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Chantage sexuel: Son mari divulgue ses sextapes, elle fait emprisonner ses 2 cousins…

Suite à un désaccord avec son mari, Binta S. a fait l’objet de chantage sexuel de la part de Baye T. qui détenait ses quatre vidéos intimes. Abasourdie, la jeune dame a fait tomber le chaud lapin dans une auberge, après avoir saisi le commissariat des Parcelles Assainies d’une plainte. C’est alors que les deux cousins de la partie civile, en l’occurrence Mansour S. et Karim S. ont été, eux aussi, appréhendés. Poursuivi pour collecte illicite et distribution d’images contraires aux bonnes mœurs, le trio a comparu devant le tribunal de Dakar statuant en matière de flagrants délits ce vendredi 2 septembre 2022.

Né en 1993 et demeurant à Guédiawaye, Mansour S. a laissé entendre que c’est le mari de la partie civile qui lui a envoyé les images. « Je les ai transférées à mon cousin Karim S., avant de lui demander de sermonner la plaignante », lance-t-il. Karim S., 35 ans, a avoué avoir partagé les vidéos avec son ami Baye T., qui pour se dédouaner, a contesté avoir exercé un chantage sur la victime. « Quand je lui ai déclaré ma flamme, elle m’a demandé de la retrouver chez une amie. C’est après mon arrestation que j’ai su que j’étais dans une auberge », a argué le tailleur. Alors qu’à l’enquête, il a affirmé qu’il n’avait pas l’intention de divulguer les sextapes. Il voulait juste entretenir des rapports sexuels avec la partie civile.

Interrogée sur les faits, mentionne Rewmi, Binta S. a allégué avoir envoyé les images à son conjoint pour pimenter sa vie de couple. Malheureusement, celui-ci a diffusé les vidéos pour faire croire à son entourage qu’elle est une femme de petite vertu. « Baye T. m’a intimé de la retrouver au marché bou bess de Guédiawaye afin de se livrer à des parties de plaisir. Sur recommandation de l’adjudant, je lui ai tendu un piège en lui fixant un rendez-vous dans une auberge », a déclaré la partie civile.

Le substitut du procureur a demandé la requalification de la collecte en détention d’images contraires aux bonnes mœurs, avant de requérir deux ans, dont trois mois ferme pour Baye T. S’agissant de ses deux coaccusés, le parquet a sollicité deux ans avec sursis. Conseil de ceux-ci, Me Abdoulaye Tall a demandé au juge de préserver la paix familiale. Car c’est un climat de deuil qui règne au sein de la famille des prévenus depuis leur arrestation. Constitué pour la défense des intérêts de Baye T., Me Alioune Badara Fall a plaidé la relaxe pour la distribution d’images contraires aux bonnes mœurs. Finalement, la juge a condamné Baye T. à deux ans, dont trois mois ferme contre deux ans, dont un mois ferme pour ses deux co-prévenus. Elle a requalifié la collecte illicite en détention d’images contraires aux bonnes mœurs.

Point E « IL M’A ÉTRANGLÉ AVANT D’ABUSER DE MOI »

Rocambolesque cette affaire de viol qui a atterri au commissariat du Point E, et qui oppose une jeune femme à un chauffeur de taxi. Ce dernier qui avait pris la jeune femme pour une course aurait, à un moment, emprunté un chemin tortueux, avant d’abuser de sa cliente dans la pénombre.

Désormais, la jeune femme B. Ba prendra toutes les précautions avant de s’engouffrer dans un taxi. Agée de 22 ans et domiciliée à la Médina, elle a été victime de viol, selon ses accusations et a déposé une plainte ce 30 août, au niveau du commissariat du Point E. A l’en croire, la nuit des faits, c’est vers les coups de minuit qu’elle a emprunté un taxi pour se rendre au chevet de son cousin malade, demeurant à Thiaroye.

Bien installée sur le siège arrière, elle était plongée dans ses pensées, lorsqu’à un moment donné, elle a remarqué que le chauffeur de taxi avait emprunté un chemin tortueux, avant de se garer sur une ruelle sombre. Et avant qu’elle ne réalise ce qui était en train de se passer, le taximan avait fait le tour pour la retrouver à l’arrière. « Il m’a tout de suite étranglée et mordue à l’épaule droite. Et à cause de la violence et de la rapidité des faits, je me suis évanouie », a raconté B. Ba. Selon elle, c’est lorsqu’elle a repris connaissance, qu’elle s’est rendue à l’évidence, qu’elle venait de se faire violer. « A mon réveil, j’ai constaté des traces de sperme sur mes cuisses et sur mes parties intimes et j’ai également remarqué que j’étais à moitié nue et mon pantalon rabaissé », a-t-elle raconté.

« Je lui ai payé 10 000 francs et elle était consentante »
La jeune femme poursuit qu’après avoir effectué son acte, le chauffeur a démarré pour prendre la fuite. Un moment qu’elle a mis à profit pour remonter dans le véhicule, pour crier de toutes ses forces et alerter les gens. D’ailleurs, c’est dans ces circonstances que de bonnes volontés se sont mises à la poursuite du taxi avant d’interpeller le chauffeur. Interrogé sur les accusations qui pèsent sur lui, le chauffeur N. Diop a adopté la stratégie de la dénégation, estimant avoir entretenu une relation sexuelle avec la fille mais avec son consentement. « C’est elle qui a commencé à me faire la cour dans le taxi. Elle m’a même proposé de se rendre au bar Chez Iba, mais finalement, on est tombés d’accord sur le prix de 10 000 francs », a indiqué le sexagénaire. Et selon lui, la passe a eu lieu à Fass, devant un bâtiment abandonné.

« Le taximan avait le pantalon baissé et la fille à moitié nue », selon le témoin
Quoi qu’il en soit, il faut noter que l’une des bonnes volontés qui ont permis son arrestation, a été entendue par les hommes du commissaire Thiam. Selon elle, c’est vers les coups de 3h du matin, alors qu’il était à la devanture de son domicile en compagnie de deux amis qu’un taxi les a dépassés à vive allure. Mais ce qui a le plus attiré leur attention, c’est qu’à l’intérieur du taxi, il y avait une femme qui criait au secours. « Tout de suite après, on a affrété un taxi pour se lancer à sa poursuite. Mais à un certain moment, le taxi du vieux a pris une ruelle du Point E et s’est retrouvé dans une impasse. Et c’est là qu’on l’a obligé à descendre, et il nous a dit que la fille voulait voler son argent », a raconté le témoin. Il a par ailleurs indiqué qu’au moment de son arrestation, « le taximan avait le pantalon baissé et la fille à moitié nue ». Toutes choses qui font que le taximan a été déféré au parquet.

Le pompier monte au bout de l’échelle et se jette dans le vide…il meurt

Un pompier déploie la grande échelle de 30 mètres et se suicide en se jetant dans le vide

Le drame s’est produit mercredi soir à la caserne de Tomblaine, en Meurthe-et-Moselle…

Un pompier a déployé la grande échelle et a grimpé tout en haut, avant de se jeter dans le vide.

’homme, âgé de 36 ans, a fait une chute de 30 mètres avant de s’écraser au sol. Il est mort sur le coup.

Une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances de ce drame.

Ce sous-officier était papa d’un enfant de 4 ans.

Le Sénégal va ravitailler l’Europe en gaz à partir du projet GTA

“DES PAYS AFRICAINS COMME LE MAROC ONT ÉGALEMENT MANIFESTÉ LEUR INTÉRET DE SE RAVITAILLER EN GAZ AU SÉNÉGAL

L’exploitation des champs gaziers du projet Grand Tortue Ahmeyim (GTA), prévue au dernier trimestre de 2023, va permettre d’approvisionner en gaz le marché européen, a assuré le secrétaire général adjoint du Comité d’orientation stratégique du pétrole et du gaz (Cos-Petrogaz), Mamadou Fall Kane.

