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Donald trompète : il dit vouloir “détruire totalement” la Corée du Nord

08 Aug 2015, Cleveland, Ohio, USA --- Republican 2016 U.S. presidential candidate businessman Donald Trump answers a question at the first official Republican presidential candidates debate of the 2016 U.S. presidential campaign in Cleveland, Ohio, in this file photo taken August 6, 2015. Trump, disinvited from a conservative conference and under fire because of remarks about a female debate moderator, defended his comments on Saturday while denouncing politically correct "fools." REUTERS/Brian Snyder/Files --- Image by © BRIAN SNYDER/Reuters/Corbis

Le président américain a pris la parole pour la première fois de son mandat devant l’Assemblée générale des Nations unies réunie à New York, ce mardi. Un discours dur, au cours duquel il a épinglé les “Etats voyous” et proféré des menaces à l’encontre de Pyongyang.

Danger au sommet de l’Apr – De hauts responsables sur le départ

 Après Thierno Alassane Sall et Yakham Mbaye qui ont démissionné de l’Alliance pour la République, d’autres responsables d’envergures du parti du Président Sall sont sur le point de quitter cette formation. Dans la foulée, on apprend que les candidats au départ sont de grands responsables de l’Apr qui ont été oubliés dans la répartition des postes dans le gouvernement et les autres institutions comme l’Assemblée nationale, le Conseil économique, social et environnemental ou le Haut conseil des collectivités des territoriales.
Ce n’est pas tout car si de tels départs risquent de faire mal au Président Sall, c’est que ces frustrés ne se contenteront pas de se désolidariser du boss de l’Apr, mais vont croiser le fer avec lui. Une jonction des forces des responsables frustrés est en gestation pour engager le combat politique “contre” Macky Sall.  

Paul Derreumaux : «l’Europe devrait structurer sa politique africaine»

Désormais installé à Bamako, Paul Derreumaux jette un regard prospectif sur les économies africaines. Soulevant les blocages structurels et les écueils de gouvernance, il prévoit des écarts de plus en plus marqués entre des Etats, menacés par une croissance démographique galopante et un risque terroriste fort. Entretien avec Paul Derreumaux, le fondateur de Bank of Africa (BOA).

LTA : Depuis que vous avez quitté vos fonctions de directeur exécutif de Bank of Africa Group, comment occupez-vous votre temps ?
Paul Derreumaux : J’écris des articles et je tiens un blog. Parallèlement, je suis administrateur et président de diverses sociétés. Je viens d’être nommé président d’un nouveau fonds d’investissement dédié au secteur financier, Yeelen (lumière en bambara, NDLR), basé à l’île Maurice, sponsorisé par la Banque ouest-africaine de développement (BOAD, NDLR) et dont le périmètre couvre les 8 pays de l’UEMOA.
A un niveau plus opérationnel, j’ai créé une société familiale de gestion d’actifs il y a 3 ans, Lawrence Capital, orientée vers des investissements de sociétés cotées -africaines ou non- qui investissent sur le Continent. Parallèlement, je m’implique dans l’immobilier au Mali à travers la société Lawrence immobilier et bientôt en Côte d’Ivoire, pour construire des maisons d’habitations de moyen standing. Enfin, je suis toujours administrateur de la Holding BOA et président de BOA Mali où je réside, ainsi que président de BOA France (la société financière française du groupe, NDLR).
Aujourd’hui, peut-on toujours parler de «l’économie africaine» ?
On parlera de moins en moins souvent de l’Afrique en terme global, car les différentes régions vont connaître des évolutions spécifiques avec des écarts de plus en plus marqués. La qualité des options politiques et économiques est variable tout comme la capacité d’appréhender l’avenir dans chaque pays. Il faudra engager des réformes et des mutations structurelles profondes, avec une ferme volonté de réalisations concrètes, et cela se fera aussi à des rythmes variables.
Quel regard portez-vous sur le net ralentissement de la croissance depuis 2016 ?
La croissance de 2016 a été évaluée autour de 1,5%, c’est-à-dire beaucoup moins que la moyenne mondiale, mais aussi bien moins que la croissance démographique qui représente aujourd’hui plus de 2% par an en Afrique subsaharienne. Cette situation a provoqué la baisse du niveau de vie par habitant pour la première fois depuis le début du siècle ! Les perspectives pour 2017 sont un peu plus encourageantes avec une estimation de 2,5%, favorisée par le redressement des cours des matières premières -hormis le cacao.
Par ailleurs, la situation de la Chine s’est consolidée, ce qui lui permet de rester très active dans son commerce et dans ses investissements. Il y a des signes d’amélioration, mais certains blocages perdurent comme en Côte d’Ivoire notamment qui reste un pilier de la croissance régionale et dont les tensions de 2017 devraient avoir des répercussions négatives sur cette croissance.
Précisément, comment appréhendez-vous la situation économique ivoirienne ?
Pendant plusieurs années, le plan de développement national basé sur des investissements publics destinés à redessiner le paysage ivoirien a largement favorisé la croissance. Depuis 2013, les quelque 8% de croissance moyens ont été le résultat de ces investissements qui étaient normalement l’annonce d’investissements privés. Cependant, les récentes difficultés survenues, liées à la baisse du prix du cacao, ont sévèrement touché le 1er producteur mondial, induisant des diminutions d’activité, mais aussi la baisse des recettes fiscales, avec des tensions de trésorerie. Cela a conduit l’Etat à recourir à l’endettement international avec un certain succès. Le nouvel eurobond a plutôt bien fonctionné. La dynamique devrait reprendre avec de grands projets à venir comme la construction du train urbain…
Avec la fragilisation des poids lourds sud-africain et nigérian, quelles sont les nouvelles «locomotives» africaines ?
L’économie du Continent est tirée par plusieurs pays, dont l’Ethiopie et certains pays d’Afrique de l’Ouest, mais aussi par le Kenya, même s’il faut attendre l’issue des élections… En Afrique du Nord, le Maroc et l’Egypte demeurent des éléments positifs. La stratégie marocaine  a été particulièrement impressionnante. Dès 2007, l’entrée de la BMCE dans la BOA a été l’une des premières manifestations éclatantes de la stratégie du Maroc. Le pays a pris conscience qu’il avait des intérêts forts à développer sa relation avec l’Afrique, en s’appuyant sur la stratégie de co-développement. Les investissements des entreprises marocaines se sont développés grâce à l’appui du palais royal.
En matière de système bancaire par exemple, les intérêts marocains dans les banques de l’UEMOA représentent aujourd’hui plus de 30% de l’actionnariat global. Cette stratégie s’est poursuivie au niveau politique, avec l’entrée du Maroc dans l’Union africaine et le pays prend désormais le chemin de l’intégration dans la CEDEAO.  A mon étonnement, l’accord de principe a été très rapide ! Je ne suis pas convaincu que cette intégration est totalement équilibrée en l’état actuel de chacune des parties…
Comment observez-vous les débats autour de la croissance démographique africaine ?
Je vis au Mali et je vois les conséquences in situ. On devrait passer de 17 millions à 40 millions d’ici 2050 avec une forte concentration autour de Bamako. Cela pose des problèmes en termes d’emploi, d’urbanisation, d’indépendance alimentaire et de climat, en particulier. Avec les retards actuels d’infrastructures et la lenteur des évolutions, je suis inquiet sur la façon dont les choses peuvent être gérées d’ici 2030, sans provoquer un accroissement des inégalités et une émigration importante.
Sur les 30 prochaines années, 50% de l’accroissement de la population mondiale seront concentrés en Afrique. Le débat n’est peut-être pas politiquement correct, mais le développement économique est toujours corrélé avec la réduction de l’accroissement démographique. Le ralentissement est déjà opéré en Afrique du Nord, au Maroc et en Tunisie notamment où les taux de fécondité sont proches des Européens. En revanche, au niveau subsaharien, les femmes ont 4 enfants en moyenne et jusqu’à 7 au Niger. Si le développement économique s’accélère, il sera suivi d’un ralentissement démographique «naturel». Mais pour l’instant, la croissance par habitant varie entre 1% et 3% par an, ce qui reste encore insuffisant.
Que vous inspire la stratégie africaine d’Emmanuel Macron ?
Je suis attentif, car il semble montrer un intérêt fort à une politique africaine cohérente et je pense qu’il est entouré de personnes compétentes. Il soutient activement l’initiative du G5, ce qui me paraît être un élément positif, car la lutte contre le terrorisme se place au niveau régional, tout en donnant un rôle important aux pays du Sahel.
Cependant, on a demandé aux pays du G5 de faire un premier effort financier qui n’a pas encore été réalisé…Ensuite, la France doit être suivie par l’Europe, mais les avancées restent timides. Au Mali, vous avez la force Barkhane et la Minusma. Toutefois, l’UE a été peu active. Elle a formé quelques contingents de l’armée malienne, mais nous avons besoin d’un effort plus important, car le risque s’étend au Mali et se développe dans les pays voisins. Concernant l’axe du développement plébiscité par Emmanuel Macron, nous sommes encore en début de réflexion, notamment en matière de politique migratoire.
Personnellement, je ne crois pas que les hotspots récemment proposés représentent une solution efficace, car il sera difficile de différencier les migrants économiques des demandeurs d’asile…
Dans quelle mesure la politique européenne peut-elle développer son efficience ?
L’UE débloque des investissements considérables qui ne sont pas tous des plus efficaces, car les experts n’ont pas nécessairement l’expérience ou la connaissance des pays. Il serait intéressant de revoir les modalités de décisions, d’utilisation et de mise en œuvre des aides au développement. On a besoin de la force institutionnelle, mais elle ne repose pas seulement sur l’énumération de la liste des investissements de milliards d’euros injectés dans les économies africaines, mais aussi dans la capacité de les mettre en œuvre. Les experts français qui connaissent le terrain ne sont pas systématiquement sollicités, ce qui entraîne bien souvent des effets d’annonce qui ne résolvent pas les problèmes sur place…L’Europe devrait structurer sa politique africaine, mais le débat concerne avant tout des aspects de gouvernance européenne qui dépassent l’Afrique, et cela prendra du temps.

http://afrique.latribune.fr/think-tank/entretiens/2017-09-12/paul-derreumaux-l-europe-devrait-structurer-sa-politique-africaine-749779.html

Début de législature nouvelle et vices de forme constatés

«La 13ème n’existera jamais, n’a jamais existé et ne peut pas exister…»

Sous le couvert de son immunité parlementaire, le prisonnier politique Khalifa Ababacar Sall (homonyme célèbre) n’a pas pu se libérer de ses geôliers de la Mac de Rebeuss pour répondre à l’appel des députés nouvellement élus à l’hémicycle, en ce jour de rentrée parlementaire, jeudi dernier. Il n’a pas pris part au vote organisé pour l’élection du président de l’Assemblée nationale et de son bureau dont il pouvait aussi être membre en tant qu’arrivé bon troisième derrière la coalition gagnante Waatù Senegaal,

Le Maire de Dakar, a, pour ainsi dire, été choisi sacrifice humain suprême d’Ousmane Tanor Dieng à Macky Sall, pour se maintenir dans les bonnes grâces du Président de la République, même au prix de l’éclatement du Parti socialiste en mille morceaux. Un objectif qui rencontre l’assentiment de Macky Sall, si ce n’est le consentement de Tanor qui ne l’exprime pas mieux, quand le même Macky Sall s’est fixé comme objectif intermédiaire vers sa réélection en 2019 de réduire son opposition républicaine à sa plus simple expression. De la pâte mâchée quoi !

Mais revenons sur le cas Kas (Khalifa Ababacar Sall). À défaut d’avoir bénéficié d’une Lp (Liberté provisoire), Khalifa Sall a adressé une lettre à Monsieur le président siégeant (Abdoulaye Makhtar Diop), subsidiairement au président en voie d’élection (Moustapha Niasse) qui aurait dû être lue en audition publique à tous les députés. Mais vous vous l’imaginez facilement qu’on n’allait pas lui faire ce cadeau en lui laissant ravir la vedette à tout le monde.

Aussi, est-ce avec célérité que la question de procédure posée par Cheikh Bamba Dièye a été expressément évacuée par le président de séance qui n’a laissé à son homologue député qu’une petite place pour installer la polémique à sa place majoritaire. On l’a vu, sans aucun état d’âme pour ledit prisonnier politique, le député Abdou Mbow s’est proposé répondeur automatique de Cheikh Bamba Dièye et a fini de l’achever en tordant le cou au règlement intérieur qui stipule qu’aucun autre sujet de débat n’a lieu à l’ouverture de la session que celui qui les concerne : à savoir l’élection d’un président et la constitution de son bureau aux membres également élus et privilégiés sur leurs pairs en retombées et indemnités parlementaires. La séance ne pouvait être légalement interrompue que pour des questions de procédure, a-t-on dit, pour clore le débat sans examiner les lettres de Wade et de Khalifa Sall.

Kas n’étant ni en voyage, ni empêché, ni malade, mais privé de façon notoire par le ministère public sur rapport de l’Ige relativement à la caisse d’avance de la régie financière de la Mairie de Dakar. Ce que tout le monde sait. Depuis le 7 mars, ce socialiste bon teint qui ne va p abs tourner le dos au Ps, n’a plus revu sa famille, ni assisté aux funérailles de son oncle et ex beau père ou organisé celles de son grand frère Bouya Sall, tous deux rappelés à Dieu pendant son absence dans la vie publique.

Cela n’a pas suffi, que malgré qu’il lui soit permis de figurer sur une liste électorale, il n’a pas eu le droit de voter en dehors ou dans sa cellule comme un autre à son ambassade. Bien qu’il aie été élu par sa présence comme tête de liste de la deuxième grande coalition de l’opposition légale et républicaine sénégalaise à travers Mankoo taxawu Senegaal, ce député-là n’a pas été jugé bon à libérer pour devoir républicain, convoqué qu’il a été par décret présidentiel pour l’ouverture de session de la 13ème législature, malgré ses 388.188 voix et 7 députés dont lui-même.

Ce n’est pas tout, on a même vu, ce jeudi 14 septembre, Abdoulaye Wilane supplanter Maître Wade dans l’ordre alphabétique lors de l’appel, en dehors du manque d’enthousiasme signalé des uns et des autres à répondre «présent» -Labbaïka- avec la fibre patriotique nécessaire à la préséance de l’évènement du jour.

Bref, passons-en par-dessous jambe où une pile de vices de forme est à noter lors de cette rentrée parlementaire, comme le fait de lire un discours fleuve par celui qui présidait la séance et qui n’y avait pas droit. Comme aussi cette triste nouvelle du rappel à Dieu de Djibo Leyti Kâ, qui est tombée en plein déroulement des débats sur la justification de l’absence de Khalifa Sall ou le présentiel indiqué du suppléant direct de Wade en Toussaint Manga.

Rien de tout cela n’a permis à nos députés fraîchement élus de la majorité et de l’opposition de demander ne serait-ce même une suspension de séance pour le recueillement à défaut d’une interruption jusqu’à nouvelle date aux frais de la République. Mais non, cette pensée économiciste en arrière plan leur a indiqué de poursuivre sans un minute de prière significative qui aurait été appréciée par les populations qui suivaient cette séance solennelle à partir de leurs postes téléviseurs sur la Rts –qui a elle aussi empêché d’avoir le signal ou en tout cas l’a ensuite coupé aux télés qui l’avaient reçu. Au mépris des 3.337.494 votants sur les 6.219.446 électeurs inscrits.

On se rend donc compte que dans cette treizième législature débutant sans Khalifa Sall et «boy Wade» (Dr Toussaint Manga), c’est la gérontocratie (Niasse, Tanor, Dansokho etc.) qui s’accommode d’une certaine jeunesse (Macky Sall, Abdou Mbow and Co) pour exclure d’autres jeunes (Rimka Wade, Khalifa Sall et Bamba Fall & Co). À ce jeu là, c’est la République qu’on est en train de brûler au lieu de réussir la transition générationnelle dans les espaces publics comme l’université et l’hémicycle. À qui va profiter ce crime si ce n’est déjà vu qui est l’auteur de ce crime et à qui il va bénéficier ? Les frères Sall veulent mettre la main sur les ressources du Sénégal. Ce qu’ils ont réussi en partie. Mais de grâce, qu’ils nous laissent à notre intelligence pour inventer d’autres ressources, d’autres formes de participation au lieu de commettre une insulte permanente à notre intelligence avec ces sales affaires Assane Diouf, Oulèye Mané, Amy Collé Dieng, Penda Bâ, Kémi Séba, et on en passe, pour dénoncer leur dernier acte provocateur en date visant à susciter le débat et la compassion autour, dans la foulée de la sanction et du déni de justice : c’est le bus du Dakar Dem Dikk brûlé qui révèle la teneur de cette tactique macabre dont les élections législatives et plus d’un quart de millions de Sénégalais qui n’ont pas reçu leurs nouvelles cartes biométriques d’identification nationale – toujours en souffrance  par ailleurs- en ont fait les frais. On en juge par cette affaire Khalifa Sall, empêché de funérailles, de vote, de présence parlementaire et de reconnaissance. Pourquoi ? Parce qu’il est un potentiel candidat et dangereux édile de la ville de Dakar, la citadelle imprenable à l’assaut de laquelle on s’essaye toujours et encore. Mimi Touré y a cassé ses dents et Amadou Bâ va s’en mordre les doigts d’ici 2019 si le cas Khalifa Sall n’est pas définitivement réglé. Vu comme c’est parti, ce n’est pas demain la veille que ce Monsieur va bénéficier de largesses de la part des pouvoirs publics de son pays dont il participe en tant qu’édile de la capitale. Mais est-ce une raison suffisante de «tuer !*» à petit feu le fils et la mère ? Le contentieux post électoral ne voit le jour que maintenant. En cela, nous osons dire que la 13ème n’existera jamais, n’a jamais existé et ne peut pas exister….

Au demeurant la 13ème Législature qui a débuté ce jeudi 14 septembre compte 14 partis élus, dont dix avec un seul député. La majorité sortante (réélue), avec ses 49,48% (1.637.761 voix), s’arroge 125 députés contre 19 pour la coalition gagnante Waatù Senegaal (549 551 voix), 7 pour la coalition Manko Taxawu Senegaal (388188 voix), 4 pour le Parti pour l’unité et le rassemblement (Pur- 155407 voix) et 15 les députés de la Diaspora qui les complètent à 165. Voici les habits neufs de la 13ème législature. Une Assemblée nationale légitimée au suffrage universel par 54% de l’électorat sur plus de six millions deux cents Sénégalais inscrits, appelés aux urnes dans 14.000 bureaux de vote disséminés sur l’ensemble des 45 départements et dans 8 circonscriptions ouvertes à l’étranger.

C’est dans ce contexte que la nouvelle de la disparition de Djibo Leyti Kâ (un des leurs dans la 12èmee Législature) apparaît comme un signe de Dieu à l’adresse des politiciens qui ne font que se chamailler et s’insulter sans ménagement. Cette volonté divine remarquée, après les disparitions d’Habib Thiam et de Moustapha Cissé vers la Korité, est en soi une leçon de consolation pour le peuple, salué par ce bon pied de nez du défunt à son camarade boxeur sur le même ring Ps d’alors. Aujourd’hui c’est Tanor, le Dauphin d’hier, et Khalifa Sall, l’ex nouveau Dauphin, qui sont montés sur le ring sans porter de gants. Avec le même punch qu’hier, on n’attendrait que du panache politique entre tous les deux d’ici le prochain scrutin présidentiel.

Par les grévistes de la faim en danger pour la cause de sa libération, les citoyens honnêtes sont saisis par l’effroi et le doute constant quant aux bonnes intentions des uns et des autres élus. Envers eux-mêmes d’abord, car ils n’ont pas été capables de rendre un dernier hommage mérité en séance publique officielle au partant, le rappelé de Dieu, petit berger peul qui avait accepté d’être le directeur de cabinet du Président Senghor, et n’a plus quitté ses fonctions prégnantes au sein de l’Exécutif. Comme Niasse du reste. À la différence d’un Omar Blondin Diop, qui lui a préféré cracher sur ce poste et à la figure du blanc colonial : feu Jean Colin.

Mort s’ensuivit à Gorée le 11 Mai 1973. À la gloire de Senghor (Léopold) toujours !

Sans réparation honnête à sa famille (bannir le mensonge d’État et rétablir la vérité historique), il y aura toujours loin de la coupe aux lèvres ici au Sénégal. Pas ailleurs !

 *Le Neveu consanguin

Khaly Moustapha LEYE, the first (Ben Magaye)

Courriel : cradif.bgom@hotmail.com,

 

Tuée par Kader à l’auberge Golden Sun… Qui était Awa Ndiaye ?

Le meurtre d’Awa Ndiaye, la trentaine, qui n’a pas encore révélé tous ses secrets, a été commis par Kader alias Aduna. Sur les traces de la victime, Actunet.net a appris qu’Awa Ndiaye exerçait parallèlement à son boulot de péripatéticienne, celui de vendeuse d’encens. C’est une habituée de certains bars des Parcelles et de Grand yoff où elle passait proposer ses boîtes d’encens, mais également ses charmes. A propos de son meurtre survenu lundi  vers 17 heures à l’auberge Golden Sun, sis sur les deux voies de Liberté 6, l’auteur se nomme Kader.
C’est un repris de justice qui a été récemment élargi de prison mais qui est également présenté comme un copain d’Awa Ndiaye. Cette dernière est aussi une habituée des milieux interlopes et a été présentée comme une dame qui a un goût prisé pour l’argent. La police de Grand yoff qui a hérité de cette affaire est aux trousses de Kader. Tout compte fait, pour ce meurtre, ça sent un parfum de règlement de compte. Toujours avec ce crime, le Chinois propriétaire du Golden Sun et le gérant sont convoqués au commissariat de Grand Yoff pour audition.

Lutte contre les longues détentions – Les imams s’inquiètent …

Les imams s’inquiètent sur les cas des détenus. L’Association Asred qui œuvre pour le soutien et la réinsertion sociale des détenus a saisi l’occasion de l’anniversaire du décès du détenu Ibrahima Mbow, pour prévenir en lançant une pétition.

Cela, pour mettre en garde contre les longues détentions des détenus. En effet, les cas concernent les «détenus présumés innocents, incarcérés pour délit liés au terrorisme» et pour certains qui sont emprisonnés depuis 2010, donc plus de 7 ans.

Autant de raisons qui poussent l’Asred à vouloir sensibiliser l’opinion nationale et internationale. Le cas de l’imam Diacko et de l’imam Ndao sont les plus évidents. Ainsi, cette association compte envoyer une correspondance à toutes les représentations diplomatiques accréditées au Sénégal, ainsi qu’à tous les organismes internationaux de défense des droits de l’homme, à la Cour de la justice de la Cedeao, en vue de mettre un terme à ces longues détentions préventives et arbitraires.

Uemoa : les recettes des Etats membres se sont élevées à…

Tenant compte des évolutions sus-indiquées, souligne le Rapport sur la politique monétaire  de l’Uemoa, le déficit global, sur la base des engagements, y compris les dons, est ressorti à 766,5 milliards soit 2,4% du PIB à fin juin 2017 contre 678,1 milliards soit 2,3% du PIB un an plus tôt.

Sur la base caisse, ce déficit est de 914,3 milliards contre 785,8 milliards un an plus tôt. Au plan interne, le financement de ce déficit a été assuré en grande partie à travers les émissions de titres publics sur le marché financier régional.

Selon la même source, on apprend que les données disponibles sur l’exécution des budgets des Etats membres de l’UEMOA, au cours du premier semestre de l’année 2017, laissent apparaître globalement, en termes absolus, un accroissement plus important des dépenses par rapport aux recettes, induisant une aggravation du déficit global.

Teuss #Femme brulée

Khalifa Sall devant la Cour suprême ce jeudi 21

Les avocats du Maire de Dakar seront devant la Cour suprême ce jeudi 21 septembre pour défendre leur pourvoi, a fait savoir le quotidien l’As, lu par Actunet.net

En effet, la Cour d’appel avait rejeté la demande de libération d’office déposée par les avocats de Khalifa Sall. Ces derniers, déterminés à tirer d’affaire leur client, ont déposé un recours auprès de la Cour suprême.

L’affaire sera évoquée jeudi prochain. Mais, il n’y aura pas de miracle, le pourvoi va être encore rejeté, estime-t-on.

Khalifa Sall – La demande faite à Tanor

Même s’ils ne parlent plus le même langage, entre socialistes, l’on cherche à décanter une situation malheureuse qui frappe depuis près de dix mois le maire de Dakar. En effet, Khalifa Sall, placé sous mandat de dépôt dans le dossier lié à la gestion de la caisse d’avances de sa municipalité, est en séjour forcé à l’hôtel zéro étoile de Rebeuss.

Une situation malencontreuse et assez déplorable qui touche le premier magistrat de la capitale à un moment où nombre d’observateurs, politiques et acteurs de la société civile clament qu’il peut et devrait normalement pouvoir bénéficier d’une liberté provisoire. Aujourd’hui qu’il est élu député, le débat s’emballe poussant nombre de voix autorisées à défendre qu’il doit siéger, surtout qu’il bénéficie d’une immunité parlementaire.

L’autre vérité réside dans le fait qu’il existe la jurisprudence Barthélemy Dias. L’on se souvient qu’après l’attaque de sa mairie en décembre 2011 – marquée par la mort de Ndiaga Diouf – M. Dias en séjour en prison avait été libéré après son élection en tant que député. De quoi faire dire à des spécialistes en la matière que le maire de Dakar n’a plus sa place en prison. D’ailleurs, il faut le rappeler, si sa sortie était fortement attendue lors de l’installation de la treizième législature, force est de reconnaître qu’il a été l’absent le plus présent.

Ce qui a peut-être créé une autre prise de position. Et pour cause, récemment, c’est au tour d’Abdoulaye Wilane, maire de Kaffrine et porte-parole du Parti socialiste (Ps) à monter au créneau pour réclamer la libération de Khalifa Sall. Une sortie qui n’est pas tombée dans l’oreille de sourds surtout qu’il a donné le «courage» à d’autres de ses camarades proches du Secrétaire général des «Verts» de Colobane à décider de réagir. C’est ce qu’affirme à Actunet un haut responsable de la plus ancienne formation politique du Sénégal, qui indique, qu’ils ont la ferme intention de demander à Ousmane Tanor Dieng de s’impliquer dans ce dossier pour aider à la libération de Khalifa Sall.

«Il est vrai que nous avons des problèmes entre nous. Mais, nous sommes des socialistes qui avons partagé beaucoup et trop de choses. Nous n’avons pas le droit de tout remettre en cause parce que tout simplement certains sont d’accord avec le compagnonnage dans le cadre de Bennoo Bokk Yaakaar et d’autres pour notre sortie. C’est cela la vitalité d’un parti. Donc, mettons de côté nos divergences et aidons notre camarade Khalifa Sall à sortir de prison», dit-il. Non sans faire savoir qu’ils «vont incessamment rencontrer Ousmane Tanor Dieng pour lui dire de faire quelque chose afin que le maire de Dakar, militant et responsable au Ps, puisse recouvrer la liberté très vite.» Si une telle entreprise aboutit, cela pourrait être un dégel entre les deux tendances du camp socialiste.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention