jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1692

Abdou Karim Fofana prix dans un panier

Abdou Karim Fofana débarque au ministère du Commerce et des pme dans un contexte international difficile, selon le président de l’Unacois Yessal. Alla Dieng attend tout de même de nouveau gouvernement, au-delà de la subvention des certains produits, la renonciation de l’Etat à certaines taxes, la reprise et de manière régulière, du Conseil présidentiel sur les investissements.

Aminata Assomme Diatta a été perdue par la détérioration du pouvoir d’achat des ménages avec la flambée des prix dans tous les secteurs. Malgré sa combativité, elle n’a pas réussi à stabiliser le marché déstructuré par un environnement international difficile et les comportements de commerçants véreux. Nouveau ministre du Commerce et des pme, Abdoulaye Karim Fofana revient au gouvernement à la tête d’un secteur fortement sinistré par des chocs exogènes. «La situation ne sera pas facile pour le ministre entrant, mais cela n’est pas dû à l’Etat ni aux commerçants, c’est pratiquement l’environnement international», analyse Alla Dieng. Le président l’Unacois Yessal donne le cours du dollar qui est actuellement à 640 francs Cfa alors qu’il était il y a trois mois à 510 et 515 francs.

Même si la situation n’est pas favorable, les commerçants attendent du ministre du Commerce, des actions concrètes. «Le renforcement des subventions peut être une solution. Aussi si l’Etat renonce à certaines taxes, ce serait bien», plaide M. Dieng. La subvention portait sur le riz paddy, l’huile et le sucre. La seule lueur d’espoir qu’entrevoient les commerçants reste les premières rentrées de la vente du pétrole et du gaz prévue en 2023. «Sinon, il n’y a pas d’autres ressources sur lesquelles l’Etat peut se baser pour diminuer les coûts des denrées de première nécessité. Même s’il y a des produits homologués, nous sommes dans un régime libéralisé, le marché est libéralisé», rappelle le président de l’Unacois Yessal.

Il souhaite plusieurs concertations régulières entre le secteur privé et l’Exécutif. «Cela fait plus de quatre mois qu’il n’y a pas eu de Conseil présidentiel sur l’investissement (Cpi) alors qu’il est un moment d’échanges et de partage entre le secteur privé et l’Etat», se souvient M. Dieng. Les commerçants ne souhaitent plus les formules classiques où il y avait les bailleurs de fonds, les institutions financières, bancaires… «Ce n’est pas normal, nous voulons des dialogues directs entre le secteur privé et l’Etat.»

Selon Alla Dieng, le président de la République Macky Sall en a parlé dans son discours. «Nous attendons la concrétisation de cela», dit-il. En tout cas, il s’agit d’une forte demande des commerçants qui espèrent la tenue de ces Cpi, qui étaient réguliers sous Me Wade, juste après les passations de services. «Il fut un moment où nous sommes restés deux ans sans les Cpi. Les concertations entre le secteur privé et l’Exé­cutif doivent être régulières, constantes et fructueuses pour tout le monde, du gagnant-gagnant», soutient Alla Dieng.

Sur la nomination d’une femme au ministère de l’Eco­nomie pour la première fois, il attend de voir la gestion de celle-ci. «C’est une dame à qui on confie pour la première fois cette tâche, c’est une experte qui était aux Nations unies, son expérience et sa pugnacité peuvent être intéressantes, mais on attend de voir», commente Alla Dieng.

Il engrosse la femme son ami “Modou Modou”

F.S a été arrêté par la gendarmerie de Kébémer pour avoir « violé » et engrossé la femme de son ami intime. Le mis en cause avoue la paternité de la grossesse mais nie le viol.

Les faits ont eu lieu dans la commune de Thieppe au mois dernier. D’après L’OBS, les déboires du mis en cause ont débuté quelques jours après le retour de voyage de son ami, qui vivait à l’étranger.

Le « Modou-Modou » qui venait juste de consommer son mariage, a commencé à avoir des appréhensions lorsqu’il a remarqué que sa femme est tombée enceinte.

Il l’a conduite dans une structure de santé pour en avoir le cœur net. Les examens gynécologiques révèlent que la femme est enceinte de quatre mois alors que l’émigré venait juste de passer quelques jours avec son épouse.

Il conteste la paternité de la grossesse et demande à sa femme qui en est l’auteur*.

En sanglots, son épouse accuse son meilleur ami : « il m’avait invité chez lui, quand je suis arrivée, il m’a violée… », a accusé la dame.
Avec Senenews

Mais l’ami intime a démonté les arguments de cette dernière soutenant ceci : « j’ai couché avec mais elle était consentante. Elle ne cessait de me provoquer et me faire des avances. Etant dans une position de faiblesse, j’ai accepté et nous avons entretenus des rapports sexuels lors d’une cérémonie religieuse à l’issue de laquelle nous nous sommes isolés dans un lieu calme. »

Offre ou cession de drogue : Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye risquent 2 ans ferme pour détention de protoxyde d’azote

Prévenus d’offre ou de cession de drogue, Mouhamed Déme, Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye ont fait face aux juges du tribunal des flagrants délits de Dakar, ce lundi. La représentante du ministère public a demandé que Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye soient condamnés à 2 ans d’emprisonnement ferme. Quant au premier nommé, Mouhamed Dème, il a bénéficié d’une liberté provisoire. Le verdict sera rendu le 26 septembre prochain.

L’utilisation du protoxyde d’azote est néfaste pour la santé. Malgré les moult mises en garde sur les méfaits de ce comprimé utilisé en chirurgie et qui est détourné par des jeunes à des fins illicites, le plus dans les boites de nuit, ces comprimés sont utilisés de plus en plus. Mais, c’est le plus souvent de leur liberté qu’ils vont payer leurs agissements car cette substance fait partie de la catégorie des drogues.

La preuve : c’est la détention et la commercialisation de ce produit qui a conduit à l’arrestation des nommés Amadou Diouf, Mouhamed Déme et Saliou Khar Ndiaye. Il ressort de la procédure que c’est au cours d’un contrôle de routine que les policiers ont procédé à l’arrestation de Amadou Diouf. En effet, quand les flics ont stoppé le taxi qui le transportait, le jeune homme né en 1998, jette les capsules entre ses pieds avant de descendre du véhicule.

Son attitude suspecte oblige les policiers à ramasser la boîte pour vérification. Ils constatent la présence de 31 capsules. Arrêté et conduit au commissariat, il est soumis à une enquête au cours de laquelle, il renseigne que le produit prohibé trouvé en sa possession est destiné pour sa consommation personnelle. Il soutenait les avoir acquis auprès de Saliou Khar Ndiaye à 25.000 francs CFA. Ainsi, pour procéder à l’arrestation de ce dernier, les policiers lui tendent un piège en intimant l’ordre à Amadou de passer une nouvelle commande.

C’est au moment de la livraison du produit que Saliou a été appréhendé alors qu’il venait juste de quitter chez lui, pour livrer la marchandise. Venu s’enquérir de la situation suite à l’arrestation de son ami, Mouhamed Deme tombe entre les mailles des filets des policiers. Placés tous les trois sous mandat de dépôt le 12 septembre, ils ont fait face ce lundi, au juge du tribunal des flagrants délits de Dakar. Ils sont poursuivis pour offre ou cession de drogue.

Amadou Diouf entendu en premier, plaide non coupable. «J’ignorais que le produit que je détenais est prohibé. Je l’avais acheté pour faire du gâteau», a-t-il déclaré contestant ainsi, les propos qui lui sont prêtés dans le procès-verbal d’enquête. Interrogé par la parquetière, il varie une nouvelle fois dans ses allégations et soutient qu’il utilise ces médicaments pour dormir.

Interrogé à son tour, Mouhamed Deme, âgé de 35 ans renseigne qu’il ne savait pas que Khar détenait de la drogue. Selon lui, il voulait juste connaître les raisons de son arrestation. Né en 1994, Saliou Khar Ndiaye qui était arrêté alors qu’il détenait 11 boites de 50 capsules de protoxyde d’azote reconnaît avoir vendu le même produit à Amadou Diouf. «Il m’a dit que c’est une pâtissière qui a commandé le produit pour les besoins du Magal. Elle l’utilise pour faire de la mousse de gâteau. En outre, on le vend en ligne», a-t-il expliqué.

Après avoir requis la relaxe de Mouhamed Deme, la représentante du ministère public a demandé que Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye soient condamnés à 2 ans d’emprisonnement ferme. Réquisitoire sévère selon les avocats de ces derniers. Constitué pour défendre Amadou Diouf, Me Abdoulaye Tall relève : «Toute l’enquête portait sur la détention en vue de l’usage. Sur quoi se fonde le parquet pour dire que Amadou Diouf s’adonnait à l’offre ou la cession. Il avait une boîte de 30 capsules».

«Si vous estimez que la substance constitue de la drogue, je vous demande de disqualifier les faits en détention en vue de l’usage», a plaidé Me Tall. Son confrère Me Boubacar Dramé accentue sa plaidoirie sur l’usage domestique du produit. Se fondant sur ses recherches, l’avocat se demande si le produit fait partie de la catégorie des drogues. Il a ainsi sollicité la relaxe de son client  Saliou Khar Ndiaye.

 

Quand à Mouhamed Deme, son avocat Me Ndiaga Dabo a demandé sa relaxe pure et simple. «Les enquêteurs n’ont eu aucun élément sérieux à son endroit. On tend un piège à Saliou Khar. Il part pour s’enquérir de sa situation, on l’interpelle et on le met en détention pendant une semaine alors qu’il souffre d’une maladie chronique. Il est diabétique. On n’a rien trouvé sur lui », a souligné Me Dabo qui a demandé la mise en liberté provisoire d’office de son client si l’avoir doit être mise en délibéré.

Le parquet n’ayant fait aucune objection à sa demande, le tribunal accorde la mise en liberté provisoire de son client Mouhamed Deme. Quant à Amadou Diouf et Saliou Khar Ndiaye, il retourne à la citadelle du silence jusqu’au 26 septembre. Le verdict sera rendu à cette date.

Accusé de viol sur la femme de son meilleur ami, F. S, dans de sale draps

“LE MIS EN CAUSE RECONNAÎT AVOIR ENTRETENU DES RELATIONS SEXUELLES AVEC L’ÉPOUSE DE SON AMI INTIME

Un jeune homme a été arrêté par les éléments de la gendarmerie et déféré au parquet de Louga. Il est accusé d’avoir entretenu des relations sexuelles avec la femme de son meilleur Ami dans la commune de Thieppe département de Kébémer. Selon L’Observateur qui donne l’information, la victime présumée est l’épouse d’un émigré. Ce dernier qui est rentré récemment au bercail, a constaté que sa femme présentait des signes d’une grossesse avancée juste après leur nuit de noces. Il sera surpris quand les blouses blanches on appris que sa femme était enceinte de 4 mois. L’immigré très choqué par les faits interroge son épouse pour savoir l’auteur de sa grossesse: « F. S m’avait invitée chez lui et quand je suis arrivée, il m’a violée. J’avais des scrupules pour le dénoncer, car j’étais consciente que certains n’allaient pas me croire», a-t-elle déclaré. Le mis en cause reconnaît avoir entretenu des relations sexuelles avec l’épouse de son ami intime mais nie catégoriquement les accusations de viol : «C’est elle qui me provoquait. Elle me faisait des avances. J’ai fini par accepter et nous avons entretenu des rapports sexuels. (…) Je regrette les faits et je demande pardon à mon ami.»

Tunisie : l’étudiant sénégalais arrêté jugé pour…

Un étudiant sénégalais est arrêté à l’aéroport de Tunis-Carthage. Il s’agit de Serigne Mor Mbodji, un boursier de l’Etat Sénégalais. Il est bénéficiaire de la coopération Tunisico-sénégalaise. Il sera jugé aujourd’hui pour outrage à agent.

L’étudiant vient tout juste de finir son cursus avec un diplôme d’ingénieur. Serigne Mor Mbodji devait rentrer au bercail. Il s’est alors rendu à l’aéroport de Tunis pour embarquer. Mais, il restait introuvable à l’atterrissage de l’avion à Dakar.

La famille de l’étudiant lance l’alerte. Ce n’est qu’après des recherches qu’elle est informée de l’arrestation de Serigne Mor Mbodji et de sa comparution programmée pour ce 20 septembre.

Il est reproché à l’étudiant d’avoir exercé une violence sur un élément de la police tunisienne.

Les étudiants sénégalais de Tunis interpellent Aïssata Tall Sall, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur pour tirer leur camarade de ce problème.

Consulat de la France à Dakar : le très juteux trafic de visas Schengen

Au Sénégal, le ministère français des Affaires étrangères enquête sur un réseau qui serait à l’origine d’un c délivrés à des étudiants. Ce n’est pas la première fois qu’un trafic de visas est démantelé.

L’affaire a fait grand bruit au Sénégal. Alors que l’ambassade a annoncé une hausse de 250 % des demandes de visas Schengen, des irrégularités ont été constatées au sein du service des visas du consulat français de Dakar. De quoi amener l’Inspection générale du Quai d’Orsay à diligenter une enquête.

La fraude aux visas, qui passe par les falsifications de documents, par des intermédiaires qui « vendent » des créneaux de rendez-vous mais également par le trafic lié à des réseaux consulaires ou aux prestataires, est loin d’être nouvelle.

Dans un rapport d’information de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale française, les ex-députés M’jid El Guerrab et Sira Sylla classent d’ailleurs le trafic de visas dans la catégorie des simples « contraintes » liées à la délivrance des fameux sésames. Mais ils omettent — consciemment ? — d’évoquer les trafics dus à des réseaux consulaires et se concentrent sur les « fraudes documentaires ».

20 % à 30 % de dossiers frauduleux au Sénégal et en Côte d’Ivoire

En Afrique subsaharienne, deux pays sont à la pointe de la fraude. « Dans des pays comme le Sénégal et la Côte d’Ivoire, la fraude est massive : elle représente 20 à 30 % des dossiers de demande de visa », assurent les élus qui estiment que « la difficulté liée à la prise de rendez-vous est accentuée par la multiplication des officines qui préemptent tous les créneaux dès leur ouverture sur internet et les ‘revendent’ aux demandeurs ».

Mais on parle là de faux documents. Pourquoi une telle omerta lorsqu’il s’agit de dénoncer des réseaux au sein des consulats ? Il y a quinze ans, sept agents du consulat de France à Moscou avaient été sanctionnés après la découverte d’« anomalies dans le traitement des visas ». En réalité, le consulat de France avait accrédité des agences qui vendaient, pour des prix variant entre 1 000 et 1 200 euros, des visas en fabriquant de fausses attestations. L’ambassade français avait, à l’époque, refusé de rendre publique la liste et préféré étouffer l’affaire.

La dématérialisation, une solution ?

L’affaire de Dakar pourrait bien se solder de la même façon. l’Inspection générale du ministère des Affaires étrangères compte en effet agir de façon discrète. Selon des sources proches du consulat français au Sénégal, le trafic concerne des délivrances de visas à des étudiants, contre rémunérations.

Un trafic qui bénéficie de deux facteurs : la difficulté, d’un côté, d’obtenir un visa Schengen ; les délais, parfois très longs, des démarches, de l’autre côté. « Ces délais de prise de rendez-vous sont en pratique imposés aux prestataires par les consulats en fonction de la capacité de ces derniers à instruire les demandes dans un délai de quelques jours. La phase d’instruction des visas au consulat constitue donc le goulot d’étranglement de la demande de visa », indique un rapport du Sénat français de 2015.

Que faire pour éviter ce juteux trafic ? Pour les ex-députés M’jid El Guerrab et Sira Sylla, « la dématérialisation permettra de mettre fin au cauchemar du circuit des passeports – entassés dans des bassines à linge pesant parfois près de 15 kilos, souvent transportés manuellement – et de l’archivage ‘physique’ des dossiers ». De quoi, assurent-ils, réduire les « re-saisies » des dossiers par les prestataires et les agents consulaires et, indubitablement, limiter les risques de trafic.

Possibilité pour les ministres de suspendre leur mandat parlementaire : la loi déjà votée à l’Assemblée nationale par la 13 ème législature

D’habitude, l’incompatibilité entre les fonctions ministérielles et celles parlementaires faisait en sorte que tout nouveau membre du Gouvernement perdait son statut de député en faveur de son suppléant. Du coup, la lettre d’Abdoulaye Daouda Diallo demandant au président de l’Assemblée nationale de suspendre son mandat est l’objet de plusieurs fantasmes.

Mais ‘’SourceA’’ qui a fait ses investigations dans sa parution de ce mardi, révèle que, les députés de la défunte Treizième Législature (Pouvoir comme Opposition) ont, dans un passé récent, voté une loi qui fait en sorte que, désormais, le député titulaire élu puisse bel et bien procéder à la suspension de son mandat à l’Assemblée nationale.

En d’autres termes, souligne le journal, le député suppléant est susceptible d’être bouté de l’Hémicycle et envoyé en chômage, dès que le titulaire cessera d’exercer ses fonctions de ministre.

Assemblée : Ils ont finalement démissionné

L’affaire avait suscité le blocage des travaux de l’hémicycle, lundi dernier. À présent, les ministres  élus députés ont finalement déposé leur lettre de démission ce lundi à l’Assemblée nationale.

Les ministres, qui occupaient un siège de député à l’Assemblée, ont finalement démissionné de la représentation lantionale. Il s’agit, par exemple, de Amadou Bâ (le premier ministre), Abdoulaye Saydou Sow (Ministre de l’Urbanisme), Abdoulaye Daouda Diallo (Ministre d’Etat Directeur de cabinet du Président), Fatou Diané Ministre de la Femme, ou encore Aly Ngouille Ndiaye (Ministre de l’Agriculture).

En effet , les Directeurs généraux aussi sont concernés par cette situation. Il y a, par exemple, Amadou Mame Diop, le Président de l’Assemblée nationale, qui était Directeur général de la Sapco.

Un soudeur métallique pris en flagrant délit de vol dans une maison

Le soudeur métallique M.Hanne est un multirécidiviste. Condamné à deux reprises pour vol, le bonhomme ne veut pas changer de comportement. Habitant à Pikine Benne Tally, M. Hanne a été surpris dans une maison en train de dérober des rouleaux de fils électriques et des cartons de carreaux. Pourtant, il avait à plusieurs reprises réussi à voler du matériel dans ce site d’une société de la place. D’ailleurs la propriétaire,

A. Sall, avait déjà déposé une plainte à la Dic. Son modus operandi sera découvert par le vigile de la société qui a mis fin aux agissements de M. Hanne. Il est conduit à la Dic où il reconnaît sans ambages les faits. Il brade les fils électriques au marché Alizé et les carreaux à Grand Dakar. Le mis en cause est placé en garde à vue. Il sera déféré au parquet pour vol avec effraction commis la nuit et recel.

Yoro Dia, un pourfendeur du 3eme mandat désormais au Palais !

« SI MACKY SALL A CETTE TENTATION DU 3EME MANDAT ET VEUT PASSER PAR L’ÉTAPE DE WADE LES SÉNÉGALAIS VONT REFAIRE LA MÊME CHOSE

L’ancien journaliste Yoro Dia et membre du nouveau gouvernement en tant que ministre, coordonnateur de la communication de la Présidence de la République du Sénégal va-t-il toujours défendre ses principes et maintenir ses déclarations sur le 3eme mandat ?

D’après Yoro Dia, la Constitution est clair et souligne que nul ne peut avoir plus de deux mandats consécutifs. Donc si Macky Sall est un entre humain il ne peut pas avoir plus de deux mandats consécutifs. Pour étayer ses propos, le journaliste renseigne qu’un pays doit avoir une histoire politique. Celle du Sénégal de 2012, a montré que les sénégalais ont de la dignité et le sens de la responsabilité parce que quand Abdoulaye Wade a voulu faire un forcing, la manière dont les sénégalais ont réglé la question est une jurisprudence. « Si Macky Sall a cette tentation et veut passer par cette étape les sénégalais vont refaire la même chose », dit-il.

En effet, l’analyste politique et actuel collaborateur du Président Macky Sall qui a soutenu sa thèse de Doctorat en science politique samedi dernier à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar avait déclaré dans sa chronique intitulée : “Le 3e mandat : un pari pascalien à l’envers” que « le Sénégal a réglé la question du 3ème mandat en congédiant démocratiquement Wade (Me Abdoulaye Wade, ndlr) après son forcing légal, parce que dans notre pays, l’élection est un mécanisme de remise en jeu du pouvoir. On ne peut pas dire la même chose de la Guinée de Alpha Condé qui, contrairement au Sénégal, n’est pas encore détribalisée ou des-ethnicisée.

Alpha Condé a toujours déclaré que modifier la Constitution pour un 3e mandat équivaudrait à trahir ses principes et les combats pour lesquels il s’est battu toute sa vie. On ne peut que constater qu’entre les délices du pouvoir et les principes qu’il a toujours défendus, son choix est fait. En voulant faire du forcing, le Pr Condé mène un combat anachronique qui l’enferme dans un pari pascalien à l’envers : à tous les coups il va perdre.

Après avoir perdu, il pourra, en écrivant ses mémoires, lire tranquillement Montesquieu qui, de façon fort sage, nous dit : «Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument.»

Le successeur du ministre Seydou Gueye estime que dans certains pays africains l’élection est un mécanisme de relégitimation du pouvoir en place. Car dans la plupart des pays africains, on croit qu’on n’organise pas des élections pour les perdre, ce qui fait que les élections deviennent une simple formalité.

Il ajoute : « En Afrique ou l’Asie, la souveraineté du Peuple est une fiction juridique derrière laquelle avance masquée la souveraineté d’un homme qui instrumentalise la Constitution selon ses intérêts du moment. Ce simple argument sur la sincérité des élections fit effondrer comme un château de cartes l’édifice théorique de Monsieur le ministre ».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention