéressés dont la famille où chacun cherche à conserver ce qui le rattache à ses appartenances. Entre l’accord pour la célébration du mariage, l’éducation des enfants est un des challenges majeurs des couples. C’est là que se cristallisent les phénomènes de tradition, culture, entre autres. Plus ces éléments sont différents, plus il faudra s’adapter. « Ce qu’il faut comprendre est qu’on est dans un monde qui est devenu un village planétaire, comme le dit Marchal Mathurin.

Les différentes entités du monde sont en train de s’uniformiser en raison des relations profondes que ces segments entretiennent avec les réseaux, les boulevards de communication qui deviennent de plus en plus restreints. On a même l’impression qu’aujourd’hui, chacun, en ce qui le concerne, est en relation avec l’autre et compte non tenu de l’appartenance raciale ethnique, confessionnelle, religieuse ou géographique, donc c’est un monde qui est en train d’uniformiser ces structures, qui tend vers une homogénéisation de ces pratiques », rappelle le sociologue Djiby Diakhaté. Il poursuit pour dire que cette uniformisation ne signifie pas qu’il n’y a pas de nuance dans les différentes localités, qu’il n’y a pas de pratique spécifique à des entités qui restent arc-boutées à leur identité, leur tradition et coutume.

Sous ce rapport, on va dire qu’au-delà des liens profonds que la mondialisation nous a imposés, il existe encore des spécificités, des réalités propres à des communautés qui vivent en fonction de ce qui constitue leur patrimoine culturel. Il y a une tendance forte à la création de ce que Senghor appelle une civilisation de l’universel par le biais de ce qu’il a nommé par la belle expression « le rendez-vous du donner et du recevoir », a expliqué le sociologue. Il fut un temps, ces mariages entre deux personnes de religion différente étaient interdites, on ne le permettait qu’en obligeant le partenaire de l’autre religion à se convertir d’abord s’agissant de l’islam. L’Eglise catholique est plus souple, mais elle s’assure, cependant, que les deux partenaires s’engagent dans un mariage monogame, indissoluble, et avec la garantie d’éduquer les enfants dans la foi chrétienne, tout en gardant tous les deux leurs convictions religieuses personnelles.

L’Eglise interdit le mariage avec disparité de culte

« Le mariage entre une personne catholique et une partie non baptisée de la religion musulmane par exemple et même un athée s’appelle le mariage avec disparité de culte. Et ce mariage est formellement interdit par l’église catholique car la disparité de culte fait partie des empêchements, c’est-à-dire des empêchements qui rendent le mariage nul », a précisé le père Alex Junior, curé de la paroisse saint Abraham de Guédiawaye, avant de poursuivre : « Mais si les deux personnes qui voudraient contracter ce mariage arrivent à remplir toute les conditions requises de le faire, ce mariage est valide. Par contre, il n’a pas de valeur sacramentelle. Ce qui n’empêche pas toutefois l’église catholique de respecter le choix des couples pour un mariage avec disparité. » Toutefois, comme tout engagement, cette union a des conditions pour qu’elle soit reconnue, insiste le prêtre. Pour que l’autorité compétente, c’est-à-dire l’évêque ou son délégué, concède la dispense, la partie catholique déclare qu’elle est prête à écarter tous les dangers d’abandon de la foi et promet sincèrement de faire tout son possible pour que tous les enfants soient baptisés et éduqués dans l’église catholique, l’autre partie doit être informée à temps des promesses de la partie catholique de sorte qu’il soit établi qu’elle connaît vraiment la promesse et l’obligation de la partie catholique, et puis les deux parties doivent être instruites des propriétés essentielle du mariage, aucun élément ne doit être exclu ni par l’un ni par l’autre des parties contractantes.

L’église catholique n’impose pas le baptême, mais elle demande aux non baptisés d’être en accord avec les quatre piliers du mariage chrétien à savoir : la liberté de consentement, l’indissolubilité du mariage, la fidélité, la procréation et l’éducation des enfants ainsi qu’une ouverture aux autres. C’est quand toutes ces conditions sont remplies que l’autorisation est accordée à la partie catholique pour qu’elle contracte un mariage avec la partie non baptisée. Il faut vérifier en particulier que le partenaire musulman est prêt à rester fidèle à un seul conjoint et à vouloir son bien et que le partenaire catholique déclare son attachement à l’indissolubilité de son union. Telles sont les exigences de l’Eglise catholique pour permettre à un de ses fidèles qui désire contracter un mariage avec disparité de culte.

 Le point de vue l’Islam

Dans l’islam, le mariage d’une musulmane avec un non-musulman est interdit, sauf si le non musulman se convertit, selon Oustaz Fadel Gueye et par conséquent, les enfants du couple devront être éduqués dans le respect des traditions musulmanes. « Vous comprendrez que le mariage tient une place très importante dans la religion musulmane, et qu’il s’agit d’un engagement plus que sentimental. On parle d’un contrat entre un homme et une femme. Ce dernier est appelé nikah et est fondé, selon le Coran, sur “ l’amour et la compassion que Dieu a infusés dans le cœur de l’homme et de la femme afin qu’ils forment un couple ”. Qu’elle soit mineure ou majeure, une femme qui désire se marier pour la première fois doit obtenir l’accord de son tuteur (wali), ce dernier devant forcément être musulman. Si le tuteur refuse ce mariage, la jeune femme pourra alors s’aider d’un juge pour pouvoir se marier. Tout couple musulman peut divorcer et se remarier bien que cela soit pensé comme « la chose admise la plus détestée de Dieu ». « Le mari doit, à sa future épouse, verser une dot dont le montant reste secret pour les personnes extérieures au couple. Cette dernière est aussi appelée douaire (mahr) et pourra être utilisée même si le couple venait à divorcer. Cette dot peut avoir diverses formes : argent, bijoux ou autre. »

Le point de vue du Sociologue

Aujourd’hui, quel regard porte la société sur ces mariages ? Réponse du Sociologue Djiby Diakhaté Ces considérations qui étaient naguère sacrées au cœur des acteurs et qui déterminaient leur place dans la société et dans le monde, ont tendance à se fragiliser et donc du coup, on voit de plus en plus, des types de mariage qui unissent des acteurs qui appartiennent à des religions différentes. C’est une grande tendance qui caractérise le monde aujourd’hui, sauf que une fois qu’on a dit ça, ce qu’il faut ajouter, c’est l’adhésion de la communauté et ça c’est un autre problème, l’idée que les jeunes peuvent dire que ce qui est plus important c’est l’amour donc nous allons nous lancer dans un lien matrimonial essentiellement fondé sur l’affectivité, mais on oublie derrière que l’onction de la communauté n’est pas toujours acquise. Dans la société Africaine, le mariage n’est pas seulement une affaire qui mobilise deux êtres seulement, c’est aussi une affaire qui mobilise des familles et donc lorsque les communautés ne sont pas en phase avec les décisions et les actes qui sont posés, le couple peut évidemment rencontrer le rejet de la communauté et peut être fragilis. La discussion est périodiquement lancée dans la société avec les jeunes, qui considèrent la position traditionnelle comme fondée, non pas sur le texte coranique, mais sur d’anciens réflexes. Ce n’est plus le cas au Sénégal. En tout état de cause, beaucoup de personnes ignorent que les mariages mixtes ne sont pas faciles, non seulement du fait des différences religieuses mais également sur le plan culturel et traditionnel entre les deux conjoints. Nombreux finissent pas se séparer du fait du poids de la société.

AVEC Rosita Mendy

Le Procureur Alioune Ndao enquêtait sur les 8 milliards de Macky

Le magistrat à la retraite, Alioune Ndao a mené des enquêtes sur le patrimoine du Président Macky Sall estimé à 8 milliards de FCFA. Une somme faramineuse que l’ancien procureur prés de la Cour de répression et de l’enrichissement illicite (CREI) juge incompréhensible en 7 ans.

» Oui ! J’ai commencé à investiguer sur le patrimoine du président Macky Sall. Il a déclaré 8 milliards de francs, mais attendez, je me suis dit : « mais, comment en 7 ans de présence dans les plus hautes sphères de ce pays, il peut se retrouver avec 8 milliards, s’interroge l’ancien Procureur Alioune Ndao dans son entretien avec le journal Les Echos.

Après s’en est suivi les 7 milliards de Taîwan que Idrissa Seck dénonçait régulièrement lorsqu’il était dans l’opposition.  » Je voulais savoir d’où venait cet argent et comment cet argent a été utilisé ? Et j’ai eu des traçabilités. Donc, l’un dans l’autre, j’étais une personne indésirée », raconte t-il.

Angleterre: Rishi Sunak, nouveau Premier ministre

 Ses concurrents s’étant retirés de la course, Sunak prend la tête du parti Conservateur, et assurera donc le rôle de Chef du gouvernement britannique.

Le Parti Conservateur britannique élit à sa tête Rishi Sunak, le propulsant ainsi sur le fauteuil de Premier ministre.

Après la démission, le 20 octobre, de l’ancienne Première ministre Liz Truss, le parti au pouvoir en Angleterre devait élire un nouveau chef de fil, pour que celui-ci prenne les rênes du gouvernement.

Après le retrait de la course de l’ancien Premier ministre Boris Johnson, et celui, ce lundi, du dernier candidat en course, Penny Mordount, Rishi Sunak a donc automatiquement été élu à la tête du parti.

Il occupera donc aussi le fauteuil de Premier ministre.

Sunak devient ainsi le premier Chef de gouvernement britannique à être issu d’une famille qui a immigré en Angleterre, ses parents sont originaires d’Inde. Il a, auparavant, occupé le poste de ministre des finances sous le gouvernement Johnson.

Macky : «Les insulteurs publics savent qu’ils sont immédiatement retrouvés…»

Le chef de l’Etat, Macky Sall, a encore abordé la question des dérives sur les réseaux sociaux durant la 8e édition du «Forum de Dakar : paix et Sécurité». Il a posé la problématique durant son discours inaugural.

«Les dérives du numérique constituent  aujourd’hui une des menaces les plus sérieuses  à la paix à la sécurité et à la stabilité de nos pays. Menaces d’autant plus difficiles à combattre qu’elles sont diffuses et multiformes. À la cybercriminalité classique, s’ajoute la frénésie quotidienne des réseaux sociaux devenus une fabrique massive de Fakenews et de manipulation. Le monde réel est à la merci du monde virtuel qui reprend à haut débit la tromperie, le populisme, la tromperie, la haine et la violence. Autant de pratiques malsaines qui ne peuvent relever de la liberté d’opinion ou d’expression (…)

Il y a urgence à réformer les moyens de lutte contre la cybercriminalité. C’est la vocation de l’école de cybersécurité à vocation régionale, qui est un produit du forum de Dakar. Nous l’avons mise en place avec la France. Une école qui travaille pour former les experts dans ce domaine. D’ailleurs, les insulteurs publics savent très bien qu’ils sont retrouvés immédiatement aujourd’hui et traduits devant la justice.

Dans le même esprit, il est temps  de règlementer les réseaux sociaux pour en limiter les abus. Il n’est pas question de règlementer quelles que libertés que ce soit, on parle de limiter les abus qui sont des facteurs de promotion de la violence et de haine dans nos  pays.»

Tambacounda : Les agents des eaux et forêts réclament leurs arriérés de salaire

Les agents d’appui des eaux et forêts et de l’environnement de Tambacounda sont restés deux mois sans salaire. Selon  ces travailleurs, c’est de l’injustice qu’ils sont en train de subir. Face à la presse ce matin, ces agents ont exigé le paiement de leurs arriérés de salaire.
Selon leur porte-parole Ibrahima Sory Diallo au micro d’iRadio, les salariés des agents d’appui des eaux et forêts et ceux de l’environnement subissent les coups les plus rudes portés par la Direction de l’Environnement soutenue par le ministre de l’Environnement et le ministre des Finances et du Budget.
«Les salariés de ce programme dans plusieurs localités accumulent deux à trois mois de travail sans pour autant être payés, depuis la signature des contrats en août 2021 jusqu’à présent. Face à une telle situation, nous, avec notre Union des agents d’appui forestiers et ceux de l’environnement estimons que le moment n’est plus à la résignation, mais au contraire à la résistance et au combat. Nous travaillons conformément aux règles du service dans le respect de la hiérarchie, du Code du travail. Sur ce, nous affirmons notre opposition totale face à l’injustice et à la maltraitance», déclare-t-il.
C’est pourquoi Xeyu Ndaw Gni eaux et forêts environnement de Tambacounda et ses départements exigent le paiement définitif des arriérés de salaire, le paiement à temps des salaires avant le 8 de chaque mois, le paiement des salaires par virement bancaire, le respect du contrat mutuel de santé, la reconnaissance des agents par la délivrance des cartes d’agent du service, etc. Dans tous les cas, la conformité des tenues avec les autres agents du service.
Ainsi, un appel est lancé au président la République, au ministre de l’Environnement et au directeur de l’Environnement pour régler cette situation dans le

[Vidéo] Corniche-Ouest : 3 cas de noyade signalés, les recherches sont en cours

Selon des informations reçues, trois cas de noyade viennent d’être signalés sur la corniche-Ouest de Dakar, ce lundi 24 octobre. Les victimes sont toutes de jeunes garçons, sans autre précision sur leur identité.
Actuellement, les sauveteurs sont sur place. Et les recherches sont en cours depuis près d’une heure.

 

Poliomyélite : La sensibilisation comme méthode préventive

La Journée mondiale de lutte contre la poliomyélite est célébrée ce lundi 24 octobre. Selon les infos fournies par la Rfm, le Sénégal fait partie des pays où la poliomyélite sauvage est éradiquée.
 
Cependant, des cas dérivés du virus ont été enregistrés. C’est la raison pour laquelle les acteurs demandent de mettre plus l’accent sur la sensibilisation.
 
“Le Sénégal a été exempt de poliomyélite sauvage depuis 2020. Mais il y a des variants du virus sécrétés par les selles qui ont dû infecter des enfants”, explique le Dr Daniel Kouedou, Président du Comité Polio Plus Sénégal. Ce dernier préconise de continuer la sensibilisation pour demander aux parents de compléter la vaccination de leurs enfants.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention