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Législatives 2017 – Les libéraux soupçonnent une fraude

Les libéraux de la section Pds de Bambilor soupçonnent de la fraude de la part du pouvoir en direction des élections législatives à venir. Ils disent avoir décelé des erreurs sur les cartes d’identité. C’était lors de leur assemblée générale tenue le samedi dernier.

Les libéraux de la commune de Bambilor sont montés au créneau, ce week-end, pour dénoncer des erreurs sur leurs cartes d’identité biométriques. Lors de leur assemblée générale tenue samedi dernier au foyer des jeunes, le secrétaire général de section a déclaré ne pas comprendre pourquoi il est mentionné sur leurs cartes : arrondissement de Sangalkam en lieu et place d’arrondissement de Bambilor.

Ainsi, Mamadou Demba Danfakha soutient que lui et ses frères libéraux ont toutes les raisons de s’inquiéter de cette erreur, ‘’louche’’ à leurs yeux. ‘’Si nous décelons à Bambilor les prémices d’une opération de transferts d’électeurs de grande envergure, alors qu’on n’a même pas bouclé l’enrôlement dans beaucoup de régions et qu’il y ait des problèmes dans plusieurs localités du pays, c’est qu’il y a anguille sous roche’’, affirme-t-il.

Dès lors, à quatre mois des élections législatives, il pense qu’il urge de tirer la sonnette d’alarme ; tout en tirant des leçons du passé. ‘’Nous avons vu un transfèrement d’électeurs de l’ordre de 400 qui ont voté à Gorom, lors des élections précédentes. Cette fois-ci, nous allons nous opposer pour que de telles pratiques ne puissent pas faire leur lit dans notre commune’’, prévient-il.

Assimilant ces erreurs à de la falsification, Mamadou Danfakha est d’avis que c’est ‘’une façon déguisée d’effacer Bambilor du paysage politique’’.

Le responsable de la section Pds de Bambilor de dire qu’il y a un parfum de fraude généralisée. ‘’Tout récemment à Podor, des personnes devaient reprendre l’enrôlement, parce qu’il y avait des erreurs. Si j’ai quelqu’un à indexer, c’est le ministre de l’Intérieur, parce que la tâche lui revient de confectionner les cartes d’identité et les cartes d’électeur. C’est à lui de prendre toutes les dispositions pour que pareilles choses ne se produisent pas. Qu’on ne nous dise pas que c’est une erreur administrative’’, peste-t-il.

M. Danfakha et ses camarades demandent à Abdoulaye Daouda Diallo de prendre ses responsabilités. A les en croire, des élections n’auront pas lieu dans la commune de Bambilor si la situation actuelle perdure.

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La liste départementale du Pds aux législatives 2017 à Rufisque(communiqué)

 

« Le frère Daouda NIANG sur une liste départementale ou mémé nationale équivaudrait à une catastrophe incommensurable. »

Les responsables du parti démocratique Sénégalais au département de Rufisque se sont réunis ce lundi 17 Avril 2017 dans la commune de Rufisque Ouest. Cette rencontre va dans le sens de réorganiser le parti en prélude des prochaines législatives prévue le 31 juillet 2017.Ces membres en n’ont profité pour dénoncer le comportement malsain d’un de leur frère en l’occurrence Daouda NIANG mère de Rufisque. En effet pour les libéraux, Daouda NIANG n’est plus crédible dans le département de Rufisque, ayant perdu les élections législatives et présidentielles dernières.

En plus de cette défaite, les membres du parti fustigent les manœuvres du maire qui tente de diviser la parti pour mieux régner .Ils rappellent que c’est ce mémé maire qui avait déclaré de s’être débarrassé du champ politique pour laisser la place à ces fréres.

En conséquent selon le communiqué «  les responsables pds du département de Rufisque exhortent leur frère Daouda NIANG à s’effacer complétement pour l’intérêt supérieur du parti qui ne doit plus compter sur des « joueurs » mais des gagneurs. »

 

 

 

 

 

L’Office des Forages Ruraux vient d’être certifié conforme à la Norme ISO 9001 V 2008, suite à l’audit de certification effectué par AFNOR, du 11 au 13 Avril 2017.

A cet effet, son Directeur général Lansana Gagny Sakho exprime ses vives félicitations à toute son équipe pour son implication à la démarche Qualité.

 

«J’adresse mes félicitations et mes remerciements à l’ensemble du personnel pour son implication dans la démarche Qualité», indique M. Sakho qui encourage à «maintenir le cap et la dynamique de progrès amorcée pour une amélioration continue du Système de Management Qualité».

 

L’Office des Forages Ruraux (OFOR) ambitionne d’être  une référence dans les domaines d’accès à l’eau potable des populations en vue de réaliser au profit du monde rural, à long terme, un robinet dans chaque foyer.

 

L’accès à l’eau avec une disponibilité constante pour les populations en milieu rurale à travers une gouvernance collaborative du sous-secteur de l’hydraulique rurale reste notre défi majeur. Cette option novatrice des pouvoirs publics, une première en Afrique par son approche, est le prélude d’une révolution de l’hydraulique rurale inclusive au service des populations.

 

Les résultats de la première délégation de service public (DSP), opérationnelle depuis le 01 juillet 2015 (amélioration de la qualité de l’eau, résolution des problèmes de continuité du service, tarification plus soutenable, création de près d’une centaine d’emplois directs, etc.) confirment la pertinence des choix pour éradiquer définitivement la pauvreté dans le monde rural.

Confection des listes pour les législatives : L’implosion guette les grands partis

Sur la route menant aux élections législatives du 30 juillet 2017, les partis politiques commencent à s’activer. Les responsables s’agitent, cogitent et bougent pour devenir tête de liste dans leurs localités à défaut de figurer sur les listes. Mais, déjà, les esprits s’échauffent et les risques d’implosion guettent fortement les grands partis politiques ou autres coalitions de partis comme c’est le cas avec Bennoo Bokk Yaakaar.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

L’Alliance pour la République (Apr) ne voudrait pas pour la prochaine législature de conserver le même nombre de députés (61). En effet, d’après des sources d’actunet, les principaux ténors du parti au pouvoir souhaitent voir le nombre de leurs parlementaires revu à la hausse pour parer à toute éventualité. Car, il faut rappeler que suivant les dispositions de la Constitution, le Président Macky Sall ne peut pas faire plus de deux mandats. Et, l’on suppose qu’il ne pourra pas aller au-delà de 2024, s’il est réélu en 2019. Une réalité prise en compte par les pontes de l’Apr par rapport aux élections législatives prévues dans au moins trois mois. De ce point de vue, il faut bien avoir plus de députés que les partis alliés tous regroupés. A ce propos, des problèmes peuvent bien surgir. Sans conteste, l’implosion guette la coalition au pouvoir.

Et pour cause, en dehors de l’Apr où de fortes contestations font légion, le Parti socialiste (Ps), l’Alliance des forces de progrès (Afp), la Ligue démocratique (Ld) et autres formations politiques ne sont pas épargnés. Partout ou presque partout, des voix se lèvent pour dénoncer, mettre en garde et prévenir d’une probable mise en branle de listes parallèles si leurs considérations ne sont pas prises en charge dans le cadre du compagnonnage avec le Président Macky Sall. Dans la foulée, il est bien de rappeler que des pans de Bennoo Bokk Yaakaar ont déjà pris leur distance. Regroupés autour de la coalition ‘’Domi Rewmi’’, ces leaders, membres fondateurs de Macky 2012 ont déjà annoncé le lancement prochain de leur propre coalition pour espérer siéger à l’Assemblée nationale. Ils ne sont pas les seuls. D’autres ‘’morceaux’’ de la coalition présidentielle ont également fait savoir qu’ils prendront leur destin en main, évitant ainsi de se faire ‘’bouffer’’ par l’Apr, le Ps, l’Afp, le Pit ou encore la Ld dont le Secrétaire général, Mamadou Ndoye a récemment jeté l’éponge. La raison étant simple : il souhaitait que son parti fasse cavalier seul pour ce rendez-vous électoral. Ce que la majorité des ‘’jallarbistes’’ ont refusé. Dans tous les cas, le Ps est déjà fortement divisé avec une partie au pouvoir et une seconde dans l’opposition. Que dire encore de l’Apr minée par une crise de leadership et une guerre intestine ravageuse.

Le Parti démocratique sénégalais (Pds) n’est pas reste. L’ancienne formation au pouvoir faisant aussi face à des problèmes internes grandeur nature. Suite à l’exclusion de Farba Senghor et Pape Samba Mboup, la ‘’lionne’’ du Baol marque son territoire et pourrait déposer sa propre liste. Au Rewmi, même si un tel cas de figure parait assez improbable – Oumar Sarr ayant été exclu, les risques de frustrations et contestations sont une réalité. Ils le sont également au niveau de Bokk Gis-Gis de Pape Diop, comme quasiment partout dans les partis politiques. En réalité, la course aux législatives est encore beaucoup plus palpitante car, chacun peut espérer bénéficier du ‘’plus fort reste’’ et devenir député pour…5 ans.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

 

Incendie de Médina Gounass : Mohamed Samb foudroie les détracteurs du ministre de l’intérieur

Par Charles T. SENGHOR – Mécontent des attaques de certaines personnes «malintentionnées» contre le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, suite à l’incendie qui a endeuillé le pèlerinage de Médina Gounass, avec une trentaine de morts te de nombreux blessés, Mohamed Samb est monté au créneau pour le défendre et mettre en garde. Très précis, le Secrétaire général du cadre libéral de concertation indexe, dans le communiqué dont nous avons reçu copie, une opposition «en manque d’inspiration» dont le modus operandi est les attaques personnelles.

«Que peut-on reprocher au ministre Abdoulaye Daouda Diallo qui a été exemplaire tout au long du drame qui a touché la retraite spirituelle de Médina Gounass ?, se demande-t-il, avant de répondre, bien évidemment rien».

« L’incendie est regrettable et nous devons tous nous mettre en bloc comme c’était le cas lors du naufrage du bateau le Joola qui a fait près de trois mille morts», a-t-il suggéré.

Selon lui, «s’attaquer au ministre de l’intérieur est contreproductif pour cette opposition qui doit plutôt se battre pour un projet crédible».

Estimant que «c’est triste pour cette opposition qui ne sait pas faire la différence entre ce qui relève de la volonté divine et de l’erreur humaine, Mohamed Samb rappelle que ce qui est arrivé dans cette cité religieuse a existé à la Mecque, en Iran et un peu partout dans le monde. Et par conséquence, nous devons en tant que croyants implorer le bon Dieu pour le repos de l’âme des victimes au lieu de tenter de plaisanter en s’attaquant au ministre dont l’humanisme, la générosité sont connues de tous. Car, c’est l’un des responsables les plus proches des populations».

Mohamed Samb qui remercie Macky Sall pour sa confiance placée en ce ministre «exemplaire» a exhorté le Khalife général de Médina Gounass, Cheikh Ahmed Tidiane Bâ, lors de sa visite pour la présentation de condoléances de «prier » pour le chef de l’Etat, son gouvernement et pour un Sénégal «émergent ».

Les femmes de BBy sont catégoriques : «La cohabitation agitée par l’opposition est pure utopie»

 

Dans une déclaration rendue publique hier, la coordination des femmes de la coalition Benno bokk yakaar renseigne que la cohabitation soulevée par l’opposition est une vue d’esprit.

 

Par Charles T. SENGHOR

 

La coordination des femmes de la coalition Benno bokk yakaar ne veulent pas entendre parler d’une cohabitation avec l’opposition à l’issue des élections législatives du 30 juillet prochain. «La cohabitation à l’Assemblée nationale soulevée par les détracteurs du régime actuel est pure affabulation et utopie. Comme les rêves sont toujours permis, reconnaissons à cette opposition déboussolée, le droit de rêver», ont déclaré Mme Marième Badiane et ses camarades. Les femmes de Benno bokk yakaar demeurent convaincues de la victoire éclatante de leur coalition au soir du 30 juillet 2017, «car le peuple debout et lucide reconnaît la bonne graine de l’ivraie».

Dans cette dynamique, Adji Mergane Kanouté et ses camarades appellent toutes les femmes à continuer à s’inscrire massivement sur les listes électorales pour donner au Président Macky Sall la majorité qualifiée et confortable à l’Assemblée nationale et une victoire au 1er tour des élections présidentielles de 2019.

Elles préviennent qu’elles apporteront une réponse politique victorieuse au soir du 30 juillet 2017. Les femmes de Benno bokk yakaar sont convaincues que le dialogue a toujours été un exercice «permanent» du Président Macky Sall. Les femmes de cette coordination magnifient son appel à l’opposition pour «l’intérêt des populations sénégalaises et du Sénégal». Elles invitent l’opposition «à plus de responsabilité» et à répondre à cette main tendue du Président Macky Sall pour une gestion «inclusive, participative et démocratique des grandes questions de la nation».

Par ailleurs, ces femmes de Benno bokk yakaar ont présenté leurs condoléances «les plus attristées» au Président Macky Sall, au guide Thierno Amadou Tidiane Bâ, et à toute la population du Sénégal, suite au drame survenu à Daaka, et leur expriment toute leur solidarité.

Dans le communiqué, les femmes de Benno saluent les engagements pris par le chef de l’État le Président Macky Sall et son gouvernement de prendre toutes les mesures nécessaires et adéquates pour la sécurité des personnes et des biens de ce haut lieu de culte. Estimant que l’incident qui a marqué l’organisation du Daaka de Médina Gounass, lourd en pertes de vies humaines et de biens matériels est regrettable, elles appellent à plus de responsabilité et de vigilance.

Dans ce sens, elles invitent le Président Macky Sall à «interdire» la préparation de repas dans ce lieu de retraite spirituelle et proposent que les mets soient préparés ailleurs pour être uniquement servis dans ce lieu de recueillement.

70 millions sur la table : Pikine refuse, Guédiawaye hésite

Le montant du cachet exigé par le staff de Boy Niang n’est pas dévoilé, mais d’après nos sources, De Gaulle aurait réclamé une forte somme pour le combat de son fils. Un montant sans appel qui a même surpris beaucoup tellement il est exorbitant. Or, si l’on sait que lors de son dernier combat face à Gouy Gui, Boy Niang avait reçu un montant bien moins élevé que ce que tend à exiger actuellement son père aux promoteurs. Une nette différence, rapporte notre source et qui dit ne pas comprendre cette surenchère brusque de la part des lutteurs. Le tout nouveau promoteur qui veut organiser ce combat, en l’occurrence Ousmane Diop Boston, est revenu à la charge en se rendant au domicile familial deBoyNiang, hier, pour dit-ilrelancerles démarches en vue de ce combat qu’il tient à produire évènementiel. Mais, il s’est une fois de plus heurté au veto du père De Gaulle, qui reste campé sur ses positions : y mettre le prix qu’il faut ou rien. Ce qui a estompé les démarches pour l’heure du côté de Pikine. Après avoir pris bonne note de ce refus du staff du Pikinois, Ousmane DiopBoston s’estrendu ensuite à Guédiawaye pour rencontrer le staff de Sa Thiès. Là aussi il lui a été demandé de mettre le prix qu’il faut pour queSaThiès,sorti vainqueur de son combatface à Ness le 9 avril, daigne accepter se frotter au fils de DeGaulle.Mais hier,BallaGaye 2 qui était absent au moment de la visite à domicile, a invité le promoteur à garder la ligne pour un nouveau rendez-vous avec le staff de Sa Thiès dans la semaine. Comme quoi, l’espoir reste encore permis pour le promoteur. Dans tous les cas, Ousmane Diop et son staff maintiennent leur mise : 70 millions sont d’ores et déjà déposés sur la table pour qui veut de ce duel entre le camp de l’école de lutte Double Less et le fils de De Gaulle. Les choses en sont là pour le moment, et pour rappel, il faut savoir que c’est juste pour faire plaisir aux amateurs de lutte en leur offrant un combat inédit avant la fin de saison, selon le tout nouveau promoteur

Apres s démission – Les cadres de la Ld rendent hommage à Mamadou Ndoye

Lors de leur réunion en session extraordinaire le mardi 18 avril 2017, au siège du Parti, la Coordination des cadres de la Ligue démocratique (Cdc) a analysé la situation politique qui prévaut actuellement dans le Parti selon le communiqué. «Examinant l’an- nonce de la démission du camarade Se- crétaire général, la Cdc exhorte la di- rection du Parti à réunir dansles meilleurs délais l’instance appropriée pour ap- préciation», prévoit-elle. Cependant, la Cdc rend un vibrant hom- mage à leur camarade Mamadou Ndoye «pour son engagement depuis des dé- cennies au service du Parti, son atta- chement aux idéaux de la gauche et son leadership confirmé au Sénégal, en Afrique et dans le monde», d’après le coordinateur Abdoulaye Bathily Jr. La Cdc, après leur constat dans le contexte des mutationssociopolitiques actuel que traverse le Sénégal, «la Ld tient à affirmer son attachement à la préservation de l’identité du parti dont le programme de transformation économique etsociale cristallise l’espoir de milliers de militants et de sympathisants», croit-elle savoir. Plus en verve, la Cdc se veut claire : elle reste convaincue que le rôle du parti sera consolidé et déclare sa déter- mination à ne laisser aucune chance aux tentatives de manœuvres et de ma- nipulations tendant à leur dévier de leur ligne politique alignée sur les valeurs de Gauche. En effet, la Ld a toujours apporté une contribution de taille dans l’édification d’une nation forte et indépendante, dans le renforcement du pouvoir du peuple et dans la défense de son droit à la liberté et à l’épanouissement. Pour conclure, «la Cdc lance un appel à tous les militants et militantes, en particulier aux cadres du parti, à rester vigilants et mobilisés pour le triomphe des valeurs de justice sociale, de progrès et de soli- darité que la Ligue démocratique a tou- jours incarnées. La lutte continue !»

Législatives 207 à Guédiawaye – Les cadres républicains maintiennent la candidature d’Aliou Sall

Le maire de la ville de Guédiawaye, Aliou Sall, continue de bénéficier du soutien de ses camarades à Guédiawaye. Après les femmes de Benno qui ont supplié Macky Sall de revenir sur sa décision d’écarter son frangin pour la course à la députation, la Convergence des cadres républicains est monté au créneau pour dire qu’il maintient son choix de diriger la liste départementale de Benno de Guédia- waye par Aliou Sall. «(…) La Conver- gence des cadres républicains réaffirme sa détermination à rendre possible ce qui est souhaitable et urgent pour les populations. Elle maintient son choix porté sur Aliou Sall pour diriger la tête de liste départementale de Guédiawaye», peut-on lire dans une Lettre ouverte adressée au Président Macky Sall, dont nous avons reçu copie. Visiblement, les cadres de l’Apr de Guédiawaye ont dépassé la question des investitures dans leur localité et se projettent vers le futur. «Nous avons déjà choisi» disent-ils dans la Lettre. «Ce qui est important à nos yeux, c’est de créer les conditions de massification, d’unité au sein de l’Apr et de la coalition. Nous privilégions le travail dans la paix, la transparence et les respect mutuel», ajoute la missive. La Convergence des cadres républicains de Guédiawaye n’est pas prête à lâcher Aliou Sall. «Avec lui, nous allons gagner largement les législatives. Nous tra- vaillons à disposer d’une coalition mo- dèle à Guédiawaye, soudée et attractive, qui nous permettra d’aller vers le pro- grès», souligne la Lettre.

Retour prochain de Wade – L’heure des comptes

Senegal's President Abdoulaye Wade (L) accompanied by his Prime Minister Macky Sall as they await on the tarmac to greet Rwandan President Paul Kagame who arrived for a 3 day visit in Dakar. AFP PHOTO SEYLLOU (Photo credit should read SEYLLOU DIALLO/AFP/Getty Images)

Le retour annoncé de Wade risque de gripper la machine lancée à plein régime par le Président Sall pour réduire l’opposition à sa plus simple expression. Sa venue programmée, à quelques encablures des législatives, n’est pas fortuite. Une occasion que Me Wade compte mettre à profit pour redynamiser son écurie qui est en pleine déconfiture, fédérer l’opposition éparpillée, avant d’aller solder ses comptes avec le champion de l’Apr

Les législatives qui se profilent à l’horizon constitueront sans nul doute un tournant décisif pour le Président Sall quant à sa réélection pour la présidentielle de 2019. Conscient du fait que pour renouveler son bail avec le peuple, il lui faudra impérativement franchir cet obstacle, le Président Sall a décidé de ratisser large en procédant à une entreprise de démantèlement de l’opposition. Si à ce jour il a tant bien que mal réussi son plan, le retour annoncé d’Abdoulaye Wade risque d’entraver ses projets. Un Wade décidé à solder ses comptes avec son successeur. Car l’emprisonnement de son fils lui est resté en travers de la gorge, un affront qu’il compte laver. Ayant été le maître et formateur, il connaît mieux que quiconque les forces et faiblesses de son «apprenti» et successeur, et ne manquera pas de les exploiter à fond. Ainsi, le Président Sall devra batailler ferme pour résister à l’assaut de Wade. Un adversaire redoutable dont le génie et la ruse en politique ne sont plus à dé- montrer. Face à lui, le Président Sall aura fort à faire d’autant que Wade père ne reculera devant rien pour le bouter hors du Palais. Le seul fait qu’il ait réussi à réconcilier ses fils Idy et Karim dont les relations exécrables n’étaient plus à démontrer, renseigne sur sa détermination à solder ses comptes avec lui. Car, si Wade est allé jusqu’à faire revenir Idy qu’il qualifiait au plus fort de leur brouille de «serpent venimeux », dans sa maison, c’est sans nul doute pour qu’il crache son venin sur leur ennemi commun. D’ailleurs, Idrissa Seck ne se prive jamais de lancer des piques assassines au chef de l’État lors de ses sorties. Et si Wade père a décidé de transcender ses divergences pour faire équipe avec lui, le Président Sall a du souci à se faire, d’autant qu’ils ont eu à partager le même bol. PAS DE RECULADE… Wade père qui travaillait d’arrache pied pour que son fils atteigne le sommet ne lui a toujours pas pardonné le fait que le président Sall ait choisi de che- miner avec Niasse et Tanor qu’il tient en piètre estime, car les considérant comme ayant joué un rôle dans la descente aux enfers de son fils. D’ailleurs c’est de guerre lasse et ruminant sa colère qu’il s’est résolu à rentrer à Versailles après qu’il a échoué dans sa tentative de tirer Karim des griffes de dame Justice. Aujourd’hui que son fils est libre, Wade ne reculera devant rien pour faire payer chèrement à son «apprenti» ce qu’il considère comme un affront. Et les législatives qui se profilent à l’horizon seront sa dernière bataille et il ne lésinera pas sur les armes pour l’emporter, quelles soient conventionnelles ou pas, l’essentiel sera de faire tomber l’ennemi. Malgré son âge avancé, Abdoulaye Wade jouit d’une certaine popularité et garde sa capacité de mobilisation et de nuisance. Ayant présidé aux destinées du Sénégal et cheminé des années durant avec l’actuel locataire du palais, il détient sans nul doute des bombes à fragmentation, qui mises sur la place publique pourraient secouer les fondements de la République. Comme ce fut le cas lors de son dernier passage à Dakar où il avait largué les missiles Petro-Tim et Arcelor Mittal qui sont toujours d’actualité

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