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Après l’arrestation de Maïmouna Ndour Faye, le journaliste Babacar Fall à son tour interpellé

Après la mise en garde à vue de Maïmouna Ndour Faye à la gendarmerie de Ouakam pour avoir accordé une interview à Madiambal Diagne, c’est désormais le journaliste Babacar Fall de la RFM qui se retrouve dans le collimateur de la justice.

Selon les informations relayées par sa propre radio, la police a mené une descente pour procéder à son arrestation. D’après Mohamed Alimou Bâ, animateur de l’édition spéciale, Babacar Fall a été menotté et conduit de force par les forces de l’ordre.

Le journaliste avait récemment reçu Madiambal Diagne dans son émission RFM Matin. Ce dernier, actuellement en exil en France, fait l’objet d’un mandat d’arrêt international.

Cette nouvelle interpellation intervient dans un contexte tendu pour la presse sénégalaise, où plusieurs journalistes sont inquiétés à la suite d’entretiens ou de prises de parole jugés sensibles.

Décès tragique du principal du CEM de Touba Toul, Mouhamed Niakhasso, retrouvé sans vie à son domicile

La communauté éducative de Touba Toul est plongée dans la tristesse après le décès soudain de Mouhamed Niakhasso, principal du CEM de Toubatoul, âgé de 57 ans. Son corps sans vie a été découvert ce mardi 28 octobre 2025 à son domicile, situé à Toubatoul Centre.

Selon les premières informations recueillies, l’enseignant présentait la veille des symptômes de fièvre. Il avait été pris en charge au district sanitaire de Toubatoul le lundi 27 octobre, entre 18 h et 20 h, avant de rentrer chez lui.

Ce mardi matin, ne parvenant pas à le joindre par téléphone, plusieurs de ses collègues se sont rendus à son domicile. Après avoir frappé à la porte à plusieurs reprises sans obtenir de réponse, ils ont décidé de l’enfoncer. C’est alors qu’ils ont fait la macabre découverte : Mouhamed Niakhasso gisait sans vie dans sa chambre.

Les gendarmes de la brigade territoriale de Khombole se sont aussitôt déplacés pour les constatations d’usage. Le corps a été évacué par les sapeurs-pompiers vers la morgue du centre de santé de Khombole.

Une autopsie a été ordonnée afin de déterminer les causes exactes du décès de cet éminent éducateur, très respecté dans la localité.

Interpellation de Maïmouna Ndour Faye après l’annonce d’une interview avec Madiambal Diagne

La chaîne privée 7TV a dénoncé ce mardi l’interpellation de sa directrice générale, Maïmouna Ndour Faye, par des gendarmes se présentant sans mandat.

Selon une publication sur la page Facebook officielle de la chaîne, les agents de la brigade de Ouakam sont intervenus dans les locaux de 7TV peu après l’annonce d’un entretien exclusif avec le journaliste Madiambal Diagne, actuellement en exil en France et visé par un mandat d’arrêt international.

La direction de 7TV affirme que cette arrestation s’est déroulée sans notification préalable ni explication officielle. Pour l’instant, aucune déclaration n’a été faite par les autorités judiciaires concernant les raisons de cette interpellation.

Amadou Mahtar Mbow : Le siècle d’un homme debout

l est des vies qui traversent le siècle sans jamais perdre leur éclat. Des destins qui, à eux seuls, racontent une époque, un continent, et une certaine idée de la dignité humaine. Il est des vies qui ne s’éteignent pas. Elles se déposent doucement dans la mémoire des peuples, comme une lumière qui ne faiblit jamais. Amadou Mahtar Mbow fut de celles-là ; non pas un homme de pouvoir, mais un homme de hauteur. À l’heure où la nation sénégalaise honore sa mémoire, c’est le temps de faire résonner à nouveau l’écho d’un parcours exceptionnel : celui d’Amadou Mahtar Mbow, homme d’éducation, de culture, de diplomatie et de vision.

Un être de parole et de paix, d’intelligence et de pudeur, qui traversa le siècle sans jamais cesser de croire en l’humain.

Un enfant de la Médina, un fils du monde

Dakar, 1921. Dans les ruelles encore sablonneuses de la Médina, un enfant apprend à lire entre deux langues — celle du Coran et celle des livres d’école. Son regard s’ouvre très tôt sur un monde complexe, mêlé d’Afrique et d’Occident, de prières et de récitations. De cette enfance, il gardera la douceur du rythme, la rigueur du savoir, et le goût de la nuance.
Rien encore ne dit qu’il deviendra ministre, diplomate, ou directeur général d’une grande institution mondiale.
Mais déjà, dans son silence attentif, il y a cette promesse d’écoute et de lumière. Il y a ce désir, humble et tenace, de comprendre avant de juger, de relier plutôt que d’opposer.

L’engagé sans uniformes

Engagé volontaire dans l’armée de l’air française durant la Seconde Guerre mondiale, il reçoit une première leçon de l’engagement et du service. Il a 18 ans.
Et pourtant, il choisit d’y aller. Non pas pour la gloire, mais par fidélité à une idée : celle du devoir, du courage et de la solidarité humaine.
Dans les ciels de guerre, il apprend la fragilité de la vie, mais aussi la grandeur du lien. Plus tard, il dira :
« J’ai vu des hommes de toutes couleurs risquer leur vie pour sauver celle des autres. C’est là que j’ai compris ce que voulait dire “fraternité”. » (Propos rapporté dans une interview à la RTS (2004) à propos de la Seconde Guerre mondiale).
De ce combat, il ne ramènera ni décorations ni amertume. Seulement une certitude : l’humanité n’a de sens que lorsqu’elle se partage.

L’éducateur aux mains nues

Après la guerre, il reprend le chemin des livres.
La Sorbonne, Paris, la rigueur du savoir. Mais aussi les nuits de réflexion, les débats entre jeunes Africains, les rêves d’indépendance et de dignité.
Quand il revient au Sénégal, c’est avec une mission : faire de l’école un lieu d’éveil, pas d’assimilation. Dans les villages, il s’assied à même le sol, écoute les anciens, parle aux enfants.
Il enseigne en wolof, en français, en gestes parfois — car pour lui, enseigner, c’est parler le langage du cœur.
Amadou Mahtar Mbow croyait en une éducation qui libère, pas celle qui formate. Une école qui apprenne à penser, pas à répéter. Une école qui embrasse le monde, sans renier ses racines.
Son engagement finit par le conduire aux plus hautes fonctions nationales : ministre de l’Éducation, puis ministre de la Culture et de la Jeunesse. Mais c’est sur la scène internationale qu’il portera le plus haut la voix de l’Afrique.

L’homme de l’UNESCO

Un jour, l’Afrique entre par sa voix dans les couloirs de l’UNESCO. Nous sommes en 1974. Amadou Mahtar Mbow devient le premier Africain à diriger l’organisation.
Il n’y arrive pas avec un drapeau, mais avec une idée : que la culture est une arme de paix, que l’éducation est le plus beau des droits, et que la parole du Sud mérite d’être entendue.
Sous son mandat, il porte le rêve d’un Nouvel ordre mondial de l’information et de la communication, où chaque peuple pourrait raconter sa propre histoire. Certains le trouvent trop audacieux. D’autres le disent idéaliste. Mais Mbow ne fléchit pas. Il sait qu’aucune idée n’est trop grande quand elle sert la justice.
Ses adversaires l’accuseront d’utopie, certains États quitteront l’organisation, mais Mbow ne fléchira pas. « On ne construit pas la paix en imposant le silence à ceux qu’on n’écoute jamais », répétait-il.
Sous sa direction, l’UNESCO défendra aussi la diversité culturelle, l’éducation pour tous et la sauvegarde du patrimoine mondial.

Pendant ses 13 ans à la tête de l’institution (1974-1987), il militera pour : une éducation accessible à tous, en particulier dans le Sud ; la reconnaissance de la diversité des cultures et la lutte contre un modèle unique hégémonique ; la question du « Nouvel Ordre Mondial de l’Information et de la Communication » (NOMIC), plaidant pour un rééquilibrage des flux d’information entre Nord et Sud. (RTS Officiel)
Son mandat ne fut pas exempt de controverses, mais son impact a été profond et durable.
Sa voix, calme et ferme, s’élève au-dessus du tumulte. Ses mots ne sont pas des slogans, mais des ponts. Des passerelles entre des mondes qui s’ignorent, mais que lui savait rapprocher.

L’homme derrière le titre

Son passage à l’UNESCO reste un modèle d’intégrité et de courage. Son humilité, une leçon à méditer dans un monde souvent bruyant.
Amadou Mahtar Mbow laisse derrière lui une trace lumineuse, celle des hommes qui n’ont jamais cessé de croire au pouvoir de l’esprit et de la parole. Dans les salons feutrés des Nations unies, il garde la simplicité d’un homme de Dakar. Toujours le sourire discret, le regard qui observe avant de parler. Il ne s’impose pas, il inspire. Il n’exige pas, il convainc.
Ceux qui l’ont côtoyé se souviennent d’un homme de paix, de patience et d’humour. D’un intellectuel sans arrogance, d’un sage qui préférait la nuance au dogme. « C’était un phare sans éclats, disait un collègue. Sa lumière venait de l’intérieur. » (Formule métaphorique qu’on pourrait qualifier d’apocryphe élégante — autrement dit, elle exprime une vérité poétique).

Le retour au pays, le legs d’un sage

Quand il quitte l’UNESCO, il rentre à Dakar. Non pour se reposer, mais pour transmettre. Il participe aux grandes réflexions sur l’éducation, la jeunesse, la mémoire.
Et quand, en 2021, le Sénégal célèbre son centenaire, le pays entier lui rend hommage : colloques, expositions, poèmes, chants d’écoliers.
L’Université Amadou Mahtar Mbow porte désormais son nom — juste retour d’un destin consacré à l’intelligence. Mais lui, dans sa modestie, souriait à peine. Il disait simplement :
« J’ai essayé de servir. Le reste appartient au temps. » (Reformulation poétique de sa réponse à une interview de la RTS (1999)
Même après son retrait de la vie internationale et politique, il demeure une boussole pour les éducateurs, les diplomates, les acteurs de culture et de développement.

L’éternité discrète

Amadou Mahtar Mbow s’est éteint en 2024.
Cent-trois ans de vie. Un siècle de combats paisibles. Et pourtant, ceux qui parlent de lui n’utilisent pas le passé. Ils disent : Mbow est là.
Dans les voix d’enfants qui apprennent à lire. Dans les professeurs qui refusent de céder au découragement. Dans les diplomates qui croient encore à la force du dialogue.
Son héritage ne se compte pas en institutions ni en discours.
Il se mesure à la trace invisible qu’il a laissée dans les consciences. Celle d’un homme debout, dans un monde souvent agenouillé devant la facilité.
Son centenaire n’est pas seulement une date. C’est un appel à poursuivre son combat pour une humanité éclairée, instruite, tolérante.

La voix du sage

A la question du plus grand défi de l’Afrique, il aimait à rappeler : « Il s’agit d’apprendre à se regarder avec fierté, mais sans arrogance ; à aimer son passé sans s’y enfermer ; et à bâtir son avenir avec tous les autres. »
C’est cette phrase, peut-être, qui résume tout Amadou Mahtar Mbow.
Un homme debout. Un homme de ponts, non de murs.
Un homme qui, à cent ans, incarnait encore la jeunesse du monde à qui il voulait laisser : « L’idée qu’il faut marcher longtemps, mais ne jamais marcher seul. »

C’était cela, Amadou Mahtar Mbow. Un homme qui croyait à la lenteur des choses vraies. Un homme qui savait que l’éducation est une prière. Un homme de paix, qui fit de la parole un art du lien.
Aujourd’hui, le monde qu’il a tant voulu éclairer continue sa course. Mais quelque part, dans le vent de Dakar, on pourrait presque entendre sa voix, douce et ferme, nous rappeler :
« L’avenir appartient à ceux qui savent écouter. » (Reformulation d’un propos sur le dialogue Nord-Sud qu’il développa à plusieurs reprises (UNESCO, 1978)).

Yeumbeul hier : Un tailleur tué à coups de machette

Encore une bagarre qui vire au drame. Les faits se sont passés hier, aux environs de 02h 10. Selon les témoignages recueillis sur les lieux, la victime aurait reçu, suite à une dispute, des coups de machette, de la part de son protagoniste répondant au nom de Bara DIENE, né en 1984, à Guédiawaye,  domicilié à Wakhinane Nimzat, qui avait pris la fuite après son forfait, avant de se livrer lui-même au Poste de police de Wakhiname Nimzat, d’où il a été conduit au commissariat de Yeumbeul par les éléments de la Brigade de recherches, aux environs de 03h 30.

Auparavant, le Commissariat de Yeumbeul avait été téléphoniquement informé  d’un rixe survenue au quartier Halpular de la commune de Yeumbeul Nord et qui a occasionné de graves blessures, à l’un des protagonistes. Selon nos informations, ledit service s’est rendue dare dare sur les lieux où la victime a été retrouvée assise par terre, répondant au nom de Ameth BA, âgé de 32 ans, tailleur, domicilié à Yeumbeul, qui  présentait d’apparentes blessures à la tête et perdait beaucoup de sang.

Informés,  les sapeurs-pompiers se sont transportés sur les lieux, avant de procéder à l’évacuation de la victime au centre hospitalier Dalal Jamm de Guédiawaye, aux environs de 02h 30mn, pour des soins. Sommairement interrogé, le mis en cause a reconnu avoir administré, en légitime défense, trois coups de machette, à la victime qui, selon lui, l’aurait attaqué en premier avec un couteau.

Dans un premier temps, le mis en cause avait été écroué pour coups et blessures volontaires et son arme consignée  a finalement succombé à ses blessures le même jour, hier, aux environs de 11h 45, au niveau des urgences de l’hôpital Dalal Jam. Bara Dienne est finalement visé pour meurtre. Le procureur près le Tribunal de Grande Instance de Pikine Guédiawaye a été informé et l’enquête ouverte suit son cours.

Dakar : le Gouverneur annonce le retrait des véhicules abandonnés et épaves de la voie publique

‎Le Gouverneur de la région de Dakar informe le public que la présence de véhicules en stationnement prolongé, d’épaves et d’engins abandonnés dans plusieurs rues de la capitale entrave la circulation des biens et des personnes, compromet la salubrité publique et représente un risque pour la sécurité collective.

‎Dans le cadre de la préservation de l’ordre, de la propreté et de la sécurité dans l’espace public, les propriétaires ou détenteurs de ces véhicules et objets encombrants sont invités à procéder à leur enlèvement avant le mardi 11 novembre 2025.

‎Passé ce délai, l’administration procédera à leur retrait d’office, conformément aux lois et règlements en vigueur, sans autre préavis. Le Gouverneur appelle ainsi à la responsabilité et au civisme de tous, et demande aux autorités administratives, municipales et aux forces de l’ordre de veiller à l’application stricte de cette mesure d’intérêt public.

Un Australien grugé de 10 millions FCFA par un “avocat” qui l’avait promis de sortir sa copine de prison

Le ressortissant ouest africain, Antony Samuel Ojiakor, malfaiteur réputé pour des faits d’escroquerie via des moyens informatiques, en détention préventive à Rebeuss, a été rattrapé en prison par une autre affaire d’escroquerie qui va corser ses déboires judiciaires. Selon L’OBSAntony a eu pour victime, un homme d’affaire australien qu’il va saigner de près de 10 millions de francs Cfa. Le dossier a pour soubassement une fictive procédure pénale visant à élargir de prison la compagne de ce dernier.

L’affaire a été ébruitée le 20 octobre dernier. A cette date, l’homme d’affaires Australien, Malcom Cecil Wares, a débarqué dans les locaux de la Division nationale de lutte contre le trafic de migrants et pratiques assimilées (Dnlt) et y formalise une plainte contre Antony S. Ojiakor. L’homme d’affaires australien révèle que Antony Samuel Ojiakor s’était présenté à lui comme un avocat inscrit au barreau du Sénégal. Fort de cette casquette, le faux avocat parviendra par de subtils manèges, à lui soutirer la somme globale de 8 208 095 FCfa.

Ceci, précise-t-il, contre la promesse de faire sortir de prison sa compagne dénommée Joy Heine. Son «bourreau» s’était également engagé à lui obtenir un visa d’entrée en Australie. Selon des sources proches de cette affaire, Ojiakor va mettre les petits plats dans les grands pour ferrer sa victime. Pour y parvenir, soufflent nos interlocuteurs, Antony va élaborer tout un stratagème fait de faux compte Facebook, mail…, pour appâter sa victime. Sûr de son fait, Antony va revoir ses ambitions délictuelles à la hausse. Il va, cette fois, inviter l’homme d’affaires australien au Sénégal, histoire de rencontrer la dame et de rentrer avec elle en Australie.

Tribunal de Versailles : Les premiers mots de Madiambal Diagne

La Chambre d’instruction du tribunal de Versailles a reporté au 4 novembre 2025 l’examen de la demande d’extradition de Madiambal Diagne, journaliste et homme d’affaires sénégalais. À sa sortie du tribunal, ce dernier s’est déclaré serein et a dénoncé une “accusation essentiellement politique, montée de toutes pièces”, affirmant qu’il la démontrera de manière claire et précise.”Je suis serein. C’est une accusation essentiellement politique, montée de toutes pièces, et nous allons le démontrer de façon claire et précise”, a déclaré sur la RFM.

Le patron du groupe Avenir Communication est visé par un mandat d’arrêt international émis par le Pool judiciaire financier de Dakar. Interpellé en France il y a une semaine, il a été placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de l’examen de sa demande d’extradition. Le report de l’audience permettra à sa défense de peaufiner sa stratégie pour contester les motifs de la procédure.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention