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Supermaché Auchan : un rayonniste vole des marchandises pour sauver sa mère malade

Reconnu coupable de vol à l’occasion du service, Fodé Diakhaby a écopé d’une peine de 2 ans dont 2 mois ferme. Il comparaissait au tribunal d’instance des flagrants délits de Dakar.

Fodé Diakhaby est en train de boire la coupe amère de la vie. Après avoir perdu son boulot, il n’a pas pu assister aux funérailles de sa mère car étant dans les liens de la détention. Toutes ces épreuves pénibles sont les conséquences désastreuses de ses actes. Rayonniste dans un magasin Auchan, Fodé Diakhaby ne savait pas l’engrenage qu’il allait se mettre en volant des marchandises à l’occasion de son service.

Des faits qu’il a reconnus sans difficulté lors de sa comparution à la barre du tribunal d’instance des flagrants délits de Dakar. À l’en croire, pour commettre son forfait, il a profité de la coupure d’électricité. «Ma mère était malade. C’est pourquoi j’ai pris quelques marchandises pour les revendre. Je lui ai ensuite envoyé l’argent mais elle est finalement décédée le vendredi», explique-t-il.

Ayant soustrait 3 paquets de lait, un carton de Nido, un carton de chocolat de 12 pots, 3 grosses de sucres et 2 cartons de Nescafé, le prévenu a regretté son acte. La marchandise étant évaluée à 439 000 de F Cfa, Fodé confie l’avoir vendue à 150 000 F Cfa seulement à un boutiquier établi au quartier Gibraltar.

Le mis en cause qui n’a pas pu assister à l’enterrement de sa maman explique au juge avoir profité de l’absence du vigile qui était aux toilettes pour faire sortir le butin. Il l’a dissimulé dans les ordures.

Le suppléant du délégué du personnel a réclamé la somme de 10.000.000 en guise de réparation. Le représentant du ministère public a, de son côté, requis une peine d’emprisonnement de 2 ans dont 1 an ferme contre Fodé Diakhaby.

À la suite du conseil du prévenu, qui estime que «Auchan veut battre monnaie», le juge a reconnu son client coupable de vol à l’occasion du service. Pour la répression, il l’a condamné à une peine de 2 ans dont 2 mois ferme. En sus de cette sanction pénale, Fodé est contraint à payer la somme de 800.000 à Auchan en guise de dommage et intérêt.

Présidentielle de 2024 : Karim Meissa Wade est le candidat du Parti démocratique sénégalais

A Touba où ils étaient ce weekend pour remercier la communauté mouride, les députés nouvellement élus de Wallu Sénégal ont confié au Khalife général Serigne Mountakha Bassirou Mbacké qu’il s’agit de Karime Meissa Wade qui est leur candidat en 2024 en vue de l’élection présidentielle.

Jusqu’au changement de dernière minute, Wade-fils est le candidat de Wallu Sénégal à la prochaine élection présidentielle de 2024. Et c’est à Touba que la nouvelle est tombée, devant le Khalife Général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké, qui recevait la délégation des députés nouvellement élus de Wallu Sénégal.

Mamadou Lamine Thiam, dans le message du président Abdoulaye Wade au Khalife ainsi que celui de Karim Wade qu’il a transmis, a annoncé la candidature de Wade-fils pour 2024. Mieux, le mandataire n’a pas manqué de souligner que cette candidature «est le souhait le plus ardent de tous». Tout comme le retour du principal concerné, Karim Wade, du Qatar.

Auparavant, dans le cadre d’une tournée de remerciements auprès des familles religieuses, les députés nouvellement élus de la Grande Coalition Wallu Sénégal étaient à Ndiassane où Pape Abdourahmane Kounta, porte-Parole de la famille, s’est «dit fasciné par le retour en force du PDS après la perte du pouvoir» avant de les exhorter à veiller à la restauration des valeurs religieuses.

Ensuite, il a conduit la délégation chez le Khalife avant de rappeler que l’ancien président Me Abdoulaye Wade avait une résidence à Ndiassane et que sa maman est de la famille «kounta-kounta».

Escroquerie via Wave : des comptes vidés sans le code secret ; des victimes témoignent

Les clients de Wave sont avertis. Cette plateforme américaine de transfert d’argent n’est pas assez sécurisée pour être une banque. ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce lundi, renseigne qu’il est possible de vider les comptes d’autrui et certains escrocs n’ont pas besoin de connaître votre code secret pour vous déplumer.

Interrogé par nos confrères, un artiste très connu du public témoigne : «on m’a volé mon téléphone, jeudi dernier vers 17 heures, mon compte Wave a été vidé à 17 heures 30 mn. Ils ne m’ont laissé que… 52 francs, alors qu’il comptait plus de 300.000 francs et l’argent n’était pas à moi».

Le journal rappelle également que le 10 août courant, deux individus délestés de 100 000 et de 150 000 F Cfa étaient au Commissariat de Diamaguène Sicap Mbao pour porter plainte.

Hôpital Aristide Le Dantec : les 58 corps sans vie qui dormaient dans les tiroirs inhumés

Les 58 corps sans vie de l’hôpital Aristide Le Dantec dont les parents n’ont pas été identifiés, ont été inhumés hier, par l’Association pour la perfection et la miséricorde. La procédure pour l’obtention d’un permis d’inhumé pour ces 58 dépouilles composés de 36 enfants et 22 adultes, a été lancée depuis l’annonce de la fermeture de la morgue en raison du projet de reconstruction de l’hôpital Aristide Le Dantec.

Lequel a finalement fermé le 15 août dernier, par les autorités qui prévoient de vendre trois hectares du terrain de l’hôpital, pour financer la reconstruction. Mais depuis quelques semaines, la démarché de l’Etat a créé une polémique après que les travailleurs de l’hôpital, des hommes politiques, des activistes et beaucoup de citoyens ont exprimé, leur désaccord et dénoncé un bradage inédit du foncier.

Rencontre entre Macky Sall et les députés de Bby : les temps forts de l’audience qui a duré 9 tours d’horloge

Un marathon de dix heures de temps, de 16h à 2h du matin, du samedi au dimanche. C’est le temps qu’a duré la rencontre entre Macky Sall et “ses” députés, pour ferrer une alliance. Le président de la Répu­blique a rassemblé tous les députés élus de sa coalition, ainsi que les leaders des différentes formations alliées au pouvoir dans la Salle des banquets du palais de la Répu­blique.

L’ordre du jour portait essentiellement sur le travail parlementaire dans la nouvelle Assemblée qui va bientôt être installée. Et avant cela, dès le premier jour, les stratégies à mettre en place pour sécuriser les différents postes du Bureau de l’Assem­blée, en commençant par le plus important, le premier d’entre eux, celui de président.

Macky Sall a écouté tout le monde, car tous les députés présents ont tenu à s’exprimer. Il n’y avait d’ailleurs que deux absents, qui se trouvaient hors du pays, et avaient tenu à justifier préalablement leurs déplacements. Tous ont voulu donner des gages de leur fidélité à la coalition et à son leader.

Et pour bien le souligner, il a été décidé, à l’unanimité, de reproduire le même schéma que lors des investitures. A savoir, laisser le choix des occupants des différents postes au chef de la coalition. Et chacun des présents a promis de se soumettre aux décisions qui seront prises.

Ceux qui auraient des prétentions, devraient les taire et comprendre que le chef ne vise que l’intérêt commun. D’ailleurs, étant donné que certains députés pourraient se retrouver à d’autres stations hors de l’Hémicycle, il y avait de fortes chances de pouvoir satisfaire des ambitions les plus crues.

Les participants ont tous convenu de taire querelles et ressentiments pour se focaliser sur l’objectif majeur, face aux enjeux découlant d’une majorité parlementaire fortement chahutée. Tous ont été conscients qu’il ne fallait aucune faille à l’Assemblée, pour permettre à la majorité de conserver… sa majorité !

Fort de sa longue expérience du Perchoir, le président Moustapha Niasse a partagé avec les nouveaux venus et ses collègues plus jeunes, quelques artifices pour sécuriser les votes, et s’assurer que, tout en respectant le caractère secret du scrutin, il ne pourrait y avoir de défection en leur sein.

D’autres propositions allant dans le même sens ont été faites également par d’autres, qui ont permis à tous et à chacun de croire que, sauf tremblement de terre, toute mauvaise surprise serait évitée. Le constitutionnaliste Ismaïla Madior Fall, également présent à la rencontre, a gratifié l’assistance d’un cours de Droit public sur les rapports entre l’Assemblée et l’Exécutif.

Il faut souligner que le Président de la République prévoit de convoquer l’Assem­blée nationale dès le mois prochain, aux environs du 14 septembre. Dans la foulée de l’installation de l’Assemblée nationale, un remaniement ministériel sera annoncé, qui verra enfin, un Premier ministre prendre également fonction.

Vendredi meurtier : 6 personnes périssent dont une femme et son enfant dans ses bras

Encore la route. Celle-ci a, à nouveau, fait des victimes. C’est au cours d’un accident de la circulation impliquant deux bus de transports en commun entre Koungheul et Kaffrine. En effet, il s’agit du tout nouveau bus de la compagnie de Transport Waraba en provenance de Tambacounda, qui a fait un choc frontal avec un autre bus venant de Dakar. À l’origine de l’accident, un camion tombé en panne et qui s’est stationné sur la route sans panneau de signalisation causant le drame. Le bilan provisoire fait état de 4 morts dans un premier temps avant qu’une autre victime ne succombe quelques heures après dont les chauffeurs, qui ont perdu la vie sur le coup ainsi qu’une dame et son enfant dans ses bras. L’accident est survenu vers 1 heure du matin. Les 72 blessés dont 13 dans un état grave, sont actuellement pris en charge.  L’autre drame de la circulation a eu lieu, dans la matinée, sur l’axe Dalla-Ngabou où un taxi immatriculé DL2737D en provenance de Dahra pour Ngabou (Mbacké) est entré en collision avec un minicar, après avoir dépassé le village de Dalla. L’accident a coûté la vie à Samba Mamadou Bâ âgé de 52 ans et originaire du village de Loubol Kelely.

Touba : La Direction du Commerce intérieur sévit, des sacs d’oignon saisis et revendus à 600 Cfa le Kg

Les images ont fait le tour du web jeudi dernier. Des femmes qui se crêpent le chignon pour un kilogramme d’oignon vendu à 1500 Cfa voire 2500 à Touba à l’occasion du magal de Darou Khoudoss. Cette spéculation sur la vente de l’oignon est «injustifiée», a déclaré le directeur du Commerce intérieur, Oumar Diallo qui faisait face à la presse ce vendredi. Ce dernier informe que cette situation tend vers le retour à la normale, indiquant ainsi que des saisies de sacs d’oignons ont été opérées sur place dans la ville. «Les prix excessifs de 1500 et 2000frs le Kg constatés à Touba sont le fait de spéculateurs véreux qui appliquent des marges de plus de 200%. Ce qui a motivé la descente de nos services de contrôle sur le terrain à Darou Khoudoss. Des saisies de sacs d’oignon ont été opérées et le produit vendu sur place aux populations à 600f le Kg. Le prix étant en vente libre, le défaut de facture pour justifier la détention licite a été la principale infraction constatée», a-t-il indiqué. Cette spéculation sur le prix de la vente de l’oignon intervient, selon le directeur du Commerce intérieur, «dans la phase de cohabitation qui marque la fin de la production locale d’oignon et l’ouverture des importations qui consacre la fin du gel. Chaque année cette période est très difficile pour la régulation du marché, car la présence simultanée des 2 produits sur le marché est souvent source de contestations de la part des producteurs locaux qui crient à la concurrence déloyale de l’oignon importé, entraînant des méventes».

À rappeler que l’oignon local a occupé le marché de janvier à août 2022, soit 8 mois de couverture des besoins en consommation courante évalués à 25.000 T mensuel. Vendredi 13 août les importations ont été ouvertes car la production locale résiduelle est presque épuisée depuis la tamkharit.

Les négociations entre le Psg et Everton stoppées : Ca se complique pour Idrissa Gana Gueye

Idrissa Guèye finira-t-il par quitter le PSG cet été ? Placé sur la liste des transferts par le club parisien, le milieu sénégalais ne fait pas partie des plans de Christophe Galtier pour cette année. Le joueur de 32 ans n’a donc pas tardé à se chercher une porte de sortie et était même tout proche de rejoindre son ancien club Everton. Mais, alors que l’affaire semblait en bonne voie, L’Équipe révèle ce vendredi que le joueur du PSG pourrait ne jamais revêtir à nouveau la tunique des Toffees.

 

Sortie sur les non-inscrits : Abdou Mbow qualifie Sonko d’«imposteur sans foi» 

La déclaration du leader de Pastef/Les patriotes, hier jeudi, au cours d’un point de presse, estimant que «le statut de non-inscrit à l’Assemblée nationale est contraire à la morale et à l’éthique», continue de susciter de vives réactions dans le landerneau politique. Le député Abdou Mbow, porte-parole adjoint de l’Apr, se demande «à quel Sonko se fier ?». Dans un texte, il indique que «ceux qui suivent de près l’actualité au Sénégal ont beaucoup de mal à se retrouver derrière le discours d’Ousmane Sonko. Car, à force de parler pour calomnier, donner des leçons de morale ou s’en prendre à des citoyens du pouvoir et de l’opposition, il a fini par montrer ce qu’il est vraiment : un démagogue doublé d’un imposteur sans foi et dépourvu de tout scrupule».

Le député de la majorité pense d’ailleurs qu’il «va falloir désormais tenir un cahier des contrevérités et des incohérences qu’il distille tous les jours»,  soulignant que «Sonko a oublié qu’il est non-inscrit pour cette législature en cours, de même que la plupart de ses souteneurs d’aujourd’hui (Aïda Mbodj, les députés du Pur, et du Grand parti)». Toutefois, jure Abdou Mbow, «les Sénégalais vont tous finir par prendre Sonko pour ce qu’il est : un personnage  incohérent qui prend ses désirs pour la réalité, un manipulateur hors pair, prêt à réveiller tous les conflits et à mettre les Sénégalais en mal pour ses intérêts. Mais qu’il se le tienne pour dit : il sera démasqué en plein jour».

Face aux attaques de l’opposition : les jeunes de Benno Hann Bel-Air s’érigent en bouclier de Macky Sall

Les attaques des leaders de l’opposition dont Ousmane Sonko à l’endroit du Président de la République, Macky Sall, ne sont pas du goût de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) de Hann Bel-Air. Ces derniers disent s’ériger en bouclier du chef de l’État. «Notre pays vient, encore une fois de plus, de démontrer à la face du monde  la vitalité de ses institutions avec l’organisation en l’espace de 6 mois deux consultations électorales. Des évènements majeurs dans le calendrier républicain qui ont permis au peuple sénégalais de renouveler sa confiance au chef de l’État, Son Excellence Monsieur Macky Sall, l’homme de l’émergence, le visionnaire et le bâtisseur. Et pourtant, une certaine opposition aux desseins machiavéliques et dont le seul objectif est de saper les fondements de notre nation avait tôt fait de déclarer urbi orbi que ces élections n’auraient pas eu lieu à date échue. L’histoire retiendra que les élections locales et législatives avaient bien eu lieu …à date échue et sans encombres», ont averti les camarades d’Abdoulaye Diouf et de Mame Dibor Ndao. 

Selon eux, les «brillantes» réalisations du Président de la République, Macky Sall et de son gouvernement ne sont plus à démontrer. «N’en déplaise à une opposition aux abois et dans le désarroi qui fait de la promotion des antivaleurs son thème de prédilection. Une opposition à la vision étriquée incarnant le culte de la violence avec un langage ordurier et sans respect pour nos guides religieux», disent-ils. À cet effet, la Cojer et la jeunesse de Benno bokk yakaar de Hann Bel-Air réitèrent leur engagement et leur détermination à continuer d’accompagner le Président Macky Sall dans son objectif pour un «Sénégal émergent, un Sénégal de tous et un Sénégal pour tous».  C’est dans ce sillage qu’ils en ont profité pour demander au président de la République de leur accorder une audience afin de poursuivre cette collaboration pleine d’espoir.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention