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Faux médicaments : l’énorme saisie de la gendarmerie à Nioro

La brigade territoriale de la gendarmerie de Nioro du Rip dans la région de Kaolack a mis la main sur de faux médicaments et des denrées alimentaires d’une contre valeur estimée à 42.576.780 FCFA à Dabaly dans l’arrondissement de Paoskoto. Un individu impliqué dans ce trafic a été interpellé. Il s’agit du conducteur du véhicule fourgonnette ayant servi au transport de la marchandise. L’enquête se poursuit en collaboration avec les services compétents de la région. Nous y reviendrons

Pour une banale histoire de robinet : une mère de 4 enfants bouscule sa voisine qui a fini par rendre l’âme

De la chance, Fanta Djiba peut se vanter d’en avoir, à juste raison. Appelée, ce mercredi, à la barre des flagrants délits de Dakar pour répondre des faits de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort de sa voisine Ndioba Niang, elle a écopé d’une peine assortie du sursis. 

«La courtoisie ne coûte rien mais achète tout», dit l’adage. Fanta Djiba l’a appris à ses dépens. Attraite à la barre pour des faits extrêmement graves, notamment le délit de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort, elle a recouvré la liberté grâce aux témoignages positifs de ses voisins. Même le frère de la défunte a témoigné en sa faveur.

En effet, c’est à l’issue d’une bagarre opposant la prévenue à sa voisine Ndioba Niang que cette dernière est passée de vie à trépas à cause des blessures. À la barre, Fanta Djiba a profondément regretté de s’être battue avec la défunte en versant de chaudes larmes. Mère de 4 enfants, cette dame âgée de 48 ans a avoué être l’auteure des faits qui ont privé Ndioba Niang de sa vie.

Revenant sur les circonstances de cette tragédie, Fanta soutient que depuis 19 ans, elle loue dans le domicile de la victime sis à Fass. À l’en croire, durant toutes ces années, les deux familles entretiennent de bonne relation. Néanmoins, elle avoue que, des fois, Ndioba et elle n’étaient en de bon terme. Ainsi raconte-t-elle, elle s’en est ouverte à la grande sœur de celle-ci qui lui a conseillé d’ignorer les provocations de sa sœur.

Chose qu’elle a toujours faite. Du moins, jusqu’au mois de juillet. Les dames ont eu des bisbilles à cause de l’utilisation du robinet. L’ambiance est devenue plus tendue entre elles. Selon la prévenue, le 2 août, alors qu’elle était à l’entrée de la maison avec une de ses cousines qui était venue lui rendre visite, Ndioba, au lieu de demander qu’on lui cède le passage, les bouscule.

«J’ai ainsi attendu qu’elle soit de retour pour que je réplique. Avec mes mains, je l’ai bousculée et elle est tombée. Mais elle s’est relevée avant de rejoindre leur appartement qui se trouve à l’étage», a raconté Fanta. Poursuivant, elle renseigne que c’est au lendemain des faits que son époux l’a appelé, alors qu’elle était au boulot pour lui annoncer que Ndioba était grièvement blessé car ayant des fractures à la cheville et au niveau de la hanche. «Je suis allée la voir à l’hôpital. À sa sortie, chaque jour, je montais pour connaître l’évolution de sa santé. D’ailleurs, elle a été totalement prise en charge par mon époux». «Je ne lui souhaitais nullement la mort», a-t-elle martelé en pleurs.

Déplorant la tournure des choses, Mamadou Niang frère de la défunte dit que la famille s’est désistée de son action. «Je connais très bien Fanta. Elle est très courtoise. Je ne l’ai jamais vu se disputer. Depuis 19 ans, nos familles ont entretenu de bonnes relations. Je suis très peiné par la mort de ma petite sœur qui était mon amie. On était très proche. Mais je ne souhaite pas voir Fanta en prison», a déclaré Mamadou Niang. Appelée pour témoigner, la cousine de Fanta, Mariétou Diatta, corrobore les dires de celles-ci. Elle renseigne qu’elle a même tenté de réconcilier les deux dames.

Le représentant du ministère public a requis l’application de la loi. Les avocats de la défense ont sollicité une application bienveillante de la loi. Selon eux, ce n’est pas à cause des blessures que leur cliente a causé à la victime qui ont entraîné sa mort. «L’hôpital a attendu 24 jours pour effectuer l’opération. Ce après avoir reçu la caution. C’est une négligence médicale. Nos hôpitaux sont des mouroirs. Je suis désolée de le constater. Si la responsabilité de Fanta existe elle est résiduelle», a plaidé un des conseils de la prévenue.

Au terme des plaidoiries, le tribunal a reconnu Fanta Djiba coupable du chef qui lui est reproché. Pour la répression, le juge lui a infligé une peine de 6 mois assortis du sursis.

La SOCOCIM arrête sa production de ciment !

Après l’entreprise Dangote qui avait arrêté ses activités et mis tous ses employés en congés en juin dernier, c’est au tour de la cimenterie SOCOCIM de mettre sa production à l’arrêt. Condamnant de fait ses employés, ses prestataires et ses fournisseurs à suspendre leurs activités.

Cette décision extraordinaire fait suite à la tenue du Conseil de la Consommation mardi dernier sans qu’aucune décision n’ait été prise pour sortir le secteur cimentier de la crise et menace de faillite.

En effet, l’Etat a bloqué les prix alors que les prix des matières premières (charbon, clinker, emballage, gypse, pièces de rechanges) ont flambé de plus de 200% dans certains cas et ce depuis des semaines, voire des mois.

Avec la fermeture de la SOCOCIM, ce sont 10.000 tonnes de ciment en moins sur le marché chaque jour. La situation prive les Sénégalais de près de 60% du ciment habituellement disponible sur le territoire national, selon Senego.

Le risque est une flambée du prix du ciment et la menace d’inflation

La gérante de société, les 38 millions F CFA et le guet-apens spectaculaire des voleurs

Sophiatou Adjaké a eu la peur de sa vie, le 24 août dernier.  Son sac contenant 38 750 000 F CFA, a été volé. La gérante de la société, domiciliée à Yoff Marathon, affirme que cette somme d’argent était destinée à l’importation de fer à béton pour le compte de ses partenaires commerciaux établis à l’étranger. En cours de route, deux individus à bord d’un scooter ont ouvert la portière du véhicule avant de s’emparer du sac d’argent et prendre la poudre d’escampette.

Retour sur les faits

Face aux redoutables enquêteurs du commissariat de Point E, Adjaké, déboussolée, est revenue sur les circonstances du vol. Ce jour-là, son chauffeur n’était pas disponible. Elle décide alors d’engager un certain Ibrahima Ndoye pour ses courses.

 
Ainsi, ils ont pris départ aux Parcelles-Assainies Unité 19 (Dior) pour se rendre aux Maristes, puis à Mbao avant de rallier Diamniadio. Il était 19 h.

Au retour, Sophiatou Adjaké demande à son chauffeur de partir au centre-ville de Dakar, plus précisément l’agence de transfert d’argent Waguru Travel où elle a l’habitude de retirer de l’argent. Arrivée à destination, elle a emprunté à Ibrahima Ndoye son sac à dos pour y mettre les 38 750 000 F CFA. Cet acte lui sera fatal. Sur le chemin du retour, le chauffeur Ibrahima Ndoye a pris un itinéraire bizarre. Interpellé sur la raison, il dira éviter les embouteillages.

C’est ainsi qu’ils se sont retrouvés au Point E, plus précisément à la rue A. A un moment, le chauffeur s’est arrêté pour vérifier l’origine d’un bruit qu’il aurait entendu de l’intérieur du véhicule.

C’est sur ces entrefaites que deux individus ont ouvert la portière arrière gauche du véhicule et  se sont emparés du sac d’argent avant de prendre la fuite à bord de leur scooter.

Ibrahima et ses acolytes coincés par une réquisition et les images des caméras de surveillance

Cuisiné par les éléments du commissaire Thiam, Ibrahima Ndoye a déclaré qu’il savait que la dame Sophiatou Adjaké devait récupérer de l’argent à l’agence Waguru Travel comme d’habitude. Sur l’itinéraire bizarre qu’il aurait emprunté, il avance que c’était simplement pour éviter les embouteillages.

Interrogé également sur ses communications téléphoniques via WhatsApp durant tout le trajet, il a rétorqué que c’était dans le cadre de son travail et que ledit numéro est celui de son patron, un certain Mbaye Fall.

Des confessions qui ont poussé les limiers à adresser des réquisitions au directeur général d’Orange Sénégal aux fins d’obtenir la géolocalisation d’Ibrahima Ndoye et de Mbaye Fall au moment des faits.

Selon nos sources proches du dossier, les réquisitions ont permis de savoir que Mbaye Fall, avec qui le conducteur communiquait, a pris le même itinéraire que le véhicule de la dame, notamment sur l’axe Soumbédioune – Fann-Hock et ensuite avenue Cheikh Anta Diop – Point E.

Mieux, une autre réquisition a été adressée au chef du Centre national de vidéosurveillance pour consulter les images des caméras de surveillance sur l’itinéraire qu’aurait emprunté Mbaye Fall.

Les images mises à la disposition des enquêteurs montrent clairement ce dernier à bord d’une moto Honda noire de type SH qui suivait le véhicule de la victime sur certains clichés et sur d’autres, celui qui a été identifié comme l’un des auteurs du forfait était à bord de la même moto derrière Mbaye Fall qui  conduisait vers son acolyte qui l’attendait sur une deuxième moto. Il surveillait à une bonne distance, laissant à «ses deux éléments» le soin de subtiliser le sac à hauteur du Point E et plus précisément à la rue A.

Convoqué et entendu sur sa position et son itinéraire le jour des faits et confronté aux résultats des réquisitions, Mbaye Fall passe aux aveux en dénonçant ses complices, en l’occurrence Samba Ndiaye et Mame Seydina Limamou Laye Hann. Ces derniers étaient chargés de voler le sac.

L’intégralité de la somme d’argent, soit 38 750 000 F CFA, a été restituée à sa propriétaire légitime Sophiatou Adjaké.

Mbaye Fall, Ibrahima Ndoye et Samba Ndiaye ont été conduits au parquet pour vol en réunion commis à bord d’un moyen roulant portant sur un montant de 38 750 000 F CFA. Quant à leur acolyte Mame Seydina Limamou Laye Hann, évadé, des recherches sont entreprises en vue de l’interpeller.

Saraya: un lion égaré hante le sommeil des populations de l’axe Bambou-Sabodala

Le lion égaré qui traînait sur l’axe Bembou-Sabodala a repris service très exactement entre Bembou et Massa Massa axe Bembou et Khossanto. Pour rappel, la présence de ce lion avait été déjà signalé depuis l’année dernière, avant qu’il ne disparaisse des radars. Des photos prises hier et aujourd’hui confirme bien son retour sur cet axe…

Ziguinchor : le «Jakartaman» viole et engrosse sa nièce de… 13 ans

Mamadou Camara est âgé de 26 ans. Il est conducteur de moto «Jakarta» et domicilié au quartier Belfort de Ziguinchor. Il est accusé par sa sœur M. Camara d’avoir violé et engrossé sa fille de 13 ans.

D’après Libération, la dame a appris la terrible nouvelle à l’hôpital où elle avait conduit son enfant après qu’elle est tombée malade. «Le médecin m’a déclaré que ma fille est enceinte», raconte M. Camara lors de son audition à la police, à la suite de sa plainte pour viol suivi de grossesse.Auditionnée sur procès-verbal, la victime désigne le frère de sa mère comme le coupable. «Quand mon oncle Mamadou Camara m’a violée, il a menacé de me tuer si j’en parlais à qui que ce soit», a confié la fille de 13 ans aux policiers.

Arrêté et conduit au commissariat, le mis en cause nie les accusations. En partie. Il reconnaît avoir entretenu des relations sexuelles avec l’enfant, mais affirme qu’il ne l’a ni violée ni mise enceinte.

 

Podor : le secrétaire général de la Cour d’Appel meurt par noyade

La Cour d’Appel de Podor est en deuil. Le secrétaire général de cette juridiction, Bassirou Ndiaye, est décédé hier, mercredi, au matin.

D’après Libération, qui donne l’information, la victime a perdu la vie par noyade après le chavirement, à Doué (Podor), de la pirogue à bord de laquelle il s’était rendu dans un village pour présenter des condoléances.

Le journal signale que Bassirou Ndiaye était également le président de la Commission juridique du club de football Guédiawaye FC.

Kaolack : une nouveauté dans l’affaire de la «Force spéciale»

Un autre membre supposé de la «Force spéciale» est tombé. Il s’agit de Yaya Cissé. D’après Le Quotidien, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi, ce tailleur a été arrêté hier, mercredi, à Lindiane, un quartier de Koalack. Il va probablement rejoindre en prison les autres personnes accusées de faire partie de la «Force spéciale» et qui ont été placés sous mandat de dépôt. Au départ, les mis en cause étaient au nombre de douze. Ils sont passés à onze après le décès de François Mancabou. Yaya Cissé figurait sur la liste des huit suspects qui font l’objet d’un mandat d’arrêt émis par le juge du deuxième cabinet chargé du dossier. Avant lui, Awa Dia dite Nadine, qui fait partie du groupe visé par l’avis de recherche du magistrat, a été arrêtée. La police est désormais à la recherche des six mis en cause qui manquent à l’appel. Il s’agit de «Dounkhaf», Ousmane Diouf, Khadim Ndiaye, Babacar Ba, Ousseynou Seck alias «Akhenaton» et «Max Killuminati». Tous les membres supposés de la «Force spéciale» sont poursuivis pour complot contre l’autorité de l’Etat, association de malfaiteurs, terrorisme, entre autres griefs.

La fille A. Thiaw persiste dans ses accusations contre Sitor Ndour

“ELLE A AU DU MAL À PROUVER SES DÉCLARATIONS

Les auditions se poursuivent dans l’affaire de viol présumé qui oppose l’ancien directeur du Centre des oeuvres universitaires de Dakar (Coud), Sitor Ndour à une employée de maison, âgée de 17 ans.

A. Thiaw, l’accusatrice a été entendue avant-hier. D’après les informations du quotidien Les Echos, la fille a persisté dans ses accusations. Elle a juré qu’il y a eu pénétration. Ces faits dit-elle, ont eu lieu le lendemain de la Tabaski et c’était en l’absence de l’épouse de Sitor Ndour.

Ce dernier l’a forcée, poursuit-elle, et a abusé d’elle sexuellement. La petite indique même que le petit caleçon qu’elle avait mis ce jour était taché de sang. Seulement, elle a eu du mal à prouver ses dernières déclarations puisqu’elle a lavé ses habits après les faits.

Sitor Ndour sera entendu ce jeudi 8 septembre par le juge d’instruction.

Fermeture centre de santé de Kédougou: deux nouveau-nés meurent en cours d’évacuation vers Tamba

La fermeture du bloc opératoire du centre de santé de Kédougou fermée pendant presque une semaine suite à l’affaire dite Doura Diallo et la garde à vue de l’équipe du gynécologue Dr Léonce Faye, a été fatale à des femmes enceintes évacuées vers Tambacounda. Deux nouveau-nés sont décédés en cours de route et un autre se trouve présentement en réanimation au service néonatal de l’hôpital régional de Tambacounda.
Le service a été fermé suite à l’affaire de la dame Doura Diallo décédée en couche après une embriothomie (pratique mutilante sur un fœtus) et suivie d’une césarienne qui « a occasionné une rupture utérine », selon le rapport du ministère de la Santé et de l’Action sociale. Lequel document précise que l’agent de santé a agi en respectant toutes les règles de la pratique gynécologique sur un mort-né dans le but de sauver la mère. Mais fermé pour un cas de décès avec une équipe envoyée à la police, d’autres bébés décèdent, faute de service sur place, révèle le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (Sames)
« Durant ces 6 jours de garde à vue qui a entrainé la fermeture du bloc opératoire, 6 femmes enceintes ont été évacuées à l’hôpital régional de Tambacounda dont 3 ont accouché en cours de route avec 2 mort-nés et un en réanimation néonatale », rapporte un communiqué du Sames parcouru par Le Témoin.
Les médecins du Sames s’offusquent de « la détention inexpliquée de ces vaillants agents de santé » qui, pour eux, a « anéanti tous les efforts » de l’Etat et ministère de la Santé et de ses partenaires par rapport aux décès de femmes enceintes et des nouveau-nés.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention