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Incompétence notoire dans l’affaire Doura Diallo : Le procureur enfonce le personnel médical

Selon les premiers éléments de l’enquête, les manœuvres du gynécologue pour extraire le nouveau-né ont causé le décès du nouveau-né. Le billet de mort de l’enfant venait d’être froidement acté par ces << actes dits médicaux) pour ne pas dire < radicaux >. En effet, les déclarations spontanées des parties (personnel médical et le mari de la défunte) indiquaient que le fœtus à I ‘arrivée était vivant car le mari, présent à l’accouchement avait posé la question au médecin qui lui a confirmé effectivement qu’il respirait. Ces manœuvres en cascade ont très certainement provoqué une rupture utérine qui a conduit immédiatement au décès de la mère suite à une hémorragie externe et un arrêt cardiaque selon le rapport du Médecin-Chef du District sanitaire de Kédougou transmis au Parquet le 31 Août 2022.

À l’analyse des faits de l‘espèce, une forte négligence médicale ainsi qu’un manquement manifeste aux règles élémentaires de la médecine ont été relevés : -D’abord, il ressort de la procédure que la patiente avait accouchée par voie césarienne lors de sa dernière grossesse dans ce même district. Ce qui aurait dû dissuader le gynécologue, compte tenu de ses antécédents avérés, de la faire accoucher cette fois-ci par voie basse. -Ensuite, la défunte qui était diabétique ne pouvait nullement supporter un accouchement par voie basse vu son poids qui était quasiment à 100 kg. -Enfin, il nous a été donné de constater que le fœtus pesait 04 kilo 770 grammes et donc ne pouvait sous quelque acrobatie utilisée sortir par la voie basse.

C’est dans ces circonstances que nous avons instruit le Commandant de Brigade de Kédougou d’appeler immédiatement tout le personnel médical qui était dans le bloc opératoire en commençant par le gynécologue pour les entendre et également convoquer le mari de la défunte pour prendre son audition. Eu égard à Ia gravité des faits et après les premiers interrogatoires, les personnes mises en cause sont arrêtées et placées en position de garde à vue pour homicide volontaire et complicité de ce chef, faits prévus et punis par les dispositions des articles 45-3, 46, 2g0 et 287 du Code pénal.

Tournée nationale auprès des chefs religieux : Abdoulaye Wade bat campagne pour Karim Wade

Une importante délégation constituée exclusivement des députés nouvellement élus de la coalition Wallu a été envoyée en tournée nationale auprès des chefs religieux par le Président Abdoulaye Wade. Au menu de cette tournée, des prières de bénédiction, mais aussi une des modalités de porter Karim Wade comme candidat à l’élection présidentielle de 2024. Le Jeudi 1er Septembre 2022, les parlementaires libéraux ont rendu visite dans ce sens au Khalife de la famille omarrienne à Louga. Après sollicitation des prières, l’honorable député Mamadou Lamine Thiam, tête de la délégation a réitéré le vœu de son camp de porter ladite candidature du fils de Maître Abdoulaye Wade. Au nom du Khalife Thierno Bachir Tall, Thierno Cheikhou Tall a en outre exhorté ses interlocuteurs à œuvrer au déroulement quinquennal d’une 14ème législature sereine.

Par Galaye SYLLA (Louga)

Nice : le feuilleton Bamba Dieng n’est pas terminé…

L’entraîneur de Nice Lucien Favre a assuré vendredi que son club espérait encore recruter l’attaquant sénégalais de Marseille Bamba Dieng, dont le transfert a été bloqué jeudi soir à cause d’un problème à la visite médicale. “Je sais que les dirigeants veulent rediscuter avec Marseille. Je sais que parfois cela peut coincer. Mais oui, je veux le joueur. Il peut jouer sur un côté et dans l’axe”, a déclaré Favre en conférence de presse. Dieng devait s’engager jeudi soir avec Nice pour un contrat de cinq ans et un transfert estimé à 9 millions d’euros plus des bonus. Mais un problème a été détecté lors de la visite médicale. Qualifié de “problème mineur” par une source à l’OM, ce problème concernerait un genou du jeune attaquant. “Cela n’a pas pu se faire hier. On regarde avec Marseille si on peut trouver une solution différente”, a déclaré le président de Nice Jean-Claude Rivère. Le mercato a fermé jeudi soir en France mais les clubs de L1 ont encore la possibilité de recruter en tant que joker un joueur évoluant en France. Cet été, la direction de l’OM avait identifié Dieng comme un des très rares joueurs de l’effectif susceptible de permettre d’enregistrer une plus-value, bienvenue alors que les comptes du club sont dans le rouge vif. Le club a donc poussé pour un départ. Dieng était arrivé à l’OM en 2020, dans le cadre du partenariat entre le club provençal et l’académie sénégalaise de Diambars. D’abord intégré à la réserve, il avait rejoint l’équipe professionnelle lors de l’intérim assuré par Nasser Larguet, alors directeur du centre de formation, entre le départ d’André Villas-Boas et l’arrivée de Jorge Sampaoli au poste d’entraîneur. Il a inscrit neuf buts en 42 matches sous le maillot marseillais.

CHAN – Guinée / Sénégal : Les Lions à Bamako pour mettre fin à la spirale d’élimination

Vainqueur au match aller contre la Guinée (1-0), l’équipe nationale locale se déplace ce vendredi à Bamako pour y défier la Guinée à 16 heures. Cette rencontre retour pour le dernier tour qualificatif pour la CHAN prévu en Algérie s’annonce très difficile pour les hommes du coach Pape Bouna Thiam.

Avec une petite avance d’un but acquis samedi dernier au stade Me Abdoulaye Wade, les Lions locaux doivent sortir les griffes pour préserver leur maigre avance et décrocher une qualification qui les fuit depuis 11 ans. Même si la Guinée a une certaine ascendance avec trois qualifications d’affilée, le fait que le match se joue en terrain neutre à Bamako au Mali, peut être une petite avance pour le Sénégal. En tout cas, El Hadji Moutarou Baldé et ses partenaires ne voient que la qualification pour maintenir cette dynamique de victoires que vit le football sénégalais depuis le sacre à la Coupe d’Afrique des Nations Cameroun 2022 et la deuxième qualification à la Coupe du monde Qatar 2022.

Pr Adjaratou Wara Aidara, Directrice Senegal De Partners West Africa: «Les violences conjugales sont passées de 40,6 à 52% en deux ans»

La lutte contre les Violences basées sur le genre (VBG) est loin d’être gagnée. Malgré l’existence d’un texte de loi criminalisant le viol et la pédophilie, le fléau sévit encore au sein de la société sénégalaise. D’après la Directrice de l’Ong Partners West Africa Sénégal qui cite des chiffres de l’Association des juristes du Sénégal, le taux de violences conjugales a connu une hausse. «Au Sénégal, une loi criminalise le viol et la pédophilie. Il est attendu de cette loi une réduction de ces types de violences. Malheureusement, les données montrent qu’il n’y a pas eu d’avancées majeures. D’ailleurs, une hausse des violences faites aux femmes a été observée un peu partout au Sénégal et dans le monde, surtout les violences conjugales. Les chiffres de l’Association des Juristes du Sénégal (Ajs) montrent que ces formes de violences sont passées de 40,6 à 52% en deux ans, malgré toutes les dispositions prises. C’est alarmant ! », s’inquiète Professeur Adjaratou Wara Aïdara qui prenait part hier à un atelier de partage des résultats de recherches sur les violences faites aux femmes et aux enfants. Sur le même registre, la patronne de Partners West Africa Sénégal s’alarme du faible taux de dénonciation de la part des “survivants” des violences faites aux femmes auprès des services de police. «Seuls 40% des victimes de ces violences vont vers les services de police et les services sociaux. Elles se signalent auprès de leurs familles et de leurs amis. Seule une personne sur dix va vers la police. Ce qui représente moins de 15%. Ce sont plus de 60% de cas qu’on n’arrive pas à identifier à cause de la victimisation, mais également par peur d’aller vers ces structures pour diverses raisons», a regretté Mme Aïdara.

UNE police centrée SUR LES SURVIVANTS des VBG

Dans son étude réalisée dans 7 régions du Sénégal, Partners West Africa plaide pour une police centrée sur les personnes victimes de violences basées sur le genre. Sous ce rapport, indique Pr Adjaratou Wara Aïdara, les commissariats de Mbao et de Rebeuss devraient aider à identifier ces cas. Parce que, souligne-t-elle, le silence permet aux auteurs de ces actes de continuer dans la mesure où la plupart de ces victimes ne se signalent pas. «La justice et la sécurité sont deux secteurs qui ont un rôle majeur à jouer dans la prévention et dans la lutte contre toutes formes de violences à l’égard des femmes et des couches vulnérables. Nous avons une culture de la non-dénonciation, de la protection des auteurs de ces actes puisqu’étant souvent du cercle le plus restreint et le plus intime de la victime, par peur de représailles à cause de la stigmatisation et de la victimisation. Il faut qu’on puisse briser le plafond de verre pour inverser la tendance afin que la peur change de camp”, a plaidé la Directrice Sénégal de Partners West Africa.

Prenant part à l’atelier, la Directrice de la Famille et de la protection des groupes vulnérables au ministère de la Femme, de la Famille et du Genre a noté l’importance de s’appuyer sur le rôle des forces de sécurité et de défense dans la prise en charge des victimes de la violence basée sur le genre. Sous ce rapport, a laissé entendre Dr Fatou Ndiaye, le Sénégal a élaboré un guide en vue de former le maximum d’agents de police et de gendarmerie sur la prise en charge des victimes de violences basées sur le genre.

TER : un directeur limogé «pour manque de solidarité avec le DG»

Le directeur juridique de la Société d’exploitation du Train express régional (SETER), Me Yamar Samb, a été limogé. C’est l’intéressé qui a donné l’information à ses collègues dans un message repris par Libération dans son édition de ce vendredi.

«Chers tous, il est arrivé le jour où, à mon tour, je dois vous dire au revoir, a annoncé Me Yamar Samb. Mes accès emails étant bloqués, je suis obligé de passer par ce canal pour vous saluer une dernière fois. (…) Ce 31 août 2022, le président et le dg de la SETER m’ont informé de la décision de résilier mon contrat pour manque d’investissement et de solidarité actives envers la dg (sic). Aucun grief professionnel donc.»

Avant d’être le directeur juridique de la SETER, Me Yamar Samb était secrétaire général de l’entreprise. Libération informe qu’il a rédigé les contrats entre l’Etat et la SETER. Mais, signale le journal, «il ne suivait pas aveuglément» le directeur général, Patrick Tranzer.

Affaire Poste-Finances : des chefs d’entreprises vont aller en prison lundi

Les derniers créanciers à n’avoir pas soldé les crédits octroyés illicitement par Poste-Finances ont jusqu’à lundi prochain pour payer. Dans le cas contraire, ils seront placés sous mandat de dépôt par le juge du deuxième cabinet qui leur avait fixé un délai d’un mois après qu’il a pris en main le dossier du détournement de 1,5 million de francs CFA dans cette institution financière publique. D’après L’Observateur, plusieurs chefs d’entreprise et fournisseurs sont dans le viseur de la Sûreté urbaine (SU), qui tient la liste des créanciers indélicats. Ces derniers sont nombreux. D’après le journal, 90% des crédits en question n’ont pas été remboursés. Les sommes dues varient entre 500 mille et 400 millions de francs CFA. Cette affaire a éclaté lorsque l’ex-directeur général de Poste-Finances, Saliou Fédior, a saisi la SU d’une plainte pour détournement de deniers publics. Dans le cadre de l’enquête, 1033 chèques, pour des montants allant de 100 000 à 50 millions, ont été saisis dans les bureaux de Alex Manga, chef de l’agence principale, de Abdoulaye Faye, responsable de la Grande caisse. Ces derniers sont sous mandat de dépôt depuis l’éclatement de l’affaire.

Bougane prend la parole dans ‘L’Entretien’ : « Ce qui me différencie des politiciens (…) Notre philosophie, c’est d’abréger la souffrance des sénégalais. Pourquoi ‘Tekki Jotna’… »

En revisitant les dix ans du régime, Bougane Guèye Dany peint un tableau sombre pour le président Macky Sall. Dans ce nouveau numéro de ‘L’Entretien’, le leader du mouvement Guem Sa Bop balaie  le bilan du pouvoir en estimant que les priorités n’ont pas été prises en compte. « Le Train Express Régional, le Ter, le stade Abdoulaye Wade et toutes les autres infrastructures, c’est bien, mais avant cela, le sénégalais a besoin de manger à sa faim, d’avoir un toit, de boire abondamment de l’eau potable. Bref, Macky Sall a échoué sur toute la ligne » considère le président du mouvement Guem Sa Bop.

En tirant le bilan des deux dernières élections, Bougane se réjouit d’une respiration démocratique qui donne désormais une option équilibrée à l’Assemblée nationale. Mais sans oublier de signaler ses attentes pour cette prochaine législature, Bougane Guèye Dany invite les acteurs politiques à une prise en compte des urgences du peuple.

Pour cette tribune, les perspectives politiques de Guem Sa Bop ont été déclinées par son leader notamment pour 2024. Selon Bougane, ‘Tekki Jotna’ (l’heure du développement) est enfin arrivée et celui qui l’impulsera au peuple, est simplement son mouvement. « Ce qu’il faut au peuple Sénégalais asphyxié par les politiciens, c’est de bénéficier de la générosité et de l’attention de quelqu’un qui a le parcours et non qui tient souvent des discours loin d’être matérialisé », confie le président de Guem Sa Bop.

Un incendie à Rebeuss, dix chambres calcinées

Un incendie s’est déclaré hier dans le quartier de Rebeuss, à Tolba, aux environs de 21 heures.
Situé derrière le tribunal de grande instance de Dakar, le site est constitué par des chambres indépendantes où résident des personnes venues des différentes régions du Sénégal et même des pays limitrophes.
Il y avait également des mécaniciens. Les maisons en baraque, construites n’importe comment et les ateliers de mécanicien installés de manière anarchiques ont eu des conséquences désastreuses.
Les sapeurs-pompiers ont difficilement pu accéder à l’endroit pour éteindre les flammes qui ont atteint une dizaine de chambres.
Il aura fallu aux soldats de feu un tour d’horloge pour éteindre le feu.
L’origine de l’incendie reste méconnue mais des dégâts et des pertes matérielles ont été constatés.

Une Gp vole les 13 millions d’un homme d’affaires

Le moyen de défense d’Aïssatou Guèye Thioune a été inopérant à la barre du tribunal des flagrants délits Dakar. Attraite pour 13 millions francs, la Gp de 38 ans a prétendu avoir oublié l’argent dans le taxi qui l’a transportée à l’aéroport de Diass. Reconnue coupable d’abus de confiance, la prévenue a écopé de deux mois de prison ferme.

Divorcée, Aïssatou Guèye Thioune s’était lancée dans le métier de Gp (gratuité partielle) pour subvenir aux besoins de ses enfants. Elle a fait cinq années dans ce business à haut risque. Lors son dernier voyage, la trentenaire avait été sollicitée par Souleymane Dia qui lui a remis 20.000 euros, soit 13.100.000 francs. Une somme que la dame devait remettre au fournisseur de Mor Kandji, établi en Turquie. Une fois à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass, Aïssatou a joint son mandant pour lui dire qu’elle a laissé l’argent dans un taxi. N’en croyant pas ses oreilles, Souleymane Dia est allé sur-le-champ à la Division des investigations criminelles (Dic) en compagnie de la mise en cause pour porter plainte. Aïssatou Guèye Thioune sera déférée, puis écrouée pour abus de confiance le 17 août 2022.
Devant le tribunal des flagrants délits de Dakar ce mercredi 31 août, la prévenue a soutenu avoir pris un taxi à 17h. Arrivée à l’aéroport, elle a constaté disparition de son sac à main contenant les 20.000 euros au moment où l’agent contrôlait son passeport. « J’ai oublié le sac dans le taxi. Inquiète, j’ai demandé à Oustaz Assane de faire passer l’information à la Tfm. Sur proposition de Souleymane Dia, on s’est rendu à la Dic à 23h », a relaté la mère de famille. A l’en croire, c’était la troisième fois que Souleymane Dia la commissionnait et les deux premiers montants étaient beaucoup plus importants. Aïssatou Guèye Thioune a, par ailleurs, signalé qu’elle ne connait pas la partie civile Mor Kandji. Ce que celui-ci a confirmé.Souleymane Dia a, pour sa part, souligné que l’argent appartient à Mor Kandji. « La prévenue devait s’envoler pour la Turquie à 21h. Mais, elle m’avait appelé pour me dire que le vol allait accuser un retard. À 22h, elle me fait part de la disparition de l’argent. J’ai du mal à croire qu’elle l’a oublié dans un taxi. Elle n’était même pas en mesure de me montrer son billet d’avion », a asséné M. Dia.

Pour la réparation du préjudice de la partie civile, Me Ibrahima Mbengue a réclamé 12 millions francs, après avoir reçu un acompte de 3 millions francs. Pour le maître des poursuites, il n’y a aucun élément objectif prouvant que la comparante a laissé l’argent dans un taxi. A cet effet, le représentant du Ministère public a sollicité six mois, dont trois mois ferme. « On devait lui accorder une présomption de bonne foi. Elle est dans le besoin de retrouver ses enfants », a plaidé un des conseils de la défense. Le juge a finalement condamné la prévenue à six mois, dont deux mois ferme et à verser 10,5 millions francs à la victime.

 

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