Sur Weibo, le twitter chinois, le mot dièse «#il est marié à une femme qui a 24 ans de plus que lui» comptabilise plus de 6 millions de vues. On parle des époux Macron aussi sur Wechat, le réseau social le plus utilisé en Chine. Ce sont surtout des articles de médias chinois qui sont partagés, et commentés en masse.
Liberté de presse
Le Sénégal a progressé de 7 points en matière de liberté de presse. Classé par Reporters Sans frontières (Rsf) en 65e position sur le classement mondial en 2016, le Sénégal se retrouve cette année à la 58e place. D’après Rsf, le Sénégal qui est considéré comme l’une des démocraties les plus stables du continent dispose d’un paysage médiatique pluriel et la Constitution de 2001 y garantit la liberté de l’information. En plus, selon la même source, les atteintes contre les journalistes se sont espacées ces dernières années, mais certains sujets restent tabous au Sénégal. Rsf relève que plusieurs médias ont été convoqués et intimidés pour avoir rapporté des faits de corruption. En attestent les pressions subies par le Groupe Walfadjri en 2016 dont la suspension a été évitée de peu juste pour avoir laissé un auditeur critiquer le président. Et fait-on remarquer qu’en avril, trois journalistes ont été emprisonnés pour diffamation après avoir informé le public qu’une personnalité sénégalaise avait été inculpée pour trafic de faux billets, des faits pourtant avérés.
Arabie Saoudite : Mbayang Diop condamnée à mort
Le sort de Mbayang Diop est scellé. La Sénégalaise jugée pour meurtre présumé mardi 25 avril, a été condamnée à la peine capitale par la justice saoudienne. La jeune femme est détenue à la prison de Fayçaliyah de Damman depuis juin 2016. Elle est accusée d’avoir tué son employeur. Les diplomates sénégalais accrédités en Arabie Saoudite ont assisté à son procès.
Pour l’instant, Mbayang Diop ne va pas rejoindre le couloir de la mort. Car, la sentence ne sera pas automatiquement exécutée. Ses enfants étant encore mineurs. Par conséquent, elle va rester en détention pour encore quelques années avant que la justice saoudienne n’ordonne son exécution.
Une maigre consolation pour la famille de Mbayang Diop, qui demande sa libération et son extradition. Une chance peut-être pour la diplomatie sénégalaise de convaincre la justice saoudienne d’accorder sa clémence à la jeune dame.
Rien de nouveau pour Habré : Il est condamné à perpétuité
La Cour d’Appel des Chambres Africaines extraordinaires (Cae) de Dakar a confirmé la condamnation en première instance de la peine de prison ferme à perpétuité de Hissène Habré. Sans aucune possibilité de voir sa peine être réduite.
Initialement accusé de crimes contre l’humanité, crimes de guerres et de tortures et viols répétés, l’ancien président du Tchad a été acquitté des crimes de viols. Toutefois, il passera le restant de sa vie dans une cellule de la prison de Dakar. Puisque le juge malien président de la Cour des Cae, Wafi Ougadèye dans son intime conviction, a estimé que les faits pour lesquels sont accusés Habré, ne souffrent d’aucun doute.
Outre la peine prononcée, Habré devra allouer aux victimes de son régime la rondelette somme de plus de près de 100 milliards (92 milliards 290 millions) Fcfa et la saisie de tous ses biens.
Accusations contre Cheikh Amar et les précisions de Serigne Ahma Mbacké
«Si je révèle tout, il aura du mal à regarder les Sénégalais en face»
Par AM (actunet.sn)
«Après ma sortie contre Cheikh Amar, certains de ses affidés, ont senti le besoin de répliquer. Je tenais à les avertir solennellement de ne pas m’obliger à dire tout ce que je sais sur Cheikh Amar. S’ils me poussent à bout et m’amènent à répliquer, leur mentor aura du mal à regarder les Sénégalais en face. Cependant, je ne vais pas laisser passer cet affront et je vais vraiment juste leur servir un avertissement. En ma qualité de fils de Serigne Mourtala, je peux vous révéler qu’il a escroqué mon père d’une importante somme d’argent. Ce dernier lui avait commandé des bus et il ne les a jamais livrés. Tout le monde sait aussi que Serigne Saliou lui avait remis un milliard de Francs CFA pour lui acheter des tracteurs. Il n’a rien trouvé de mieux à faire que d’acheter des tracteurs chinois que le saint homme n’a jamais pu utiliser. Donc, il est temps qu’il arrête avant qu’il ne soit démasqué. Je connais beaucoup de choses le concernant et il ne faut pas qu’il m’oblige à les dévoiler. Ceci est un avertissement et je crois que la leçon sera bien retenue.
Serigne Ahma Mbacké Mourtala.»
Actunet.sn
Programme de modernisation des villes
Le Gouvernement a décidé d’intensifier le plan de mise en oeuvre du Programme de modernisation des villes du Sénégal «PROMOVILLES» en accordant la priorité aux travaux prévus dans les zones péri urbaines et localités enclavées insuffisamment dotées en infrastructures et équipements primaires. C’est une manière d’améliorer durablement la qualité de vie des populations en milieu urbain. Les autorités veulent désormais orienter leurs actions vers la construction de nouvelles routes urbaines et le renforcement de l’assainissement des communes et villes. Elles accélèrent le pas pour la réalisation de la boucle du Boudié, la reconstruction des marchés Syndicat de Pikine et Zinc de Kaolack, les travaux de construction des nouveaux lycées de Ngor et de Yoff, ainsi que les chantiers d’assainissement et d’aménagement de Yeumbeul Nord, de Malika et de Keur Massar.
ABDOU BAKHOUM « Fass a toujours peur d’Ama Baldé »
Le directeur technique de l’écurie Falaye Baldé est très remonté contre les membres de l’écurie Fass. Selon Abdou Bakhoum, ce sont eux qui font retarder le combat et prétendent dire que leur poulain n’a pas encore fini sa préparation aux Us
Le champion de Pikine est à Paris pour les besoins de sa préparation face à Papa Sow mais selon son manager, Ama peut rentrer à « n’importe quel moment car le combat est capital pour lui et il n’y a pas de demie mesure en ce qui concerne la date. Tout ce que le promoteur dira sera appliqué à la lettre car son poulain est fin prêt pour affronter le champion de Fass, dit-il. « Nous sommes au regret de voir que Fass a très peur de nous et surtout du jeune champion Ama Baldé. Ils disent que notre poulain est à Paris. Mais je tiens à dire que nous n’avons aucune contrainte. Je peux dire à Ama Baldé de rentrer aujourd’hui même et de lutter ce dimanche », martèle Bakhoum. Pour lui, «cela ne nous cause aucun problème ». Toutefois, il poursuit : « Je pense que le problème se pose du côté de Fass qui n’a pas encore pris de décision et qui ne sait pas sur quel pied danser, d’autant plus que sur le contrat ,il n’ya pas de date. On peut lutter à n’importe quel moment. Je ne vois où est le problème ». En tout cas, révèle Abdou Bakhoum au bout du fil. « Ama Baldé est déjà prêt donc la balle est dans le camp des fassois qui ont montré déjà qu’ils ont peur du combat ». Ama Baldé et Papa Sow est le combat le plus plébiscité et qui mérite d’être disputé avant la fin de la saison, estiment de nombreux observateurs
Régimes de retraite
La consolidation du dialogue social et la modernisation de la gestion des régimes de retraite ont été aussi évoquées en Conseil des ministres. Ainsi dans la perspective de l’adaptation d’un système de retraite aux standards internationaux, le Président Sall appelle le Premier ministre et son équipe à veiller à l’équilibre financier à long terme des régimes de retraite et assurer la viabilité et l’autonomisation institutionnelle du Fonds national de retraite (FNR). Aussi, demande-t-il, le relèvement continu et significatif du niveau des pensions, afin d’améliorer durablement la qualité de vie des retraités, en intégrant, notamment le recours innovant et indispensable à la retraite complémentaire.
Audiences des responsables des centrales syndicales
Le Président Macky Sall prend les devants pour désamorcer les bombes sociales. Hier en conseil des ministres, il a invité tous les membres du Gouvernement à recevoir chacun les centrales syndicales de son secteur. Ces rencontres s’inscrivent dans le cadre de la célébration de la fête internationale du Travail, du 1er mai. Ainsi, les ministres concernés auront chacun une idée du cahier de doléances des centrales syndicales de son département qui seront transmises au chef de l’Etat avant sa rencontre habituelle avec les responsables des centrales le 1er mai. D’ailleurs, le ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions a fait le point de l’examen des cahiers de doléances, et du plan d’actions du Pacte de stabilité sociale et d’émergence économique.
Communiqué du collectif des professeurs vacataires ou prestataires ITECOM DAKAR
Il y a de cela deux semaines le collectif des professeurs de ITECOM rencontrait le DG de cet institut universitaire pour réclamer des arriérés de salaires ou de de prestations….. La rencontre fut houleuse compte tenu du caractère particulier de Mr le DG Mamadou Gning et de la détermination du collectif des professeurs !
De quoi s’agit t-il ?
Depuis 2015…2016….2017 plus de cent professeurs ,sur les cent cinquante, que compte l’Institut de
Commerce ne sont pas payés !!!!!!!A chaque rencontre avec Mr le Directeur Général, ce dernier, droit dans ses bottes, tient toujours la même rengaine : à savoir que l’Etat du Sénégal ne lui a pas encore versé sa contrepartie financière :et dire que ITECOM compte près de vingt-cinq nationalités envoyées par leurs pays respectifs !!!! Il s’y ajoute qu’ITECOM est la seule université, à Dakar, à notre connaissance, qui ne paie pas ses professeurs prestataires depuis plus de deux ans. C’est une situation inédite et très cocasse..
A l’issue de la rencontre, un ultimatum de deux semaines a été donné à Mr le DG de ITECOM pour rentrer dans nos fonds . Ce deadline vient d’expirer .Et en lieu et place d’un règlement globale et définitif ,Mr le DG verse dans le dilatoire et dans la division en faisant des avances de cent mille ou de deux cent mille francs CFA à quelques-uns de ses affidés triés sur le volet.
Pour éviter d’entretenir davantage un contentieux, on ne peut plus aigu et critique, le collectif des professeurs vacataires ou prestataires interpelle l’Etat du Sénégal par le truchement du Ministère de l’Enseignement supérieur et de celui des Finances, avant que ce drame social, sans nom ,ne débouche sur une impasse pédagogique et judiciaire préjudiciable à l’image de ITECOM fortement écornée .
Enfin, des synergies d’action sont initiées auprès des autres démembrements de l’Enseignement Supérieur pour soutenir l’université au sens large pour un management non tatillon car intégrant les diverses variables d’une stratégie de qualité….TROP CEST TROP !!!!!!!
LE COLLECTIF DES PROFESSEURS VACATAIRES OU PRESTATAIRES DE ITECOM DAKAR