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Législatives 2022 : le peuple a le dernier mot…Aux Urnes !

Les Sénégalais vont voter ce dimanche pour élire 165 députés. Le dernier passage aux urnes avant la présidentielle controversée de 2024. Si l’opposition cherche à imposer la cohabitation au Président Macky Sall, les partisans du pouvoir veulent consolider leurs acquis et permettre au Président de la République de terminer ses chantiers et donner un nouveau visage au Sénégal…Mais le dernier mot revient au peuple qui se rendra aux urnes. Qui de Yewwi ou de Benno aura séduit les Sénégalais après les 21 jours de campagne ?

 

« Le peuple est la seule force motrice, le créateur de l’histoire universelle », avait l’habitude de dire le Président chinois Mao Tsé-Toung. Les Sénégalais qui sont appelés ce dimanche 31 juillet à aller aux urnes pour élire 165 députés qui vont siéger durant les cinq prochaines années à l’Assemblée nationale, décideront eux-mêmes ce qui sera leur futur demain.

Quel type de Sénégal, ils veulent. Les Sénégalais vont-ils dire oui à l’opposition principalement Yewwi Askan Wi et imposer la cohabitation au Président Macky Sall qui aura décrypté le message et compris que c’en est fini de son régime avant même 2024, ou vont-ils continuer à accorder leur confiance à un régime, qui malgré toutes les critiques, a su placer le pays vers la voie de l’émergence.

En faisant son choix ce dimanche, le peuple démontre encore une fois que c’est lui qui tient réellement son destin en mains. Ce n’est ni le régime en place qui cherche toujours à imposer sa majorité, ni l’opposition qui veut imposer la cohabitation pour la première fois au Sénégal, qui décidera du sort du pays. Pendant 21 jours, l’on a vu la coalition au pouvoir, celle de l’opposition sillonner tout le territoire national, avec pour seule ambition, convaincre les électeurs.

Les électeurs savent donc que c’est à eux de décider dans les urnes. Avant même de se rendre aux urnes, les électeurs savent qu’à travers leur choix, ils vont dire non à l’aventurisme. Les Sénégalais savent ce qu’ils veulent, où ils décident d’aller. Ils veulent d’un Sénégal qui sera prospère où il fera bon de vivre demain. Les électeurs ne vont jamais accepter de laisser le Sénégal, un pays de dialogue, qui a une longue tradition démocratique, qui dispose sur son sol national de ressources naturelles aussi riches, être entre les mains d’aventuriers qui vont le conduire vers le chaos.

Le peuple aura montré à l’issue du vote de ce dimanche qu’il est mature, et milite pour la stabilité de ce pays. Ceux qui veulent que le Sénégal soit plongé vers le chaos, l’instabilité, afin qu’ils parviennent à leur funeste dessein de s’emparer du pouvoir à travers la violence, auront vite déchanté en voyant que les populations leur auront dit non. Rien ne sera plus comme avant, disait l’autre.

Demain va être un jour nouveau pour le Sénégal, et pour tous ceux qui veulent le conduire dans la voie de l’émergence. Les Sénégalais auront fini demain de tourner définitivement le dos aux aventuriers. Le dernier mot a toujours appartenu au peuple qui a décidé de voter pour la carte de la stabilité au Sénégal. Il est clair que les Sénégalais n’accepteront jamais d’envoyer majoritairement à l’Assemblée nationale, des députés qui ne se soucient guère du devenir de la nation.

Des députés qui ne sont mus que par leurs propres intérêts et ceux d’obscurs lobbys internationaux qui ont leurs regards tournés vers le Sénégal depuis que du pétrole et du gaz ont été découverts sur le territoire national. Ils ont décidé d’avoir la mainmise sur ce pétrole et ce gaz, et ne se donnent pas de limites pour atteindre leurs ambitions. Ils ont déjà leurs relais locaux qu’ils ont aidé à se lancer dans la course pour ces élections législatives. Heureusement que le peuple les a démasqués.

Jour de vérité pour les 8 listes en compétition : Qui gagnera la bataille législative ?

La campagne électorale est terminée. Ce dimanche, c’est jour de scrutin pour les sénégalais.

C’est le grand jour pour les 8 listes en compétition pour les élections législatives. Ce dimanche, la parole revient aux 7 036 466 d’électeurs sénégalais inscrits sur le fichier électoral. Ils ont l’opportunité de décider de ceux qui iront les représenter à l’Assemblée nationale.

En effet, ce sont 7013 lieux de vote qui ont été érigés au Sénégal et à l’étranger pour leur permettre d’exercer leur devoir civique. Les bureaux de vote, au nombre de 15 954, ouvrent à partir de 8 heures et fermeront à 18 heures.

A l’étranger, ce sont 308 707 électeurs qui sont inscrits. 372 lieux de vote sont érigés pour eux pour élire leurs 15 représentants à l’hémicycle. Ci-dessous la liste des coalitions en compétition.

La Commission nationale détermine le jour de la Tamxarit

GFM – (Dakar) La Commission Nationale de concertation sur le Croissant Lunaire (Conacoc), qui s’est réunie ce Vendredi 29 Juillet 2022, a déterminé le jour de la Tamxarit.

Les membres de la commission nationale se sont réunis hier vendredi pour scruter le ciel. Et après avoir recueilli toutes les informations venant de ses représentants dans les différentes localités du pays, notamment dans les foyers religieux, la commission lunaire déclare que «le croissant lunaire n’a pas été aperçu dans aucune localité du pays.» Par conséquent, «le Dimanche 31 Juillet 2022 sera le premier jour du mois lunaire Mouharram (Tamxarite) et la nuit de la Tamxarite sera célébrée le Lundi 08 Août 2022 au soir. Le Mardi sera férié.»

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Législatives du 31 juillet 2022 : à vos cartes !

Clap de fin pour la campagne électorale qui s’est achevée hier, vendredi 29 juillet, avant le scrutin des élections législatives prévu demain dimanche 31 juillet 2022. Au total, ils sont 6 219 446 électeurs appelés aux urnes. Huit listes sont en compétition pour occuper les 165 sièges de l’Assemblée nationale.

Les sénégalais aux urnes. Demain dimanche 31 juillet 2022, 6 727 759 électeurs contre 6 219 446 inscrits en 2017 sont appelés aux urnes pour les élections législatives, afin de désigner les 165 députés qui occuperont l’Assemblée nationale pour les cinq prochaines années. Selon un document de la Commission électorale nationale autonome (CENA), la majeure partie des inscrits sur le fichier électoral se trouve dans la région de Dakar. Ils sont au nombre de 1 762 501. Elle est suivie de Thiès (957 933), Diourbel (612857) et Saint-Louis (535 932). Ensuite viendront les régions de Kaolack (442 895), Louga (441 864), Fatick (338 976), Ziguinchor (296 433), Matam (293 559), Tambacounda (271 025), Kolda (250 517), Kaffrine (249 608) et Sédhiou (204 235). La région de Kédougou arrive en dernière position avec 69 363 électeurs. Ce qui montre que l’axe Dakar, Thiès et Diourbel pèse 49,6% de l’électorat national. 15 196 bureaux de vote à l’intérieur du pays répartis dans 6 641 lieux de vote sont prévus pour permettre aux Sénégalais d’accomplir leur devoir civique. Pour ces élections législatives, les communes sont au nombre de 553, soit une de plus par rapport en 2017. On note également un département de plus.

Il faut noter que les députés sont élus selon un mode qui panache scrutin proportionnel avec des listes nationales pour 53 parlementaires, et scrutin majoritaire dans les départements pour 97 autres. La diaspora dispose de 15 députés. Leur répartition se fera selon un mode de scrutin parallèle dans 54 circonscriptions électorales correspondant aux 46 départements du pays auxquels s’ajoutent 8 circonscriptions de la diaspora.

Parmi les 97 sièges pour les listes départementales, la région de Dakar en dispose 18, Thiès 10, Diourbel 9, Tambacounda 7. Les régions de Sédhiou, Saint-Louis, Kaffrine, Kolda et Louga auront chacune 6 députés. Les régions de Matam, Kaolack, Fatick et Ziguinchor remporteront 5 sièges chacune et la région de Kédougou 3 députés. Pour les 15 députés de la diaspora, ils sont répartis comme suit : 7 pour la zone Afrique, 6 pour la zone Europe, un pour l’Amérique-Océanie et un pour l’Asie-Moyen Orient. Pour ces élections législatives, huit listes sont en compétition pour occuper les 165 sièges de l’Hémicycle. En 2017, le taux de participation aux élections législatives était de 54%.

Inondations – La situation est maintenant sous contrôle

Après les fortes pluies, la semaine dernière causant des inondations à Dakar et à l’intérieur du pays, la Direction de la Prévention et de la gestion des Inondations (DGPI) avait entamé des actions de pompage qui ont commencé à porter leurs fruits si l’on se fie de Madické Cissé, chef de projet à la Direction de la Prévention et de la gestion des Inondations (Dgpi). La situation est, selon lui sous contrôle dans plusieurs sites dotés d’ouvrages et de dispositif de pompage, à Dakar, Touba, Thiès, à Kaffrine et Kaolack.

En effet, selon le chef de projet à la Direction de la Prévention et de la Gestion des Inondations (Dgpi), Madické Cissé, la situation est sous contrôle dans beaucoup de zones à Dakar et à l’intérieur du pays. «Partout où nous avons un réseau, des ouvrages, les eaux ont été évacuées au bout de 48 heures. C’est le cas de la zone de captage, aux unités 3, 6, et 9 de Keur Massar et à la zone de captage», a défendu Madické Cissé, chef de projet à la DGPI. Des quartiers flottants de Boune, le niveau de l’eau a baissé et les activités ont repris. Il est en de même à la RN1 au niveau de la station de Km 14 à la hauteur de Diacksao.

«Les travaux de l’Apix ont permis de faire un drainage vers la mer. La circulation n’a pas été perturbée comme l’année dernière», a informé Madické Cissé. Du côté de Diamaguène et Sicap Mbao, les ouvrages réalisés par l’Ageroute ont permis de préserver la route à hauteur de Patisen. «Ces nouvelles infrastructures prendront en charge une partie des de la forêt classée de Mbao», a fait savoir le chef de projet à la DGPI.

Dans le département de Rufisque, dans la zone de Bambylor, le dispositif a été renforcé pour soulager les habitants des nouvelles cités. Cette configuration est identique à celle des villes de Kaolack, Kaffrine, et à Touba. «Pour le moment, la situation est sous contrôle. Les ouvrages ont bien fonctionné. Nous avons obtenu ces résultats grâce aux ouvrages mis en place. Le dispositif a été évalué trois fois par le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam. «Nous avons mis en place depuis janvier sur instruction du Ministre de l’Eau et de l’Assainissement. C’est un dispositif mis en place sur instruction du Ministre de l’Eau et l’Assainissement», a signifié Madické Cissé.

Dans la zone de captage les activités ont repris de même que dans le département de Rufisque. Si l’on se fie à Diadji Niang, le chef de service de l’Onas à Rufisque, la circulation n’a jamais interrompue au centre de la vieille ville. À Jarga Montagne, les opérations de pompage se poursuivent. Il n’a pas été noté de débordement. «A Jarga Montagne, nous n’avons pas connu de débordement et d’inondations dans le voisinage du bassin. A la cité Ipress Alazard qui était très affectée, nous n’avons pas eu d’inondations grâce au réseau réalisé avec l’Ageroute qui permet d’évacuer les eaux vers l’autoroute à péage», a affirmé Diadji Niang, chef de service de l’Onas à Rufisque. À Colobane, à  Rufisque, l’Onas et la mairie ont mis des motopompes à la disposition des populations.

 

Détournement de la une des journaux : Papito Kara arrêté

Le facebookeur Pape Ibra Guèye ou Papito Kara, très suivi pour ses revues de presse, est dans de beaux draps. En effet, l’animateur à Leral TV a relayé des informations truquées pour former la une de certains quotidiens d’informations dont “l’Observateur” qui a porté plainte.
 
Il faut noter que se sont des  membres de la Mafia Kacc Kacci qui ont parodié ces journaux pour apporter “la vraie information”, car selon eux, certains organes de presse sont dans la  manipulation.
 
Toutefois, pour apporter son soutien aux patriotes, Papito aurait modifié le logo de l’authentique “OBS” pour “OPS” (Observatoire patriotique du Sénégal).
 
Il a été auditionné ce 28 juillet et a passé sa cinquième “nuit de noces” en garde à vue.

Abstention, hivernage, listes sans titulaires et/ou suppléants : ces autres obstacles des législatives

A quarante heures du scrutin pour les élections législatives prévues le 31 juillet prochain, deux obstacles majeurs se dressent devant cette course à la députation. Il s’agit d’un risque de faible taux de participation devant altérer la légitimité des représentants du peuple. Sur le plan organisationnel aussi, la pluie risquerait de perturber le scrutin dans plusieurs localités déjà envahies par les eaux. Sans occulter, l’absence de candidats titulaires et de suppléants sur deux listes nationales Yewwi et Benno.

Les Sénégalais sont appelés aux urnes ce dimanche 31 juillet 2022 pour élire leurs représentants à l’Assemblée nationale. Cependant, ces élections législatives restent particulières. Elles se dérouleront, en effet, sans les suppléants de la liste nationale de la coalition du parti au pouvoir «Benno Bokk Yaakaar» et sans les candidats titulaires de la liste nationale de la coalition de l’opposition «Yewwi Askan Wi». Ce qui laisse craindre un fort taux d’abstention au scrutin si d’un côté les suppléants appelleraient à un vote sanction et de l’autre côté, ils montrent leur désintérêt à se déplacer aux urnes si l’on sait que plusieurs figures de l’opposition comme Ousmane Sonko sont écartés des échéances.

En effet, la problématique du faible taux de participation est quasi-récurrente dans le pays pour la majorité des élections, en dehors de la présidentielle, pour laquelle la mobilisation électorale est souvent très forte. Le taux de participation à l’élection présidentielle de 2019, par exemple était de 66,27% alors qu’en 2017, le taux de participation aux élections législatives officiellement annoncé était de près de 54%. Si donc le taux  de participation aux législatives est bas, le Parlement serait-il vraiment représentatif des sénégalais ? Le cas échéant, la question de la légitimité des députés se poserait avec acuité. Ce qui constituerait un véritable écueil pour la quatorzième législature.

L’autre obstacle qui pèse sur les élections législatives, c’est la saison des pluies qui cause toujours d’énormes désagréments dans la capitale sénégalaise. La campagne électorale se déroule en plein hivernage. Le weekend dernier par exemple, les pluies incessantes avaient dicté leur loi dans la capitale et sa banlieue. Entre rues et routes inondées et transformées par endroits en bassins de rétention, le spectacle était désolant et le calvaire des populations et usagers énorme. Les responsables politiques ont été même contraints de reporter certaines activités de leur campagne. Quid donc d’un scrutin législatif  en cas de pluie ? Est-ce que des mesures sont prises pour une bonne organisation des élections quand on sait qu’il y a certaines écoles qui sont parfois inondées sans oublier les tentes à Touba ? Sinon, le taux de participation à ces élections législatives risque encore d’être affecté.

Au-delà de ça aussi, il faut noter que les agriculteurs du monde rural sont plus préoccupés par la campagne agricole en période hivernal. A toutes inquiétudes vient s’ajouter l’incongruité des listes sans suppléants de Benno et sans titulaires de Yewwi. A moins que ces élections soient sauvées par le caractère référendaire que les acteurs lui semblent donner dans la campagne. Parce qu’après tout ces Législatives ont une allure d’une présidentielle anticipée.

AVEC SUD

Législatives au Sénégal: la CEDEAO dépêche 40 experts pour le déroulement du scrutin

La CEDEAO déploie 40 experts pour observer le déroulement des opérations de vote des élections législatives du 31 juillet 2022.

“En vertu de son Protocole Additionnel sur la Démocratie et la Bonne Gouvernance, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) déploiera une Mission d’Observation Electorale de 40 experts pour observer le déroulement des opérations de vote dans ce pays membre de l’Organisation régionale ouest africaine d’environ 16,7 millions d’habitants”, lit-on dans le communiqué.

Cette Mission d’Observation Electorale (MOE), comme indique la note sera conduite par Kadré Désiré OUEDRAOGO, ancien Président de la Commission de la CEDEAO, de mars 2012 à juin 2016, et Ancien Premier ministre du Burkina Faso.

Dans l’exécution de son mandat, le chef de la Mission Electorale de la CEDEAO sera appuyé par “une équipe technique composée du Dr Remi AJIBEWA, Directeur des Affaires Politiques, de Francis OKE, Chef de la division Assistance électorale et de plusieurs autres cadres techniques de la Commission.”

La Mission d’observation électorale de la CEDEAO a pour rôle d’observer toutes les phases préélectorales, électorales et postélectorales du scrutin, afin de s’assurer que le processus électoral respecte les meilleures pratiques internationales.

A l’issue du scrutin, la Mission exprimera son opinion et formulera, si nécessaire, des recommandations à l’endroit des différentes parties prenantes au processus électoral. Ce sera à la faveur d’une déclaration préliminaire du chef de la mission, Kadré Désiré OUEDRAOGO, lors d’une conférence de presse prévue au lendemain du scrutin à Dakar, la capitale du Sénégal.

Quelques sept (7) millions d’électeurs sont attendus dans les 15.500 bureaux de vote pour choisir les candidats issus des huit (8) listes de candidats autorisées à prendre part aux élections législatives du 31 juillet 2022.

Evasion de Pape Mamadou Seck du pavillon spécial : les nouveaux développements de l’enquête

Rebondissement dans l’affaire de la ‘’Force spéciale’’. En effet, la dame M. C. N arrêtée dans une chambre à Darou Karim en même temps que Pape Mamadou Seck, a été arrêté depuis mercredi. ‘’Libération’’ qui donne la nouvelle dans sa parution de ce vendredi renseigne que les enquêteurs de la Sûreté urbaine (SU) lui ont demandé de rentrer chez elle tout en restant disposée à répondre à toutes les convocations des enquêteurs.

Le journal ajoute que la deuxième personne arrêtée en même temps que Pape Mamadou Seck, en revanche, reste en détention. Elle est toujours accusée d’avoir aidé ce dernier à se rendre à Darou Karim, en mettant à sa disposition une moto, et de l’avoir hébergé. Le fugitif a essayé de défendre le contraire face aux policiers.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention