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Eurobonds en chute : le Sénégal sous pression malgré l’accord avec le FMI

Même si le Sénégal est parvenu à un nouvel accord avec le Fonds monétaire international (FMI), le pays peine encore à enrayer la chute spectaculaire de ses eurobonds. Selon le journal le Quotidien cette situation, qui traduit la méfiance persistante des marchés, met en lumière la fragilité de la confiance financière internationale à l’égard de Dakar.

Le gouvernement sénégalais est appelé à suivre scrupuleusement les orientations du chef du gouvernement, notamment en évitant de s’en remettre exclusivement aux recettes et aux prescriptions du FMI et de la Banque mondiale pour impulser son développement. L’intervention récente de la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, à Washington, avait pourtant suscité un certain optimisme au sein de la délégation conduite par le ministre des Finances, Cheikh Diba.

Mme Georgieva avait salué la mise à jour des « dettes cachées » du Sénégal, considérée comme un geste fort en faveur de la transparence budgétaire et de la crédibilité de la parole de l’État. Elle avait également annoncé l’envoi prochain d’une mission du FMI à Dakar afin de discuter des modalités de reprise du programme d’appui. Cette annonce avait été perçue comme une victoire diplomatique et économique pour le gouvernement.

Cependant, cet enthousiasme a été de courte durée. Selon une dépêche de l’agence Bloomberg, les obligations sénégalaises libellées en dollars ont fortement chuté après que le FMI a révisé à la hausse le niveau de la dette publique, désormais estimée à 132 % du PIB, entreprises publiques comprises. Cette estimation dépasse largement les chiffres avancés par le gouvernement, qui situait la dette à 119 % du PIB, hors entreprises publiques. Un audit réalisé plus tôt en 2023 évaluait ce ratio à 99,7 % du PIB.

Le ministère des Finances, contacté par Bloomberg, a réaffirmé que « les chiffres officiels s’élèvent à 119 % du PIB ». Malgré ces divergences, les discussions entre le Sénégal et le FMI sur un nouveau programme de partenariat se poursuivent, offrant une perspective de stabilisation budgétaire.

Reste que la chute des eurobonds traduit un signal clair : les marchés attendent davantage de clarté et de garanties sur la gestion de la dette publique. Le défi pour le gouvernement sénégalais sera donc de restaurer durablement la confiance des investisseurs, tout en affirmant une politique économique souveraine et crédible.

Transparence budgétaire : Pape Malick Ndour met en doute la lecture du FMI sur les comptes publics du Sénégal

La récente intervention du Fonds Monétaire International (FMI) a ravivé le débat sur la transparence des comptes publics au Sénégal. Pape Malick Ndour, ancien ministre et membre de l’Alliance pour la République (APR), a réagi aux propos du directeur général du FMI, soulignant les limites de la supervision internationale et les zones d’ombre entourant les chiffres officiels.

Dans une interview accordée à L’Observateur, Gemayel, représentant du FMI, a annoncé la création d’un groupe d’experts indépendants chargé « de comprendre ce qui s’est passé, comment cela s’est produit et quelles mesures correctrices doivent être envisagées ». Une initiative que Pape Malick Ndour juge révélatrice d’un manque de clarté dans les comptes publics présentés par les autorités.

« Comment peut-on confirmer certaines choses tout en commettant ensuite des experts externes pour comprendre ce qui s’est passé ? », s’interroge-t-il. Selon lui, le FMI, malgré sa prudence diplomatique, n’a pas encore une compréhension complète de la situation et accorde un crédit mesuré aux données communiquées par le gouvernement.

Pour l’ancien ministre, cette sortie du FMI inscrit désormais dans le débat public la nécessité d’un audit externe, crédible et impartial. Il rappelle que, comme l’avait indiqué le Chef de l’État sur France 24, le FMI cherche toujours à percer les zones d’ombre entourant la gestion des finances publiques.

« La déclaration du chef de mission du FMI confirme les doutes de l’institution sur la clarté et la fiabilité des comptes publics tels que présentés par le nouveau régime », souligne-t-il, avant de déplorer que certains rapports essentiels, notamment celui du cabinet Mazars, restent à ce jour non publiés.

Ainsi, la position du FMI, tout en se voulant diplomatique, semble relancer les interrogations sur la sincérité budgétaire du Sénégal et renforcer l’exigence d’une transparence totale dans la gestion des finances publiques.

Abdou Mbow dénonce la cherté de la vie et la hausse du budget de la Présidence lors de la marche de Noo Lànk

Le député Abdou Mbow a pris part, ce vendredi 17 octobre 2025, à la marche pacifique organisée par le collectif Noo Lànk pour protester contre la cherté de l’électricité.

S’exprimant devant les manifestants, il a vivement dénoncé la flambée du coût de la vie et les arrestations qu’il qualifie d’arbitraires. Le parlementaire a également critiqué la hausse du budget de la Présidence de la République, passé selon lui de 72 à 204 milliards de francs CFA, estimant qu’une telle augmentation contraste avec les difficultés que traversent les populations.

L’influenceuse Adji Mass interpellée sur ordre du procureur de Dakar

Sur instruction du procureur de la République près le Tribunal de grande instance hors classe de Dakar, l’influenceuse Adji Mass a été interpellée ce vendredi par les éléments de la Sûreté urbaine.

D’après les premières informations, elle est accusée d’avoir tenu sur les réseaux sociaux des propos considérés comme contraires aux bonnes mœurs. Ces déclarations auraient conduit le parquet à s’autosaisir du dossier et à ordonner l’ouverture d’une enquête confiée à la Sûreté urbaine du commissariat central de Dakar.

Après plusieurs jours durant lesquels elle demeurait injoignable, Adji Mass a finalement été localisée à la cité Djily Mbaye. Elle a été arrêtée à son domicile peu après la prière du vendredi.

L’enquête se poursuit sous la direction des autorités judiciaires compétentes.

Sénégal – Soudan du Sud : Au-delà du football (Par Al’amiin Jóob)

LE FOOTBALL : PLUS UNE SIMPLE ENTREPRISE DE L’ÉCONOMIE DU DIVERTISSEMENT, MAIS UN INSTRUMENT DE SOFT POWER

Les rencontres sportives entre le Sénégal et le Soudan du Sud sont toujours une occasion unique, sur les réseaux sociaux, de partage de photos et de posts qui reviennent sur la ressemblance des Sénégalais avec les Sud-Soudanais. Le professeur Cheikh Anta Diop, qui, au-delà de son immense contribution sur le plan historique, culturel, politique, civilisationnel et spirituel, avait démontré magistralement ces similitudes frappantes, autant sur nos noms de familles, sur nos prénoms, que sur nos traits de ressemblance physique très flagrante avec les Sud-Soudanais. Ainsi, il est aujourd’hui très facile d’être coincé à différencier un Sénégalais d’un Sud-Soudanais, tellement les Sud-Soudanais ressemblent aux Sénégalais plus que les Sénégalais ne se ressemblent à eux-mêmes. En révélant ceci, le savant sénégalais avait ouvert une brèche pour permettre aux générations futures de chercheurs africains qui, avec tous les moyens de leur époque, pourront définitivement apporter des conclusions désormais scientifiques qui seront prouvées et ajoutées à ses thèses qui concourent au renforcement de l’unité africaine.

Cependant, quant à l’intégration de l’œuvre de l’homme Cheikh Anta Diop, l‘un parmi les premiers derrière ces découvertes, nous tardons toujours à avoir cette réalité effective. Les raisons sont certes nombreuses, mais les faits montrent clairement que c’est un combat qui ne préoccupe ni le peuple, ni les dirigeants qui se sont succédé jusque-là. En effet, selon beaucoup de personnes, c’est trop risqué pour ceux qui nous dirigent de donner l’occasion à leur peuple de retrouver effectivement leur esprit critique et de pouvoir juger librement, sans influence. Ainsi, ils continuent de préserver, avec tous les moyens, ce système éducatif sans projet salutaire pour l’Afrique, en s’y prenant pour nourrir nos émotions et emprisonner délibérément notre raison.

Le professeur Cheikh Anta Diop avait pourtant alerté depuis les années 80 dans sa conférence mythique de Niamey, au Niger : « Où est la raison dans cette éducation ? Où est le sens critique ? Voilà le danger contre lequel nous devrions vous prémunir. Il faut que votre cerveau fonctionne. Je le disais encore hier et je le répéterai demain. Ce que nous voulons, ce que nous visons dans votre éducation, c’est de réveiller justement le bâtisseur de nation qui dort en chacun de vous, c’est de réveiller le créateur qui dort en chacun de vous, mais cela suppose une réforme qui mette l’accent sur la rationalité et sur les facultés créatrices de l’individu. Voilà le but que vise mon enseignement, et si je ne l’atteins pas, c’est bien regrettable. » Mais hélas, la réalité est tout autre.

L’INTERPRÉTATION DE TOUT CONTEXTE POUR FABRIQUER UN CONSENTEMENT
Certes, le football nous donne toujours des occasions de rouvrir ces genres de débats avec une visée symbolique de reconquête de notre identité ; toutefois, les Africains que nous sommes n’ont pas encore compris tout l’intérêt du projet de renaissance africaine et l’urgence de construire un destin fédéral africain, du fait de notre long sommeil dans l’aliénation qui permet la division et empêche la refondation.
Pourtant, le sport, comme toutes les sortes de divertissement, doit aussi nous amener à saisir tous les contextes pour réfléchir sur le devenir de l’Afrique. Ce n’est que de cette manière que nous pouvons libérer notre cerveau et comprendre, de manière humble, que l’introduction d’une œuvre d’un grand homme sénégalais ou africain dans le système éducatif sera plus impactante que de remporter une Coupe d’Afrique des Nations, malgré toute la fierté qu’une telle consécration peut réveiller chez un peuple. À moins, bien sûr, qu’on utilise ce sacre en se basant sur la construction d’un récit national qui sortira toute l’essence de notre histoire et de notre trajectoire glorieuse qui nous ont menés jusque-là.

« Le Maroc et l’Algérie, pour sortir de la nuit coloniale, ont fait de l’enseignement de l’histoire une activité nationale », le professeur Khadim Ndiaye nous renseigne dans son ouvrage Conversations avec Cheikh Anta Diop. Or, le Sénégal, sur la base d’un projet documentaire et académique digne de ce nom, cordonné au plus haut sommet de l‘État, pouvait faire le lien entre son histoire, sa culture et son sacre de la Coupe d‘Afrique des Nations en 2021 ; malheureusement, rien n‘y est fait. Sadio Mané, grâce à son coup de pied magique sur un pénalty, a libéré le Sénégal de la malédiction dans le football qui avait fini par impacter dangereusement l‘esprit du peuple sénégalais. Pendant plusieurs années, le Sénégal a participé à toutes les compétitions de football sans esprit de ramener la coupe à la maison, simplement à cause d‘un récit populaire finalement cru par la majorité qui répétait sans cesse que nous sommes partis pour ne rien remporter en football. Et ce, sans aucune explication scientifique sur la gestion catastrophique du football sénégalais au sommet, sur notre défaut de formation à la base, sur le non-respect du football local qui devrait être une usine à produire des talents, sur le manque criant d‘infrastructures, sur l‘absence de récit historique et culturel collectif galvanisant, et surtout la non-maîtrise de notre éducation qui permet à tout peuple d‘avoir un projet commun.

Malgré toutes ces questions valables inexplorées, le peuple Sénégalais s‘est divisé en des groupes distincts : ceux qui sont restés toujours pessimistes sur le résultat du football sénégalais et ceux qui deviennent de plus en plus exigeants sur les résultats, oubliant tout le travail au préalable. En outre, dans un ouvrage collectif titré: « Regards croisés sur le football sénégalais des indépendances », le professeur Oumar Dioume déplore une tendance culturelle à se contenter des succès passés ou à surestimer ses capacités. Dans le football sénégalais, cela se traduit pour lui par : l’incapacité à se souvenir et à honorer les pionniers et les premières victoires continentales (comme les Jeux de l‘Amitié de 1963) qui montre gravement un manque d’humilité face à l’histoire.Révélant que le Sénégal avait gagné un trophée continental avant le sacre de 2021. Ce manque d’humilité peut conduire à l’arrogance ou à une autosatisfaction excessive après un succès, ce qui est l’ennemi du travail continu et de la discipline. Aussi, dans ce livre, il aborde l’histoire du football au Sénégal depuis l’époque des indépendances (années 1960) jusqu’à aujourd’hui et réclame comme exigence le réveil de la mémoire collective sur les figures marquantes et les moments fondateurs du football sénégalais.Ensuite, ils ont insisté sur l‘importance de porter un regard analytique sur l’évolution du football, de ses structures et de ses enjeux. Et enfin, ils ont abordé la question de la déconstruction du rôle du football dans la société pour montrer comment le football, au-delà du sport, est un miroir de la société, de ses passions et de son histoire.

S’agissant des jeunes Africains, nous devons retrouver immédiatement notre lucidité d’antan en faisant de tout contexte un sujet de réflexion.Nietzsche pensait déjà qu’: « Il n’y a pas de faits, seulement des interprétations » La dernière cérémonie du Ballon d’Or ne doit nullement être un simple événement où l’on ne voit que la récompense des meilleurs joueurs de la saison, mais un prétexte pour voir et comprendre comment, contre toute attente, deux Africains d‘origine, « Lamine Yamal et Ousmane Dembélé », se sont succédé au podium. Ce classement du Ballon d’Or 2025 met en lumière la contribution majeure de l’ascendance africaine au football d’élite. Avec 50% des joueurs du Top 10 possédant des racines africaines (dont 20% d’origine africaine directe : Mohamed Salah et Achraf Hakimi), et 30% issus de la diaspora européenne (Dembélé, Yamal, Mbappé), le phénomène appelle à une analyse très lucide. Évoquer des facteurs génétiques serait nul et à la limite de l’extrapolation même si des caractéristiques physiques adaptées, comme une forte proportion de fibres musculaires rapides (vitesse et puissance), sont souvent associées aux Africains ; mais le plus important, selon moi, ce sont les facteurs sociaux, environnementaux. Les joueurs africains de la diaspora bénéficient de l’encadrement élite et des infrastructures des centres de formation qui réunissent toutes les conditions pour provoquer le succès, en plus d‘une forte motivation socio-économique et d’un effet psychologique de plus en plus stimulant.
Compte tenu de toutes ces analyses, nous pouvons nous demander : « Pourquoi l’Afrique brille partout sauf en Afrique. » Une question très complexe qui réclame plus que des données, mais le rappel de quelques citations du professeur Cheikh Anta Diop pourrait nous mener à tirer des conclusions intéressantes. Le Cheikh disait « À formation égale, la vérité triomphe », parce qu‘il était convaincu que « Les Noirs sont capables, aussi capables que les autres » sur le plan physique comme intellectuel, culturel comme spirituel.

LE FOOTBALL AU-DELÀ DU TEMPS RÈGLEMENTAIRE
En ce 21e siècle de la conscience et de la lutte de tous les peuples pour l’affirmation de leur identité, les Africains doivent refuser de concentrer toute leur énergie sur des combats facultatifs, laissant de côté tout le terrain culturel aux autres qui, pourtant dans l’histoire, n’hésitaient jamais à s’approprier l’héritage de nos ancêtres. Le football, ce sport qui cristallise beaucoup d’émotions, certains même le considèrent comme un opium pour le peuple, surtout chez les Africains, a toujours été une vitrine de l’économie culturelle qui permettait à toute nation de révéler au grand monde son identité, sa culture et toute sa substance. Par contre, ce qu’il est devenu dans les temps modernes est une arnaque organisée pour corrompre les faibles nations à se plier aux caprices culturelles de nations qui ont une seule légitimité : la force de frappe de l’argent (l’économie). Quant aux valeurs morales fondamentales dont disposent les autres nations, ça ne compte plus sur la balance. Le tour est en train d’être joué et il n’y a que les Occidentaux qui tiennent la commande. De ce fait, les Africains, comme toujours, jouent le rôle insignifiant de spectateurs en ne devenant acteurs, bien sûr, que quand la machine doit les utiliser pour la mauvaise raison. Résultat : aujourd’hui, les sites qui renseignent sur le calendrier des championnats du monde sont les plus consultés sur le continent africain par les enfants africains. L’utilisation d‘un simple outil comme Google Trends permet d’avoir ces données dont je fais mention. Ces derniers (les enfants africains), qui peuvent tout ignorer l’existence d’une région proche d’eux et sa spécificité, sont pourtant devenus des experts en géographie de la planète. Ils connaissent le plus petit pays situé au fin fond de la Norvège, de la Finlande ou en Argentine. Parieurs très déterminés, ils sont prêts à vendre tout ce qu’ils ont de plus cher pour miser sur une équipe de D4 espagnole. La plupart d’entre eux sont victimes d’un système politique et social profondément détruit par la corruption et le népotisme où le travail ne paie pas, le mérite ne compte pas, le talent ne joue pas. En plus, cet espace est marqué par l’échec des plus brillants, le triomphe des plus médiocres et la récompense des plus indignes. Dans ce climat de décadence imminente de la société, ces jeunes qui se cherchent et nourrissent des rêves grandioses sans aucune porte d’espoir en face pour les aider à traverser, ne pourront choisir que de jouer de façon très hasardeuse pour espérer tomber sur le jackpot. D’autres prennent parfois conscience de leur dérive et cherchent parfois une issue heureuse, mais le système publicitaire très impactant qui se renforce et se territorialise en permanence, les empêche de sortir du tunnel. Car, il y aura toujours des flammes d’espoir pour eux de continuer à cause d’une entreprise publicitaire parrainée par des légendes du football africain comme El Hadji Ousseynou Diouf ou Didier Drogba, Samuel Eto’o, Jay-Jay Okocha, Emmanuel Adebayor ou même Michael Essien. Ces étoiles qui, dans un passé très récent, avaient magistralement réussi à faire croire aux yeux du monde en la capacité des Africains à se hisser au plus haut sommet tant que la formation est égale dans un environnement adéquat. Ces symboles du football africain, ne devraient jamais accepter que leur grande image soit associée à un projet destructeur pour le continent africain.

LA DIPLOMATIE SPORTIVE ET L’URGENCE DE LA LUCIDITÉ
L’exemple d ‘un pays comme l’Allemagne est patent ; ce dernier, qui est présent dans 130 pays, utilise le sport comme un outil de sa politique étrangère et de son influence culturelle en Afrique (ce qu’on appelle la diplomatie sportive). Les pays du Golf, malgré la forte domination de l‘Europe sont en train de bâtir une économie culturelle très forte à travers le football. Les Qataris avec Le Paris Saint Germain, les émirats propriétaires de Manchester City avec Cheikh Mansour et l’Arabie Saoudite qui a créé ces dernières années toutes les conditions nécessaires pour être la destination de choix de toutes les stars du football Mondial, en fin de carrière, témoignent tout leur intérêt pour ce sport. Les raisons ne sont pas simplement économiques ou touristiques mais aussi culturelles
Tout ceci pour dire simplement que l’Africain de 2025 ne doit plus regarder les matchs en se focalisant sur 22 joueurs, mais plutôt sur toute la politique derrière ce résultat définitif auquel nous avons accès et toutes les opportunités qui s‘offrent derrière ces images qui défilent. Car les infrastructures, les marques, les sponsors, les entreprises, les messages, l’économie, les jeux, les publicités, les médias : tout est instrument de Soft Power du capitalisme sauvage. Pendant que nous, Africains, jubilons et profitons en étant dans l‘extase, eux, ils déroulent leur agenda et nous utilisent pour bâtir des empires. D’où l’urgence de reconquérir notre intelligence lucide perdue et d’allumer le feu étouffé par nos émotions face à ces situations qui demandent une lucidité et toute la disponibilité de notre raison.

Lamine Diop( Al’amiin), Journaliste chroniqueur,copywriter en langue wolof, créateur de contenus positifs,déconstructeur de mythes🌷

Arrestation des agresseurs carjacking dans la banlieue : Les victimes affluent au commissariat de Guédiawaye

Depuis dimanche, le commissariat central de Guediawaye dont l’excellent travail d’investigation a permis de démanteler la bande d’agresseurs à Car Jacking avec usage de motos, est pris d’assaut par les victimes, des avocats et les proches des présumés malfaiteurs qui continuent de tomber les uns après les autres Le démantèlement de la bande d’agresseurs à Car Jacking avec usage de motos qui est l’une des plus belles prouesses de la police contre l’insécurité galopante en banlieue de Dakar , a comme conséquence une forte affluence au niveau du commissariat de Guedawaye. Depuis dimanche, les victimes continuent de défiler dans ce service dirigé par le commissaire Daouda Bodian. A propos de cette enquête d’envergure, il faut saluer l’excellent travail du lieutenant Abdoul Aziz Sy Ba et l’adjudant Ndione qui travaillent d’arracher pied depuis dimanche si tu cette affaire qui est très suivie par l’opinion…

Le frère d’un responsable de Pastef, Secrétaire d’État parmi les présumés agresseurs

 

Si au commissariat de Guedawaye, les victimes affluent, les proches des présumés malfaiteurs ne sont pas en reste. Nos radars déployés au commissariat de Guedawaye y aperçoivent la tronche d’un responsabl Pastef de Guediawaye, Secrétaire d’État auprès du Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage, chargé des Coopératives et de l’Encadrement paysan. Renseignement pris, on nous apprend qu’il s’active pour la libération d’un de ses frères qui fait partie des individus arrêtes Les présumés malfaiteurs continuent de tomber les uns après les autres Dans cette affaire qui va finir devant la barre du tribunal , les enquêteurs ont été obligés de prolonger la garde à vue des individus arrêtes au motif que tous ne sont pas encore dans les filets et continuent de tomber un à un. La preuve pas plus qu’hier un d’entre eux a été arrêté et conduit dans les locaux de la police où il a été formellement identifié par une de ses victimes.

 

Plusieurs millions, un pistolet, des téléphones emportés par les agresseurs

 

A Guediawaye, onze victimes se sont manifestées dès les 1er jours. Parmi elles : Ass Diagne ( commerçant) Souleymane keita L’activiste Babacar Mbaye Ngaraf Un contrôleur des impôts et Domaines Bamba Ndiaye Matériels emportés d’après les victimes : argent, téléphones portables, un pistolet, des documents personnels … … Preuve que les gus ont muri leur plan, i après avoir arraché le sac d’un commerçant qui était à bord de son véhicule, ls ont utilisé les clefs trouves dedans pour aller ouvrir son magasin et y subtiliser ,21 millions. Et partout c ‘est le même modus operandi ( simulation d’accident,)

Présidentielle au Cameroun: 5 recours déposés au Conseil constitutionnel, les résultats officiels attendus dans 10 jours

Le présentateur de la télévision d’État CRTV a annoncé, mercredi 15 octobre, “cinq recours en tout déposés au Conseil constitutionnel jusqu’à ce jour”. Les requérants réclament notamment “l’annulation du scrutin pour fraude électorale”.

Selon le code électoral, toute contestation doit être déposée auprès du Conseil constitutionnel dans les trois jours suivant la clôture du vote. Les personnes ayant déposé un recours pourront être auditionnés ou invités à produire des preuves. En 2018, lors de la dernière élection présidentielle, l’ensemble des recours avaient été rejetés.

Les résultats officiels sont attendus dans dix jours. La plupart des analystes s’attendent à ce que Paul Biya remporte un huitième mandat dans un système que ses détracteurs accusent d’avoir été verrouillé au fil de ses 43 ans au pouvoir.

Paradoxalement, et malgré l’engouement qu’il suscite à la tête du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC), Issa Tchiroma Bakary, ancien ministre resté vingt ans dans le giron présidentiel n’a pas déposé de recours. Il a par ailleurs revendiqué la victoire à l’élection.

Son directeur de campagne, Chris Maneng’s a expliqué que comme le Conseil constitutionnel s’appuyait sur des procès-verbaux entachés d’“irrégularités”, le candidat n’a pas voulu s’engager dans une démarche “tronquée”. Il assure en revanche que des procès-verbaux prouvant “la vérité des urnes” et leur victoire seront publiés en ligne dans les prochains jours.

Tensions entre partisans et forces de l’ordre

Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des tensions entre partisans d’Issa Tchiroma Bakary et forces de l’ordre aux abords des antennes de la commission électorale (Elecam) à Bafoussam (ouest) et dans la capitale économique Douala.

Des manifestants courent alors que les forces de sécurité utilisent des canons à eau pour les disperser lors d’affrontements à Garoua (nord), au Cameroun, le dimanche 12 octobre 2025.

À Douala, quatorze personnes ont été arrêtées, a déclaré jeudi le préfet du département, Sylac Marie Mvogo à la télévision d’État CRTV. Des incendies autour de l’antenne de la commission électorale à Dschang (ouest) ont également été signalés.

“Il est clair que les institutions vont reconnaître Paul Biya comme vainqueur”, juge Brice Molo, historien et sociologue et maître de conférence à l’Institut catholique de Paris (ICT). Les membres du Conseil constitutionnel sont considérés comme proches du président Paul Biya. En août, ils avaient rejetée la candidature de Maurice Kamto, arrivé deuxième à la présidentielle de 2018 mais dont il s’était proclamé vainqueur au lendemain du vote.

France: le rappeur Booba à nouveau mis en examen pour harcèlement aggravé sur la compagne de Gims

Le rappeur Booba, déjà poursuivi pour harcèlement, a été à nouveau mis en examen jeudi pour cette infraction, cette fois pour des faits concernant Demdem, la compagne du rappeur Gims, a appris l’AFP de source proche du dossier vendredi. Sollicité par l’AFP, le parquet de Paris a confirmé que Booba avait été mis en examen pour harcèlement moral en ligne ayant causé une incapacité de travail supérieure à huit jours dans le cadre d’une information judiciaire ouverte jeudi pour des faits courant depuis août 2022. Le rappeur a interdiction d’entrer en contact avec la plaignante.

Expiration de la trêve entre Afghanistan et Pakistan, sans décision sur l’après

Le cessez-le-feu entre l’Afghanistan et le Pakistan, qui avait mis un terme à plusieurs jours d’affrontements meurtriers, est arrivé à échéance vendredi soir, sans visibilité sur l’étape d’après.

A l’annonce de la trêve mercredi à 13H00 GMT, Islamabad avait souligné qu’elle devait durer 48 heures.

A l’expiration de ce délai, aucune partie n’avait fait état d’un prolongement, ni annoncé formellement de négociations bilatérales à son sujet.

“Attendons que les 48 heures soient passées et nous verrons si le cessez-le-feu tient”, a déclaré dans l’après-midi Shafqat Ali Khan, le porte-parole du ministère pakistanais des Affaires étrangères, disant “essayer de travailler par la voie diplomatique pour la rendre durable”.

Jeudi, le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif avait estimé que la balle était “dans le camp” des autorités de Kaboul, dénonçant une nouvelle fois le fait que “des terroristes opèrent du côté afghan de la frontière avec impunité”.

“Le Pakistan attend des actions concrètes et vérifiables du régime taliban contre ces éléments terroristes”, a dit Shafqat Ali Khan, au cours d’une conférence de presse.

Sollicitées par l’AFP, les autorités talibanes n’ont pas dit si des négociations étaient en cours. Mercredi, elles avaient fait savoir que la trêve resterait en vigueur jusqu’à sa violation par la partie adverse.

“Nous avons dit aux soldats: +N’attaquez pas, sauf si les forces pakistanaises le font. Si elles le font, alors vous avez tous les droits de défendre votre pays+”, a déclaré vendredi soir le porte-parole du gouvernement taliban Zabihullah Mujahid, dans un entretien à la chaîne de télévision afghane Ariana.

“Des négociations peuvent résoudre les problèmes”, a-t-il dit, sans détailler.

“Réponse défensive”

Le cessez-le-feu a tenu depuis son annonce, ramenant le calme dans les régions frontalières et à Kaboul, après une flambée de violences d’une rare intensité.

La confrontation a débuté la semaine dernière après des explosions dans la capitale afghane que les autorités talibanes ont imputées au voisin pakistanais. En représailles, elles ont déclenché samedi à la frontière une offensive, à laquelle Islamabad avait promis une “réponse musclée”.

Les affrontements ont fait des dizaines de morts, dont des combattants, mais aussi des civils, surtout mercredi.

“Notre réponse défensive ne ciblait pas des civils, nous faisons preuve d’une grande prudence pour éviter la perte de vies civiles, contrairement aux forces talibanes”, a affirmé Shafqat Ali Khan.

La Mission d’assistance des Nations unies en Afghanistan (Manua) a recensé 37 civils tués et 425 blessés du côté afghan de la frontière en ces quelques jours, appelant les deux parties à mettre un terme aux hostilités “de façon durable”.

“Sentiments mitigés”

“Les gens éprouvent des sentiments mitigés”, dit à l’AFP Nematullah, 42 ans, un habitant de Spin Boldak, une ville afghane accolée à la frontière où se sont concentrés les affrontements.

“Ils craignent que les combats ne reprennent mais sortent quand même de chez eux et vaquent à leurs occupations”.

Le calme est également revenu à Kaboul où, peu de temps avant l’annonce de cessez-le-feu mercredi, de nouvelles explosions avaient retenti.

 

Elles n’ont pas été revendiquées mais des sources de sécurité pakistanaises ont fait état de “frappes de précision” contre un groupe armé.

Certaines sources afghanes ont expliqué que le Pakistan était responsable d’au moins l’une des explosions et qu’il s’agissait de bombardements aériens mais le gouvernement n’a pas accusé officiellement son voisin, cette fois-ci.

La semaine dernière, les premières déflagrations avaient eu lieu au moment où débutait une visite inédite du chef de la diplomatie talibane en Inde, l’ennemi historique du Pakistan.

L’escalade militaire s’inscrit dans des tensions bilatérales récurrentes, alimentées par des questions migratoires et sécuritaires. Le Pakistan, confronté à une résurgence d’attaques contre ses forces de sécurité, accuse inlassablement son voisin afghan d'”abriter” des groupes “terroristes”, ce que Kaboul dément.

États-Unis: Donald Trump a autorisé la CIA à mener des opérations contre le Venezuela

Face aux journalistes dans le Bureau ovale, Donald Trump a confirmé les informations du quotidien américain New York Times devant la presse : le président a bel et bien donné son feu vert à la CIA, mais sans indiquer pour quoi faire, rapporte notre correspondant à Washington, Vincent Souriau.

Mais lorsqu’un journaliste lui demande si Nicolas Maduro, le président du Venezuela, pourrait faire l’objet d’un assassinat ciblé, Donald Trump refuse de répondre et entretient le suspense : « Je ne veux pas répondre à une question de ce genre, ce serait absurde pour moi d’y répondre. Mais je pense que le Venezuela sait que ça commence à chauffer et je pense que c’est aussi le cas pour beaucoup d’autres pays. »

Sans le lier ouvertement à cette autorisation, Donald Trump est ensuite revenu à son obsession : les gangs vénézuéliens et ce qu’il décrit, sans preuves, comme l’afflux d’individus instables sur le territoire des États-Unis : « Ils ont vidé leurs prisons sur le territoire des États-Unis, ils sont arrivés par la frontière, parce qu’on ouvrait la frontière à tout le monde. Ils ont autorisé des milliers et des milliers de prisonniers, des patients d’hôpitaux psychiatriques et d’asile de fous à venir se déverser aux États-Unis. Et on va les renvoyer. »

À ce jour, l’armée américaine a déployé au moins huit navires de combat dans les Caraïbes, ainsi qu’un sous-marin. Elle dispose également de près de 10 000 soldats dans la région.

Face aux journalistes dans le Bureau ovale, Donald Trump a confirmé les informations du quotidien américain New York Times devant la presse : le président a bel et bien donné son feu vert à la CIA, mais sans indiquer pour quoi faire, rapporte notre correspondant à Washington, Vincent Souriau.

Mais lorsqu’un journaliste lui demande si Nicolas Maduro, le président du Venezuela, pourrait faire l’objet d’un assassinat ciblé, Donald Trump refuse de répondre et entretient le suspense : « Je ne veux pas répondre à une question de ce genre, ce serait absurde pour moi d’y répondre. Mais je pense que le Venezuela sait que ça commence à chauffer et je pense que c’est aussi le cas pour beaucoup d’autres pays. »

Sans le lier ouvertement à cette autorisation, Donald Trump est ensuite revenu à son obsession : les gangs vénézuéliens et ce qu’il décrit, sans preuves, comme l’afflux d’individus instables sur le territoire des États-Unis : « Ils ont vidé leurs prisons sur le territoire des États-Unis, ils sont arrivés par la frontière, parce qu’on ouvrait la frontière à tout le monde. Ils ont autorisé des milliers et des milliers de prisonniers, des patients d’hôpitaux psychiatriques et d’asile de fous à venir se déverser aux États-Unis. Et on va les renvoyer. »

À ce jour, l’armée américaine a déployé au moins huit navires de combat dans les Caraïbes, ainsi qu’un sous-marin. Elle dispose également de près de 10 000 soldats dans la région.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention