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Sortie sur les non-inscrits : Abdou Mbow qualifie Sonko d’«imposteur sans foi» 

La déclaration du leader de Pastef/Les patriotes, hier jeudi, au cours d’un point de presse, estimant que «le statut de non-inscrit à l’Assemblée nationale est contraire à la morale et à l’éthique», continue de susciter de vives réactions dans le landerneau politique. Le député Abdou Mbow, porte-parole adjoint de l’Apr, se demande «à quel Sonko se fier ?». Dans un texte, il indique que «ceux qui suivent de près l’actualité au Sénégal ont beaucoup de mal à se retrouver derrière le discours d’Ousmane Sonko. Car, à force de parler pour calomnier, donner des leçons de morale ou s’en prendre à des citoyens du pouvoir et de l’opposition, il a fini par montrer ce qu’il est vraiment : un démagogue doublé d’un imposteur sans foi et dépourvu de tout scrupule».

Le député de la majorité pense d’ailleurs qu’il «va falloir désormais tenir un cahier des contrevérités et des incohérences qu’il distille tous les jours»,  soulignant que «Sonko a oublié qu’il est non-inscrit pour cette législature en cours, de même que la plupart de ses souteneurs d’aujourd’hui (Aïda Mbodj, les députés du Pur, et du Grand parti)». Toutefois, jure Abdou Mbow, «les Sénégalais vont tous finir par prendre Sonko pour ce qu’il est : un personnage  incohérent qui prend ses désirs pour la réalité, un manipulateur hors pair, prêt à réveiller tous les conflits et à mettre les Sénégalais en mal pour ses intérêts. Mais qu’il se le tienne pour dit : il sera démasqué en plein jour».

Face aux attaques de l’opposition : les jeunes de Benno Hann Bel-Air s’érigent en bouclier de Macky Sall

Les attaques des leaders de l’opposition dont Ousmane Sonko à l’endroit du Président de la République, Macky Sall, ne sont pas du goût de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) de Hann Bel-Air. Ces derniers disent s’ériger en bouclier du chef de l’État. «Notre pays vient, encore une fois de plus, de démontrer à la face du monde  la vitalité de ses institutions avec l’organisation en l’espace de 6 mois deux consultations électorales. Des évènements majeurs dans le calendrier républicain qui ont permis au peuple sénégalais de renouveler sa confiance au chef de l’État, Son Excellence Monsieur Macky Sall, l’homme de l’émergence, le visionnaire et le bâtisseur. Et pourtant, une certaine opposition aux desseins machiavéliques et dont le seul objectif est de saper les fondements de notre nation avait tôt fait de déclarer urbi orbi que ces élections n’auraient pas eu lieu à date échue. L’histoire retiendra que les élections locales et législatives avaient bien eu lieu …à date échue et sans encombres», ont averti les camarades d’Abdoulaye Diouf et de Mame Dibor Ndao. 

Selon eux, les «brillantes» réalisations du Président de la République, Macky Sall et de son gouvernement ne sont plus à démontrer. «N’en déplaise à une opposition aux abois et dans le désarroi qui fait de la promotion des antivaleurs son thème de prédilection. Une opposition à la vision étriquée incarnant le culte de la violence avec un langage ordurier et sans respect pour nos guides religieux», disent-ils. À cet effet, la Cojer et la jeunesse de Benno bokk yakaar de Hann Bel-Air réitèrent leur engagement et leur détermination à continuer d’accompagner le Président Macky Sall dans son objectif pour un «Sénégal émergent, un Sénégal de tous et un Sénégal pour tous».  C’est dans ce sillage qu’ils en ont profité pour demander au président de la République de leur accorder une audience afin de poursuivre cette collaboration pleine d’espoir.

Pillage de la faune : Niokolokoba en danger

En contournant les sanctions de l’Onu approuvées par le Sénégal, la Corée du nord décime la faune d’Afrique. Du Sud à l’Ouest, en passant par le centre du continent, des espèces en voie de disparition comme le Rhinocéros sont tués et vendus en Asie via des diplomates Coréens. Ici au Sénégal, le parc de Niokolokoba est dans la ligne de mire des trafiquants d’animaux sauvages qui font de leur commerce, une source de monnaie étrangère à faible risque et à forte récompense. En attendant que des trafiquants nord-coréens d’espèces en voie de disparition soient démasqués en Afrique de l’Ouest qui compte des parcs aussi importants que Niokolokoba, au sud du continent, la police mozambicaine a détenu un maître soupçonné d’espionnage nord-coréen et un maître de Taekwondo avec l’attaché politique de Pyongyang en Afrique du Sud, sur lesquels ont été trouvés 100.000 $ en espèces et 4,5 kg de cornes de Rhinocéros cachés dans la Toyota des diplomates. Il a fallu l’intervention de l’ambassadeur de Pyongyang à Pretoria pour que les deux trafiquants soient relâchés et expulsés vers la Corée du nord. En contournant les sanctions de l’Onu, la Corée du nord entretient un réseau revitalisé d’activités criminelles axé sur la corne de Rhinocéros, l’ivoire et les minéraux en Afrique. La preuve, dans un rapport, publié vendredi, il a été révélé que «les réseaux de contrebande de Pyongyang, les entreprises de front et les acteurs criminels parrainés par l’État sont sophistiqués, efficaces et capables de contourner les sanctions, les lois et les règlements». La contrebande d’espèces en voie de disparition est considérée comme une source de monnaie étrangère relativement faible et à forte récompense pour la Corée du Nord, qui a reçu de nouvelles sanctions en raison de son programme nucléaire. Les trafiquants nord-coréens qui sont très actifs dans le sud du continent n’épargnent pas l’Afrique de l’Ouest où des pays comme le Sénégal ont intérêt à surveiller leurs parcs et leurs forêts. Dans le lot des pays qui sont plus touchés par ce trafic figure le Mozambique qui avec plus de 10.000 éléphants perdus est devenu le grand abattoir des trafiquants d’espèces. Du fait que la Corée utilise ses diplomates pour ce trafic, il est pratiquement impossible d’estimer l’ampleur des dégâts.

 

Par Ndiogou CISSÉ

Kolda : Des étudiants s’investissent dans l’agriculture pour améliorer leurs conditions d’étude

Des étudiants membres de l’Aseprok (Association pour la promotion de Kolda) se lancent dans l’agriculture pour assurer leur autonomie financière et améliorer leurs conditions d’hébergement et d’étude. Cette première initiative démarrée sur conseil du Khalife général de Saré Mamady Chérif Léhibe Aïdara, par ailleurs, président d’une puissante  coopérative agricole dénommée Union des forces agricole de Kolda (Ufak) porte sur un champ de 5 hectares d’arachide situé à 11 km environs de la commune de Kolda. Toute la récolte sera transformée puis distribuée  dans les différents immeubles  occupés par des étudiants de la région, a confié le président  de l’Aseprok. Une façon de rompre avec la politique de la main tendue aux autorités à chaque année universitaire, alors qu’«il est possible de développer des mécanismes de ce genre pour être autonomes financièrement», a expliqué M. Leheba Kandé. À travers cette initiative, poursuit-il, «les étudiants doivent comprendre que la réussite n’est pas seulement dans les bureaux». Il incite ainsi ses camarades et la jeunesse en général à retourner à la terre. Car, dit-il, «toutes les nations puissantes aujourd’hui, se sont enrichies à partir de l’agriculture». Pour lui, il est inadmissible et hors de question que des jeunes continuent de consacrer du temps important aux bavardages inutiles sous des manguiers et autour de la théière sans entreprendre. «Il est possible de cumuler les activités sportives ou la conduite de mototaxi Jakarta avec les  travaux champêtres pour jouer notre partition dans cette œuvre nationale de construction d’un pays émergent et  alimentairement  souverain», a-t-il insisté.

 

Par Nicolas Ismaël MANSALY/Correspondant

Droits exclusifs de retransmission du mondial : Guerre entre Emedia Invest et la RTS…

Dans un communiqué publié sur leur site, le Groupe Emedia Invest a qualifié de désinformation, la publication sur les plateformes sociales de la RTS à propos des Droits de retransmission de la Coupe du monde. Ledit groupe affirme détenir depuis plusieurs semaines lesdits droits exclusifs, par le biais d’un contrat en bonne et due forme signée avec le détenteur des droits de distribution de la compétition en Afrique subsaharienne. «À 95 jours du coup d’envoi de la 22e édition de la Coupe du Monde Qatar 2022, la RTS a publié hier un communiqué annonçant avoir acquis les droits exclusifs de retransmission de la Coupe du monde «grâce à l’appui de l’État du Sénégal». Pourtant, le groupe Emedia Invest dispose, depuis plusieurs semaines des droits de diffusion en exclusivité sur tout le territoire national, via ses différents supports (radio, télé et digital), droits acquis auprès de son partenaire New World TV LTD, le groupe basé à Lomé, au Togo, détenteur des droits de distribution de la compétition en Afrique subsaharienne. Un contrat en bonne et due forme, en cours d’exécution, comme prévu, malgré les manœuvres souterraines, la désinformation et les coups de pression d’ici ou d’ailleurs», lit-on dans le communiqué du groupe Emedia.

Le PSG refuse de résilier le contrat de Gana Gueye: Everton a arrêté les discussions

La situation ce vendredi est claire. Le Paris-Saint-Germain, Everton et Idrissa Gueye (32 ans, sous contrat jusqu’en 2023) ont stoppé leurs discussions. Cela ne veut pas encore dire que le milieu de terrain ne rejoindra pas le club de Liverpool, mais alors qu’un accord contractuel a été trouvé entre l’international sénégalais (94 sélections) et les Toffees, ce n’est toujours pas le cas entre les deux clubs.

Une difficulté qui a tendu les dirigeants anglais ces dernières heures, en stoppant toutes les négociations. Cela peut être perçu comme un coup de pression pour faire réagir le Paris-Saint-Germain.

Population carcérale au Sénégal : Il y a 12 430 détenus (pénitencier)

Au Sénégal, il a été noté après le recensement au niveau des prisons ce 1er août 2022, qu’il y’a près de 12 430 détenus qui croupissent dans les 37 prisons du pays. Parmi ces détenus, il y a 320 femmes, 130 mineurs et 1130 ressortissants de pays étrangers.

D’après « Rewmi Quotidien », 6 443 personnes ont été jugés et condamnés, tandis que 5 987 sont en détention préventive. La Maison d’arrêt et de correction de Rebeuss concentre le plus grand nombre de détenus, ils sont près de 2500 détenus. L’effectif a presque doublé en vingt ans.

A en croire le journal, ces chiffres de la population carcérale sont en baisse par rapport à l’effectif et une hausse des détentions préventives comparés à ceux rendus publics le 20 décembre 2021 par le directeur de l’administration pénitentiaire, le colonel Jules Bertrand Bocandé. A l’époque, 13 561 personnes (contre 12 430 en ce moment) étaient incarcérées dans les prisons sénégalaises. Parmi ces détenus, 5437 étaient en détention préventive (contre 5987) pour 8124 condamnés (contre 6443).

Les chiffres actuels de la population carcérale ont été fournis par l’inspecteur de l’Administration pénitentiaire, Mohamed Lamine Diop, sur le plateau de l’émission «Balance»

Cash transfert : 48% des ménages n’ont pas perçu leurs fonds

L’opération de transfert d’argent aux démunis lancé en juin 2022 par le chef de l’Etat est un échec, constate la Banque mondiale.

Le Président Macky Sall, pour venir en aide aux ménages démunis, a procédé à une vaste opération de Cash transfert qui sera lancée le mardi 10 mai dernier. Un système de transfert d’argent « exceptionnel » d’un montant de 43 milliards de francs CFA destiné à 542 956 ménages répertoriés dans le Registre national unique (Rnu). Les cibles vont recevoir directement 80 000 chacune dans leur téléphone portable.

Un grand soulagement pour les bénéficiaires, intervenant à la veille des élections législatives, ce qui avait permis à certains opposants politiques de subodorer une opération «d’achat des consciences». D’autres observateurs, plus pratiques, se demandaient juste par quelle magie le Grand argentier Abdoulaye Daouda Diallo avait pu mobiliser autant de ressources, dans un contexte de flambée des prix des denrées alimentaires.

A la fin du mois de juillet 2022, la Banque mondiale a transmis aux autorités sénégalaises un Aide-mémoire produit par la mission d’appui à la mise en œuvre du Projet d’appui aux filets sociaux (Pafs), dans lequel on trouve la réponse aux questions relatives, notamment à l’argent décaissé pour ce concours exceptionnel. A la lecture du document, on apprend que les représentants de la Banque mondiale déplorent que l’opération de transfert d’argent ait connu des retards tels que près de 48% des bénéficiaires n’ont toujours pas perçu leurs fonds à la fin du mois de juillet.

Et à ce jour, les choses ne se sont pas améliorées. En effet, l’Aide-mémoire indique ceci : «L’opération de paiement des transferts aux bénéficiaires qui a débuté mi-mai, a accusé des retards dans la mise en œuvre. Après le démarrage des opérations de paiement dans les régions de Thiès, Diourbel et Fatick à la mi-mai, la mise en œuvre des paiements a connu un coup d’arrêt avant de reprendre fin juin à Dakar et Kaffrine, puis début juillet à Matam, Saint-Louis, Kolda et Louga.»

Si la Banque mondiale parle de retards dus, entre autres, au lancement de la campagne électorale pour les Législatives, du fait que les autorités de l’Etat auraient été occupées à battre campagne, les pouvoirs publics, à leur niveau, veulent faire comprendre que les problèmes incomberaient plutôt aux opérateurs chargés d’exécuter les opérations sur le terrain.

Au-delà des débats intra gouvernementaux, la Banque mondiale a dû constater que son rêve de faire du Sénégal une zone-pilote pour lui permettre de dupliquer son projet de Cash transfert à travers la partie francophone du continent, est très loin d’être une réussite. Or, avec son Rnu plus ou moins bien maîtrisé, le Sénégal est l’un des rares pays africains où le «Cash transfer» à la Bretton Woods avait des chances de réussir. Malheureusement, les services de M. Nathan Belete vont être contraints de faire état des différents manquements qui freinent cette mise en œuvre.

Soldats sénégalais au Mali : L’armée corrige Sonko

L’armée sénégalaise n’a pas procédé au rapatriement de ses troupes au Mali. La précision a été donnée par les autorités militaires.

«Contrairement à certaines informations données dans la presse, le Sénégal ne s’est pas désengagé du Mali. Le Sénégal a entamé cette semaine la relève périodique de ses contingents engagés dans le cadre de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA), à l’instar d’autres pays contributeurs de troupes», explique le colonel Moussa Koulibaly, Directeur de l’Information et des Relations publiques des Armées.

Dans son communiqué de presse, il informe qu’il s’agit d’une opération normale de rotation visant à remplacer, nombre pour nombre, les troupes engagées par notre pays sur le théâtre malien depuis 2013 dès les premières heures de la crise, d’abord au sein d’une mission de la CEDEAO (MICEMA), puis de l’Union africaine (MISMA) avant même l’arrivée de l’ONU.

Pour rappel, le Sénégal compte aujourd’hui mille trois cents (1.300) hommes et femmes, militaires, gendarmes et policiers au sein de la MINUSMA, ce qui fait de notre pays le deuxième contributeur de troupes de ce théâtre en termes d’effectifs après le Tchad.

 

LE PARTI DE IDRISSA EN EAUX TROUBLES : Mouhamadou Guissé claque la porte du Rewmi

L’ex-membre des cadres Mouhamadou Guissé  a annoncé sa démission du parti politique Rewmi, dirigé par Idrissa Seck. Ainsi , une grosse perte pour Idrissa Seck. Celui qui fut un fervent membre de Rewmi  a alors quitter le navire de l’ancien maire de Thiès par ailleurs actuel président Conseil économique sociale et environnementale (CESE) 

 

Mouhamadou Guissé a décidé, pour  “pour se ranger du côté du peuple» de mettre fin à ses  activités au sein de la formation politique Rewmi. Dans un communiqué , l’ex camarade du président Idrissa Seck  compte poursuivre autrement son combat politique axé”sur la défense des intérêts du peuple sénégalais aux allures d’un devoir citoyen “.

Grosse perte pour le Rewmi d’Idrissa Seck. Mamadou Guissé  a décidé, pour  ” des questions citoyennes  de mettre fin à ses activités au sein de ladite  formation politique. Et c’est un communiqué utilisé pour officialiser son départ. L’ex-camarade de Idrissa Seck entend réaliser “Après seize (16) bonnes années de compagnonnage à vos côtés, je me décharge de tout engagement au sein de cette formation pour me ranger du côté du peuple dans sa généralité pour une meilleure prise en charge des questions citoyennes au service du développement de mon cher pays le Sénégal ”  , a annoncé le désormais ex responsable du Rewmi dans un communiqué rendu public.

 

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention