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Accident mortel à Dokhoba (Linguère) : Le bilan passe à 3 morts

Le bilan de l’accident qui s’est produit avant-hier mardi vers dix neuf heures à hauteur du croisement Dokhoba sur la route Linguère-Matam s’est alourdi. En effet, 3 trois morts ont été répertoriés au total. Pour rappel, un camion immatriculé TH4056C stationné sur la chaussée a été violemment percuté par une camionnette immatriculée ZG6160A.
Le bilan faisait état d’un mort et quatre blessés. Le chauffeur de la camionnette a perdu la vie sur place. Selon notre source, parmi les quatre blessés admis au service d’urgence de l’hôpital Magatte Lo, deux ont finalement succombé à leurs blessures hier nuit.

Les carences cachées de la grande muette du secteur primaire

Le secteur de l’élevage sénégalais amorçait l’ère d’une intégrité systémique de la structure elle-même et sa corporation en 2015. Des changements souhaités tels que la création d’un Secrétariat général à cette date, ainsi que son appui plutôt par le Plan national de développement de l’élevage (Pnde), cadre de référence, sont devenus aux yeux des acteurs, huit (8) années encore inachevées. Ainsi, se succède une bourde sectorielle favorisée par la crise du Covid-19 depuis 2020 qui a suscité une bienveillance conjoncturelle de l’Etat, volant au secours de l’administration publique et privée. Cependant, cet élan ayant comme maître-mot «Résilience nationale», a marqué forfait le secteur de l’élevage qui s’insurge en bandoulière entre autres maux : lenteurs administratives sur les augmentations affectées dans la Fonction publique et privée, dévalorisation accentuée des salaires, absence d’indemnités de risques encourus dans la pratique, rétention de primes, conditions de travail difficiles et manque de considération de l’Etat. Les cris revendicatifs sporadiques de ces soldats de la seringue et des productions animalières ne sont pas si assourdissants à l’endroit du gouvernement du Sénégal pour un traitement prioritaire des urgences.

Près de 26 milliards de F Cfa était l’allocation au secteur de l’élevage en 2020. Ce budget a connu une augmentation d’environ 1 milliard de francs Cfa, portant ainsi cette enveloppe à plus de 27 milliards en 2021. Un budget qui prévisiblement montre à suffisance le panorama représentatif de succession de chiffres assez dérisoires et persistants au fil des années. Contrairement aux autres secteurs primaires, à savoir la pêche et l’agriculture, des pans soutenus aujourd’hui par des politiques publiques et investissements porteurs de développement, l’élevage participerait au loin sous l’effet d’une inclusion dans le tissu du changement. Etant une insuffisance dans la prise en charge des réels défis, l’élevage au Sénégal aurait tardivement vu naître ses différentes attributions le 23 septembre 2013, suite au décret n°2013-1281. A cet effet, le ministère de l’Elevage et des productions animales, sous l’autorité du Premier ministre d’alors, prépare et met en œuvre la politique définie par le chef de l’Etat. Par ailleurs, dans cette même mission régalienne à contribution efficace et effective de l’autosuffisance alimentaire, l’environnement du secteur a été amélioré afin de favoriser la réalisation des objectifs du Plan Sénégal émergent (Pse) institué en 2012. En 2017, malgré une situation pastorale assez difficile en 2016, les acteurs de l’élevage ont dû contrebalancer les performances, l’une des plus satisfaisantes, à 97%. Relativement au suivi de la mise en œuvre de la politique sectorielle entraînée par l’augmentation et la sécurisation des productions animales, et l’amélioration de leur qualité, ces principaux indicateurs sont vaillamment portés d’une main secourable par l’ensemble des directions nationales (services vétérinaires, développement des équidés, industries animales…).

Essoufflement des équipements et infrastructures affectés…
L’approvisionnement en viande de qualité à suffisance, proportionnellement au vaste marché de consommation, est l’un des objectifs majeurs des acteurs de l’élevage. Cependant, le personnel administratif, les vétérinaires et autres techniciens du Ministère de l’élevage et des productions animales (Mepa), qui ne représentent pas plus de sept cents (700) agents pour le maillage territorial et qui demeurent des piliers confirmés, semblent dès lors ignorés dans cette chaîne de distribution. Un travail de prévention en amont, à travers une inspection intensive du cheptel, un contrôle qualité de produits indispensables précités (viande bovine et viande de volaille industrielle), serait réduit à néant, ce qui est plus qu’aléatoire avec plus de deux cent mille tonnes (200 000 t) consommées chaque année. Par conséquent, eu égard à ces résultats satisfaisants, le cadre de vie, d’exercice de la pratique des agents techniques de l’élevage, des ingénieurs des travaux de l’élevage voire des ingénieurs zootechniciens mêmes, n’est pas entretenu. Dans les départements et communes des 14 régions du Sénégal, nous pouvons clairement apercevoir, sans ambigüité, un accueil non hospitalier, les indisposant dans leur collaboration avec les populations. Une écrasante majorité des bâtiments abritant les services de l’élevage et des productions animales marquent les stigmates de la vieillesse, pire certains menacent ruine au grand dam des agents méritants. En d’autres termes, cette acceptation de ces conditions de travail dévoilerait un esprit armé d’engouement à un dévouement ferme et inconditionné à servir et veiller à la santé animale et même humaine, considérant aujourd’hui la réalité du «One Health». A cela s’ajoute le fait que beaucoup de chefs de poste vétérinaires sont en location dans les communes devant l’absence de poste construit. Une somme de ces limites qui se solde par la non-concrétisation des perspectives soulevées en 2018 sur l’appui au pastoralisme et ses panoplies de projets et programmes. En 2022, quatre (4) années se sont écoulées, ces projections ne sont toujours pas réalisées comme le stipulait le rapport d’activités 2017 sur son point 2 : «Le renforcement des réalisations en termes d’infrastructures et d’équipements pastoraux dans une résilience des systèmes d’élevage.» Un parc automobile (véhicules ou cyclomoteurs) vieillissant ou absent accentue une carence continue du secteur. Cette défaillance favorise des tractations intempestives sur les indemnités, lesquelles doivent faciliter un quelconque déplacement en cas d’intervention dans les zones à vaste étendue, aux confins des communes. Ainsi, de ces tourments de souffre-douleur, après cette insuffisance de moyens de déplacement, les agents, en plus de subir les affres de cette vague aux allures ségrégationnistes sur les primes et salaires, les asphyxient : le logement à des prix écrémés et de lourds frais d’investissement comme l’achat d’une motocyclette pour mieux prendre en charge leurs missions régaliennes. Un constat similaire est aussi opéré en zone insulaire, particulièrement dans les îles du Saloum, où une vedette a été affectée, mais cette fois-ci, c’est dans l’opérationnalisation de son encadrement que se situe le dysfonctionnement. Bien que cette dernière existe et jouant un rôle primordial dans le désenclavement de ces îles du Sénégal, la ressource humaine pour son fonctionnement n’est pas prise en compte. La présence en permanence d’un conducteur de vedette au service des agents favoriserait plus de célérité des agents durant les interventions pour un meilleur maillage et une inclusion de façon effective des îles aux différents programmes du service de l’élevage. Au plan infrastructurel, dans le lot des moyens indispensables, nous pouvons compter des parcs à vaccination en nombre très insuffisant. En outre, les risques pourraient s’accroître avec une insécurité menaçante chez les agents de l’élevage lors des campagnes de vaccination des grands ruminants (bovins). Par ailleurs, des coups de sabot de bœufs ou de chevaux, des blessures causées par les coups de cornes et des morsures sont des accidents très fréquents. Contentionner ces bovins dans des parcs destinés à la vaccination serait d’un grand apport sécuritaire pour éviter des accidents de travail. Un autre facteur rend la liste des problèmes loin d’être exhaustive ; il s’agit du plateau technique en manque. Nous pouvons en citer des seringues, du matériel de chirurgie, des vêleuses, des sondes naseau-œsophagiennes, des gants aseptiques, etc. En ce sens, la satisfaction intégrale est prise en charge en général par les cliniques privées qui sont malheureusement insuffisantes pour la polarisation à cause de ses coûts prohibitifs. Malgré cette faible privatisation de la médecine vétérinaire, les services publics de l’élevage et des productions animales assurent toujours de façon efficace, les soins de santé sur les animaux dans la majeure partie du territoire national. Il est à noter qu’afin de mieux assurer les interventions cliniques sur le terrain, les agents sont obligés de se ravitailler en médicaments vétérinaires, partant de leurs fonds propres. Cette démarche salutaire promeut l’accessibilité, la proximité et la disponibilité de ce service vis-à-vis des populations.

Risques du métier et dégradation sociale des acteurs de l’élevage
«Un secteur de l’élevage compétitif, satisfaisant de manière durable la demande nationale en produits animaux et assurant la promotion socio-économique de ses acteurs» est la nouvelle articulation actualisée depuis 2014 dans le Plan Sénégal émergent (Pse). La vision précitée, qui est la «compétitivité», commence à être matérialisée par la filière laitière appuyée par la race bovine, le développement de l’aviculture et le l’apiculture, la promotion des cultures fourragères, le développement de la filière équine avec le renforcement génétique, les haras nationaux, l’amélioration de la stabulation, etc. L’opérationnalisation du système de collecte de données, pour améliorer le pilotage du secteur et contribuer à rendre l’élevage davantage attractif à l’investissement privé, figurait parmi les actions motrices de développement du secteur. De lourdes tâches dont les agents ne feront qu’une priorité sont corroborées au sacerdoce et obligation de respect de mener à bien toutes les politiques de l’Etat. Œuvrant toujours au nom de l’action concrète, les acteurs axent leurs interventions sur quatre (4) domaines généraux : 1) le zoo sanitaire du bétail, 2) la sécurisation du cheptel, 3) les chaînes de valeurs animales, 4) l’accès des produits animaux. Ces acquis, qui préfigurent les premiers jalons posés en 2012, étaient la contribution majeure à l’atteinte maximale à l’autosuffisance alimentaire, seul gage à l’effort de lutte contre la pauvreté. En effet, sur une déclinaison assez claire du vrai sens du devoir des agents véritables adeptes de performances probantes, les missions titanesques sur le terrain ne sont pas sans risques. Ces tâches non aisées témoignent aujourd’hui de la forte précarité qui sévit en ces temps dans le secteur de l’élevage. D’abord, au plan technique, l’exposition permanente des agents ainsi que de leur famille aux zoonoses qui sont à une récurrence extrême démontrant au loin de l’effectivité de ce qu’on appelle la surveillance épidémiologique tant défendue. Il existe certaines maladies transmissibles de l’animal à l’homme et qui constituent une sérieuse menace pour les agents sur le terrain lors des activités de clinique vétérinaire et durant l’inspection de salubrité des viandes destinées à la consommation humaine. Parmi ces maladies, nous pouvons citer : la fièvre de la vallée du Rift, la fièvre Crimée Congo, la grippe aviaire et la rage. Il existe d’autres pathologies avec une surveillance continue et qui sont en contact direct avec l’homme, favorisant des conditions difficiles de travail. Dans la mise en œuvre des missions assignées au secteur de l’élevage, il était question d’accentuer l’intervention sur l’objectif intitulé : Assurer l’amélioration et la protection de la santé animale. Depuis des années, ceci était la clé de voûte des acteurs pour une meilleure prévention. Mais nonobstant la mise sur pied du Système national de surveillance épidémiologique des maladies animales (Snse), avec ses efforts encourageants par exemple sur la planification pour le contrôle et l’éradication de la Peste des petits ruminants (Ppr) pour lequel le Sénégal s’est engagé à l’horizon 2025, des dommages surgissent souvent chez les agents dans l’exercice de leur fonction. Assurer leur immunité en cas de contagion d’une de ces maladies est un parcours du combattant. L’administration du vaccin anti-rabique aux agents de terrain, en cette année 2022, témoigne de la nécessité d’assurer au personnel technique, une bonne immunisation. Soulever les risques d’empoisonnement paraît irréaliste dans l’entendement. Le risque existe bel et bien souvent lors de l’extermination, par les services vétérinaires, des chiens errants lorsqu’ils deviennent, en des périodes de l’année et dans certaines zones du territoire, très envahissants et qui fragiliseraient la quiétude des populations. Ainsi, une mauvaise manipulation de la strychnine, un poison redoutable qu’utilisent les services vétérinaires, peut virer au drame faute d’un cadre de services d’urgences rapides et de protection après des accidents de travail. Ensuite, au plan sécuritaire, il est doublement noté son imperméabilité générale dans le secteur. Les agents font face, dans un état inoffensif, aux exactions courantes et sommaires d’abattages clandestins. Ce sont des opérations perpétrées et récidivées par les malfaiteurs, des instigateurs généralement dangereux. Sur ce terrain très hostile, un autre phénomène le justifie : la commercialisation de façon frauduleuse des médicaments vétérinaires, ainsi que leur circulation dans le marché noir. Les vétérinaires sont obligés de s’adapter, avec des moyens dissuasifs qui leur sont propres jusque-là. Dans cette même chaîne d’une fébrilité accrue, se trouvent les éleveurs qui sont dans le groupe des producteurs. Toutefois, ils ne peuvent être écartés des plus faibles de cette exaction majeure dans la zone rurale, celle du vol de bétail. Ce fléau est transversalement une des plus grandes préoccupations et défis de tous les agents de ce grand secteur porteur, l’élevage. Cette résignation des acteurs, relative à ces problématiques qui se meuvent dans une éternelle récidive, persiste toujours bien qu’il eut un plan d’actions élaboré depuis 2014. Il était question à cette époque, d’entamer une lutte structurelle mettant fin à la pratique redoutée du vol de bétail à travers la sensibilisation et l’information, lutter contre les abattages clandestins, l’identification et enfin la plus urgente : la prise de décisions rigoureuses et immédiates sur le renforcement du dispositif sécuritaire et la révision du cadre réglementaire et législatif. En plus, des dommages collatéraux de cette grande paralysie du secteur suite au mouvement d’humeur des agents du secteur de l’élevage, surgissent en nombre des éleveurs et producteurs qui en pâtissent. Ces derniers n’ont qu’une et seule source de revenu financière, l’élevage, un secteur important de l’économie nationale. Ses activités assurent les moyens de subsistance de 30% des ménages en milieu rural. Le Plan national de développement de l’élevage depuis 2016 le réaffirmait à partir de son référentiel. En ces temps tumultueux où tout est à l’arrêt, l’inspection de la salubrité des viandes n’est plus systématique et la sécurisation du cheptel est moindre, la dispense des techniques et d’outils en termes de formation, d’encadrement et d’investissement sur la réalisation de projets est plus ou moins inaccessible.

Enfin, les dures conditions de travail ne sont jamais sanctionnées proportionnellement par une assurance sur le risque. Supposé encadré dans la budgétisation annuelle de l’élevage et des productions animales qui est tablée en 2022 à plus de 29 milliards, ce chiffre est loin de satisfaire tous les manquements d’ordre social. Les primes de risques et les indemnités de logement sont devenues une demande profonde et légale. Son alignement pour tous les fonctionnaires de l’élevage est un droit absolu vu l’arrimage depuis quelques mois des augmentations des primes dans des secteurs par l’Etat du Sénégal. Le fonds d’intervention institué par décret de son caractère impersonnel serait au grand avantage de tous les agents de l’élevage. L’exceptionnalité ne doit pas constituer un désavantage à ces mandatés et assermentés de l’Etat pour l’amélioration de leur cadre de vie social, de travail, de leur indemnisation face aux risques d’accidents, d’exposition aux zoonoses, d’agression en présence d’abattages clandestins, de vol de bétail et d’utilisation de produits dangereux.

[Le Plus Santé] Déodorants et cancer du sein : Les liaisons dangereuses

Actuellement, les déodorants disponibles sur le marché contiennent moins de 10,6 % de sels d’aluminium pour les sprays et 6,25 % pour les autres gammes de déodorants. Ces concentrations ne représentent pas des apports significativement supérieurs en aluminium si l’on compare avec les apports   d’autres sources, notamment l’alimentation. Du reste, l’aluminium est un élément métallique largement présent dans l’environnement et dans de nombreux aliments et produits tels que les produits cosmétiques et d’hygiène. Les sels d’aluminium sont ajoutés à la formulation de certains déodorants. Cette matière  sert à réduire le diamètre des pores de la peau et à  limiter par ricochet  la sécrétion de la sueur. Les effets de l’aluminium sur la santé sont clairement démontrés, mais uniquement lorsqu’il est inhalé ou ingéré. L’organisme ne parvient pas à éliminer des grandes quantités de sels et finit par les stocker dans les tissus et les organes. Une alternative, les déodorants sans sels d’aluminium Ce stockage pourrait avoir des conséquences néfastes sur le fonctionnement des reins, du foie, des poumons ou encore du cerveau. Mais  jusqu’ici, il n’a pas été démontré le risque de cancer et une exposition cutanée à l’aluminium.  Dans le cas du cancer du sein, la polémique est née de deux constats parallèles : Les déodorants sont appliqués à seulement à quelques centimètres des seins, l’incidence du cancer du sein est en augmentation dans les pays occidentaux, et touche des femmes de plus en plus jeunes. Après de multiples revirements, les dernières études démontrent que les sels d’aluminium appliqués sur la peau ne pénètrent pas dans l’organisme et que leur concentration dans les déodorants est trop faible pour déclencher une  tumeur maligne. Malgré ces conclusions, il est probable que le sujet continue de susciter les débats dans les prochaines années. D’ici là, les femmes ont une alternative, utiliser les déodorants sans sels d’aluminium. Ces gammes présentent l’avantage de limiter l’inflammation cutanée locale et laissent se dérouler naturellement le processus de transpiration. Rien n’est pas encore clair. Mais des soupçons pèsent de plus en plus sur la corrélation entre l’exposition aux déodorants contenant des sels d’aluminium et l’augmentation du cancer du sein. Pourtant en 2011, l’Agence nationale pour la sécurité sanitaire, de l’environnement et du travail (Anes) avait rassuré que l’exposition cutanée à des sels d’aluminium ne comporte pas de risques de cancer du sein, selon les données scientifiques disponibles. Cette conclusion a été confirmée par l’Union Européenne en 2020. Malgré tout, des soupçons persistent.  Les écologistes ont toujours alerté sur la pollution de l’air due aux parfums. Ces craintes sont aussi valables pour certains déodorants sur la santé humaine. L’hypothèse que l’utilisation des déodorants expose aux cancers n’est pas écartée. Le sujet fait encore débat. Existe-t-il un lien entre l’utilisation de déodorants contenant des sels d’aluminium et le risque de survenue du cancer du sein ? A plusieurs reprises, les experts ont répondu « non » à cette question jusqu’ici. Ils se fondent sur la base des données disponibles dans une revue scientifique. Déodorants, sels d’aluminium et cancer du sein Des sels d’aluminium entrent dans la fabrication des dentifrices, des rouges à lèvres, ou encore des déodorants. Ces derniers produits sont de plus en plus soupçonnés dans la survenue du cancer du sein. Leur application sous les aisselles favoriserait le développement de cette maladie. Mais existe-t-il vraiment un lien entre ces sels d’aluminium et le risque de cancer du sein ? Dès 2011, saisie de cette question, l’ANSES conclut que l’exposition cutanée à des sels d’aluminium ne peut pas être associée à une augmentation du risque de cancer du sein, selon les données scientifiques disponibles. Le comité scientifique pour la sécurité des consommateurs de l’Union Européenne  confirme  cette conclusion en mars 2020. Ce dernier considère qu’à l’état actuel des connaissances, l’utilisation, même quotidienne, des déodorants contenant des sels d’aluminium est sûre. Actuellement, les déodorants disponibles sur le marché contiennent moins de 10,6 % de sels d’aluminium pour les sprays et 6,25 % pour les autres gammes de déodorants. Ces concentrations ne représentent pas des apports significativement supérieurs en aluminium si l’on compare avec les apports   d’autres sources, notamment l’alimentation. Du reste, l’aluminium est un élément métallique largement présent dans l’environnement et dans de nombreux aliments et produits tels que les produits cosmétiques et d’hygiène. Les sels d’aluminium sont ajoutés à la formulation de certains déodorants. Cette matière  sert à réduire le diamètre des pores de la peau et à  limiter par ricochet  la sécrétion de la sueur. Les effets de l’aluminium sur la santé sont clairement démontrés, mais uniquement lorsqu’il est inhalé ou ingéré. L’organisme ne parvient pas à éliminer des grandes quantités de sels et finit par les stocker dans les tissus et les organes. Une alternative, les déodorants sans sels d’aluminium Ce stockage pourrait avoir des conséquences néfastes sur le fonctionnement des reins, du foie, des poumons ou encore du cerveau. Mais  jusqu’ici, il n’a pas été démontré le risque de cancer et une exposition cutanée à l’aluminium.  Dans le cas du cancer du sein, la polémique est née de deux constats parallèles : Les déodorants sont appliqués à seulement à quelques centimètres des seins, l’incidence du cancer du sein est en augmentation dans les pays occidentaux, et touche des femmes de plus en plus jeunes. Après de multiples revirements, les dernières études démontrent que les sels d’aluminium appliqués sur la peau ne pénètrent pas dans l’organisme et que leur concentration dans les déodorants est trop faible pour déclencher une  tumeur maligne. Malgré ces conclusions, il est probable que le sujet continue de susciter les débats dans les prochaines années. D’ici là, les femmes ont une alternative, utiliser les déodorants sans sels d’aluminium. Ces gammes présentent l’avantage de limiter l’inflammation cutanée locale et laissent se dérouler naturellement le processus de transpiration.

Sûreté urbaine : un membre de Pastef placé en garde à vue

Ndongo Diop est en détention à la Sûreté urbaine. Ce membre de Pastef a été arrêté et placé en garde à vue pour avoir tenu des propos jugés désobligeants contre le procureur de la République, notamment.

Libération, qui donne l’information, rappelle que Ndongo Diop est déjà sous contrôle judiciaire. Il avait été arrêté et placé sous mandat de dépôt, en mars 2021, pour appel à l’insurrection, d’après le journal.

Il grossit le cercle des personnes envoyées en prison depuis juillet pour des propos incendiaires tenus sur les réseaux sociaux et visant souvent directement le chef de l’État.

Scandale sexuel : les deux responsables de l’APR, leur petite amie commune et les sextapes

Un scandale sexuel secoue Ourossogui. Il concerne Abdoulaye Ba et Ismaïla Dembélé, deux responsables de l’APR de la localité. Ils ont été piégés par Haby Ibrahima Dia, une commerçante de 38 ans, qui sortait avec eux en même temps. Abdoulaye Ba a été filmé nu lors d’un appel vidéo avec cette dernière. Les images de Ismaïla Dembélé, dans la même position délicate, ont été captées alors qu’il se trouvait dans une chambre d’hôtel avec la dame en question. D’après Les Échos, qui révèle cette affaire dans son édition de ce jeudi, Haby Ibrahima Dia a voulu faire chanter ses deux petits-amis en utilisant leurs nudes. Le journal rapporte qu’elle a ainsi demandé 500 000 francs CFA au premier et 6 millions au second en passant par sa sœur «Oumou» (68 ans) à qui elle a confié les images de Dembélé. Malheureusement pour les deux sœurs, les deux responsables de l’APR n’ont pas cédé au chantage. Après avoir constaté que leurs sextapes étaient sur la place publique, ils ont déposé plainte. Les mises en cause ont été arrêtées et inculpées. Elles ont comparu hier, mercredi, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour collecte illicite et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs et tentative d’extorsion de fonds. Après avoir reconnu les faits à la barre, elles ont été reconnues coupables. Haby Ibrahima Dia a écopé de deux ans de prison dont quatre mois ferme. Sa sœur, pour sa part, s’en est sortie avec deux ans dont deux mois ferme. Malheureusement pour leurs victimes, le mal est déjà fait. Surtout pour Abdoulaye Ba, qui est principal dans un collège à Ourossogui. «Mon client n’ose pas sortir de chez lui, regrette Me Abdoulaye Tall, l’avocat de ce dernier, repris par Les Échos. La vidéo est en train de circuler dans tout Ourossogui. Il a fait l’objet d’une nouvelle affectation, mais il ne peut pas prendre service. On a tenté de le détruire pour des raisons purement politiques.» La robe noire ajoute : «On a donné la vidéo à un activiste établi aux États-Unis, qui lui a demandé de céder son fauteuil et de quitter l’enseignement. Un autre gars établi en France, lui a aussi demandé de démissionner. Son image est écornée à jamais. Sa carrière politique et professionnelle est mise entre parenthèses.»

Mondial Qatar 2022 : Grand chamboulement dans la préparation des Lions !

Les Lions ne verront pas Dakar avant le démarrage de la Coupe du monde 2022. Le regroupement des poulains d’Aliou Cissé se fera à Paris où ils vont rallier directement Doha. Les Lions de la Téranga vont quitter la capitale française, le 15 novembre, pour rallier le Qatar. Selon Sud quotidien, qui donne l’information, même la traditionnelle cérémonie de remise du drapeau devrait se faire à l’Ambassade du Sénégal à Doha où une délégation conduite par le président de la République, Macky Sall, est attendue pour regarder le premier match face à la Hollande le 21 novembre au Al Thumama Stadium.
Le journal écrit que la Fsf, à l’image des autres fédérations, semble confrontée à un problème de temps pour effectuer le déplacement jusqu’au Sénégal alors que les joueurs sont libérés après le week-end du 11-12-13 novembre prochain.
Une délégation du ministre des sports et des fédéraux s’est d’ailleurs rendue au Qatar pour les derniers réglages. Mais il est déjà à retenir que comme à la dernière Coupe d’Afrique des nations (Can), les Lions vont s’entraîner dans leur camp de base.
Contrairement à l’hôtel SK Royal de Kaluga qui faisait office de tanière où Sadio Mané et sa bande étaient obligés d’avaler plusieurs kilomètres pour s’entraîner, au Duhail Handball Sports Hall, ils seront servis sur place. Ils quitteront leur chambre, et à pieds, pour rejoindre le terrain d’entraînement inclus dans le centre, révèle Sud quotidien.
Les Lions vont y loger seuls avec des membres de leur staff technique, médical etc. Ce qui offre une certaine quiétude plus intéressante qu’un hôtel où d’autres hôtes pourraient loger. Mais ici, personne ne devrait y entrer sans l’autorisation de la Fédération sénégalaise de football. Selon des sources dignes de foi, c’est ce qui a été retenu à l’issue d’une réunion à laquelle, le sélectionneur nationa

Elle traite sa mère de prostituée et finit en détention…

Prise par on ne sait par quel démon, la jeune dame A.Fall a dépassé les bornes ! Et pour cause, elle a traité sa mère de prostituée avant de menacer de mettre fin à sa vie. Mais son acte d’indiscipline notoire lui coûtera cher. Selon des informations de Seneweb, la mise en cause a été arrêtée par les gendarmes de la brigade de Diourbel. Après une durée de garde à vue de 48 heures, la célibataire et mère de deux enfants  a été présentée hier au procureur ! Détails ! Âgée de 24 ans, la célibataire et mère de deux enfants, A.Fall, ne rate aucune occasion pour s’acharner sur sa maman qui n’a que ses yeux pour pleurer. La mise en cause, vivant avec sa famille au quartier Thierno Kandji de Diourbel, a encore offensé la dame âgée entre 50 et 60 ans d’après des sources de Seneweb proches du parquet. Après son retour au Sénégal en provenance  du Maroc, la grand-sœur  de la mis en cause lui avait offert une valise remplie de cadeaux. Mais l’émigrée a récupéré les dons finalement le jour où sa petite-sœur  a bastonné son enfant. Contre toute attente, A.Fall s’en est prise à sa maman qui n’était pas mêlée dans cette affaire. Elle a traité sa mère F.K.N de pute. “Je ne connais pas mon père biologique parce que tu es une prostituée”, a-t-elle lâché avant de menacer de tuer sa mère qui a versé de chaudes larmes. Ce propos incendiaire ne sera pas impuni ! Et pour cause, les gendarmes de la brigade de Diourbel ont arrêté la mise en cause suite à une plainte déposée sur la table du chef de service. Soumise au feu roulant de questions des hommes du Commandant B.M.Diallo, A.Fall a fini par reconnaître les faits sans ambages. Au terme de sa garde à vue de 48 heures dans les locaux de gendarmerie de Diourbel,elle a été présentée au procureur, hier, selon des sources de Seneweb proches du parquet.

[Dossier] France « dégage », Russie prend ancrage

Le proverbe africain affirmant qu’«il n’y a pas de place pour deux crocodiles dans le même marigot » ne pouvait pas trouver meilleure illustration. La Russie tente depuis plusieurs années une implantation rapide sur le continent en usant, parfois, de moyens peu conventionnels dans le but de d’inviter le plus rapidement possible la « méchante » France « néocoloniale » à prendre la porte.  Au cours des incidents ciblant l’ambassade de France, suite au coup d’Etat du 30 septembre dernier, quelques images ont étonné de nombreux observateurs. Celles montrant des manifestants brandissant fièrement des drapeaux russes. « On veut la Russie, on veut une collaboration avec le Mali, la France à bas ! », clamait l’un d’entre eux. Cette volonté de changement de cap -vers un modèle russe-constaté en Haute-Volta n’est pas un fait isolé. Il prend de l’ampleur dans la sous-région. Pour sortir de cette relation Afrique-France que certains qualifient de « servitude moderne », bon nombre d’entre eux sont favorables à la recherche de nouveaux partenaires stratégiques pour le continent. Dans cette quête d’un nouvel allié stratégique, la plupart des regards convergent vers la Russie. Un choix apprécié par beaucoup dont des militants anticolonialistes tels que Nathalie Yamb ou Kemi Seba. Ce dernier avait clairement apporté son soutien à l’Etat fédéral suite à son opération militaire en Ukraine : « Poutine veut récupérer son pays et il n’a pas le sang de l’esclavage et de la colonisation sur les mains. Je préfère Poutine, même si ce n’est pas mon messie, à tous les présidents occidentaux et à tous les maudits présidents africains, soumis à l’oligarchie de l’Occident ».  Le jeu de séduction russeConscient de l’occasion à saisir sur le continent, la Russie a commencé à avancer ses pions depuis belles lurettes. Le sommet Russie-Afrique organisé en 2019 à Sotchi en est le parfait exemple. Au cours de cette rencontre, le président Vladimir Poutine a  rappelé les relations historiques entre l’ex URSS et l’Afrique et l’attachement commun au multilatéralisme et la lutte contre le colonialisme.  Autant d’arguments allant de pair avec le nouveau paradigme souhaité par le continent dans sa nouvelle feuille de route. L’Etat fédéral ne s’est pas limitée à ces concertations pour développer sa notoriété. Elle a mis en place des médias de propagande pro-russe pour tenter de contrebalancer le traitement de l’information des occidentaux, le plus souvent défavorable au Kremlin. « La Russie joue la carte du contre-discours occidental qui a une forte résonance chez la jeunesse, nous dit Bah Traoré, analyste politique et sécuritaire au Sahel. Très vite, son influence médiatique a commencé à gagner du terrain sur les réseaux sociaux. La chaîne de propagande ruse, Russia Today (RT), connaît une croissance d’audience en Afrique. Son audience est passée de 50.000 abonnés à plus de 1.200.000 abonnés entre fin 2017 et Mars 2022. Le discours anti occidental a trouvé un terrain fertile dans un contexte où seuls les grands médias occidentaux avaient le monopole de l’information ». France vs Russie : Combat de propagande Ce positionnement réussi serait donc, en partie, le fruit d’un plan de communication axé sur la désinformation et dont la cible à évincer est la France. L’un des évènements corroborant cette assertion est le charnier découvert à Gossi suite à la rétrocession du camp par la force Barkhane en avril dernier. Les autorités maliennes avaient tenu pour responsables les militaires français. Ces derniers ont répliqué, preuves à l’appui, en diffusant des images de drone montrant des individus -décrits comme des forces de Wagner- monter cette « mise en scène ». Une démarche inédite pour l’armée française car elle dévoilait des éléments classés secrets-défense pour la première fois. L’enjeu en valait la chandelle. Des offensives russes dans la sphère communicationnelle qui ont fini d’irriter le président français Emmanuel Macron. Au cours de sa visite en Algérie, en août dernier, il a dénoncé « l’agenda d’influence, néo-colonial et impérialiste » de Pékin, Moscou et Ankara. « Je veux dire simplement la jeunesse africaine : expliquez-moi le problème et ne vous laissez pas embarquer parce que votre avenir, ça n’est pas l’anti-France. Oui, la France est critiquée. Elle est critiquée pour le passé, […] parce qu’on a laissé trop longtemps des malentendus s’installer, et aussi parce qu’il y a une immense manipulation », a-t-il dit. Un mois plus tard, le chef de l’Etat français évoquait de nouveau la question, cette fois-ci sur un ton offensif. Lassé d’être attentiste, E. Macron a sonné la révolte devant ses ambassadeurs en estimant que la riposte passe d’abord par une “vraie politique partenariale” avec les pays visés. « Mais je pense que, collectivement, nous devons être beaucoup plus réactifs, beaucoup plus mobilisés sur les réseaux sociaux”, a insisté le président de la République. “Il ne s’agit pas de faire de la propagande”, a-t-il fait savoir, mais de contrer les “propagandes anti-françaises” et de “combattre les narratifs mensongers, les informations fausses et défendre la réalité de notre action”« la Russie n’a jamais colonisé un pays africain », Samba Mbenda Diaw, président PARADE Malgré ces efforts effectués, le capital sympathie de la Russie vis-à-vis de la population n’a pas l’air d’avoir été entaché. Si bien que des associations de soutien à la Russie voient le jour en Afrique. A l’exemple de PARADE (Partenariat Alternatif Russie Afrique pour le Développement Économique). Cette association, présente sur 16 pays du continent, se définit comme une organisation panafricaniste avec comme objectif le rapprochement des pays d’Afrique à la Russie. Samba Mbenda Diaw l’initiateur de cette plateforme revient sur les raisons de sa création : « Nous croyons qu’avec la Russie nous allons connaître un partenariat. Un partenariat gagnant-gagnant. Parce que la Russie n’a jamais colonisé un pays africain ; la Russie n’a jamais participé à la traite des noirs ; la Russie n’a jamais garanti une monnaie africaine. Au contraire, la Russie a aidé beaucoup de pays africains dans la marche vers les indépendances ». Il ajoute qu’il s’agit d’« une invite à une réorientation diplomatique vers un partenaire fiable et efficace à savoir la Russie pour une Afrique souveraine et résolument portée vers le progrès ». Des arguments qui séduisent et les adhérents à ce mouvement ne cessent de croître jour après jour.

France : Une rue va porter le nom de Joseph Ndiaye

Le samedi 15 Octobre sera inaugurée la rue Joseph Ndiaye à Nantes. Cette ville, dont le passé esclavagiste est connu, entend par cet acte rendre hommage à l’ancien conservateur de la Maison des Esclaves de Gorée.
 
Le maire de la ville, Johanna Rolland, et son Conseil municipal ont décidé de donner le nom de Joseph Ndiaye à une rue d’un quartier symbolique de la cité sur recommandation du conseiller municipal du groupe Écologiste, Alassane Guissé. De son vrai nom Boubacar Joseph Ndiaye, celui qui se considérait comme le « conservateur en chef » de la Maison des Esclaves est décédé le 6 février 2009. De par ses récits passionnés, il a su marquer les esprits de bon nombre de visiteurs, notamment les touristes étrangers.
 
La Ville de Nantes est une de ces cités françaises qui ont servi de point de départ aux bateaux négriers aux côtés d’autres villes telles que celles du Havre, de La Rochelle, de Bordeaux ou de Saint-Malo. Au moins, 4 000 expéditions né­grières à destination des Amé­riques et de l’Océan indien ont permis à la ville de transporter près de 600 mille esclaves.

Santé sexuelle et de la reproduction : Un laboratoire d’apprentissage mobile installé à Bandafassi

Le sous-préfet de l’arrondissement de Bandafassi (Ké­dougou, Sud-est), Lamine Diop, a présidé ce mardi, la cérémonie d’installation du laboratoire d’apprentissage mobile sur la Santé sexuelle et de la reproduction (Ssr) pour les jeunes filles de cette commune, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la fille. Ce laboratoire d’apprentissage mobile Ssr a été installé par Carrefour International, en partenariat avec la mairie de Bandafassi. «L’objectif de cette journée, c’est de promouvoir l’accès à l’information. Nous sommes à l’heure du numérique et des nouvelles technologies de l’information et de la communication», a expliqué Annick Dionne, responsable de la santé sexuelle et reproductive du projet Damcam, ma voix, ma santé de Carrefour International.

L’installation de ce laboratoire, selon Annick Dionne, va permettre aux jeunes filles de la commune de Bandafassi d’accéder, à travers des tablettes, à toutes les informations sur la santé sexuelle et reproductive. Elle a exhorté les parents et enseignants à inciter «les ados» à visiter fréquemment le laboratoire.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention