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Bougane Gueye Dany : “Voter la liste Bby, c’est encourager Macky Sall à faire l’apologie de la promotion de l’homosexualité et la cause Lgbt”

Eliminé de la course aux Législatives 2022, le leader du mouvement Gueum Sa Bopp avait promis de battre campagne pour une large victoire de l’opposition à l’Assemblée, afin de barrer la route à une troisième candidature de Macky Sall à la présidentielle 2024. Une promesse qu’il a tenue, car Bougane Gueye Dany, déterminé à en découdre avec le régime de Macky Sall a décliné son programme de campagne qu’il a enclenché dès ce lundi 18 juillet.

Le leader de la coalition Gueum Sa Bopp a entamé depuis hier une tournée à l’intérieur du pays pour lancer le slogan : Non au troisième mandat (Ntm). Ce lundi, Bougane Gueye Dany était en caravane à Dakar et aujourd’hui, il sera aux départements de Pikine et Guédiawaye pour faire une caravane et des visites de proximité.

Du mercredi 20 au vendredi 22 juillet, Bougane Gueye se rendra aux départements de Keur Massar, Rufisque et dans les communes de Thiès, Mbour, Bambey et Diourbel. Du samedi 23 au lundi 25 juillet, c’est Saint-Louis, Louga, Touba et Mbacké qui recevront Bougane Gueye Dany et sa délégation. Ces derniers vont se rendre également le mardi 26 juillet à Koumpentoum, Kaolack, Toubacouta et Sokone. Du mercredi 27 au vendredi 29 juillet, Bougane a décidé d’organiser des caravanes à Tivaouane et à Dakar.

Le patron de D-Média a évoqué ses 10 raisons pour ne pas voter Benno Bokk Yakaar : «voter la liste Bby, c’est cautionner la flambée des prix des denrées, la vie chère et l’augmentation programmée des prix du carburant. Voter la liste Bby, c’est légaliser la troisième candidature anticonstitutionnelle de Macky Sall. Voter la liste, c’est renforcer la loi anti-démocratique sur le parrainage».

Aussi, ajoute-t-il, «voter la liste Bby c’est cautionner une législature de propagande du troisième mandat de Macky Sall. Voter la liste Bby, c’est encourager Macky Sall à faire l’apologie de la promotion de l’homosexualité et la cause Lgbt. Voter la liste Bby, c’est protéger les criminels financiers de tous bords. Voter la liste Bby, c’est soutenir une législature des contre-valeurs. Voter la liste Bby, c’est tuer le secteur de la pêche artisanale. Voter la liste Bby, c’est tuer l’Etat de droit. Voter la liste Bby, c’est encourager Macky Sall à continuer d’instrumentaliser la justice».

Affaire dite ‘’Force spéciale’’ : la Dic aux trousses de la ‘’veuve’’ de François Mancabou qui reste toujours introuvable

Clémentine Coly, la ‘’veuve’’ de François Mancabou dont les circonstances du décès continuent encore de faire jaser reste toujours introuvable. La Division des investigations criminelles (Dic) souffre le martyre pour la retrouver.

Selon ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce mardi, pour une audition initialement voulue, hier, c’est au détour d’un coup de fil que la Dic avait convoqué Clémentine Coly. Mais l’entourage de cette dernière a exigé une convocation en bonne et due forme

Aussi, renseigne le journal, ce lundi, les flics-enquêteurs se sont transportés à l’adresse de la ‘’veuve’’, mais cette dernière est restée introuvable et finalement injoignable. A en croire nos confrères, les flics souhaitent l’interroger sur ses déclarations à travers la fameuse vidéo, mais aussi, sur son mariage avec le défunt Mancabou

Accaparement des terres et nouvelles tentations : Ce que prépare Frank Timis au Sénégal

African agriculture inc (Aagr) une société fondée par Frank Timis qui détient 80% du capital trône sur 25.000 hectares dans le Nord du pays notamment sur les « fermes de la Teranga. »

Il s’apprête à lever en bourse 40 millions de dollars soit plus de 26 milliards Fcfa. Libération a cerné les dessous de cet accaparement des terres qui ne dit pas son nom. Et le moins que l’on puisse dire, les objectifs de Timis sont énormes.

Il a l’intention de vendre notre production de luzerne aux propriétaires de bovins africains locaux, y compris les associations d’élevage au Sénégal et en Mauritanie et dans la région de la Cedeao ainsi qu’à l’Arabie Saoudite, aux Emirats Arabes Unis et à l’Europe.

Selon les actionnaires dont la priorité est d’établir des revenus via des contrats à long terme sur les marchés établis, la société, sans revenus à ce jour, a subi des pertes nettes de plus de 4 millions de dollars.

Elle a un historique d’exploitation limité et n’a pas encore commencé ses opérations commerciales, ce qui peut rendre difficile pour les investisseurs d’évaluer les activités et les chances de succès et de viabilité.

Il ressort des opérations dévoilées par Libération, un montage complexe qui s’est déroulé au cœur des paradis fiscaux avec notamment l’intervention de plusieurs sociétés.

Des documents obtenus par Grain et The Oakland Institute, la concession en cause a été accordée pour une période de 50 ans (jusqu’en 2062) et d’après ses nouveaux propriétaires, elle vaudrait actuellement plus de 18 millions de dollars.

La seule chose que Frank Timis et Cide ont oublié de dire aux investisseurs est que depuis le 30 mai dernier, le collectif pour la défense du Ndiael qui représente 37 villages et plus de 10 000 personnes exige la restitution immédiate de leurs terres, ainsi qu’une réparation et une indemnisation pour les préjudices subis.

Covid-19sn: 31 nouveaux cas communautaires rapportés ce lundi

Au total, 31 nouveaux cas de la maladie à coronavirus ont été rapportés ce lundi par le ministre de la Santé et de l’Action sociale sur 933 tests réalisés, soit un taux positivité 3.32 %.  Ces nouvelles infections sont toutes issues de la transmission communautaire.

Le bulletin quotidien consacré à l’évolution de l’épidémie du coronavirus souligne, à ce sujet, que 25 patients suivis sont contrôlés négatifs et déclarés guéris.

La même source indique qu’aucun cas de décès n’a été enregistré au cours des dernières 24 heures.

A ce jour 86.822 cas ont été déclarés positifs dont 84.628 guéris 1 968 décès 225 sous traitement.

Le nombre total de personnes vaccines est 1 494 208 vaccinés

STATISTIQUES DU TRAVAIL : Ce que révèle le rapport 2021

La direction des statistiques du travail et des études du ministère du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions a rendu public ce jour le rapport annuel des statistiques du travail 2021.
Au titre de la situation des déclarations d’établissements et de l’emploi, le rapport fait état de 2027 déclarations d’établissements (de) reçues par les Inspections du travail et de la sécurité sociale (Itss) en 2021.
L’analyse de ces déclarations révèle 83,87% d’ouvertures d’établissements ; 6, 91% de fermetures, 4,91% de réouvertures, 3,75% de cessations d’activité, 0,49% de changement d’employeurs ou de raison sociale, 0,44% de changement de statut juridique, 0,25% de transfert et 0,10% de changement d’activité.
La répartition géographique de ces déclarations d’établissements indique une prédominance de l’Itss de Dakar avec 43,46% du total. Suivent les périmètres gérés par les Itss de Thiès (13,86% du total), de Diourbel (10,11%) et de Saint-Louis (7,55%).
Analysé en fonction de la forme juridique, il est relevé beaucoup plus d’ouvertures d’entreprises individuelles (46,78%). Les autres formes les plus représentées sont les Sarl (22,58%), Surl /Suarl (10,98%) et Gie (5,55%).
Par rapport à leur impact, les établissements ouverts et rouverts ont aussi généré 8211 emplois, essentiellement à Dakar (32,27%), Thiès (17,68%) et à Diourbel (15,28%).
La branche d’activité qui concentre plus d’emplois est celle du «Commerce de gros et de détails, réparation de véhicules automobiles et de motocycle » (30,48% des établissements ouverts 25,02 des emplois générés). Les branches « Construction » (13,89% des établissements ouverts et 20,64% des emplois générés) et « Activités de fabrication » (11,93% des établissements ouverts et 12,23% des emplois générés) se sont aussi révélées être des niches d’emplois en 2021.
S’agissant de la forme juridique, il apparaît que les créations d’emplois consécutivement aux ouvertures d’établissements sont plus portées par les « Entreprises individuelles » (29,35%), les « Sarl» (23,77%), les « Sa» (17,59%) et les Surl/Suarl 10,62%.
1.146 emplois perdus après la fermeture de 216 établissements.
Outre ces statistiques, le rapport indique également 216 fermetures d’établissements ayant occasionné 1146 emplois perdus. Les établissements fermés sont plus notés dans les branches « Commerce de gros et de détails, réparations de véhicules automobiles et de motocycles » (32,87%), « Construction » (10,65%) et « Activités de fabrication » (10,65%).
Les Inspections régionales du travail et de la sécurité sociale (Irtss) les plus impactées sont celles de Dakar (25,93%), de Thiès (16,67%) et de Saint-Louis (13,89%).
En ce qui concerne les emplois perdus, ils sont essentiellement relevés dans le « Commerce de gros et de détails, réparations de véhicules automobiles et de motocycles » (23,65%), l’« Education» (12,57%) et les « Activités extractives » (12,30%).
Les ressorts des Itss qui ont enregistré davantage de pertes d’emplois sont ceux de Thiès (34,29%), Dakar (24,17%) et Saint-Louis (11,69%).
En fonction du statut juridique, le rapport renseigne plus de fermetures d’Entreprises individuelles 39,62%, de Sarl 16,23% et de Sas/Sasu (12,39%).

 

Université Gaston Berger de Saint-Louis : La Cesl suspend son mouvement d’humeur

Les étudiants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, qui avaient entamé un mouvement d’humeur de journée sans ticket depuis quelques jours, viennent de suspendre leur mot d’ordre. Selon le communiqué parvenu à Seneweb, la  coordination des Etudiants de Saint-Louis (CESL),  suspend le mot d’ordre de 72h de journée sans tickets (jst)  renouvelable  de la commission sociale et exige l’ouverture des restaurants universitaires dans l’immédiat ».
 
Dans le document, elle demande aux autorités de faire preuve de responsabilité  et de pragmatisme.
 
Pour rappel, les étudiants avaient saccagé les restaurants universitaires suite à leur assemblée nationale, ce samedi, selon une information du Centre Régional des Œuvres universitaires de Saint-Louis (Crous).

Protection des espèces marines : L’Initiative pêche côtière, une opportunité pour le Sénégal

Le Sénégal  a une opportunité de s’approprier la composante 3 du projet de partenariat mondial de l’Initiative pêche côtière visant à développer, à mettre en œuvre un outil d’évaluation de la performance des pêches (FPAT) mise en place par  la FAO  et l’université de Washington et Blue Matter Science LTD. Notre pays doit s’en servir pour aider à la prise de décisions au sein des structures respectives.
 
Il s’agit d’outiller les acteurs à utiliser les données, les informations et les connaissances spécifiques sur la pêcherie pour déterminer le niveau précis des scores associés aux mesures. Mais aussi de  se familiariser avec le processus de notation des indicateurs, apprendre à interpréter les résultats et à identifier des informations utiles pour la gestion et  à identifier les effets causals entre les inputs et les dimensions à remplir les feuilles de calcul destinées à être téléchargées sur interface utilisateur Web (application, FPAT).
Le FPAT est adapté à l’évaluation des performances de toutes les pêcheries, qu’elles soient riches ou pauvres en données statistiques. Aussi, il a l’avantage de couvrir les dimensions sociales, économiques, écologiques et de gouvernance.
 
C’est donc un outil adapté à nos pays pour mesurer les progrès réalisés dans la gouvernance des pêches, selon Makhfousse Sarr, chargé de programme  de la FAO.
 
Selon lui, le projet Initiative pêche côtière (IPC) vise à préserver les ressources marines et à garantir la pêche côtière. Il s’agit de lui permettre de continuer à jouer son rôle crucial dans la société. Cela, en  contribuant à la sécurité alimentaire, ainsi qu’au développement économique et social des pays.
 
La pêche artisanale sénégalaise est caractérisée par des phénomènes de migration des acteurs, une diversité des communautés de pêche, une multitude de points de débarquement, d’engins de pêche, de navires, d’espèces de poisson, mais aussi par une complexité des caractéristiques géophysiques, écologiques des zones de pêche. L’état de surexploitation de la plupart des stocks halieutiques expose les communautés de pêche côtière à l’insécurité alimentaire, à des pertes de revenus, à des conflits d’usage, bref à des conditions de vie difficile.
 
En effet, l’analyse d’un secteur des pêches aussi complexe nécessite des outils holistiques qui intègrent les dimensions gouvernance, écobiologiques, socio-économiques et environnementales. Elle nécessite également des données historiques disponibles sur une période plus ou moins longue. La plupart des pays ne disposent pas de toutes les données nécessaires et issues de sources fiables pour analyser un secteur aussi complexe et aider à la prise de décisions.

Geste d’Ousmane Sonko contre la RTS : « Il fragilise les hommes et les femmes que l’on a mis à disposition de Yewwi Askan Wi », Mariam Selly Kane

Une attitude qui passe mal. Ce samedi, lors d’une caravane organisée par les leaders de la coalition de Yewwi Askan Wi à Thiès, Ousmane Sonko a effectué un geste qui continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. Le leader du Pastef a, purement et simplement, retiré le micro de la RTS du lot qui lui était tendu. Un geste qui  n’a pas manqué de faire réagir les premiers concernés avec, en première ligne, le directeur général de la chaîne, Racine Talla.
 
Ce lundi, c’est au tour de Mariame Selly Kane, conseillère du directeur général et chargée des antennes TV, de monter au créneau. Joint par Seneweb, l’agent de la RTS a, tout d’abord, rappelé la contribution qu’elle avait écrite lors des évènements de mars 2021 intitulé : « Il faut sauver le soldat RTS ». Dans ce texte, la journaliste défendait la première chaîne de télévision publique du Sénégal contre des individus qui souhaitaient l’attaquer. « C’était surtout pour demander de ne pas brûler la RTS. Parce que la RTS est un patrimoine », évoque-t-elle.
Avant d’adresser un message aux partis politiques sur leur comportement vis-à-vis de la télévision publique : « Ces formations de partis politiques aspirent toutes à prendre le pouvoir un jour. Et quand elles seront au pouvoir, elles auront besoin de la RTS. Bien sûr qu’elles ont aujourd’hui besoin de la RTS car elles le disent très bien « la RTS est un patrimoine qui appartient à tous ».
« La RTS est garante du service public de l’audiovisuel »
Bien qu’estimant que la RTS se doit d’être plus ouverte aux autres bords politiques, notamment ceux de l’opposition, Mariame Selly Kane explique que la ligne éditoriale de l’organe de presse sénégalais suit un traitement favorable du gouvernement en place et ce, depuis toujours. « Mais si vous faites une lecture de notre histoire démocratique, le parti politique qui arrive au pouvoir a toujours tendance à faire de la RTS leur chasse gardée depuis qu’il y’a eu cette ouverture médiatique dans notre pays. Il le garde pour avoir un média où ils peuvent communiquer face aux acteurs de l’opposition. C’est de bonne guerre que l’opposition se serve de la Rts comme tête de turc. Wade l’a fait contre Diouf, Sall l’a fait contre Wade et aujourd’hui c’est Sonko contre Sall. La mue de la Rts se fera lentement mais sûrement pas par et pour les agents de la Rts eux même mais par des acteurs politiques. », confie-t-elle.
 
Néanmoins, la journaliste considère que cette raison ne doit pas pousser ces acteurs politiques à avoir de tels agissements. « Cela ne justifie pas que l’on s’en prenne aux agents de la RTS qu’on s’en prenne carrément à l’institution qu’est la RTS. Parce que, encore une fois, la RTS est garante du service public de l’audiovisuel. Et cette formation politique qui arrive au pouvoir comprendra qu’elle a besoin d’avoir, un peu, la mainmise sur la programmation de la RTS », argue-t-elle.
 
« La RTS va continuer à tendre le micro à Yewwi Askan Wi »
Suite à cet événement, il serait légitime de se poser la question de savoir si la télévision continuera à couvrir les évènements de Yewwi. A cet interrogation, Mariame Selly Kane répond sans hésiter : « bien sûr que la RTS va continuer à tendre le micro à Yewwi Askan Wi parce que la RTS n’a pas décidé d’elle-même de couvrir la campagne électorale, elle le fait parce que c’est sa mission, elle le fait parce que c’est dans son ADN. Ce n’est pas parce que les acteurs politiques veulent nous humilier ou nous insulter que nous allons arrêter de travailler. Parce que nous sommes là pour tout le monde ; qu’ils aiment ce que nous faisons ou pas ».
 
« Il fragilise l’équipe qu’on lui a affectée, il fragilise l’équipe d’hommes et de femmes que l’on a mis à disposition de Yewwi Askan Wi pour les suivre dans cette campagne électorale. Si demain, on exposait ces gens et que des éléments non contrôlés leur tombaient dessus, il en porterait la responsabilité » pense-t-elle. Elle conclut en déclarant que : « C’est pour cela que sa communication n’est pas bonne puisque ça peut se retourner contre lui et affecter le capital sympathie que certains sénégalais ont de lui »

Décédée après avoir piqué une crise en plein examen : Mariama Kandé, une triste fin

A Kolda, la tristesse et la consternation enveloppent les centres d’examen du Baccalauréat. Une candidate est décédée à l’hôpital, après une crise qu’elle a piquée au centre d’examen lycée Bouna Kane. Elève en série S2 au lycée Alpha Molo Baldé de Kolda, Mariama Kandé est décédée hier plongeant tout l’établissement dans la tristesse. «Mariama  Kandé était une élève exemplaire connue de tout l’environnent de l’établissement. Elle a toujours rêvé d’aller loin dans  ses études pour devenir médecin», témoigne le Proviseur du Lycée Alpha Molo Baldé. Voix nouée par la tristesse, le Proviseur du Lycée Alpha Molo Baldé, Ibrahima Koulibaly, est dans le désarroi. «La santé de l’être humain a toujours été l’une de ses préoccupations», renchérit l’une de ses amies d’enfance, les larmes aux yeux. Un rêve qui se brise à  quelques jours de la fin des épreuves du premier tour et de la proclamation des premiers résultats du Baccalauréat. Marie Kandé, comme l’appellent affectueusement ses proches, a rendu l’âme à l’Hôpital régional de Kolda, laissant derrière elle parents, amis, proches, élèves et professeurs dans la consternation.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention