jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 1693

Télétravail : cinq choses à ne pas faire sur son PC professionnel

À l’heure où le télétravail devient la norme en Belgique, pour les fonctions compatibles, il convient de préciser quelques règles d’usage à respecter avec son PC professionnel, rappelle le site spécialisé Glassdoor.

Il n’est pas simple de retenir par cœur tous ses mots de passe. Différentes stratégies s’opèrent donc: soit on utilise toujours le même, et c’est risqué, soit on en utilise plusieurs mais on les sauvegarde automatiquement par facilité: erreur! En effet, l’employeur peut se réserver un droit de regard et de contrôle sur les ordinateurs de l’entreprise et sur les activités de l’employé pour protéger ses intérêts: e-mails, messageries instantanées professionnelles, etc.

De plus en plus d’entreprises belges et françaises ont recours à des services de messageries instantanées internes pour garantir la communication entre collègues. La tentation est grande, cependant, d’utiliser ces également outils pour bavarder en “MP”. Attention, toutefois: il faut savoir que la plupart de ces logiciels professionnels stockent l’intégralité de vos échanges, publics ou privés. Bref, prenez garde à ce que dites ou… allez discuter sur d’autres plateformes.

Même s’il est impossible, en cette période de reconfinement, d’aller travailler dans un café ou un espace public, il n’est pas inutile de rappeler cette règle: les réseaux publics sont généralement peu protégés et il convient donc d’éviter certaines opérations comme des virements bancaires ou d’autres tâches “secret défense”.

C’est si simple de créer un petit dossier sur le bureau de son PC pro et d’y déverser toute sa vie. Or, ce stockage de données personnelles peut s’avérer délicat dans plusieurs cas de figure: si vous êtes licencié du jour au lendemain ou si l’entreprise fait faillite, par exemple. En effet, vous n’aurez pas forcément le temps de sauvegarder ces données et vous ne saurez jamais ce que votre ex-employeur en fera.

De nombreux employés possèdent une seconde activité. Or, il est particulièrement risqué d’utiliser ses heures de bureau et son PC pro pour arrondir ses fins de mois. Comme mentionné plus haut, l’employeur conserve un droit de surveillance à distance et cette “trahison” pourrait vous coûter cher.

En outre, depuis que le télétravail connaît une croissance exponentielle, les employeurs adaptent leurs pratiques. Ils sont ainsi de plus en plus nombreux à recourir à des logiciels de surveillance à distance.

P.A. D

77e AG de l’Onu: Les Chefs d’État et de Gouvernement se penchent sur les grands enjeux mondiaux

Plus de 150 dirigeants, dont Macky Sall, sont attendus à New York, cette semaine, dans le cadre de l’Assemblée générale des Nations-unies pour être au chevet d’un monde en crise ébranlé par la guerre en Ukraine, notamment. Un sommet sur l’éducation se tiendra d’abord lundi et à partir de mardi, les chefs d’État et de gouvernement vont se succéder à la tribune de l’Onu.

Chaque année, les dignitaires du monde entier se réunissent au siège de l’ONU à New York, pour une Assemblée générale. Contrairement à la 75ème session qui s’est tenue virtuellement en 2020 et à la 76ème session qui s’est tenue, suivant un format hybride en 2021, eu égard à la pandémie du Covid-19, l’Assemblée générale de cette année se tient entièrement, en présentiel au siège des Nations Unies à New York.

Début Cde la session
L’Assemblée générale a commencé comme d’habitude, par un discours du président de l’Assemblée générale. La 77ème session de l’Assemblée générale des Nations-Unies a débuté le 13 septembre, et son nouveau président a exhorté les dirigeants mondiaux à travailler ensemble et à combler les « profondes divisions », afin de s’attaquer aux problèmes les plus urgents de l’humanité, tels que le conflit en Ukraine.

Bien que le monde soit actuellement incertain et qu’il connaisse des clivages géopolitiques croissants, Csaba Krösi, le nouveau président, a souligné devant les participants que les Nations-Unies ont été fondées sur les ruines de la guerre et de la dévastation dans l’intention d’être un « puits de solutions ». « Pour répondre aux défis les plus pressants de l’humanité, il faut collaborer, revigorer un multilatéralisme inclusif, en réseau et efficace, et se concentrer sur ce qui nous unit », a-t-il déclaré.

L’Ukraine comme point focal
M. Krösi a souligné que le conflit en Ukraine a été un « tournant » et que si le monde ne fait pas attention, la « méthode » de guerre résultant de l’invasion russe pourrait faire partie de la « boîte à outils de la vie internationale ». « Ce conflit doit prendre fin. Il a affirmé qu’il « tue des individus, il tue le développement, il tue la nature, et il tue des millions de rêves ». Le risque d’utiliser des armes nucléaires est maintenant plus grand qu’il ne l’a été au cours des 40 dernières années, a ajouté le nouveau président. « Cette réalité inquiétante nous oblige tous à travailler ensemble sur la question du désarmement », a-t-il déclaré.

La promesse de changement dans les efforts environnementaux

En outre, M. Krösi a lancé un avertissement : à mesure que la planète se réchauffe et que ses ressources naturelles se raréfient, les conflits vont s’aggraver. « La crise de l’eau sera probablement notre plus grande menace. Récemment, des températures record, des incendies violents et des inondations dévastatrices ont été enregistrés. « Il semble que Mère Nature réagisse », a-t-il déclaré, soulignant que « les affaires courantes » reprendront après le Covid-19 et que « ce n’est pas une option ».

Le diplomate hongrois a également noté que, bien qu’elle soit « plus facile à gérer », la pandémie, ainsi que l’insécurité alimentaire grave, la montée en flèche des prix de l’énergie, l’inflation record et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement mondiale, continuent de faire des ravages dans le monde entier.

« La vieille routine ne reviendra pas. La seule façon d’obtenir de meilleurs résultats est de changer. Nous connaissons déjà les formes générales de la transformation dont nous avons besoin. Le cadre de Sendai, l’accord de Paris, notre programme commun et l’agenda 2030 pour le développement durable nous poussent tous dans la bonne direction. La question de savoir si nous allons tenir nos promesses reste ouverte », a-t-il déclaré.

Mettre l’accent sur les nouvelles avancées scientifiques
Le nouveau président de l’Assemblée générale a déclaré que son mandat serait axé sur « les solutions par la solidarité, la durabilité et la science », soulignant l’importance de la science dans le processus décisionnel de l’organe des Nations Unies. « Je m’efforcerai de promouvoir des progrès mesurables dans la transformation de la durabilité – et de favoriser la solidarité nécessaire pour réaliser des percées ou éviter de futures catastrophes ». Faire simplement le point sur les objectifs de développement durable est insuffisant. « Nous avons besoin de plus de science de notre côté si nous voulons atteindre les objectifs d’ici 2030 », a-t-il déclaré.
En outre, M. Krösi a promis de collaborer activement avec des membres du secteur commercial, des universités, des organisations de la société civile, des chercheurs et des praticiens afin de proposer des solutions fondées sur la réalité, les faits et la science.

En ce qui concerne la récente résolution historique visant à créer un Bureau de la jeunesse des Nations Unies, il a déclaré : « Nous devons tendre activement la main aux jeunes, en les faisant participer à ce que nous faisons, afin que, lorsqu’ils seront assis dans ces sièges, ils puissent proposer des plans et des idées plus ambitieux que les nôtres. Il a poursuivi : « Nous devons également faire participer activement les jeunes à ce que nous faisons afin que, lorsqu’ils s’assiéront dans ces fauteuils, ils puissent proposer de meilleurs plans et de meilleures idées », notant la récente résolution historique visant à créer un Bureau de la jeunesse des Nations unies.

Le deuxième orateur de la session de l’Assemblée générale d’aujourd’hui était le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres. Il a félicité M. Krösi et a souligné que, malheureusement, les problèmes qui ont caractérisé la 76ème session demeurent. Il a exhorté à l’unité pour montrer la grande promesse et le potentiel de l’ONU, en disant : « Nous faisons face à un monde en péril à travers notre travail pour faire avancer la paix, les droits de l’homme et le développement durable ».

Ouest-Foire : Un mystérieux réseaux de trafic de migrants démantelé

Les éléments de la Division Nationale de la Lutte contre le Trafic de Migrants et pratiques assimilées (DNLT) de la Police nationale ont encore frappé fort. Ils ont démantelé un réseau international de trafic de migrants qui sévit entre la République Démocratique du Congo, le Sénégal, le Maroc et la France. Cette semaine déjà, dix d’entre eux, dont deux femmes, ont été interpellés puis déférés au Parquet, selon Seneweb. Les activités du groupe consistaient à transporter des migrants par voie aérienne du Congo en France, en passant par le Sénégal et le Maroc sur la base de faux sauf-conduits portant l’entête de l’Ambassade démocratique du Congo à Dakar. C’est ainsi que les éléments du Commissaire Faye ont mis fin aux agissements de ce réseau en interpellant deux congolaises de la RDC à l’Aéroport International Blaise Diagne, qui avaient par devers elles des sauf-conduits contrefaits . Interrogées dans un premier temps, elles ont tenté de faire croire aux enquêteurs qu’elles devaient retourner chez elles en RDC. Mais pressées de questions, elles ont fini par craquer, révélant qu’effectivement elles devaient rallier le royaume chérifien (Maroc) pour se faire délivrer des documents et continuer leur périple. Destination la France ! Selon leurs dires, elles ont été conduites au Sénégal par un compatriote qui est basé en France et qui a un représentant ici au Sénégal et au Maroc. Dans le cadre de l’enquête, il a été découvert que 08 autres congolais de Kinshasa sont également basés au Sénégal plus précisément à Ouest-Foire, où ils occupent un appartement dans l’attente d’être envoyés en France via le Maroc. Certains avaient par devers eux des documents sénégalais de voyage, des certificats d’hébergement qui leur ont permis d’avoir des visas et foulé le sol sénégalais, entre autres. Les sources de nos confrères révèlent toujours que ces visas sont, même, arrivés à expiration depuis plusieurs mois Selon les investigations préliminaires, ces faussaires quittaient le Sénégal avec des faux documents soit avec des passeports guinéens sur la base de la ressemblance ou avec de faux sauf-conduits. Les 10 interpellés ont été déférés au Parquet. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, trafic de migrants, complicité de faux, usage de faux, séjour irrégulier sur le territoire national et vagabondage. Les organisateurs de ce réseau sont activement recherchés. D’ailleurs les dernières informations reçues révèlent que l’un des trafiquants et leur représentant au Sénégal ont été déjà localisés. Leur interpellation ne va pas tarder. Pour les autres trafiquants qui sont hors du Sénégal, l’on signale que les Bureaux centraux nationaux Interpol (BCN) seront saisis pour leur mise en demeure.

Ministre : Des profils taillés pour la confrontation

Le chef de l’État s’est entouré d’une équipe de choc, taillée pour aussi bien prendre à bras-le-corps les défis sociaux et économiques qui secouent le pays, que répondre à l’opposition. Mais elle pourrait aussi servir à gagner d’autres combats à venir.

Un gouvernement de combat, a dit le Premier ministre Amadou Ba. On peut présumer qu’il doit aux défis sociaux et économiques le pays fait face à l’heure actuelle, et qui sont très réels. Le président de la République lui-même a eu à en parler la veille de la nomination de son chef de gouvernement, en lui dressant le tableau de ses priorités. Si la cherté des produits de première nécessité affecte toutes les couches de la société, les problèmes d’inondations de certains quartiers de la capitale, comme de certaines autres localités du pays, ont donné, aux yeux de certains opposants et d’une partie de l’opinion, un sentiment d’amateurisme de la part des pouvoirs publics ; surtout quand les gens ressuscitent les énormes montants qui ont été gagnés à ce problème depuis le début du régime de Macky Sall.

Tous ces combats ne seront pas oubliés, ils seront même pris à bras-le-corps. Car en vérité, ils font partie des séquences de la grande bataille qui se prépare. Et que cette équipe a pour mission d’aider à gagner.

Beaucoup d’observateurs et de «prédicateurs» des réseaux sociaux prédisaient un gouvernement de rupture, se mettant en avant le besoin pour le président, de rebondir après deux revers électoraux, notamment aux Locales en janvier 2022, et aux Législatives du 31 juillet de la même année. Le Président Macky Sall a tenu compte de ces éléments, il a surtout tenu compte de la nécessité de reprendre la main dans les domaines où il s’est retrouvé en faiblesse, tout en renforçant ses points forts.

Ainsi d’abord, le retour d’Amadou Ba est le signe que le combat pour la reconquête de Dakar est loin d’être terminé. Avec son fort quotient d’électeurs, la capitale ne peut pas être passée par pertes et bénéfices par le pouvoir. Et qui mieux que celui qui y avait remporté les Législatives de 2017 et assuré les résultats du référendum de l’année précédente dans la capitale, était mieux placé pour mener ce combat ? D’autant plus que son leadership dans la plus grande commune de Dakar, celle des Parcelles Assainies, est de moins en moins contesté ?

Devenu Premier ministre, Amadou Ba est aujourd’hui encore mieux armé pour lancer dans la bataille de Dakar, ses meilleures forces, vont se joindre d’autres troupes fournies par les autres chefs.

Le retour au gouvernement d’un Mame Mbaye Niang, dans un gouvernement dirigé par celui dont il avait cru pouvoir faire un rival politique, le maintien de Victorine Ndèye et de Moustapha Diop, malgré leur échec dans la conquête d’un fauteuil de député, les retours d’Ismaïla Madior Fall et de Abdou Karim Fofana, ne peuvent s’expliquer que par la volonté de rétablir une gouvernance ouverte qui sera de plus en plus chahutée par une opposition à qui ses gains au sein de l’Assemblée nationale ont l’ appétit. Le chef de l’État a longtemps souffert de manquer de débatteurs capables de monter au créneau pour défendre sa politique et expliquer sa démarche aux Sénégalais. Il trouve aujourd’hui des orateurs éloquents, doublés de travailleurs conscients.

On a vu que lors des difficultés qui ont identifié la gestion de la viole présumée de Ousmane Sonko, le Président s’est retrouvé seul au front, avec son ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Diome. Beaucoup de caciques étaient aux abonnés absents. De même, quand il est tombé aller au combat pour les élections locales et législatives, seuls ceux qui étaient investis ont tant soit peu « mouillé le maillot ». Ce genre de comportement risque de ne pas se reproduire avec les nouvelles têtes qui vont orner la table du Conseil des ministres.

Ce n’est pas Doudou Ka ou Aliou Sow qui pourraient avoir peur d’affronter Ousmane Sonko au cours d’un débat. Pape Malick Ndour non plus n’est pas mauvais à cet exercice. D’ailleurs, vu la nouvelle propension du leader de Pastef à tenir des monologues filmés, il n’est pas sûr que les spectateurs sénégalais assistent à un débat entre politiciens dans un avenir proche.

Et s’il s’agit de défendre le cadrage budgétaire ou la gestion économique du pays, on pourrait trouver difficilement un expert pour contester les chiffres que présenterait Moustapha «Bosquier» Ba. Depuis de longues années, avant même d’occuper la Direction générale du budget, il était à la manœuvre pour dresser le Tableau des opérations financières de l’État du Sénégal. Macky Sall et Amadou Ba ont seulement fini par officialiser une situation de fait.

C’est dire que s’il ne manque pas de « canards boiteux », le nouvel attelage ministériel n’est pas équipé pour résister aux vents de l’adversité. Secondé par ailleurs par le véritable « gouvernement du Palais » dont Macky a tenu à s’entourer avec Moustapha Niasse, Mahmout Saleh, Abdoulaye Daouda Diallo et Yoro Dia, il a une armure qui pourrait difficilement ébranler les critiques politiciennes. Macky est vraiment un gouvernement de combat, mais pas de n’importe quel combat.

Car cette équipe a une allure bien trop fière pour se contenter de gérer les affaires courantes jusqu’à la fin du mandat du Président. En vérité, Macky Sall s’est entouré d’hommes et de femmes qui lui permettraient de briguer, et de remporter un autre mandat présidentiel. Mais la question est –toujours- de savoir s’il a vraiment envie de tenter l’aventure.

Quels dossiers chauds pour Yankhoba Diattara ?

Nommé Ministre des Sports à la surprise générale, Yankhoba Diattara a déjà en face de lui des défis majeurs et de nombreux dossiers à gérer.

C’est ce qu’on appelle un secteur plein de défis à relever. Le département des sports que va diriger désormais Yankhoba Diattara, est souvent agité, à la différence du précédent portefeuille de ce dernier, l’Economie numérique et les Télécommunications.

“Je donnerai le meilleur de moi-même”

Sur Twitter, le nouveau patron du sport, a réagi à sa nomination. Diattara dit avoir à s’occuper d’un secteur “très stratégique et passionnant”. Sur ce, il promet de faire face aux grands défis. “Je donnerai le meilleur de moi-même, avec la collaboration de toutes les fédérations sportives, pour hisser notre drapeau national encore plus loin et plus haut” a-t-il écrit.

La préparation de la Coupe du monde, son premier grand dossier

Nommé à deux mois de la Coupe du monde, le nouveau ministre des Sports n’aura pas assez de temps pour savourer sa nomination. En effet, la préparation de la Coupe du monde de football au Qatar (20 novembre-18 décembre 2022) sera son premier grand dossier. Champion d’Afrique, le Sénégal sera très attendu sur tous les plans. Parmi ces derniers, il faut citer la logistique considérée comme un élément clé dans la préparation d’une compétition mondiale. Un domaine que maîtrisait le ministre sortant, Matar Ba, en collaboration avec la fédération sénégalaise de football (FSF).

Mettre de l’ordre dans les arènes de lutte…

Un autre point fatal attend Yankhoba Diattara après la Coupe du monde de football. Il s’agit de mettre de l’ordre dans les arènes de lutte, où les grands combats s’accompagnent souvent de scènes de violence. Ces dernières saisons, les violences sont récurrentes mais le constat est que les sanctions n’y peuvent rien. Les scènes de violences ressurgissent après chaque combat de lutte.

En basket-ball, l’équipe nationale masculine est en compétition pour une qualification en Coupe du monde. En février prochain, le Sénégal abritera la dernière fenêtre qualificative.

Le sport, un secteur en quête de gros moyens

Il faut oser le dire encore une fois. Yankhoba Diattara sera appelé à convaincre les nombreux dirigeants sportifs souvent exigeants à cause du manque de moyens. L’ex-ministre des Sports, Matar Ba était confronté à de nombreuses difficultés financières. Ce qui ne lui permettrait pas de satisfaire toutes les fédérations sportives. Ce secteur a visiblement besoin d’importants moyens. Le nouveau ministre des Sports, a d’importants défis à relever et les dossiers dont il faut s’occuper sont nombreux.

Ourossogui : le marché central encore emporté par les flammes

Ce dimanche 18 septembre 2022 un incendie s’est déclaré aux environs de 22 heures passé au marché central de Ourossogui dans la région de Matam. Plusieurs cantines et boutiques réduites en cendre.

Les populations se sont organisées pour apporter les premiers secours aux victimes avant l’arrivée des Sapeurs pompiers. Après 2 heures d’intervention, les secouristes  réussiront à endiguer la propagation du feu, avec difficultés à cause de la nature anarchique du site.
Les flammes ont engendré d’importantes pertes matérielles au niveau des magasins spécialisés dans la vente de mercerie et un atelier de réparation de téléviseurs. Pour rappel il y a 2mois un incendie d’une rare violence avait frappé le même marché la nuit du dimanche 10 au lundi 11 juillet 2022.

Coup dur pour Keita Baldé

! Le Spartak Moscou a révélé samedi que son joueur a été « suspendu par le Tribunal national antidopage italien jusqu’au 5 décembre ».

Keita Baldé (27 ans) a été suspendu par le Tribunal antidopage italien pour violation de la législation lorsqu’il jouait sous les couleurs de Cagliari. C’est ce que le Spartak Moscou, son club actuel, a annoncé. Baldé ne pourra pas revenir sur les terrains avant le 5 décembre 2022.

Cela signifie également qu’en l’état, Baldé, 38 fois international avec le Sénégal et présent lors de la Coupe du Monde 2018, ne pourra pas participer à la Coupe du Monde 2022 avec le Qatar.

Amnistie de Karim et Khalifa : Macky a saisi un juriste de renom

Macky Sall avait promis d’accorder une amnistie générale à Khalifa Sall et Karim Wade après la présidentielle de 2019, s’il était réélu.

Les candidatures de Khalifa Sall et de Karim Wade à la présidentielle de 2024 risquent d’être jugées irrecevables par le Conseil constitutionnel sénégalais. Pour le premier en raison de sa condamnation et pour le second parce qu’il n’était pas inscrit sur les listes électorales du fait de sa condamnation et en vertu de l’article L31. Lorsqu’un citoyen est condamné à une peine impliquant sa radiation des listes, il est frappé d’une incapacité électorale qui a pour effet de le priver de son droit de vote. Khalifa Sall ne peut plus se prévaloir de la qualité d’électeur.

Mais il est possible d’arriver à un consensus sur l’inéligibilité de Karim Wade et Khalifa Sall. Le président de la LSDH, Alassane Seck, qui défend cette thèse, a révélé, devant le JDD de I-Radio ce dimanche 18 septembre 2022, que le président Macky Sall, après les avoir graciés, était dans les dispositions de leur accorder l’amnistie (acte du pouvoir législatif par lequel sont suspendues des sanctions).

D’ailleurs, a-t-il confié : « un juriste de renom avait été reçu par le président (Macky Sall) qui lui avait demandé de trouver la meilleure formule » afin d’y arriver. « Je pense qu’on peut (toujours) y arriver », a-t-il ajouté.

En revanche, Wade-fils a posé la condition de la révision de son procès et demandé une réparation. « Il doit s’estimer heureux s’il est amnistié », a dit Alassane Seck.

Affaire Ndiaga Diouf : Barthélémy Dias fixé sur son sort ce mercredi

Barthélemy Dias sera édifié sur son sort après-demain mercredi 21 septembre 2022 dans l’affaire l’opposant à Ndiaga Diouf et l’Etat du Sénégal.

Barthélemy Dias sera jugé, ce mercredi, par la Cour d’appel de Dakar pour la mort de Ndiaga Diouf, un nervis du PDS abattu par arme à feu en 2011. Barthélemy Dias, qui avait pourtant déjà purgé sa peine, avait considéré qu’il avait été condamné à tort et a interjeté appel.

Pour rappel, cette affaire date de 2011. Des nervis avaient attaqué la mairie de Mermoz Sacré Cœur et après les altercations, Ndiaga Diouf a perdu la vie. L’affaire était jugée en appel le 2 Mars et a été mise en délibéré pour ce 18 Mai. Le procureur avait sollicité l’infirmation de la peine de 2 ans dont 6 mois ferme retenue contre Barthélémy Toye Dias. Dans son réquisitoire, le maitre des poursuites avait demandé une condamnation à 5 ans ferme.

Bilan des accidents sur la route du Magal de Touba : 33 morts et 906 blessés recensés par les sapeurs-pompiers

Les accidents survenus entre Touba et d’autres villes du pays ont fait 33 morts et 906 blessés. Ces chiffres ont été révélés par la Brigade nationale des sapeurs-pompiers (Bnsp). «Le bilan définitif des opérations de secours effectuées par la BNSP au Magal 2022, durant la période du 10 au 17 septembre, est de 33 corps sans vie et de 906 blessés», a déclaré le lieutenant-colonel Cheikh Tine, porte-parole de la Bnsp.

Selon lui, ce bilan provient de plusieurs types d’accidents, des accidents de la route notamment, qui ont eu lieu entre Touba et d’autres villes. Il rappelle que lors de l’édition précédente du Magal, 10 décès et 775 blessés avaient été enregistrés par la Bnsp.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention