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Goudiry : Une femme enceinte de 8 mois chute mortellement dans un puits

Les habitants  de Bala (département de Goudiry) ont connu un jour tragique, le samedi 22 octobre. Et pour cause !  Kadiatou Diallo, trentenaire et en état de grossesse de 8 mois, est morte après une chute mortelle dans un puits profond de 70 m, à Kahel. La défunte a été emportée par la corde de la charrette d’âne qui s’est détachée du bac rempli d’eau.

Les personnes qui se trouvaient avec la victime, dont sa coépouse, se disent surprises par la rapidité des faits. Alertés, les sapeurs-pompiers de la 61e compagnie ont constaté  sur place que la jeune dame enceinte avait déjà rendu l’âme. Le corps sans vie est extrait du puits et acheminé à l’hôpital régional de Tambacounda. Informée du drame, la brigade de gendarmerie de Goudiry a ouvert une enquête pour éclairer la lanterne des populations sur la disparition tragique de Kadiatou Diallo.

Cambriolage à Richard-Toll : Un gang composé de 10 malfaiteurs démantelé par la police

Un bel exploit à l’actif des éléments du commissariat urbain de Richard-Toll qui ont mis hors d’état de nuire un gang spécialisé dans le cambriolage. Selon les informations de Seneweb, les hommes du commissaire Demba Ngagne Tine ont arrêté 10 malfaiteurs, dont leur receleur. Tout ce beau monde a été présenté au procureur ce lundi matin. Détails ! Fin de règne pour le réseau de malfrats ayant commis des cambriolages à Richard-Toll dans la nuit du 2 au 3 octobre 2022.  La bande à I. Gaye a fini par mordre la poussière face à la persévérance et la ténacité des hommes du commissaire Tine. Suite à d’intenses investigations, les limiers de Richard-Toll ont procédé à l’arrestation de neuf cambrioleurs, ainsi que leur receleur O. Diallo, commerçant de son état, selon des sources de Seneweb. L’annonce du démantèlement de ce gang a suscité l’euphorie des populations locales, notamment les commerçants. Et pour cause ! Ces malfaiteurs ont fait plusieurs victimes à Richard-Toll. En effet, les neuf cambrioleurs ont visité quatre boutiques et deux dépôts de marchandises, dans la nuit du 2 au 3  octobre derniers. Le butin emporté par le gang Parmi les victimes figure le commerçant O. Diallo qui avait perdu deux téléphones portables, une somme de 200 000 F Cfa, ainsi que de la  marchandise. D. Diallo a été dépouillé d’une somme de plus de 200 000 F Cfa. Également, une marchandise d’une valeur de 166 000 F Cfa a été emportée dans le dépôt d’A. S. Quant à M. Sow, il a perdu 175 000 F Cfa, des téléphones portables et des accessoires, lors du passage du gang de malfaiteurs dans son multiservice, d’après des sources de Seneweb. Mais les commerçants dépouillés peuvent pousser un ouf de soulagement, suite à ce coup de filet de la police de Richard-Toll. Le cerveau de la bande, I. Gaye, ses compères A. Sow, M. Bâ élève, I. W. mécanicien, A. Thiam mécanicien, A. Sall élève, R. Sy mécanicien, E. Sow élève, M. Sow mécanicien et leur receleur le commerçant O. Diallo ont tous reconnu les faits. Au terme de l’enquête rondement menée par la police de Richard-Toll, tout ce beau monde a été déféré ce lundi matin au tribunal de grande instance de Saint-Louis, pour association de malfaiteurs, vol commis la nuit avec effraction et recel.

Adultère à Touba : une femme et deux hommes reçoivent 100 coups de fouet

Une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux et autres sites d’informations, depuis quelques jours, montre une séance de punition publique d’une femme prise pour des faits d’adultère dans le village de Guédé Bousso, une bourgade à la lisière de Touba. Un châtiment de cent coups de fouet lui a été infligé, devant les caméras et des personnes conviées comme témoins pour faire l’exemple. Les faits ont eu lieu le 17 octobre 2022. Idem pour deux autres hommes également battus, ce samedi 22 octobre dernier, à 100 coups de fouets pour expier leur pêchés. La cérémonie de bastonnade a eu lieu devant la grande mosquée de Guédé après la prière du crépuscule. Les deux jeunes garçons âgés de moins de 40 ans ont reçu chacun 100 coups de fouets pour adultère avant de rentrer chez eux. Auparavant, une femme allongée devant la mosquée est fouettée pour avoir entretenu des relations sexuelles extra-conjugales.. La femme en question aurait entretenu une relation sexuelle hors mariage, d’où cette correction conformément à la charia. Selon les autorités religieuses de Guédé, cette pratique de la charia en matière d’adultère date des années 1800 et se perpétue jusqu’à nos jours. Selon la famille Bousso qui tient à lever tout équivoque, l’acte n’est pas obligatoire. Pour la dame adultère, elle s’est déplacée elle-même d’u quartier de Touba pour venir à Guédé demander qu’on lui applique la charia. Elle n’est pas mariée. Si c’était le cas, la sentence sera plus lourde et ce serait la peine de morte, avise-t-on. Après la repentance, une fois purifiés, le khalife de Guédé formule des prières pour les mis en cause. Il demandé au public de rester dans la mosquée jusqu’à ce que “pêcheurs purifiés” quittent définitivement les lieux afin qu’on n’identifie pas leurs maisons. La famille Bousso rappelle qu’en 2020, après le Magal, une femme venue de Kaolack avait demandé à se faire fouetter parce qu’elle avait forniquer. Elle rappelle qu’avant de fouetter le pêcheur ou la pêcheresse, celui-ci ou celle-ci est soumis (e) à un interrogatoire pour connaitre les tenants et les aboutissants de l’affaire. Le fouettage n’est pas aussi sauvage comme on le décrit. Il est fait avec une corde tressée en fouet et la main du fouetteur ne se lève pas trop. La première question qui viendrait à l’esprit est de se demander si la femme a commis l’adultère seule.

Thiès : comment une directrice d’école est retrouvée morte dans des buissons

Farmata Ibrahima Ly était une enseignante de 35 ans habitant à Matam. Nommée directrice d’une école primaire à Thilogne, elle devait prendre fonction cette rentrée. Mais elle ne rejoindra jamais son poste. Elle est décédé à Thiès alors qu’elle se rendait à Dakar pour préparer l’ouverture des classes.

D’après L’AS, qui parle de cette affaire dans son édition de ce lundi, Farmata Ly avait quitté son Fouta natal la nuit du 18 septembre. Arrivée à hauteur de Diassap (Thiès), le lendemain, elle écourte son voyage et descend du véhicule. Elle était tenaillée par des maux de tête atroces à cause d’un abcès qu’elle voulait d’ailleurs traiter à Dakar.

Le journal rapporte que l’enseignante sera victime d’un malaise. Elle perdra connaissance au milieu d’un verger. Depuis lors, sa famille est restée sans nouvelles. Les avis de recherches lancés dans les médias n’ont rien donné jusqu’à vendredi dernier, un mois après sa disparition.

Ce jour-là, vers 17 heures, un groupe de talibés découvre le corps sans vie de Farmata Ly dans les buissons d’un verger situé entre Kawsara Fall et Pognène, non loin du chemin de fer. La police, les pompiers et le service d’hygiène sont alertés.

Son corps étant dans un état qui ne permettait pas une longue conservation, l’enseignante sera inhumée le même jour au cimetière Madoki de Thiès, en présence de ses parents.

Axe Linguère-Matam : Un véhicule 4/4 percute une charrette et fait 02 morts

Un violent accident s’est produit avant-hier vers vingt heures sur la route Linguère-Matam à hauteur du village de Loumbalana distant de 46 kilomètres de la ville de Linguère.
 
Un véhicule 4/4 en partance de Ourossogui pour Louga a violemment percuté une charrette qui traversait la chaussée.
Une dame du nom de Diélia Sow, 51 ans, a perdu la vie sur place tandis que son neveu Moussa Sow, 34 ans, succombera à ses blessures quelques instants après son évacuation à l’hôpital Magatte Lo de Linguère.
Toutes les deux victimes étaient à bord de la charrette.
Alertés, des éléments de la gendarmerie et des sapeurs-pompiers de Linguère se sont transportés sur les lieux de l’accident. Après constat,  les victimes ont été acheminées à l’hôpital Magatte Lo par les sapeurs-pompiers. Il faut signaler que la plupart des véhicules hippomobiles (charrettes calèches et autres) roulant la nuit sur l’axe  Linguère-Matam  sans catadiode sont à l’origine de beaucoup d’accidents souvent mortels.

Mille coups de fouet à combien d’hommes sénégalais ? (Madiambal Diagne)

Une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux et autres sites d’informations, depuis quelques jours, montre une séance de punition publique d’une femme prise pour des faits d’adultère dans le village de Guédé Bousso, une bourgade à la lisière de Touba. Un châtiment de cent coups de fouet lui a été infligé, devant les caméras et des personnes conviées comme témoins pour faire l’exemple. La première question qui viendrait à l’esprit est de se demander si la femme a commis l’adultère seule. Bien sûr que non ! Quel sort a été réservé à son partenaire ? Seule la femme a été jetée en pâture, humiliée ainsi publiquement et violentée. Son partenaire de l’autre sexe est épargné, sans doute protégé par ces juges qui sont tous des hommes. Une certaine forme de discrimination à moins qu’on ne considère que la femme pécheresse aurait violé son partenaire. Mais l’histoire ne le dit pas ; comme elle ne dit pas non plus comment le bourreau a installé la condamnée sur ses propres cuisses et ne s’est nullement pressé que la drôlesse se lève. L’autre problème moral est de savoir si le ou les bourreaux eux-mêmes peuvent lever la main pour dire n’avoir jamais péché car dans ce bas monde, chacun a ses petits ou grands péchés à l’occasion. Mais là n’est pas le propos. Il se trouve que personne ne pourra dire n’avoir pas regardé cette vidéo, mais tout le monde semble détourner le regard, faire comme si le fait ne le regardait pas, ne le concernait pas. Pourtant si… Au premier chef, les autorités de l’Etat ne peuvent pas faire le dos rond devant une telle situation attentatoire aux droits humains. Ce traitement cruel, inhumain et dégradant est aux antipodes de la règle de droit dans notre pays. Plus grave, en laissant s’installer et prospérer cette forme de Justice privée ou parallèle, l’Etat se dépouille de l’une de ses principales missions régaliennes. L’acte de flagellation de personnes adultérines à Guédé village ne serait pas le premier. Les médias avaient relayé un acte similaire dans le village de Thiénaba en novembre 2020. On évoque aussi les mêmes pratiques dans d’autres contrées comme dans le village de Maîmounatou (Sagatta) et à Médina Gounass dans la région de Kolda. On voudrait qu’une loi islamique, la charia, y soit de rigueur, or les seuls cas recensés d’application de cette charia sont relatifs à des affaires de sexualité. Cela pousse à se demander si ces mollahs ne se préoccupent que des questions de sexualité ? L’urgence pour les autorités républicaines d’intervenir pour mettre un terme à de telles pratiques s’impose d’autant que le risque est encore grand que d’autres échelles de peines édictées par cette charia pourraient se voir appliquer un jour dans ces localités. Que dira-t-on si demain un voleur se fait amputer d’une main ou des deux mains ? Ou encore que la lapidation à mort ou la pendaison publique soit appliquée pour punir un quelconque crime ? Dans quelles conditions cette forme de Justice s’exerce-t-elle ? Assurément, la passivité de l’Etat a fait le nid de la prolifération de milices d’obédience religieuse qui ont fini par se muer en polices religieuses pour arrêter et bastionner jusqu’à des personnes trouvées en train de fumer une cigarette ! Des femmes présumées être des travailleuses du sexe, trouvées dans des lieux privés, ont été molestées et certains de leurs bourreaux les ont punies en profitant de ces proies pour satisfaire leur libido. D’autres femmes mal vêtues à leur goût, se font arracher publiquement leurs coiffures ou leurs faux-cils. Quid de ces gaillards, torse nu, avec toute leur masculinité offerte aux regards de femmes et qui passent pour être des fidèles dévoués ? C’est une certaine forme d’injustice de sexe qu’on constate jusqu’à voir des femmes abattues d’une balle dans la tête ou éventrées par leur époux pour avoir osé demander le divorce. Ces féminicides passent presque inaperçus alors que l’indignation, la réprobation et la condamnation sont systématiques et générales, à chaque fois qu’un homme a eu le malheur d’être ébouillanté ou même battu par sa femme. Les autorités publiques marchent sur des œufs et poussent le «ponce pilatisme» jusqu’à proscrire l’intervention des Forces de l’ordre dans des localités. On a vu des milices religieuses arrêter (on ne sait dans quelles circonstances et conditions) des personnes et les conduire, dans un rare instant de mansuétude, devant la police d’Etat qui prend ainsi la suite. Quelle forme de coopération pourrait-on envisager entre une police religieuse et une police républicaine d’un Etat démocratique, alors qu’elles ne partagent pas les mêmes règles de droit positif ? Le Président Abdou Diouf avait eu l’habileté de convaincre le Khalife général des Mourides, Serigne Abdoul Ahad Mbacké (1968-1989), à installer les forces de police d’Etat dans la ville de Touba, qui tendait à devenir un repaire de malfrats, de bandits de tout acabit et de trafiquants de drogue. Par exemple, quand des unités cynophiles avaient été déployées dans la ville, l’émoi était tel que le khalife a pu instaurer d’autorité et faire accepter la présence des chiens renifleurs dans toute l’enceinte de la ville, avec une formule restée dans les mémoires : «Ces chiens ne traquent que leurs semblables !» Se faire tuer pour avoir demandé le divorce, se faire flageller pour avoir forniquéLe Sénégal a la particularité de compter de nombreux militants des droits de l’Homme, qui ne relèvent que les exactions présumées imputables à la puissance publique. Encore que sur ce registre, leurs sujets de prédilection sont les questions électorales. Ainsi, aucune de nos célèbres grandes organisations humanitaires ne s’est sentie concernée par la dernière flagellation publique fort médiatisée de Guédé Bousso. On a aussi du mal à trouver une déclaration condamnant ou s’émouvant des derniers cas de crimes contre des femmes qui n’en pouvaient plus de rester dans leur ménage et qui souhaitaient le quitter. Les organisations de droits des femmes sont encore devenues plus discrètes ou aphones, depuis qu’elles avaient fait montre d’une lâcheté qui leur collera éternellement à la peau dans l’affaire opposant la dame Adji Sarr au leader du Pastef, Ousmane Sonko. La série macabre est sans fin. En l’espace de quelques jours, Nafissatou Diédhiou a été tuée par son époux à Grand-Yoff (Dakar), Fatou Samb a été enlevée, séquestrée, violée à Kaolack, S. Barro a reçu, à Matam, une balle dans la tête du fait de son époux qui lui refusait le divorce, Aminata Touré a été tuée à Saré Mbemba Touré (Kolda). Dieynaba Sané a été éventrée à Bounkiling (Sédhiou) par son époux qui lui refusait le divorce. Le plus triste est qu’on en oublie ou que de nombreux cas du genre ne sont pas signalés, camouflés, cachés par les familles. La bonne preuve que ces pauvres victimes avaient bien raison de chercher à quitter leurs maris est que ces derniers ont montré leur véritable nature de bourreau en leur ôtant la vie. Elles agonisaient dans leur ménage, mouraient, et leur mort a été précipitée par leur demande le divorce. Leur supplice se révèle être une certaine forme de quadrature du cercle car les rares femmes qui échapperont à l’emprise de leur mari seront flagellées publiquement si elles s’aventuraient à refaire leur vie. Par contre, les hommes pourront continuer allégrement de tout se permettre. Si l’adultère devait être puni de cent coups de fouet, ils seraient bien nombreux à essuyer des milliers de coups. La façon dont le Sénégal traite ses femmes donne l’impression que la promotion de valeurs humanistes et le combat pour la préservation de la dignité de tous se perdent. Notre consœur, Mame Woury Thioubou, n’a pu retenir un coup de gueule dans l’édition du journal Le Quotidien du 21 octobre 2022 quand elle écrit : «Sont-elles insensibles, apathiques ou simplement indifférentes au sort des femmes de ce pays ? Le silence de cathédrale, que servent les autorités de ce pays depuis qu’une suite d’assassinats de femmes a lieu, interroge.» Un pays ne peut se dire juste envers toutes et tous, si la moitié des citoyens qui le composent, est la première victime sans protection. Des hommes puissants, fortement présumés agresseurs sexuels, se baladent en bombant le torse parce qu’en définitive, toute la société est complice !

Ça chauffe entre Malick Gackou et Gaston Mbengue

Malick Gakou a servi une sommation interpellative au promoteur de  lutte Gaston Mbengue. Ce dernier a tenu des propos accusant Malick Gackou de travailler pour le compte de Macky Sall, lors d’une émission animée par Aissatou Diop Fall. 
 
Propos qui n’ont pas plu au leader du Grand Parti :  « les propos en service commandé de Gaston Mbengue, dans l’émission Face à Face affirmant que je travaille pour Macky Sall sont faux et totalement erronés. Après avoir vainement cherché à m’enrôler dans le camp du régime, les officines du pouvoir cherchent à entacher ma crédibilité pour nuire à ma candidature à l’élection présidentielle de 2024. C’est peine perdue, je ferai toujours  face à ce régime de défaitistes anti patriotiques qui spolie la nation ». 
 
Poursuivant, Malick Gackou compte laver son honneur via les tribunaux  : « je n’ai aucune crainte, ni peur face à ce régime et je défie quiconque d’apporter la preuve du contraire. Je serai toujours au premier rang du combat contre une troisième candidature illégale et illégitime du président Macky Sall et pour une victoire des forces vives pour le triomphe du peuple en 2024 .Aucune menace, aucune pression ne peuvent me détourner du sens de mon combat pour le Sénégal. J’ai demandé à mon avocat d’envoyer une sommation interpellative à Gaston Mbengue pour le rétablissement de la vérité ».

Ballon d’Or : sur vingt votants, un seul pays africain a choisi Sadio Mané

Sadio Mané est deuxième du palmarès 2022 du Ballon d’Or France Football. Avec 193 points, il arrive loin derrière Karim Benzema, le vainqueur, qui a recueilli 549 points.

D’après le détail des votes publié par France Football et repris par Les Échos, sur vingt votants, un seul pays africain a placé Sadio Mané sur la plus haute marche du podium : le Sénégal.

Les dix-neuf autres ont choisi Benzema (17 pays), Mohamed Salah (Égypte) ou préféré s’abstenir (Burkina Faso).

Le jury du Ballon d’Or est composé de journalistes issus de 93 pays. Quatre-vingt-neuf de ces électeurs ont placé l’attaquant du Real Madrid en tête.

Commercialisation de l’arachide : Le FNOPST demande à l’État de rembourser les dettes

Le Conseil d’administration de la fédération nationale des organismes privés et stockeurs et transporteurs (FNOPST) a organisé une réunion samedi à Kaolack pour tirer un bilan sur la campagne de commercialisation et des semences de l’année 2022. Face à la presse, ces derniers ont émis des inquiétudes relatives au bon déroulement de la campagne de commercialisation.

En effet, le Fnopst semble très inquiet. “Pour un bon démarrage, il faut que l’Etat commence à payer les factures sur les semences précédentes”, a martelé le porte-parole de la Fnopst, Cheikh Tall.

 
Il demande également au ministre de l’Agriculture de sortir de son mutisme et de parler aux Sénégalais pour mieux démarrer la campagne.
Par ailleurs, il a invité les huiliers à respecter les contrats et les délais de paiement car pour une bonne campagne, il faudra payer les factures à temps.

Dr Babacar Diop sur la 3e candidature : “Nous ne pouvons cautionner pour Macky Sall ce que nous avons refusé à Abdoulaye Wade”

Le maire de Thiès Dr Babacar Diop a fustigé le comportement des autorités de l’Etat notamment en termes de gabegie, d’instituions qu’il juge budgétivores. Sur le plan politique également, le leader de FDS les “Guelwaars” rejette de manière catégorique toute idée de troisième candidature du président Macky Sall en 2024. Rappelant le nombre de victimes, 14 personnes qui ont perdu la vie dans des manifestations contre la troisième candidature du pape du Sopi, il martèle : “Nous ne pouvons cautionner pour Macky Sall ce que nous avons refusé à Abdoulaye Wade”. Babacar Diop qui s’exprimait lors d’un séminaire à Thiès, a également promis de se prononcer sur l’élection présidentielle, prochainement.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention