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Magal de Touba 2017 – Tout se règle ce mercredi

La gouvernance de la région de Diourbel va abriter ce mercredi 20 septembre 2017 un comité régional de développement en perspective du Grand Magal de Touba qui aura lieu au mois de novembre prochain. Ce Crd, généralement présidé par Serigne Bass Abdou Khadre Mbacké et conduit par le gouverneur Mouhamadou Moustapha Ndao, sera l’occasion, encore une fois, de lister les doléances et sérier les priorités.

A cet effet, la rencontre se tiendra dans un contexte particulier, la cité religieuse étant confrontée à un problème aigu d’eau. Quatre forages, dont celui qui sert l’hôpital Matlaboul Fawzeini, sont tombés en panne. Leurs pompes ont été déclarées défectueuses ces dernières semaines. Une situation que l’État, selon nos sources, tente de résoudre.

Le Crd se tient aussi dans un contexte où le ministère de l’Intérieur a changé de patron. Aly Ngouille Ndiaye a, en effet, remplacé Abdoulaye Daouda Diallo à la suite du dernier remaniement.

Aliou Sall et Cissé Lô se donnent en spectacle

Le journal Direct Infos, lu par Actunet.net, qui rapporte l’incident, raconte que lors de la passation de service au ministère de l’Intérieur, le Président du Parlement de la Communauté économiques des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) s’est tristement distingué.
Le canard souligne qu’en le saluant, le maire de Guédiawaye a dit au vice-président : «bonjour, mon ex-grand frère».

Suffisant pour irriter Moustapha Cissé Lô qui est monté sur ses grands chevaux pour se défouler sur le petit-frère du Président Macky Sall en des termes peu recommandables.
Mais, pour ne pas envenimer la situation et surtout pour mettre à l’aise les convives, Aliou Sall, a choisi de l’ignorer «royalement».

C’est dire que la guerre fratricide a de beaux jours au sein de l’Alliance pour la République (APR). Le week-end dernier, Yakham Mbaye a réglé publiquement ses comptes avec Abdou Mbow, Maodo Malick Mbaye, entre autres membres de la mouvance présidentielle.

Première difficulté pour Ababacar Sedikh Bèye

Le collectif des transporteurs de conteneurs agréés du Sénégal sont en grève depuis vendredi 15 septembre 2017 et donnent un ultimatum ce mardi à 18 heures aux autorités. Leur principale doléance est l’exigence de la modification de l’arrêté interministériel n°6365 du 10 juin 2009 relatif au transport routier et à la livraison des conteneurs qui, selon eux, favorise les compagnies étrangères au détriment de celle sénégalaises.

«La situation est critique pour les sociétés qui commencent à manquer de matières premières mais aussi pour les commerçants qui peinent à recevoir leur marchandise. Pourtant, devant cette situation très grave pour l’économie du pays, l’Etat reste silencieux. Aucune réaction. Alors, d’ici 18 h ce mardi, si les autorités ne réagissent pas nous allons bloquer complètement le port avec zéro conteneur livré le mercredi et le jeudi», a informé une source.

«Nous demandons la modification de l’arrêté interministériel n° 6365 du 10 juin 2009 relatif au transport routier et à la livraison des conteneurs. Cet arrêté favorise les compagnies étrangères au détriment des sociétés sénégalaises», a-t-elle exigé.

Rappelons que le premier Conseil des ministres du second gouvernement de Mahammed Boun Abdallah Dionne a été marqué par la nomination de l’ingénieur statisticien économiste Ababacar Sedikh Bèye au poste de directeur général du Port autonome de Dakar (PAD) et de Cheikh Tidiane Diop à la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor.

Ancien directeur général de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie, Aboubacar Sedikh Bèye a remplacé Cheikh Kanté, nommé ministre auprès du président de la République en charge du Plan Sénégal émergent (PSE), la nouvelle stratégie de développement du Sénégal.

Avec Leral

Gandiaye : un candidat échoue au Bac et se suicide

L’élève candidat au baccalauréat a joint l’acte à la parole. Un candidat au bac, qui avait menacé de se donner la mort en cas d’échec, s’est suicidé dimanche à Gandiaye, dans le département de Fatick.

Selon Sud Fm, qui a donné l’information dans son édition de 6h30 ce mardi, l’élève âgé de 18 ans, s’est pendu à un arbre chez lui.

Il a échoué au bac à deux reprises. Depuis son deuxième ratage, ses parents le surveillaient comme du lait sur le feu. En vain.

Il sodomise ses Talibés et se déclare impuissant (Mbao)

Serigne Assane Dème, maitre coranique est secoué par une affaire qui risque de ternir son image et sa réputation à jamais. Ill est accusé d’avoir abusé de plusieurs de ses disciples.

En effet, le journal Vox Populi, lu par Actunet.net, les faits se sont déroulés à Petit Mbao le 26 août dernier.

C’est Assane Diagne, père de la victime qui a porté plainte contre Serigne Assane Dème après avoir constaté des blessures sur le visage de son fils, élève au daara de ce dernier.

Interpellé sur l’origine de ses blessures, le fils dit être tombé. Mais plus tard, le père de la victime entend de la bouche de son fils en sanglot qu’il a mal et la cause de sa blessure est qu’il est souvent victime d’abus sexuel à plusieurs reprises de la part de son maitre coranique.

L’enfant a déclaré que depuis deux ans le maitre coranique le sodomise. Les faits se déroulaient, selon la victime dans la chambre où le maitre coranique gardait ses livres.

Il a été conduit auprès d’un médecin qui, après consultation, lui a délivré un certificat médical montrant des blessures anciennes.

Le journal révèle qu’une enquête de voisinage a révélé que d’autres enfants âgés entre 8 à 13 ans ont été victimes d’abus sexuels de la part de Serigne Assane Dème. Devant les enquêteurs ces derniers ont déclaré que le marabout brandissait souvent de menace en leur disant qu’il va user de ses pouvoirs mystiques pour les transformer en margouillat, s’ils n’acceptaient pas de se plier à sa volonté.

Des déclarations que le maitre coranique a battues en brèche à la barre. Selon lui, cela fait 15 ans qu’il suit un traitement traditionnel car il est impuissant.

Infanticide – “Je devais me débarrasser de mon bébé…”

Dans l’enceinte surmontée de fils barbelés de la maison d’arrêt et de correction de Thiès, au Sénégal, la sécurité est de mise. Les gardes surveillent les moindres faits et gestes des visiteurs. Dans cette prison séjournent 40 femmes condamnées ou en détention préventive. Parmi elles, plus de 20 % sont détenues pour infanticide. Au Sénégal, l’infanticide est puni de cinq à dix ans de prison.

Selon la dernière enquête sur la situation économique et sociale du pays effectuée par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) en 2012, les cas d’infanticides représentaient 25 % des affaires jugées aux assises (devenues entre-temps chambres criminelles). La même année, la direction de l’administration pénitentiaire avait recensé 29 femmes détenues pour infanticide.

« Malheureusement dans notre société, la seule réponse apportée à leur acte, c’est la prison », déplore le psychologue Serigne Mor Mbaye, qui suit des femmes tombées enceintes à la suite d’un viol ou d’un inceste. Des circonstances qui, alors que l’avortement est interdit au Sénégal tant que la vie de la mère n’est pas en danger, peuvent mener à l’infanticide.

« Au moment d’ôter la vie à leur bébé, elles étaient dans un état de confusion mentale. C’est pourquoi elles vous disent qu’elles ne l’ont pas tué », poursuit M. Mbaye. Selon lui, même condamnées, ces femmes doivent bénéficier d’un suivi psychologique pour les aider à sortir de cet état dépressif post-traumatique.

« Je lui ai même donné le sein »

De fait, presque toutes celles qui ont accepté de témoigner nient avoir tué leur bébé. Ainsi de cette habitante de Thienaba – haut lieu de la confrérie tidjane, dans la région de Thiès –, âgée de 34 ans, femme d’émigré et en détention préventive depuis un an et huit mois. La main sur la hanche, elle regarde son interlocuteur droit dans les yeux : « Si j’avais voulu me débarrasser de la chose, je l’aurais fait dès les premiers mois de grossesse. J’ai quatre enfants, je sais comment on peut avorter sans risques. »

Idem pour cette habitante de Mbour, âgée d’une quarantaine d’années, qui clame son innocence après avoir été condamnée à cinq ans de prison : « Mon enfant était vivant à la naissance. Je lui ai même donné le sein. Sauf qu’il était très fatigué et bougeait peu. Je l’ai mis au lit pour profiter de quelques minutes de sommeil et je me suis rendu compte de sa mort à mon réveil. J’ai alerté un voisin, qui m’a conseillé de l’enterrer dans la maison. »

 

Mais du point de vue de la justice, des indices plaident en leur défaveur. Ainsi, aucune femme parmi celles rencontrées n’a déclaré sa grossesse à l’entourage familial. Aucune non plus n’est allée à l’hôpital pour des visites post-natales. Et, au moment de l’accouchement, personne ne les a assistées, car elles ne sont pas allées dans des structures sanitaires. En outre, pour chaque affaire, une autopsie permet de déterminer les circonstances du décès du nouveau-né.

Mais au-delà des décisions de justice, au Sénégal, l’infanticide porte le nom d’une personne, d’une maison, d’un quartier ou d’un village, et dit les tourments d’une société écrasée par la peur de la honte. Brisés, les silences révèlent, derrière le rideau de pudeur, des drames.

« Je préfère la mort à la honte »

Un bâtiment en construction à Keur Mbaye Fall, en banlieue de Dakar, abrite trois familles différentes et une nuée d’enfants. Comme le dit l’adage Wolof, « le lit du pauvre est fertile ». La famille de Khary, une ancienne détenue qui hume l’air de la liberté depuis cinq mois, occupe deux chambres. Emprisonnée pendant cinq à la maison d’arrêt et de correction de Liberté 6, à Dakar, pour infanticide, Khary cherche difficilement une nouvelle vie.

Son visage est fermé. Il est difficile de lui arracher un sourire. Et lorsqu’une atmosphère de confiance commence enfin à s’installer, sa grand-mère surgit tout à coup et l’agonit d’injures. « Ce que tu as fait ne suffit pas encore ? Moi je préfère la mort à la honte », s’indigne celle-ci, fâchée que Khary se confie à des étrangers. L’ancienne détenue riposte : « Fiche-moi la paix et sors de la chambre, tu n’as rien à faire ici ! » Violée par un marchand ambulant, elle avait décidé de se débarrasser de ce qu’elle appelle « l’enfant de la honte ». Une honte qui, même au sein de sa famille, continue de la poursuivre.

C’est cette même honte qui a poussé Safiétou, célibataire de 45 ans et mère de sept enfants, à se cacher dans la forêt de Keur Balla Lô, une localité du département de Mbour, après sa libération. Sans eau ni électricité, cette ancienne détenue, graciée pour bon comportement après trois ans de détention, tente de s’inventer une nouvelle vie dans l’aviculture.

« Les gens sont méchants »

Retour à la prison de Thiès. En détention préventive depuis un an et huit mois, Mariama* revient sur le drame qui a bouleversé sa vie. « Je n’ai pas peur pour moi mais pour mes enfants, qui vont payer pour des erreurs qu’ils n’ont pas commises », se désole-t-elle. Mariée à un émigré et mère de quatre enfants, Mariama est tombée enceinte en l’absence de son conjoint. « J’ai certes caché la grossesse, mais je n’ai pas tué l’enfant », clame-t-elle. Mais son dossier, archivé aux chambres criminelles du tribunal régional de Thiès, semble prouver le contraire. Le procès-verbal est accompagné d’une photo d’un corps de bébé extirpé d’une fosse septique.

Même modus operandi pour Aminata, une adolescente originaire d’un village de pêcheurs de la Petite Côte, au sud de Dakar, qui a tenté de se débarrasser d’un bébé né hors mariage. Avec la complicité de son petit ami, elle a jeté sa fille dans une fosse septique, mais son accouchement a été suivi de complications. « La direction du lycée m’a conduit à l’hôpital, où le personnel a découvert que j’avais accouché et m’a demandé où était le bébé. Comme je n’ai pas voulu coopérer, ils ont appelé la police, qui a retrouvé ma fille vivante après vingt-quatre heures dans la fosse septique. »

Emprisonnée pour une peine de cinq ans, Aminata laisse derrière elle une mère anéantie par le choc et qui peine à s’en remettre. « Ce que j’ai vécu ces quatre ans, Dieu seul le sait. En emprisonnant ma fille, c’est comme si on m’avait arraché une partie de moi. Aminata était l’espoir de ma famille », confie cette femme qui a suspendu toutes ses activités pour s’occuper du bébé qui, aujourd’hui, a 4 ans.

La jeune survivante ignore encore qu’elle a été en contact avec la mort. « Quand je la vois grandir, j’ai peur. Les gens sont méchants. Ils savent garder les bons souvenirs en secret, mais les mauvaises choses, ils vont les transmettre », s’inquiète Aminata. Sa mère espère une grâce présidentielle : « Je me suis tellement investie pour faire sortir ma fille de prison. Au début, j’ai dépensé beaucoup d’argent chez les marabouts dans l’espoir de changer la décision de la justice. »

« Abandonnée par sa famille »

Autre prisonnière, autre récit de vie, autre drame familial. Tête baissée, mains croisées, Maty livre sa version des faits. « Deux ans après la mort de mon mari, je suis tombée enceinte de son meilleur ami. J’avais des doutes sur mon état, les tests de grossesse étaient négatifs, mais j’ai finalement accouché d’un bébé sans vie. Je l’ai enterré avec l’aide d’un vieux, puis, trois jours après, j’ai reçu la visite de policiers. Depuis, je suis en prison. » Condamnée en novembre 2016 après trois années de détention préventive, Maty clame encore son innocence et elle y croit. Pourtant, l’autopsie a révélé que l’enfant était né vivant.

Maty éclate en sanglots lorsqu’on lui demande qui, chez elle à Mbour, s’occupe de ses sept enfants durant cette longue absence. Sa fille aînée, Fanta* : à 20 ans, la jeune femme porte l’avenir de toute une famille sur ses épaules depuis plus de trois ans déjà. La mère de Maty, elle, n’a pas tenu le coup. Tombée malade quelques mois après l’emprisonnement de sa fille, elle est aujourd’hui paralysée.

C’est le début de l’après-midi à Mbour. Dans le bâtiment lézardé où vit la fratrie, Fanta regarde des séries télévisées avec sa nièce. Esquissant un sourire, elle nous invite à nous asseoir. « Les difficultés ne manquent pas dans la vie, surtout quand on est loin de ses parents. Mais on s’accroche », dit Fanta, qui concilie tant bien que mal études et gestion du foyer. « A deux reprises, j’ai voulu quitter les bancs de l’école à cause des rumeurs des voisins. Mais à chaque fois que je pense à ma mère qui a été abandonnée par presque toute sa famille, je reprends des forces. »

Jamie Carragher : «Le bébé de 4 mois vaut déjà mieux qu’El Hadji Diouf»

 Entre El Hadji Diouf et Jamie Carragher, ce n’est pas le grand amour. Les deux  anciens coéquipiers à Liverpool se sont déjà écharpés par médias interposés. Et l’ancien défenseur anglais en a remis hier une couche. 

Tout a commencé lorsque l’ancien capitaine de Liverpool, Steve Gérard, a posté une vidéo dans laquelle son fils de quatre mois tape sur un ballon. Carragher a aimé la vidéo avant de descendre l’ancien capitaine des Lions dans ces commentaires. 

l vaut déjà mieux que Diouf (El Hadji). Ses premiers pas au football ressemblent à son arrivée”, écrit-il. 

Des attaques qui ne resteront pas sans réponse, si on connaît bien El Hadji Diouf. 

La différence entre Jamie et moi est que je suis un joueur de classe mondiale alors que lui est une merde. Le type de merde qui écrit un livre et me mentionne tout le temps. Moi, dans mon livre, il n’est même pas mentionné dans une phrase” , disait-il dans une de ses sorties.

Alliance Ps et Bby – Moussa Taye préconise le divorce

Le conseiller politique de Khalifa Sall, Moussa Taye estime que le compagnonnage entre le Parti socialiste et l’Alliance pour la République doit prendre fin. Pour lui, ce compagnonnage n’est pas sincère car Macky Sall cherche une majorité Apr et non Bennoo.

«Le Ps se retrouve en tout et pour tout avec deux Ministres et perd six Députés par rapport à la précédente législature. Le réalisme politique impose au Parti Socialiste de quitter la coalition Benno Bokk Yaakar. Si notre parti s’entête à rester dans cette coalition, il sera isolé à l’intérieur. Pire, il va subir d’autres humiliations», a alerté Moussa Taye.

( 19 Photos ) Djily Création a vraiment bon goût : c’est son nouveau complément

Djily Création a vraiment bon goût : c’est son nouveau complément

Le styliste sollicité même très loin de nos frontières ne sait pas que seulement habiller des célébrités. Oui, il faut le reconnaître : si on peut lui reprocher d’avoir rompu tour à tour avec deux charmantes épouses, Dily Création tient quand à son bon goût : Cette perle, au regard ….est son actuel complément direct. Mais allodakar ne vous livrera pas son nom, parce que « thiat dafa gaw ».

ALLODAKAR

PSG : Cavani-Neymar, clash dans le vestiaire

L’affaire du penalty tiré (et manqué) par Edinson Cavani face à Lyon (2-0) dimanche soir, alors que Neymar souhaitait se charger lui-même du coup de pied arrêté, s’est prolongée jusque dans le vestiaire du PSG. Après le match, l’Uruguayen a signifié à Neymar qu’il n’avait pas apprécié son attitude. Le Brésilien s’est énervé et il a fallu l’intervention de son compatriote et capitaine Thiago Silva pour éviter une confrontation physique entre les deux joueurs parisiens.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention