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Pirogues pour l’Espagne : les trois régions les plus touchées au Sénégal sont…

L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a publié le rapport de son dernier monitoring des départs de migrants d’Afrique vers les Îles Canaries (Espagne). Elle a répertorié entre janvier et août 2022 l’arrivée de 10 637 candidats à l’immigration clandestine sur l’archipel espagnol.

L’étude, relayée par Les Échos, renseigne que si les pirogues arrivent généralement du Maroc et de la Mauritanie, les voyages sont souvent préparés depuis les côtes sénégalaises. Par exemple, entre le 1er juillet et le 31 août dernier, l’OIM a enregistré 23 événements (départs ou préparation) à partir du Sénégal.

Ceux-ci sont souvent organisés les jours de grands fêtes, d’après le rapport. Lequel précise que les régions les plus touchées sont Saint-Louis, Thiès (Mbour) et Fatick.

Yeumbeul Sud : le drogué de 19 ans tue sa tante pour du… café Touba

Ameth F. est en garde à vue au commissariat de Yeumbeul Sud. Ce jeune homme de 19 ans a été arrêté dans le cadre de l’enquête sur la mort de sa tante Nguetti F. hier, vendredi, au quartier Bollo Mbaye de Yeumbeul Sud.

Selon Les Échos, qui parle de cette affaire dans son édition de ce samedi, Ameth F. est un drogué qui, quand il prend sa dose, devient violent et terrorise les membres de sa famille. Le journal rapporte qu’il a une fois poussé le bouchon jusqu’à causer une double fracture à sa grand-mère maternelle.

D’ailleurs, souligne la même source, c’est pour protéger cette dernière de ses foudres que la tante de Ameth F. a été invitée à s’installer dans la maison. Il fallait  une personne pour lui faire face.

Nguetti F. prit les choses en main dès son arrivée. Au quotidien, elle vend du café Touba. Hier, son neveu la trouve devant son commerce et lui demande de lui offrir du café. La dame refuse et lui demande de mettre la main à la poche. Ameth F. insiste. Elle finit par céder en lui offrant une tasse puis une deuxième.

Quelques instants après, Ameth F. réclame une troisième tournée. Sa tante refuse catégoriquement. Le jeune homme entre dans une grosse colère, se jette sur Nguetti F. et lui assène de violents coups de poings.

Des membres de la famille et des voisins interviennent. Ces derniers sermonnent Ameth F.

Après l’incident, Nguetti prend une douche et se retire dans sa chambre. Alors qu’elle s’affairait dans la pièce, elle pique une crise et s’écroule au sol. Elle meurt au cours de son évacuation au niveau de la structure de santé qui porte le nom du rappeur décédé Pacotille.

Informés, des éléments de la brigade de recherches de la police de Yeumbeul Sud cueillent Ameth F. D’après Les Échos, c’est ainsi que des manœuvres sont entreprises par des membres de la famille du mis en cause pour le disculper. Ces derniers, précise le journal, essaient de faire croire que Nguetti F. est décédée de mort naturelle et que son neveu ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales.

Les auditions des membres de la famille éplorée et des témoins de la bagarre sont en cours. Ameth F., lui, est en garde à vue.

HCCT : Macky Sall publie la liste des 150 membres

Le chef de l’Etat, Macky Sall, par décret n°2022-1921 du 20 octobre 2022, a publié, hier, la liste des 150 personnes devant siéger au Haut Conseil des Collectivités Territoriales (Hcct). En effet, le HCCT compte 150 Hauts Conseillers désignés pour un mandat de cinq ans. Les instances et structures du HCCT sont l’assemblée plénière, le Bureau, la conférence des Présidents, les commissions et les services administratifs. L’élection des membres du Hcct a été organisée le 4 septembre dernier. L’opposition avait boudé ces élections ce qui avait consacré la victoire éclatante de la coalition « Benno Bokk Yaakaar ». Pour assurer plus d’équilibre, 80 conseillers sont élus au suffrage universel indirect et 70 sont désignés par le chef de l’Etat parmi les membres de la société civile, les organisations socioprofessionnelles et diverses catégories de la société.

 

Intégration africaine : le Mali fortement représenté au gala du FOGECA


Yehia Ag Mohamed Ali, Président du Conseil d’Administration  de la Banque Malienne de Solidarité BMS SA, prend part pour la première fois au gala des opérateurs économiques organisé par  Forum des Opérateurs pour la Garantie de l’Emergence Économique en Afrique (FOGECA). Il salue les opportunités qu’offre ce rendez-vous qui en est cette année à sa quinzième édition. Yehia Ag Mohamed Ali se réjouit aussi de la forte délégation malienne présente cette année.  ”J’ai été invité par mon ami Amadou Diagne pour venir au Fogeca qui est une rencontre d’hommes d’affaires qui viennent d’un peu partout en Afrique et aussi du reste du monde. Pour nous de la BMS qui voulons nous implanter bientôt au Sénégal c’est une bonne opportunité. ll y a une très forte délégation malienne ici. Vous avez le ministre du Commerce et de l’Industrie, le Président de la Chambre de Commerce qui est venu avec beaucoup d’opérateurs économiques. Le Sénégal c’est notre deuxième patrie. Vous savez le Sénégal est un pays tellement charmant, tellement accueillant que quand on est au Sénégal on se sent pratiquemeng chez nous. Moi je n’ai pas l’impression d’être en dehors du Mali” assure le PCA de la Banque Malienne de Solidarité.

Président du FOGECA, Amadou Diagne indiqué que la quinzième édition du gala s’annonce bien. Il ne manque pas de faire un plaidoyer en faveur du secteur privé et de saluer l’importance des thèmes retenus cette année. ” L’objectif est que le secteur privé africain aille de l’avant. C’est l’occasion de se retrouver et d’échanger autour de thèmes porteurs de valeur ajoutée. Le soir aura lieu le gala de l’intégration autour de la culture africaine. Plusieurs thématiques de première importance pour le développement du continent seront abordés :  le tansport aérien en Afrique, la Zone de libre échange continentale (Zlecaf) mais aussi  l’environnement juridique en Afrique.

 

 

Arrêté à Touba : Thiam Noble Bi avait vidé le compte Wave de son voisin

C. T. alias “Thiam Noble Bi” se trouve actuellement dans la cave du tribunal de grande instance de Diourbel. Ce menuisier métallique a été arrêté à Touba, puis déféré par les policiers du poste de Gouy-Mbind. Selon des sources de Seneweb, le mis en cause avait pompé 469 900 F Cfa dans le compte Wave d’un de ses voisins de quartier pour se la couler douce. Il risque la prison. Détails ! N’eût été la persévérance et la ténacité des policiers du poste de Gouy-Mbind, A. Diop aurait perdu ses 469 900 F Cfa. En effet, ce chauffeur domicilié au Jaakay Serigne Mbaye Ndiaye de Touba avait constaté qu’un retrait frauduleux a été effectué dans son compte Wave. Aussitôt, la victime a contacté le service clientèle de cette plate-forme de transfert d’argent. Wave confirme à  A. Diop cette arnaque avant de lui notifier le point de service d’où a été effectué le retrait. Ne sachant plus à quel saint se vouer, le chauffeur s’est présenté dans les locaux du poste de Police de Gouy-Mbind où il a déposé une plainte contre X sur la table du lieutenant Mbaye. L’exploitation des résultats de la réquisition adressée au directeur général de Wave a permis aux enquêteurs d’identifier l’escroc C. T., détenteur du numéro de téléphone 78 […]. Suite à une géolocalisation, les éléments de la brigade de recherches due la police de Gouy-Mbind ont fait chuter Thiam noble bi. Mis devant le fait accompli, il a reconnu avoir pompé la somme de 469 900 F Cfa dans le compte Wave de son voisin de quartier, A. Diop. Dans ses aveux, C. T. dit “Thiam Noble Bi” déclare avoir acheté une moto Jakarta et donné une partie de l’argent à sa mère. Il se la coulait douce avec le reste du butin, d’après ses propos. Selon des sources de Seneweb proches du parquet, l’escroc a retracé son modus operandi sur le procès-verbal transmis au procureur. “Mon voisin de quartier nous avait lancé un défi devant une boutique. A. Diop  avait dévoilé publiquement le code secret de son compte Wave, en déclarant que personne ne peut l’arnaquer. J’ai réussi à maîtriser les quatre numéros avant d’aller récupérer son numéro de téléphone auprès d’une boutique Free. Puis, j’ai inséré la puce Free avant de vider son compte”, a déclaré Thiam noble bi lors de son interrogatoire. Au terme de l’enquête, C. T. a été déféré ce vendredi matin pour accès et maintien frauduleux dans un système informatique et escroquerie via Wave. Il file directement vers la prison de Diourbel. Pour rappel, les policiers du poste de Gouy-Mbind, sous la direction du lieutenant El Hadj Ndiogou Mbaye, ont arrêté plusieurs escrocs via Wave depuis quelques mois.

Fatick – Introduction d’une nouvelle loi sur le prix du loyer : Les locataires piaffent d’impatience

Après l’échec du gouvernement sur la baisse des loyers à usage d’habitation, avec la loi votée en 2014, le chef de L’Etat revient à la charge face à la crise actuelle du logement et annonce une nouvelle loi qui sera effective dans trois mois. A Fatick où la location devient de plus en plus chère, les locataires attendent impatiemment la mise en vigueur et le respect de cette loi dont l’application a toujours été bloquée par les bailleurs.

Par Ndèye NDIAYE – A Fatick, le prix du loyer a connu une hausse notoire ces dernières années. Cette augmentation a été remarquée dans les nouveaux quartiers où les bâtiments sont plus lu­xueux. Au Boulevard Macky Sall, une zone bien aménagée, calme et propre, les appartements se louent à partir de 150 mille F Cfa. Dans ce site, se trouvent la résidence du président de la République, la Gouvernance, la mairie, plusieurs institutions financières, entre autres. Bien sûr, c’est un motif pour certains bailleurs de rendre chère la location. «Les gens considèrent le Boulevard comme l’endroit des nantis, car le président de la Ré­publique y a son domicile. Raison pour laquelle les propriétaires des maisons profitent de cela pour augmenter le prix du loyer. Difficile de trouver une maison à moins de 150 000 F Cfa», explique Mama­dou Ndiaye, assis sur l’un des bancs installés tout au long du Boulevard pour prendre l’air. Maïmouna, qui réside à quelques encablures du domicile présidentiel, fustige l’exagération de certains bailleurs, qui ont surenchéri les prix. «J’ai pris un studio et je paie 100 mille F Cfa par mois. Vraiment cette fois-ci, l’Etat doit prendre ses responsabilités, trop c’est trop. Les propriétaires de maison exagèrent. Seuls cinquante mille F Cfa suffisaient», dit-elle. Elle ajoute : «Nous attendons la baisse du loyer avec impatience.»
Aujourd’hui, les temps ont changé à Fatick. Il y a quelques années, il était très aisé de trouver dans n’importe quel quartier de la ville, une grande chambre à 10 mille F et un studio à… 30 mille F. Epoque révolue. A la Cité Emetteur et à Darou Rahman, de nouveaux quartiers créés récemment, les locataires paient entre 30 et 35 mille pour une chambre. Karim B. confirme : «J’habite à Darou Rahman où j’ai loué une chambre avec salle de bain, je paie trente mille F Cfa par mois.»
Les locataires attendent avec beaucoup d’impatience, cette nouvelle loi. Mais, il sera difficile voire même impossible de l’appliquer, selon les bailleurs. Sidi Ndiaye, l’un d’eux, souligne : «Ce sera difficile pour l’Etat de réguler le secteur. Déjà les banques ne nous facilitent pas la tâche pour les prêts immobiliers. Elles fixent des taux d’intérêt qui avoisinent les 10% et la fiscalité ne cesse de croître. Sans oublier le coût élevé des matériaux de construction et le foncier qui n’existe presque plus dans la ville.»
Après les 15 mesures annoncées par le Président Sall pour diminuer la cherté de la vie, 18 commissions ont été créées pour discuter des voies et moyens pour y arriver. Les résultats publiés par celle qui est chargée du loyer ont relevé que les tarifs sont anormalement élevés et hors de portée de la majorité des consommateurs, que le secteur est déstructuré, favorisant des pratiques spéculatives et une fluctuation à tendance haussière des prix. Sans oublier la signature d’un décret pour une application de la mesure dès janvier 2023, puisqu’il s’agit d’une «mesure d’application immédiate».
Face à cette situation, plusieurs mesures ont été proposées pour la baisse des prix du loyer et un plafonnement des prix : 150 mille pour la première catégorie, entre 150 et 500 mille pour la deuxième et plus de 500 mille F pour la dernière catégorie.

Coupe du monde 2022 : L’incroyable stratégie du Qatar pour remplir les stades

La plus grande compétition de football au monde approche à grands pas. Du 20 novembre au 18 décembre, le Qatar accueillera la coupe du monde. Cet événement a été entaché par plusieurs scandales en amont. Si bien que de nombreux acteurs  politiques, sportifs et médiatiques ont lancé des appels au boycott. 
Pour tenter d’inverser cette spirale négative, le Qatar prend le taureau par les cornes. D’après des informations de RMC Sport, le Qatar a invité un peu plus de 1000 supporters qui vont arriver de tous les pays qualifiés pour la phase finale de la coupe du monde à Doha du 20 novembre au 18 décembre.
En France, le nombre “n’est pas conséquent”, selon un proche de l’organisation. Le plus souvent, ces supporters ont été contactés par des “Fans Leaders”, des supporters influents sur les réseaux sociaux, pour permettre le bon déroulement de ce Mondial au Qatar dans une “ambiance festive”.
“Les stades ont un taux de remplissage excellent, c’est surtout pour assurer une bonne ambiance autour des sélections”, affirme un employé du comité suprême. Près de 3 millions de billets ont déjà été vendus.  Le Qatar, les États-Unis, l’Arabie saoudite, le Mexique et les Emirats arabes unis comptent parmi les plus grands demandeurs de tickets pour la Coupe du Monde 2022.
Des membres du comité d’organisation ont confirmé à RMC Sport les pratiques dévoilées par plusieurs médias. Certaines méthodes pour contacter les supporters, via facebook ou d’autres réseaux sociaux, ont inquiété des supporters. Ces fans pensaient à un troll. Le Qatar a beaucoup communiqué ces derniers jours sur le rôle des “Fans Leaders” pendant cette Coupe du Monde, et a encore publié un communiqué ce vendredi, confirmant des invitations pour ces supporters particuliers.

Mort suspecte à Diourbel : Il enterre en catimini la fille de son frère

La mort douteuse de Mame Diouma Diouf risque de faire voler en éclats la famille des Diouf. En effet, cette fille de 13 ans est décédée dans des circonstances très suspectes selon des sources de Seneweb. Et pour cause, la dépouille a été inhumée durant la nuit du mardi dernier, sous la pluie par le grand-frère du père de la défunte ( oncle paternel). Mais le corps a été exhumé ce jeudi sous la supervision des policiers du commissariat central de Diourbel. Détails !



Mystère autour détour de la mort d’une adolescente de 13 ans à Gouy, une localité située dans la commune de Diourbel. Suite à son décès dans des circonstances douteuses, Mame Diouma Diouf a été inhumée par son oncle paternel, durant la nuit et  sous la pluie à l’absence de ses deux parents selon des sources de Seneweb.

Ainsi le vieux E.Diouf est soupçonné dans la mort de la fille de son petit-fils. A cet effet, la famille de la mère de la défunte réclame la lumière dans cette affaire.

Informés des faits, les policiers du commissariat central de Diourbel ont ouvert une enquête. Le suspect, les deux parents de la défunte et le chef de quartier ont été entendus par les hommes du commissaire Mor Ngom.

L’oncle paternel suspecté  parle de complot 

E.Diouf a enterré la fille de son petit-frère sans permis d’inhumation ni un papier certifiant le constat de décès. Il a profité de l’absence du père et de la mère de la défunte pour l’embarquer au cimetière durant la nuit et sous la pluie. Selon lui, Mame Diouma Diouf est décédée à cause du paludisme. Le vieux a démenti son implication dans cette affaire.

” La famille de la mère de la victime a menacé de m’emprisonner durant 10 ans. Elle a fomenté ce complot pour mettre en exécution leur vœu” a-t-il déclaré devant les enquêteurs.

La mère de la victime dément le suspect !

Elle était partie à une cérémonie familiale où la dame a été informée,  vers 19h ,du décès de sa fille . Elle a pris le chemin du retour . Mais la dame est tombée des nues lorsqu’elle a appris que la dépouille a été inhumée par son oncle paternel avant son arrivée. Mame Diouma Diouf ne souffrait pas d’une maladie selon sa mère.

Le corps sans vie exhumé en présence du suspect

La dépouille a été exhumée ce jeudi vers 12h par les sapeurs-pompiers et les agents du service d’hygiène sous la supervision du commissaire Mor Ngom en présence du suspect et du père de la défunte. Le corps a été déposé , par la suite à l’hôpital régional de Diourbel. Il sera acheminé ce vendredi à l’hôpital de Grand-Yoff pour autopsie selon des sources de Seneweb.

Aucune personne n’est arrêtée pour le moment dans le cadre de l’enquête. Mais l’oncle paternel suspecté risque d’être présenté au procureur parce qu’il a inhumé clandestinement la fille de 13 ans.

Affaire à suivre !

Budget 2023 : Le lourd fardeau de la dette

Le budget du Sénégal en 2023 connaît un déficit de 1 045 milliards, malgré les premières recettes des hydrocarbures (51 milliards). Cela représente 5,5% du Pib contre 6,2% en 2022. Le gouvernement devra donc se lancer sur le marché pour trouver cette somme importante. Mais déjà, sur les 6 400 milliards de budget, plus du tiers va à la dette et au déficit. Pour l’année 2023, détaille le projet de budget, les charges de trésorerie « sont évaluées à un montant de 2 345 083 000 000 FCFA et concernent principalement l’amortissement de la dette pour un montant de 1 269 600 000 000 de FCFA et le financement du déficit pour un montant 1 045 483 000 000 de FCFA ». Avec un tel volume, la dette devient un fardeau difficile à supporter pour le Sénégal. Déjà, les intérêts de la dette qui étaient de 350 milliards FCFA dans la loi de finances rectificative de juin 2022 sont projetés à 424,32 milliards de FCFA en 2023, soit une hausse de 74,3 milliards FCFA en valeur absolue et 21,24 % en valeur relative. Le gouvernement en est conscient et tente de se justifier. « C’est un poste budgétaire important mais c’est aussi l’expression d’un choix de politique économique », indique le Projet de budget. Et pour mieux faire passer la pilule, Macky Sall et ses hommes se livrent à une comparaison avec Diouf et Wade. « Il faut préciser aussi que notre pays s’endette moins que par le passé et les chiffres le prouvent », dixit le ministère des Finances. D’abord du temps des socialistes : « Fin 1999 : l’encours de la dette s’élevait à 2416,3 milliards de FCFA, équivalant à 76,3% du PIB ». Ensuite sous le règne des libéraux. Le régime de l’Apr rappelle d’abord qu’il y a eu un allègement et annulation de dettes en 2006 pour un montant total de 1112,8 milliards. Ce qui fait que ‘’l’encours était tombé à 20,4% du PIB’’. La flèche a commencé à monter à nouveau à partir de 2007 pour atteindre 39,9% du PIB en fin 2011. De quoi permettre à l’actuel régime de tenter de relativiser le niveau d’endettement actuel qui avoisine les 70% du Pib. « La hausse annuelle de l’encours a été de 21,8% en moyenne, durant cette période 2007-2011, alors qu’elle est de 14,1% sur la décennie 2012-2022 ». Autrement, jusqu’ici, Macky n’a pas atteint Wade et Diouf. Le gouvernement qui revendique une politique d’endettement prudente compte privilégier les emprunts concessionnels. Pour ceux non concessionnels, ils seront utilisés uniquement pour les ‘’investissements à niveau de rendement très élevé’’. En outre, l’Etat va continuer à serrer la ceinture à travers son fonctionnement. Il mettra également « en œuvre des stratégies de gestion des risques budgétaires, avec des mesures de mitigation adaptées, afin de rendre les finances publiques moins vulnérables aux chocs ».

Tamba : elle trompe son mari, tombe enceinte, accouche et jette son bébé dans un puits

Dialam Dramé a été déférée mardi dernier au parquet du tribunal de Tamba. Cette jeune dame de 25 ans, mariée et mère de trois enfants, a été arrêtée le 15 octobre pour avoir jeté dans un puits sa fille née deux jours plus tôt.

D’après L’Observateur, la mise en cause a été dénoncée par son mari, un maçon. Ayant remarqué la subite disparition de la grossesse de son épouse, ce dernier a alerté le commissariat central de Tamba.

À ce moment, les policiers apprennent qu’un bébé a été retrouvé mort dans un puits. Ils se rendent sur place et découvrent l’horreur. Le corps de l’enfant de sexe féminin a été repêché par les sapeurs-pompiers et déposé à l’hôpital régional de Tamba pour les besoins de l’autopsie.

Arrêtée, Dialam Dramé passe aux aveux. Elle confie avoir accouché le 13 octobre dans les toilettes de leur maison et sans assistance avant de mettre le nouveau-né dans un sac de riz vide et le jeter dans le puits du quartier Abattoirs Complémentaires. Elle souligne que lorsqu’elle accomplissait son acte, il pleuvait.

Le mobile du crime ? Dialam Dramé déclare que l’enfant est né d’une relation adultérine et elle ne voulait pas s’exposer au jugement du voisinage. Elle raconte : «Mon mari était en voyage au Mali. J’ai eu des rapports sexuels non protégés avec un homme dans une maison abandonnée du quartier. Je connais pas cet homme, on s’est rencontrés une nuit. Lorsque mon mari est rentré, il a constaté ma grossesse de sept mois. Il m’a interpellé, mais je ne lui ai rien dit.»

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