“Nos réserves estimées à 900 milliards de mètres cubes permettront de desservir le marché européen, qui veut sortir de la dépendance du gaz russe”, a dit M. Kane dans une interview avec le quotidien français L’Opinion.

L’exploitation du projet GTA va générer environ 2,5 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié par an, entre 2023 et 2027, ensuite 5 millions de tonnes par an jusqu’en 2030, puis 10 millions de tonnes par an au-delà de 2030, a-t-il assuré.

Des pays africains comme le Maroc ont également manifesté leur intéret de se ravitailler en gaz au Sénégal.

Keur Massar, Guédiawaye, Zone de Captage,… ces localités de la capitale encore sous les eaux !

“L’ANACIM ANNONCE DES ACTIVITÉS PLUVIO-ORAGEUSES TOUTE LA JOURNÉE, SUR LA QUASI-TOTALITÉ DU PAYS

Dakar renoue avec les inondations. Keur Massar, Cité enseignante à Guédiawaye, la Zone de Captage, et d’autres quartiers de Dakar ont encore renoué avec les inondations. Les fortes pluies enregistrées ce samedi, ont encore plongé les populations de ces quartiers de zones inondables dans le désarroi.

Une situation qui va perdurer car d’après l’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (Anacim) des activités pluvio-orageuses seront notées toute la journée, sur la quasi-totalité du pays avec toutefois des intensités assez fortes prévues sur les localités proches du littoral (axe Dakar-Ziguinchor).

D’après toujours les prévisionnistes, Dakar-Mbao a enregistré 106 mm d’eau. A la Cité des enseignants, les habitants se battent sur des charrettes pour rallier l’autre côté. Même chose à Keur Massar, les populations des parcelles unités 3 n’en peuvent plus. Le ruissellement et/ou le pompage des eaux qui proviennent du centre émetteur de Diakhaye et des quartiers environnants plongent tout le quartier dans les eaux.

Selon Aly Bâ, membre du comité de gestion, ce sont ces eaux pompées qui se déversent dans le canal qui est bouché depuis plusieurs années. Ainsi le canal ne pouvant plus évacuer les eaux, les déverse dans le quartier.

« On croyait qu’ avec le plan d’urgence, nos peines, nos maux allaient être soulagés mais dommage que tel n’est pas le cas. Car malgré l’argent injecté dans ce plan décennal de lutte contre les inondations, les habitants de l’unité3 sont dans le désarroi ».

Kédougou – Mort de Mamy Doura Diallo : Autopsie d’une affaire

Le procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Kédougou a constaté de la négligence et de l’incompétence dans l’affaire Mamy Doura Diallo, décédée en couches. Baye Thiam, qui est revenu sur les premiers éléments de l’enquête, renseigne que «les personnes mises en cause sont arrêtées et placées en position de garde à vue pour homicide involontaire et complicité de ce chef».

Les mots sont durs et décrivent sans doute le drame : incompétence notoire, une forte négligence médicale et un manquement manifeste aux règles élémentaires de la médecine… Le procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Kédougou qualifie ainsi les causes du décès de Mamy Doura Diallo, morte en couches au centre de santé de la localité. Dans un document, Baye Thiam renseigne qu’à «l’analyse des faits de l’espèce, une forte négligence médicale ainsi qu’un manquement manifeste aux règles élémentaires de la médecine ont été relevés». Dans les détails, il fait savoir qu’il «ressort de la procédure que la patiente avait accouché par césarienne lors de sa dernière grossesse dans ce même district». Ce qui, ajoute le procureur, «aurait dû dissuader le gynécologue, compte tenu de ses antécédents avérés, de la faire accoucher cette fois-ci par voie basse». Ensuite, poursuit-il, «la défunte, qui était diabétique, ne pouvait nullement supporter un accouchement par voie basse, vu son poids qui était quasiment à 100 kg». Enfin, relève-t-il, «il nous a été donné de constater que le fœtus pesait 4 kilos 770 grammes et donc ne pouvait, sous quelque acrobatie utilisée, sortir par voie basse». Revenant sur les faits ayant conduit au placement en gardant à vue des agents cités dans cette affaire, le procureur révèle que «c’est dans ces circonstances que nous avons demandé au Commandant de Brigade de Kédougou d’appeler immédiatement tout le personnel médical qui était dans le bloc opératoire, en commençant par le gynécologue, pour les entendre et également convoquer le mari de la défunte pour prendre son audition». Selon le procureur, «eu égard à la gravité des faits et après les premiers interrogatoires, les personnes mises en cause sont arrêtées et placées en position de garde à vue pour homicide involontaire et complicité de ce chef, faits prévus et punis par les dispositions des articles 45-3, 46, 280 et 287 du Code pénal».

Les mis en cause poursuivis pour homicide involontaire
Revenant sur les conditions dans lesquelles Mamy Doura Diallo et son bébé ont trouvé la mort, le procureur Thiam informe que «dans la journée du 30 août 2022, la nommée Doura Diallo a été admise au District sanitaire de Kédougou au service de la maternité, aux environs de 8 heures du matin, accompagnée de son époux, Malick Cissé alias Mor». D’après lui, «la matrone, après l’avoir consultée et constaté un affleurement de la tête du bébé, a appelé le gynécologue». Ce dernier, relate le procureur dans son document, «arrivé aux environs de 16 heures, s’est présenté et a essayé d’accoucher la femme par voie basse jusqu’à faire sortir la tête, mais les épaules du bébé, étant bloquées, peinaient à sortir du fait du volume et ce, contrairement à la volonté de son époux qui le suppliait de faire une césarienne compte tenu des antécédents de son épouse». Et le procureur près le Tgi de Kédougou d’incriminer : «C’est ainsi, sans pitié ni la moindre émotion, qu’il a continué de manœuvrer sans même tenir compte de la fragilité du bébé. S’étant rendu compte qu’il était face à un obstacle imparable, il a décidé de procéder à une intervention chirurgicale, ce qui était trop tard car la situation était déjà devenue inextricable.»
Poursuivant ses explications sur la base des auditions qui ont été menées, M. Thiam souligne que «le comble s’est produit une fois au bloc opératoire, lorsque le gynécologue ainsi que l’anesthésiste ont délibérément décidé, sans même avoir préalablement consulté le mari de la défunte, de procéder à une hystérectomie, c’est-à-dire une ablation totale de l’utérus». En outre, explique le procureur, «les manœuvres du gynécologue pour extraire le nouveau-né ont causé le décès de ce dernier». «Le billet de mort de l’enfant venait d’être froidement acté par ces actes dits médicaux, pour ne pas dire radicaux», a-t-il fustigé. Se basant sur «les déclarations spontanées des parties (personnel médical et le mari de la défunte)», le procureur soutient que celles-ci «indiquaient que le fœtus, à l’arrivée, était vivant car le mari, présent à l’accouchement, avait posé la question au médecin, qui lui a confirmé effectivement qu’il respirait». Et de conclure : «Ces manœuvres en cascade ont très certainement provoqué une rupture utérine qui a conduit immédiatement au décès de la mère, suite à une hémorragie externe et un arrêt cardiaque, selon le rapport du médecin-chef du District sanitaire de Kédougou, transmis au Parquet le 31 août 2022.»

Plan ORSEC : 194 sites concernés, 348 ménages sinistrés appuyés

 

Déployé le 5 août dernier, le bilan provisoire du plan d’organisation des secours (Orsec) a été tiré ce vendredi matin, dans les locaux du ministère de l’intérieur. C’est d’ailleurs Antoine Félix Diome, le ministre de l’intérieur qui est revenu sur les différentes missions de secours et d’assistance réalisées par les services étatiques, en parfaite coordination. D’après lui, pas moins de 194 sites touchés par les inondations ont été pris en charge dont 121 en cours de traitement. Dans le cadre de l’assistance des populations sinistrées, le ministre de l’intérieur fait état de 447.734 m³ d’eau pompés au niveau des 75 stations de pompage et 4.572 sites désinfectés au cours des opérations. Ce, en plus de l’aide apportée aux 348 ménages impactés par les eaux de pluie avec 675 kits distribuées par le biais du fonds de solidarité.

 

Investissements et gestion des inondations : Serigne Mbaye Thiam rassure sans convaincre

Après bientôt un mois de mise en œuvre, le plan Orsec 2022 a permis aux populat­ions sinistrées suite aux inondations de sortir de l’eau, selon Serigne Mbaye Thiam. Face à la pres­se ce vendredi, le ministre de l’assain­issement est largeme­nt revenu sur les tr­avaux et les mesures structurelles qui ont permis à des loc­alités telles que Ka­ffrine, Touba (Keur Niang), les Parcell­es Assainies ou enco­re Keur Massar qui montrent un autre vi­sage suite aux diffé­rentes réalisations de la direction de la prévention et ges­tion des inondations…

 

Conseil constitutionnel : Un fidèle à Macky Sall nommé pour valider sa 3e candidature ?

 Le décret de ce vendredi 2 Septembre 2022, n’était qu’une simple formalité qui vient officialiser le remplacement de Pape Oumar Sakho, dont le mandat est arrivé à terme au mois de juillet, par Mamadou Badio Camara puisque la décision était officieusement actée depuis belle lurette. L’ancien président de la Cour Suprême qui a intégré le conseil constitutionnel en 2021, est réputé très proche du président Macky Sall d’où les cris d’orfraie que charrie sa nomination. En effet, l’opposition politique sent les prémices d’un coup politique en gestation avec notamment une probable validation d’une troisième candidature de Macky Sall par un conseil constitutionnel géré par un de ses « hommes de main ». « Badio Camara ancien Président de la cour suprême qui  avait refusé de déclarer son patrimoine à l’OFNAC est nommé par Macky Sall Président du conseil constitutionnel. C’est lui également qui avait jugé l’affaire Karim Wade et  l’affaire Khalifa Sall dont il avait  rejeté  le  rabat d’arrêt que ses avocats avaient introduit pour dénoncer les vices de procédure », rappelle d’emblée Alioune Badara Mboup. (avec seneweb.com)

Chavirement d’une pirogue à Soumbédioune : 3 morts et deux rescapés

Une pirogue a encore chaviré en haute mer. L’accident  a fait 03 morts et 02 rescapés. L’épave de la  pirogue en question a été retrouvée aujourd’hui à Soumbédioune vers les coups de 12h à 11 km de Dakar. D’après les informations de Seneweb, les 03 corps sans vie ont été découverts à bord en début de décomposition. Ils ont été identifiés comme étant ceux de Youssoupha Ndiaye né le 19/07/1984 à Ndiangal, domicilié à Gueule Tapée 69 X 56, Pape Siny Ndour né le 25/08/1983 à Dakar, domicilié à la rue 59×60 et Papa Alioune Sané Mbengue né le 04 mars 1972 à Dakar, domicilié à Gueule Tapée. D’après Moussa Cissé, un des rescapés, ils étaient partis en mer au nombre de 05 pêcheurs depuis le 29 août 2022 mais leur pirogue a été renversée par une houle le 31 août 2022 vers 12h à 85 km de Dakar. Il a été avec le nommé Ibrahima Sow  sauvé par une pirogue au large de Rufisque, avant d’être transporté jusqu’à Soumbédioune. Sur les lieux,  en plus de la Police du Quatrième,  le Sous-préfet de Dakar Plateau, Docteur Djiby Diallo et les sapeurs-pompiers étaient présents. Les corps sans vie ont été acheminés à la  morgue de l’hôpital Général Idrissa Pouye de Grand-Yoff aux fins d’autopsie. Quant aux rescapés, ils sont en observation au Centre de Santé Élisabeth Diouf de Gueule Tapée. À en croire le Médecin-chef, leur vie n’est pas en danger.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention