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20 morts à Toubacouta

Encore un drame. C’est dire que la saison des drames se poursuit. 20 morts sont notés à lheure actuelle s à Détinki, un village situé à proximité de Toubacouta. Il s’agit d’un bateau qui a subi un accident. À bord, il y avait une cinquantaine de femmes et des hommes. C’est un vent violent qui a été à l’origine de ce drame. Toutes ces personnes étaient parties à la recherche des huîtres.

Tête de liste de Bennoo Bokk Yaakaar : «On ne veut pas de Niasse»

La véritable équation que le Président Macky Sall, président de l’Alliance pour la République (Apr) et de Bennoo Bokk Yaakaar doit résoudre est celle relative au choix de la tête de liste de sa coalition. Aujourd’hui, on ne sait pas encore si Moustapha Niasse jouera les premiers rôles, mais des ténors du parti au pouvoir ont soufflé à actunet qu’ils ne veulent pas de l’actuel président de l’Assemblée nationale comme tête de liste de leur coalition.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

«Je ne suis candidat nulle part, ni au niveau national, ni au niveau départemental. J’ai 77 ans et 5 mois, je n’espère rien, je ne demande rien. Je ne suis candidat à rien du tout. Maintenant, si mon pays a besoin de moi, je me mettrai à sa disposition.» Cette déclaration de Moustapha Niasse, actuel président de l’Assemblée nationale est diversement appréciée dans les cercles de l’Alliance pour la République (Apr) et de quelques flancs de Bennoo Bokk Yaakaar. En effet, des pontes du parti au pouvoir croient savoir que le patron de l’Alliance des forces de progrès (Afp) a formellement fait une demande voilée. «Nous avons compris que Niasse veut encore être tête de liste de Bennoo Bokk Yaakaar. Nous avons compris qu’il veut rester président de la prochaine législature. Mais, nous ne laisserons pas faire», a dit à actunet un haut responsable du parti du Président Macky Sall.

A l’en croire, «les gens s’organisent pour véritablement aller dans le sens de changer la donne en faisant des propositions qui répondent aux aspirations de la majorité.» D’ailleurs, notre interlocuteur qui a préféré garder l’anonymat, confirme la tenue d’une réunion au lendemain de la rencontre des leaders de Bennoo Bokk Yaakaar pour «harmoniser les angles, parler le même langage lorsqu’il s’agira de rencontrer le patron Macky Sall. Car, il y aura une rencontre entre uniquement les membres du parti.» Dans tous les cas, le mot d’ordre est le même, confirme-t-il : «On ne veut pas de Niasse.»

Il faut rappeler que récemment, les jeunes de l’Apr étaient montés au créneau pour clamer ceci : «« En ce qui concerne la 13ème législature, nous nous opposons à ce que Moustapha Niasse en soit le Président…Malgré sa loyauté et sa constance, Moustapha Niasse a fait son temps et il doit se retirer pour servir l’Etat à d’autres sphères publiques. Moustapha Niasse a été le Directeur de cabinet sous Senghor, plusieurs fois Ministre sous Diouf, Premier Ministre sous Diouf et Wade et actuellement Président de l’Assemblée Nationale sous Macky Sall. Il a gouté à tous les régimes…Vu son âge 70 ans révolus, il se doit d’être plus en retrait et de laisser la place aux plus jeunes et les accompagner.» Des propos bien soutenus dans les cercles de l’Apr ayant même poussé Momath Sow dit ‘’Malaw’’, président du Conseil départemental de Nioro  à «limoger» le chef de file des progressistes de toutes les listes de Bennoo Bokk Yaakaar.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

« Tête de liste ou non, nous serons au rendez-vous des législatives »

Mahammad Boun Abdallah Dionne compte bien s’investir sur le terrain pour les législatives. Pressenti comme tête de liste nationale de la coalition Benno Bokk Yakaar (Bby), le Premier ministre veut avant tout faire adhérer la population à la vision de développement social et économique du président Macky Sall.

«  Notre volonté est de voir le peuple sénégalais consacrer la confirmation plutôt que l’inflexion dans l’exécution du Pse et nous serons au rendez-vous de la campagne comme nous y étions aussi durant la campagne du référendum du 20 mars 2016. La fonction ministérielle est politique par essence. Je puis, vous confirmer ici que tous les membres du gouvernement vont, collectivement et individuellement, défendre les nombreuses réalisations du Président Macky Sall, tout en rappelant au peuple sénégalais la perspective d’espérance et de Yakaar portée par notre leader à travers le Pse », souligne-t-il.

Et de préciser : « tête de liste ou non, nous serons à ce rendez-vous républicain pour démontrer aux uns et aux autres que cet avenir de progrès, de prospérité et de solidarité dans l’égalité pour tous que nous voulons, devrait se faire avec le Président Macky Sall ».

Paludisme

Célébration de la journée mondiale du paludisme. Cette année, la région de Kaolack est à l’honneur parce qu’elle accueille ce mardi la cérémonie officielle de la Journée mondiale du paludisme qui sera présidée par la ministre de la Santé et de l’action sociale, Awa Marie Coll Seck. Hier, les autorités sanitaires de Kaolack ont fait face à la presse pour faire le bilan de l’année 2016. Ainsi, le nombre de décès dû au paludisme comparé au nombre de décès total notifié est de 2,5% au niveau national. Le Sénégal s’est fixé comme objectif d’éliminer le paludisme à l’horizon 2030.

Investitures

Depuis plus de deux mois, les déclarations de candidatures aux législatives fusent de partout dans la coalition Benno bokk yakaar, surtout dans les rangs de l’Apr. Beaucoup de responsables ne manquent pas l’occasion pour dire leur souhait de diriger la liste de leur localité. Ce qui crée une véritable cacophonie dans le parti présidentiel. Mais cette attitude met mal à l’aise le chef de l’Apr et président de la coalition Bby, Macky Sall. Le responsable apériste à Pikine Nord, Malick Cissé, dénonce cette situation et appelle ses camarades de parti à savoir raison garder. «Il faut permettre au Président Macky Sall de choisir librement les hommes qu’il faut à la place qu’il faut. Il faut éviter les déclarations de candidature à tout va», dit-il. Revenant sur la mise à l’écart de Timbo et Aliou Sall par le chef de l’Apr, Malick Cissé déclare qu’«Abdoulaye Timbo et Aliou Sall sont de grands responsables. Ils ont été dans tous les grands combats. Si c’est eux j’applaudis. Mais au cas contraire, je serais derrière tout responsable que Macky Sall choisira, car l’essentiel c’est de gagner les législatives», ajoute-t-il en marge d’un rassemblement politique à Pikine Nord.

Marième Faye Sall au chevet des malades

Marième Faye Sall était au chevet des malades de l’hôpital Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès. Elle a payé les ordonnances des nombreux cas sociaux trouvés sur place. Hier lundi a été un jour exceptionnel pour le personnel soignant et les patients internés à l’hôpital régional Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès avec la visite surprise de la Première Dame Marième Faye Sall. Elle est arrivée, au nom de la Fondation Servir le Sénégal, et pas les mains vides. Au grand bonheur des nombreux «cas sociaux». Ainsi, Marième Faye Sall a payé elle-même les ordonnances et remis de l’argent aux malades étonnés de la voir à leur chevet. Soulagés, les visages ont commencé à s’illuminer après avoir empoché les billets de banque gracieusement offerts par la Première Dame.  «C’est une demi-journée très intéressante car la Première Dame a fait des actions de haute portée. Je pense que l’ensemble des patients qui sont dans une situation de prise en charge sociale a été satisfait. Elle s’est engagée aussi, dans le cadre de certains projets, à soutenir l’hôpital pour relever le plateau technique afin de nous permettre de mieux prendre en charge les patients. Le service social a été mobilisé et il a pu régler beaucoup de cas sociaux. C’est sûr que d’ici un mois, nous n’aurons plus de cas sociaux», indique le Directeur de l’hôpital Babacar Mané

Kara

Cheikh Ahmadou Kara Mbacké lance une opération Madiaal en tendant la main aux Sénégalais, hommes et femmes au niveau national et international. Cela, en vue des prochaines élections législatives du 30 juillet 2017. Une démarche originale qui risque de faire tilt. Sacré général de Bamba !

IPRES

Selon le président Mamadou Racine Sy, le renforcement de l’autonomie de gestion de l’Institut de prévoyance retraite (Ipres) est l’avenir du régime de retraite au Sénégal. «L’avenir de notre régime de retraite, c’est le renforcement de l’autonomie de gestion de l’institution, qui n’est pas négociable», a-t-il déclaré à l’occasion de la deuxième Conférence sociale axée sur la réforme des retraites. M. Sy et Mody Guiro sont d’avis que l’autonomie de gestion de l’Ipres doit être préservée, afin de travailler au profit des retraités. «Le patronat y tient. Le tripartisme, État-employeur-travailleur est une réalité dans les organes de gestion de l’Ipres», a en particulier soutenu Racine Sy, qui fait savoir que le patronat a toujours joué sa partition dans la revalorisation des pensions de retraite. Il a également émis le souhait de voir le Sénégal rester «attractif et compétitif» en termes de coûts des cotisations sociales. «Privilégions le réalisme et gardons-nous de toute proposition préjudiciable à l’investissement privé par rapport aux pays concurrents», a-t-il notamment alerté

Deux mois de prison ferme pour le Fotograph Gomis

Le photographe Mamadou Gomis a été condamné hier par le Tribunal des flagrants délits de Dakar à deux mois de prison ferme. Il avait été attrait à la barre de cette juridiction de jugement par l’épouse du Directeur général de l’Agence nationale du patrimoine bâti. Le bonhomme qui officiait dans un journal de la place, était poursuivi pour injures publiques. Il s’était servi des réseaux sociaux pour traiter l’épouse du Dg Abdou Karim Fofana de tous les noms d’oiseaux qui frisent l’indécence. C’est sur ces entrefaites qu’il a été arrêté. À la barre, le prévenu a tenté de nier les faits avant de se rétracter. Il a publiquement demandé pardon à la plaignante. Malgré son meaculpa, le juge pénal après en avoir délibéré conformément à la loi, l’a retenu dans les liens de la détention. Mamadou Gomis qui a regretté amèrement son geste, restera ainsi derrière les barreaux pour 60 jours. Et pourtant, selon le prevenu, Abdou Karim Fofana était son ami durant les périodes de vaches maigres. Quelle mouche a donc bien pu le piquer pour qu’il puisse s’en prendre à l’épouse de son vieux pote ? Mystère et boule de gomme.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention