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Kabirou Mbodje accusé de viol à Paris : la surprenante décision de la justice sénégalaise

Kabirou Mbodje est dans de beaux draps. Le PDG de Wari est poursuivi pour viol par la justice française à la suite des plaintes de trois dames qui l’accusent d’avoir abusé d’elles dans son appartement situé dans le chic quartier du XVIe arrondissement de la capitale hexagonale.

Pendant ce temps, les poursuites lancées contre lui en 2019 pour des accusations similaires ont été éteintes. Le juge du deuxième cabinet du tribunal de Dakar, chargé du dossier, ayant constaté la prescription des faits, d’après Source A, qui donne l’information dans son édition de ce vendredi.

Le journal rapporte que l’ordonnance de prescription a été émise depuis juillet dernier, mais elle n’a été notifiée à la partie civile qu’hier, jeudi, en pleine tempête judiciaire en France pour le patron de Wari.

Source A informe que le juge du deuxième cabinet a souligné que le dernier acte de l’instruction du dossier a été effectué le 18 avril 2019. Il s’est donc écoulé trois ans. Et puisqu’au moment des faits présumés, le viol était juste un délit, l’action publique ne peut pas aller au-delà.

La partie civile n’entend pas rendre les armes. D’après Source A, elle a saisi la chambre d’accusation pour obtenir l’annulation de l’ordonnance du juge du deuxième cabinet. Jusque-là la plaignante a refusé tout arrangement à l’amiable.

Commande de 100 millions à l’Assemblée : Awa Niang dément et promet de saisir la justice

Celle qui fut deuxième questeur à l’Assemblée nationale est sortie de l’ornière après les graves accusations de Abass Fall,  député de l’opposition. Ce dernier a, en effet, accusé Awa Niang d’avoir fait une commande de pins, de macarons et d’écharpes à hauteur de 100 millions.

Une accusation que Awa Niang nie en bloc :  “Depuis 10 ans, je n’ai jamais signé de marché à hauteur de 100 millions à l’Assemblée. Ils sont des nouveaux députés et ne connaissent pas le fonctionnement de l’Assemblée”. Poursuivant, Awa Niang, invitée de Rfm matin, révèle  que la commande des macarons s’élève à “huit millions cent et celle des pins à trois millions deux cent milles”.

Par contre, elle affirme que la commande d’écharpes n’est pas passée entre ses mains. Elle confie à nos confrères, en outre, qu’elle était bien “en droit de passer ces commandes parce que les nouveaux questeurs n’étaient pas encore installés”. Awa Niang a donc promis de saisir la justice.

Effondrement du pont de Dionewar : le maire demande une intervention urgente de Ageroute

Suite à l’effondrement du pont de Dionewar mardi dernier, les populations de Dionewar par la voix du maire de la commune Lassana Sarr interpellent les autorités compétentes plus précisément l’agence Ageroute à intervenir le plus rapidement possible.  
 
En effet, les fortes pluies qui se sont abattues dans le département de Foundiougne et les courants marins ont  occasionné l’effondrement de l’infrastructure construite il y a six mois. 
 
Selon l’édile de ladite localité, ce pont   d’une vingtaine de mètres a été construit sur fonds propres par les populations qui rencontraient toutes sortes de difficultés liées à leurs déplacements.

Thérèse Faye sur le Némékou Tour : “Sonko veut faire oublier l’affaire Adji Sarr”

La maire de la commune de Diarrère, membre de la coalition Benno Bok Yakar n’a pas raté le leader du Pastef, Ousmane Sonko. Dans une entretien qu’elle a accordé à nos confrères du Quotidien, elle s’en est pris au  « Némekou tour » de l’opposant Ousmane Sonko, lancé dimanche dernier à Mbour.
 
Selon la responsable politique, Ousmane Sonko est toujours dans la diversion et la provocation. « Nous ne sommes pas surpris de le voir précipiter son tour du pays, pour faire oublier son dossier avec Adji Sarr dont la presse a recommencé à parler. Son jeu est compris de tout le monde », a-t-elle avancé.
 
Cette tournée est, pour  Thérèse Faye Diouf, pour Sonko de verser «  dans la provocation et se positionner en victime, comme d’habitude. Il devra se rappeler toutefois que ce pays a des lois à respecter par tout le monde. Et les garants de ces lois savent quoi faire et quand ».

Entretien téléphonique : ce que Wade et Diouf se sont dit

Les deux anciens Présidents du Sénégal Abdou Diouf et Abdoulaye Wade ont eu un entretien téléphonique avant-hier, mardi. Le coup de fil a eu lieu à 12 heures (GMT).

Le premier est à Paris, le second à Dakar. «Après avoir évoqué de vieux souvenirs, les deux anciens Présidents ont prié l’un pour l’autre et pour leurs familles, pour la paix au Sénégal, en Afrique, en France et dans le monde», a rapporté le secrétariat de Wade dans un communiqué repris par plusieurs médias.

La même source a ajouté : «À la fin d’un entretien amical rempli d’émotion, les deux vieux amis se sont séparés, se promettant, à l’avenir, de se rappeler plus souvent.»

Bakel : Une dame et un garçon de 2 ans tués dans l’effondrement d’un balcon d’un immeuble

On n’a pas fini d’épiloguer sur la problématique des constructions avec l’effondrement de bâtiments ces derniers temps à Dakar et Kaolack, que le balcon d’un immeuble s’est écroulé ce mercredi 19 octobre au village de Sinthiou Dialiguel dans la commune de Bélé, département de Bakel, faisant un lourd bilan de deux morts dont une dame et un garçon de 02 ans.

C’est mercredi aux environs de 17 heures qu’un bruit assourdissant est venu rompre l’après-midi tranquille des populations du village de Sinthiou Dialiguel dans la commune de Bélé, département de Bakel où les gens vaquaient tranquillement à leurs occupations. Et pour cause : le balcon d’un immeuble s’est écroulé sur une dame et un enfant de sexe masculin âgée de 2 ans qui ont perdu la vie sous les décombres. Alertés, les populations se sont rendues sur les lieux pour extraire les corps sans vie des victimes, conduits au centre de santé de Kidira. La gendarmerie de Kidira qui a procédé au constat a ouvert une enquête pour déterminer les véritables circonstances de ce drame occasionné par l’effondrement du balcon.

#Kédougou – Vandalisme des véhicules : 47 jeunes de Mako placés sous mandat de dépôt

Quarante-sept jeunes de Mako, dans la commune de Tomboronkoto (Kédougou, sud-est), sont inculpés et placés sous mandat de dépôt dans le cadre de l’affaire liée au vandalisme des véhicules de la société minière Pettowol Mining Company (Pmc), a appris l’Aps auprès du Parquet du Tribunal de grande instance de Kédougou. Un groupe de 66 jeunes étaient placés en garde à vue, mais les 19 autres arrêtés pour les besoins de l’enquête ont recouvré la liberté.
Ces jeunes doivent faire face au juge du Tribunal des flagrants délits de Kédougou, vendredi. Ils sont poursuivis pour destruction de biens appartenant à autrui, association de malfaiteurs, vol en réunion et entrave dans l’exercice du travail. Ils sont transférés à la Maison d’arrêt de Kédougou. Ces jeunes du village de Mako avaient organisé une manifestation violente pour dénoncer «le recrutement illégal» de la société minière Pettowol Mining Company (Pmc). Ils avaient imposé un blocus sur le tronçon menant au siège de cette société minière. Des véhicules ont été incendiés et d’autres caillassés. L’ouverture d’une enquête a permis à la Brigade mobile de la gendarmerie de Kédougou d’arrêter ces jeunes du «Mouvement des forces vives de Mako».

Guinée: manifestations anti-junte et heurts à Conakry

Des heurts ont mis aux prises de jeunes Guinéens et les forces de sécurité jeudi dans différents quartiers de la banlieue de Conakry où un collectif interdit avait appelé à manifester contre la junte au pouvoir, a constaté un correspondant de l’AFP. Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) qui appelait à la mobilisation a rapporté que cinq personnes avaient été blessées par balles, dont une se trouvait dans un état critique, à la suite de confrontations dans la nuit autour d’un axe qui traverse la banlieue de la capitale. Aucune confirmation de ces informations n’a été obtenue d’autre source. Le FNDC, officiellement dissous par la junte, avait appelé à manifester pacifiquement jeudi à Conakry, puis le 26 octobre dans tout le pays, pour réclamer un retour rapide des civils à la tête du pays, ainsi que la libération des prisonniers détenus selon lui pour des raisons politiques. Le FNDC est la dernière organisation à mobiliser, mais a reçu le soutien des principaux partis, réduits à l’inaction. La banlieue de Conakry et la route Le Prince qui la traversent sont traditionnellement le théâtre de la contestation. Des dizaines de pick-ups de police et de gendarmerie ont été stationnés le long de cet axe. Des jeunes ont cependant brûlé des pneus et renversé des poubelles sur la route, désertée de tout trafic. De nombreuses boutiques ont gardé porte close en banlieue ou sur les grands marchés de Madina et Bonfi. A Kagbelin et Kountia, autres zones de la banlieue, des manifestants se sont attaqués à de rares véhicules conduits par des civils auxquels ils reprochaient, selon des témoins, de n’avoir pas suivi l’appel à la protestation. Le FNDC avait été à l’origine de manifestations les 28 et 29 juillet, le 17 août, et les 5 et 6 septembre. Cinq personnes avaient été tuées en juillet, et deux en août. Le colonel Mamady Doumboya qui a pris le pouvoir par la force en septembre 2021 s’est depuis fait investir président et s’est engagé à remettre le pouvoir à des civils élus dans un délai de trois ans. L’opposition accuse la junte de confisquer le pouvoir et de faire taire toute voix discordante à coup d’arrestations de leaders politique ou de la société civile, et d’enquêtes judiciaires. Ces manifestations ont lieu alors qu’une mission ouest-africaine se trouve cette semaine en Guinée. Le 24 septembre, l’organisation ouest-africaine a donné aux autorités un mois pour proposer un nouveau calendrier de retour des civils au pouvoir sous peine de “sanctions plus sévères” que celles déjà imposées.

Tensions à l’Onas : Les agents exigent la matérialisation de certains points de leur plateforme

Le Cadre unitaire des syndicats de l’Onas (Cus) a convié la presse, aujourd’hui, à une  conférence pour partager quelques points de leurs revendications. Les agents de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (Onas) ne comprennent pas l’indifférence des autorités par rapport à certains points de leur plateforme, principalement la mise à disposition de leurs terrains et l’effectivité de la revalorisation de la redevance assainissement.
“Nous avons obtenu des terrains sur le site de l’ancienne station de l’Onas depuis quelques années. Mais jusqu’ici, nous n’avons pas pu entrer en possession de nos parcelles, en dépit de nombreuses démarches entreprises auprès des autorités  administratives”, a fait savoir Seydou Tall, porte-parole du jour.  
L’Onas possède plus de 9 ha sur le site de l’ancienne station d’épuration d’une contenance graphique variant de 150 m2, conformément aux plans revêtus de la mention d’approbation et depuis plus de 20 ans durant. Les travailleurs avaient formulé la demande de régularisation à titre d’habitation, à travers leur coopérative d’habitat.
 
“C’est avec le président Macky Sall qui, très sensible à nos préoccupations, très reconnaissant du travail abattu par les braves agents du secteur de l’assainissement et compte tenu des missions importantes dévolues à l’Onas, que des avancées significatives ont été obtenues, notamment avec l’obtention de l’approbation de la Commission de contrôle des opérations domaniales (CCOD) en séance du 01/02/2018 et par émission d’un avis favorable, la restitution d’une partie des baux (…)”, déclare Seydou Tall.
Cependant, ces agents, depuis presque deux ans, courent derrière les autorités, en particulier au niveau de la gouvernance et de la préfecture pour régulariser et délivrer les 14 baux restants, la mise en place immédiate de la Commission d’évaluation et de recensement des impenses indispensables pour libérer les lieux occupés afin de procéder au terrassement.  
 
“À chaque demande d’explication, c’est le flou total qui nous est servi, pour une affaire qui ne devrait même pas durer un mois. Ce que nous considérons comme un acte de provocation et de sabotage”, estime le porte-parole du jour. 
 
L’autre point qui n’a pas connu d’évolution, c’est l’effectivité de la revalorisation de la redevance assainissement. Après plusieurs revendications pour la revalorisation de la redevance assainissement qui constitue leur seule source de financement (budget de fonctionnement et autres charges), le président de la République avait donné des instructions pour la revalorisation.
 
“C’est ainsi que nous avons obtenu une légère hausse, mais cette redevance ne couvre pas nos charges d’exploitation, parce qu’il y a eu entre-temps l’extension du réseau d’assainissement dans plusieurs villes du Sénégal, de nouvelles infrastructures ont été construites”, poursuit Seydou Tall. 
Pour rappel, depuis la première réforme institutionnelle de 1996, le taux sur le partage des parts allouées aux trois entités varie pour les deux autres, sauf pour l’Onas qui reste à 11 %. Alors que le calcul devrait prendre en compte le nombre d’abonnés. Ce qui démontre, selon ces agents, qu’ils sont lésés à tous les niveaux. Par conséquent, les membres du Cus exigent la révision du contrat avec le niveau fermier qui est la Sen’Eau, pour redéfinir le partage équitable de la redevance, la mise en place immédiate d’un comité de régulation du secteur qui pourra garantir la transparence des redevances, entre autres.
Le Cus, dans sa démarche d’un syndicalisme responsable, sollicite l’implication du chef de l’État et son appui, afin que des solutions soient trouvées aux revendications des travailleurs.  Ces derniers  n’excluent  pas de déclencher une grève à partir du 14 novembre.

Sous la menace d’un couteau : Un chauffeur de bus tente de violer une ex-receveuse

Une ex-receveuse de bus Tata l’a échappé belle ! Elle a failli être violée dans une chambre, au lac Rose, par un chauffeur de bus. Selon des sources de Seneweb, l’homme, armé d’un couteau, s’est jeté sur elle pour satisfaire sa libido. Mais M. S. s’est débattue jusqu’à sortir des griffes de son bourreau I. Ndoye. Suite à la plainte déposée par la victime, les policiers du commissariat de Yeumbeul Comico ont arrêté le mis en cause à l’arrêt bus de la ligne 82. Détails !
Pourtant, le chauffeur de bus Tata a vécu une idylle avec sa petite amie, avant que leur relation ne vole en éclats. Ainsi, I. Ndoye et l’ex-receveuse de bus M. S. avaient coupé les ponts.

Mais l’homme âgé de 37 ans a tendu un piège à son ex-dulcinée, par le biais de son ami A. Fall. Ce dernier est entré contact avec M. S. pour l’inviter au Lac Rose, juste pour discuter.
Ne se doutant de rien, l’ex-copine du chauffeur de bus a répondu favorablement à cette invitation. Erreur ! M. S. a regretté sa virée au lac Rose où elle a failli être violée, selon des sources de Seneweb.
D’après le récit de la victime, l’ami de son ex s’est retiré de la chambre, dès son arrivée. Après le départ d’A. Fall, le chauffeur a fermé la porte avant de tenter de violer son hôte sous la menace d’un couteau.
Mais I. Ndoye s’est heurté à l’opposition farouche de son ex-copine qui s’est débattue jusqu’au bout. Elle s’en est sortie avec des blessures provoquées par l’arme blanche de son bourreau.

Plus tard, la victime s’est rendue à l’hôpital. Après les soins, M. S., munie d’un certificat médical attestant une incapacité temporaire de travail de 10 jours, a déposé une plainte sur la table du chef de service du commissariat de Yeumbeul Comico pour coups et blessures volontaires par arme blanche  et tentative de viol.
Aussitôt, le commissaire Cheikh Ahmed Tidiane Diallo et ses hommes se sont lancés aux trousses du mis en cause qui était en cavale.
En effet, le chauffeur est resté plus d’une semaine sans reprendre service au niveau de la gare routière.
Espérant sans doute que son dossier a été classé sans suite, le fugitif s’est présenté à l’arrêt bus de la ligne 82.  Grande a été sa surprise quand les hommes du commissaire Diallo lui ont passé les menottes devant ses collègues. Également, les policiers ont mis la main sur son complice.
Au terme de l’enquête, le chauffeur incriminé et son ami A. Fall ont été présentés au procureur, avant d’être placés sous mandat de dépôt, selon des sources de Seneweb proches du parquet.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention