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Ousmane Cissé- Responsable APR : « L’opposition se prépare au concubinage »

 

Pour le responsable Apr de Kébémer, en agitant la cohabitation, l’opposition se prépare au concubina ge par la réclamation de postes après les élections législatives. Cissé qui prévoit une défaite du camp opposé à Benno égratigne Me Wade au motif que son retour en politique obéit à une logique de réunir une certaine opposition autour de son fils Karim Wade.

 

Par Ndiogou CISSE

 

L’opposition agite l’idée d’une cohabitation au sortir des législatives. Qu’en pensez vous ?

Cette idée de cohabitation agitée par l’opposition est un exercice puéril qui ne cadre pas avec la réalité du terrain politique.   Il faut se rendre à l’intérieur du pays pour faire la différence entre ceux qui étaient là avant 2012 et leurs remplaçants. Car à la place de l’immobilisme, de la pauvreté et de la décroissance, le régime de Macky Sall est entrain de changer la donne par l’émergence avec le Puddc,   par la croissance avec un ambitieux programme en direction des populations dans tous les domaines. Ceux qui agitent la cohabitation entretiennent volontaire la confusion pour se préparer à un concubinage avec le pouvoir qui les a pourtant conviés à un dialogue mais qui préfèrent verser dans l’invective et les déclarations futiles.

Le Président, Macky Sall et Benno ont t-il un bilan pour convaincre les électeurs ?

Il faut vraiment fermer les yeux pour ne pas voir les réponses que le Président, Macky sall est entrain d’apporter aux préoccupations des populations. Dans la santé, l’éducation, le social, l’agriculture, les infrastructures, qui est le Sénégalais qui ne s’est pas rendu compte des progrès entre 2012 à maintenant ?  En parlant de cohabitation, l’opposition qui sait qu’elle va perdre les élections législatives cherche des portes dérobées pour , non pas cohabiter avec le pouvoir mais pour réclamer des postes et se livrer au concubinage. Ce qu’il ya lieu de savoir pour les prochaines élections, c’est que la coalition Benno Bok Yaakar qui a gagné toutes les élections depuis que le Président Sall est arrivé au pouvoir et remporté haut la main le référendum n’a pas besoin d’un vote à cent pour cent pour démontrer sa suprématie sur l’opposition. Dans un Etat démocratique , il ya toujours en face du camp majoritaire une minorité qui dit non et   dont le respect de son choix   donne sens à la démocratie. Tout ce qu’il faut à notre coalition , c’est de rester dans la dynamique de mobilisation, de travail et surtout d’écoute des préoccupations des populations.

 

Me Wade arrive. Vous fait –il peur ?

C’est cela qui nous a permis de remporter les élections législatives et les élections locales passées et qui va nous permettre de rafler les prochaines législatives en attendant de réélire le Président Macky Sall en 2019. L’opposition se rendra à ses dépens qu’elle évolue dans le rêve, l’irréalisme dans le souhaitable et non dans la réalité. S’agissant de Me Abdoulaye Wade qui pense pouvoir déranger son successeur qui l’a battu avec plus de 65 pour cent des voix , avec tout le respect que je lui dois, il se trouve dans une situation qui me rappelle Don Diégo du Cid qui, presque la fin de sa vie se trouve face à une situation assez délicate et qui considère qu’avec la vieillesse, il aura oh les espoirs oh…… Me Wade se trouve dans une situation qui lui rappelle que quand il était en pleine possession de son parti, il l’a géré en commettant tellement d’infanticides qu’il se retrouve aujourd’hui sans héritier. Parce que l’héritier politique, c’est l’homme politique et non le fils biologique. La dynamique de Me Wade aujourd’hui, c’est d’amener une certaine classe politique à se réunir autour de son fils. Mais cette classe politique doit savoir que dans le cas de la résurrection, Jésus ne l’a pas fait pour sauver un individu mais pour son peuple.

 

 

 

Ramatoulaye Gadio Agne, nouvelle patronne de la Centif

Waly Ndour n’est plus le Président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif). Il a été remplacé par Ramatoulaye Gadio Agne. C’est l’une des mesures phare contenues dans le communiqué du Conseil des ministres de ce mercredi 19 avril.

La nouvelle patronne des gendarmes financiers est Inspecteur principal du Trésor. Jusqu’à sa nomination, elle occupait les fonctions de Receveur général du Trésor.

Ramatoulaye Gadio Agne entre à la Centif en même temps que deux commissaires de police et inspecteur des Douanes. Il s’agit respectivement de Mamadou Thiandoum, Mamadou Lamine Niang et Kéba Diallo. Ce trio remplace Aby Diallo, Modou Diagne et Samba Dia.

Ci-dessous toutes les nominations du Conseil des ministres.

Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :

Monsieur Mabousso THIAM, Diplômé en Banque et Economie Islamique, est nommé Président de la Commission de Supervision de la Haute Autorité du WAQF ;

Madame Oulimata DIOP, Administrateur Civil Principal, précédemment Directeur de la Monnaie et du Crédit, est nommée Directeur Général de la Haute Autorité du WAQF ;

Monsieur Papa Amadou SARR, titulaire d’un Master en Economie du Développement, est nommé Directeur Général du Secteur Financier et de la Compétitivité au Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan ;

Monsieur Ismaïla GUEYE, Inspecteur Principal des Impôts et des Domaines, est nommé Coordonnateur de la Direction Générale du Secteur Financier et de la Compétitivité au Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan ;

Madame Fatou DIANE, Docteur en Economie, est nommé Directeur de la Réglementation et de la Supervision des Systèmes financiers décentralisés (DRS/SFD) à la Direction générale du Secteur financiers et de la Compétitivité, en remplacement de Madame Mame Boury NGOM, appelée à d’autres fonctions ;

Monsieur Lat DIOP, Administrateur Civil Principal, précédemment Directeur de l’Investissement, est nommé Directeur de la Coopération et des Financements extérieurs à la Direction Générale du Budget ;

Monsieur Mouhamadou Moustapha FALL, Inspecteur Principal du Trésor, est nommé Directeur de l’Administration et du Personnel de la Direction Générale du Budget ;

Monsieur Maguette SENE, Administrateur Civil, est nommé Directeur du Matériel et du Transit Administratif à la Direction Générale du Budget ;

Monsieur Abdoulaye DIENG, Inspecteur Principal de la Coopération, précédemment Directeur de la Coopération Economique et Financière, est nommé Directeur du Contrôle Interne (DCI) de la Direction Générale du Budget ;

Monsieur François NDONG, Informaticien, est nommé Directeur des Systèmes d’Information à la Direction Générale du Budget ;

Madame Seynabou Ben MESSAOUD, Conseiller en Planification, est nommée Directrice de la Programmation Budgétaire à la Direction Générale du Budget ;

Monsieur Charles Emile CISS, Administrateur Civil Principal, précédemment Directeur de l’Informatique à la Direction Générale des Finances, est nommé Directeur de la Solde à la Direction Générale du Budget ;

Monsieur Bakar FAYE, Administrateur Civil Principal, est nommé Directeur du Contrôle Budgétaire à la Direction Générale du Budget.

Monsieur Mouhamadou DIALLO, Administrateur Civil Principal de classe exceptionnelle, est nommé Directeur des Pensions à la Direction Générale du Budget ;

Monsieur Papa Thialaw FALL, Inspecteur principal des Douanes, précédemment Conseiller technique au Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, est nommé Directeur de la Facilitation et du Partenariat avec l’Entreprise à la Direction Générale des Douanes, en remplacement de Monsieur Laffy MANE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;

Monsieur Ibrahima FAYE, Inspecteur principal des Douanes, précédemment Assistant du Directeur de la Facilitation et du Partenariat avec l’Entreprise, est nommé Directeur régional du Sud-Est à la Direction Générale des Douanes, en remplacement de Monsieur Ibrahima THIAM, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Papa NDIAYE, Inspecteur Principal des Douanes, précédemment Directeur régional du Sud, est nommé Directeur régional des Produits pétroliers et des Unités spécialisées à la Direction Générale des Douanes, en remplacement de Monsieur Papa Mamadou Lamine DIAITE, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Alassane BA, Inspecteur principal des Douanes, précédemment Contrôleur interne à la Direction Générale des Douanes, est nommé Directeur régional du Sud à la Direction Générale des Douanes, en remplacement de Monsieur Papa NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;

Madame Ramatoulaye Gadio AGNE, Inspecteur Principal du Trésor, précédemment Receveur Général du Trésor, est nommée Présidente de la Cellule nationale de Traitement des Informations financières (CENTIF), en remplacement de Monsieur Waly NDOUR, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Mamadou THIANDOUM, Commissaire de Police Divisionnaire de Classe Exceptionnelle, est nommé membre de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières, en remplacement de Madame Aby DIALLO, admise à faire valoir ses droits à une pension de retraite :

Monsieur Mamadou Lamine NIANG, Commissaire de Police principal, est nommé membre de la Cellule Nationale de Traitement des Informations financières en remplacement de Monsieur Modou DIAGNE, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Kéba DIALLO, Inspecteur des Douanes de classe exceptionnelle, est nommé membre de la Cellule nationale de Traitement des Informations financières, en remplacement de Monsieur Samba DIA, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Monsieur Saliou FALL, Inspecteur de l’Administration pénitentiaire, précédemment Chef de la Division des Finances et du Matériel, est nommé Directeur de l’Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire, en remplacement de l’Inspecteur Abdourahmane KANE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;

Monsieur Souleymane Anta NDIAYE, précédemment Premier Conseiller à l’Ambassade du Sénégal à Moscou, est nommé Chef du Bureau économique prés ladite Ambassade ;

Monsieur Mamadou SEYDI, Environnementaliste, est nommé Secrétaire général de l’Agence de la Grande Muraille verte au ministère de l’Environnement et du Développement durable, poste vacant.

Moustapha Hamdy Faye «la honte ne tue plus dans ce football…»

Il a ôté ses godasses pour mettre le bleu de chauffe afin de faire face à cette équipe fédérale qui a fait son temps. Avec une verve qu’on ne lui connaissait pas, car s’étant longtemps exprimé avec le ballon, avec dextérité au demeurant, il a listé les maux qui gangrènent la bonne marche du football séné- galais. Aujourd’hui, à la tête d et d’un collectif, il met l’etat face à ses responsabilités tout en promettant, dans les jours prochains, aux côtés de sénégalais épris de changement, une grande manifestation pour crier un ras-le-bol. sa conviction est que des amateurs ne pourront jamais manager des professionnels, et que l’instance fédérale doit davantage s’ouvrir aux anciens internationaux détenteurs d’une grande expérience. Non sans rappeler qu’aucun poste ne l’intéresse, seul le développement du football de son pays l’importe

Qelle suite au match Casa & Gfc ? un écueil qui pollue l’atmosphère de la ligue

la ligue sénégalaise de football professionnel a tenu une réunion ce mercredi, pour statuer sur le cas du match casa sport / Guédiawaye programmé initialement à la 6e journée. Alors que les dirigeants du casa ont clairement signifié qu’ils ne le joueraient plus, quelle sera l’attitude de l’instance face à ce coup de force du club sudiste.

En l’absence du président de la ligue de football professionnel Saér Seck, les autres membres du comité exécutif joints au téléphone disent qu’ils vont communiquer ultérieurement. Rappelons que le match qui était programmé lors de la 6ème journée n’a pu se tenir. Le président de la ligue, avait noté au cours d’une émission télévisée que c’est la responsabilité de la ligue, puisqu’elle avait déprogrammé la rencontre au dernier moment. « C’est la Ligue pro qui est responsable, parce que c’est elle qui a déprogrammé le match. La rencontre sera reprogrammée. J’entends effectivement le Casa Sports réclamer les trois points. J’aurais bien aimé les lui donner mais je ne peux pas. Ça prend du temps parce que nous n’avons pas voulu le faire dans la polémique et le bras de fer. Nous sommes en train de discuter avec les deux parties de manière à trouver la meilleure date. Et je pense que dans les prochains jours, ce sera fait. Parce qu’en tout état de cause, il faudra qu’il soit reprogrammé», avait-il expliqué. Mais aujourd’hui, la ligue est mise face à ses responsabilités depuis que l’une des deux équipes a dit son refus de disputer une rencontre reprogrammée. Et justifie cette posture. « Le Casa Sport ne jouera pas le match contre Guédiawaye, la position du club n’a pas changé. Guédiawaye avait argué un problème de logistique. Mais la ligue a fait dans le favoritisme en ne déplaçant ni arbitres ni superviseur. Ce qui fait que nous réclamons les trois points tout simplement», soupire-t-on du côté du sud. Que la ligue se décide de vider ce contentieux avant de perturber le reste d’une compétition qui a gagné en intensité et en incertitudes. On rappelle que la réunion d’hier n’a accouché d’aucune solution, car le président était en déplacement. Chiche !

Voxsports

Non-respect des engagements electorales de représentativité – Le Grand Cadre s’indigne et alerte

En décidant d’observer un débrayage aujourd’hui, jeudi 20 avril, le Grand cadre des syndicats de l’enseignement(Gcse) s’indigne de «l’indifférence totale» des autorités pendant cette période d’accalmie pour la matérialisation des accords consignés dans le procès-verbal. Face à la presse hier, mercredi 19 avril, le nouveau coordinateur du Gcse, Oumar Waly Zoumarou, invite tous les enseignants à «suivre le mot d’ordre de débrayage à partir de10 heures. Les syndicats veulent attirer l’attention des autorités et des partenaires sociaux sur la possibilité d’user d’autres moyens légaux pour faire face au sabotage du corps enseignant».

ZIGUINCHOR- Colère des OPS des victimes de bons impayés : La Sonacos au banc des accusés

L’histoire de «bons impayés» que l’on croyait révolue, réapparait à Ziguinchor sous la forme de chèques sans provision au grand dam d’une dizaine d’Opérateurs Privés Stockeurs (OPS ) de la région sud. La campagne de commercialisation arachidière se termine sur fond de grogne de ces  OPS du sud du pays. Ces derniers inquiets et fâchés réclament à la SONACAOS SA le paiement de leurs factures de déchargement des graines. Une ardoise de plusieurs millions de francs CFA que l’usine traîne depuis trois semaines maintenant. «La Sonacaos nous fait valser à la banque  depuis trois semaines avec des chèques sans provision…», s’insurgent ces acteurs incontournables de la campagne de commercialisation arachidière

Incarcération de Khalifa Sall – Les avocats plaident devant Macky

D’un palais de justice au palais de la République. Les avocats de Khalifa Ababacar Sall ont quitté le Temple du Thémis pour mieux attirer l’attention du Président de la République sur ce qu’ils qualifient de «violations des droits» de leur client incarcéré depuis plus d’un mois dans l’affaire dite de la caisse d’avance de la mairie de Dakar. Dans une lettre adressée à la clé de voûte des institutions du Sénégal, en date du 13 avril dernier dont nous avons obtenu copie, les Conseillers de l’édile de Dakar, demandent le retrait de la constitution de partie civile de l’Etat et sollicitent de Macky Sall de mettre un terme aux attaques de membres de son gouvernement qui violent la présomption d’innocence de leur client.

L’intégralité du communiqué du Conseil des ministres de ce 19 avril février 2017.

Le Président Macky SALL a réuni le Conseil  des Ministres, mercredi 19 avril 2017, à 10 heures, au Palais de la République.

A l’entame de sa communication, le Chef de l’État adresse ses chaleureuses félicitations et ses meilleurs vœux à toute la communauté chrétienne, à l’occasion de la célébration de la fête de Pâques,  moment privilégié  de ferveur religieuse et de prières pour la paix et la prospérité du Sénégal.

Revenant sur le deuil national de trois jours, à compter du mardi 18 avril, qu’il a décrété suite à l’incendie tragique survenu au Daaka de Médina Gounass, le Président de la République présente, à nouveau, les condoléances attristées et la compassion de la Nation à la communauté musulmane, au Khalife Thierno Amadou Tidiane BA, aux familles des victimes, et souhaite un prompt rétablissement aux blessés.

Par ailleurs, le Chef de l’État demande au Gouvernement, en relation avec les organisateurs de cette manifestation religieuse de dimension internationale, de prendre toutes les dispositions logistiques préventives, en vue d’un aménagement adéquat, d’une modernisation soutenue et d’une sécurisation optimale des lieux, installations et établissements de séjour des pèlerins du Daaka, ainsi que du renforcement des dispositifs d’adduction en eau potable de Médina Gounass et des localités polarisées.

En outre, le Président de la République invite le Gouvernement à définir, avec les autorités religieuses, un cadre consensuel d’organisation des interventions publiques, pour chaque manifestation programmée, en accordant une attention particulière à la disponibilité des services de base tels que l’eau, l’électricité, l’assainissement, l’hygiène, la santé.

Abordant la réhabilitation et la modernisation des marchés, centres commerciaux et artisanaux, le Chef de l’État exprime toute la solidarité de l’État envers les commerçants, suite aux incendies survenus au niveau des marchés “Zinc” de Kaolack et des HLM de Dakar. Ainsi, le Président de la République demande aux Ministres en charge des Finances, du Commerce et de la Gouvernance locale, en relation avec le Maire de Kaolack, d’engager la réflexion en vue de la construction, à Kaolack, d’un marché moderne, intégrant toutes les commodités requises.

Enfin, le Chef de l’État demande au Gouvernement de hâter l’exécution du projet de réalisation d’un Grand marché d’intérêt national à Diamniadio, et de procéder à l’examen rapide des modalités de régulation des baux à usage commercial, afin de faciliter l’installation adéquate des activités économiques.

Poursuivant sa communication autour de la préparation de la campagne agricole 2017, le Président de la République invite le Gouvernement à veiller, sans relâche, au dénouement, dans les meilleures conditions, de la présente campagne de commercialisation, et à consolider les résultats encourageants des programmes nationaux de reconstitution du capital semencier, d’autosuffisance en riz et de développement de l’horticulture, dans une approche de renforcement de la chaîne de valeurs. Dans cette perspective, il exhorte le Gouvernement à poursuivre, outre la mise en place d’intrants de qualité, les efforts d’aménagement de nouvelles terres agricoles, et d’équipement agricoles modernes et accessibles aux producteurs.

Le Chef de l’État a clos sa communication sur son agenda diplomatique, le suivi de la coopération et des partenariats, en se réjouissant de la décision prise par la FAO d’ouvrir un bureau sous-régional, à Dakar. Ainsi après avoir remercié la FAO et félicité le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, le Président de la République demande au Gouvernement de prendre toutes les mesures requises à cet effet.

Le Premier Ministre a axé sa communication sur les mesures prises par le Gouvernement en matière de protection civile, avant de rendre compte du suivi et de la coordination de l’activité gouvernementale.

Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point de la conjoncture économique nationale et internationale.

Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a rendu compte du déroulement de la campagne de commercialisation arachidière.

Le Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance a fait le point des préparatifs de la prochaine quinzaine de la femme.

Le Ministre auprès du Président de la République en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent a rendu compte de l’état d’avancement des différents projets et réformes.

Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a adopté :

  • •    le projet de loi abrogeant la loi n°66-62 du 30 juin 1996 portant création de la Compagnie nationale du Théâtre Daniel Sorano (CNDTS) ;
  • •    le projet de décret portant organisation du Ministère de l’Environnement et du Développement durable.

Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :

  • •    Monsieur Mabousso THIAM, Diplômé en Banque et Economie Islamique, est nommé Président de la Commission de Supervision de la Haute Autorité du WAQF ;

 

  • •    Madame Oulimata DIOP, Administrateur Civil Principal, précédemment Directeur de la Monnaie et du Crédit, est nommée Directeur Général de la Haute Autorité du WAQF ;

 

  • •    Monsieur Papa Amadou SARR, titulaire d’un Master en Economie du Développement, est nommé Directeur Général du Secteur Financier et de la Compétitivité au Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan ;

 

  • •    Monsieur Ismaïla GUEYE, Inspecteur Principal des Impôts et des Domaines, est nommé Coordonnateur de la Direction Générale du Secteur Financier et de la Compétitivité au Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan ;

 

  • •    Madame Fatou DIANE, Docteur en Economie, est nommé Directeur de la Réglementation et de la Supervision des Systèmes financiers décentralisés (DRS/SFD) à la Direction générale du Secteur financiers et de la Compétitivité, en remplacement de Madame Mame Boury NGOM, appelée à d’autres fonctions ;

 

  • •    Monsieur Lat DIOP, Administrateur Civil Principal, précédemment Directeur de l’Investissement, est nommé Directeur de la Coopération et des Financements extérieurs à la Direction Générale du Budget ;

 

  • •    Monsieur Mouhamadou Moustapha FALL, Inspecteur Principal du Trésor, est nommé Directeur de l’Administration et du Personnel de la Direction Générale du Budget ;

 

  • •    Monsieur Maguette SENE, Administrateur Civil, est nommé Directeur du Matériel et du Transit Administratif à la Direction Générale du Budget ;

 

  • •    Monsieur Abdoulaye DIENG, Inspecteur Principal de la Coopération, précédemment Directeur de la Coopération Economique et Financière, est nommé Directeur du Contrôle Interne (DCI) de la Direction Générale du Budget ;

 

  • •    Monsieur François NDONG, Informaticien, est nommé Directeur des Systèmes d’Information à la Direction Générale du Budget ;

 

  • •    Madame Seynabou Ben MESSAOUD, Conseiller en Planification, est nommée Directrice de la Programmation Budgétaire à la Direction Générale du Budget ;

 

  • •    Monsieur Charles Emile CISS, Administrateur Civil Principal, précédemment Directeur de l’Informatique à la Direction Générale des Finances, est nommé Directeur de la Solde à la Direction Générale du Budget ;

 

  • •    Monsieur Bakar FAYE, Administrateur Civil Principal, est nommé Directeur du Contrôle Budgétaire à la Direction Générale du Budget.

 

  • •    Monsieur Mouhamadou DIALLO, Administrateur Civil Principal de classe exceptionnelle, est nommé Directeur des Pensions à la Direction Générale du Budget ;

 

  • •    Monsieur Papa Thialaw FALL, Inspecteur principal des Douanes, précédemment Conseiller technique au Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, est nommé Directeur de la Facilitation et du Partenariat avec l’Entreprise à la Direction Générale des Douanes, en remplacement de Monsieur Laffy MANE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;

 

  • •    Monsieur Ibrahima FAYE, Inspecteur principal des Douanes, précédemment Assistant du Directeur de la Facilitation et du Partenariat avec l’Entreprise, est nommé Directeur régional du Sud-Est à la Direction Générale des Douanes, en remplacement de Monsieur Ibrahima THIAM, appelé à d’autres fonctions ;

 

  • •    Monsieur Papa NDIAYE, Inspecteur Principal des Douanes, précédemment Directeur régional du Sud, est nommé Directeur régional des Produits pétroliers et des Unités spécialisées à la Direction Générale des Douanes, en remplacement de Monsieur Papa Mamadou Lamine DIAITE, appelé à d’autres fonctions ;

 

  • •    Monsieur Alassane BA, Inspecteur principal des Douanes, précédemment Contrôleur interne à la Direction Générale des Douanes, est nommé Directeur régional du Sud à la Direction Générale des Douanes, en remplacement de Monsieur Papa NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;

 

  • •    Madame Ramatoulaye Gadio AGNE, Inspecteur Principal du Trésor, précédemment Receveur Général du Trésor, est nommée Présidente de la Cellule nationale de Traitement des Informations financières (CENTIF), en remplacement de Monsieur Waly NDOUR, appelé à d’autres fonctions ;

 

  • •    Monsieur Mamadou THIANDOUM, Commissaire de Police Divisionnaire de Classe Exceptionnelle, est nommé membre de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières, en remplacement de Madame Aby DIALLO, admise à faire valoir ses droits à une pension de retraite :

 

  • •    Monsieur Mamadou Lamine NIANG, Commissaire de Police principal, est nommé membre de la Cellule Nationale de Traitement des Informations financières en remplacement de Monsieur Modou DIAGNE, appelé à d’autres fonctions ;
  • •    Monsieur Kéba DIALLO, Inspecteur des Douanes de classe exceptionnelle, est nommé membre de la Cellule nationale de Traitement des Informations financières, en remplacement de Monsieur Samba DIA, appelé à d’autres fonctions ;

 

  • •    Monsieur Monsieur Saliou FALL, Inspecteur de l’Administration pénitentiaire, précédemment Chef de la Division des Finances et du Matériel, est nommé Directeur de l’Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire, en remplacement de l’Inspecteur Abdourahmane KANE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;

 

  • •    Monsieur Souleymane Anta NDIAYE, précédemment Premier Conseiller à l’Ambassade du Sénégal à Moscou, est nommé Chef du Bureau économique prés ladite Ambassade ;

 

  • •    Monsieur Mamadou SEYDI, Environnementaliste, est nommé Secrétaire général de l’Agence de la Grande Muraille verte au ministère de l’Environnement et du Développement durable, poste vacant.

CHEIKH TIDIANE NIANE, ARTISTE-DANSEUR- PROMOTEUR : «Danser la vie et vivre la danse»

 

Cheikh Tidiane Niane, est un artiste mondialement connu grâce à ses talents et à sa polyvalence. Son amour pour la danse, il l’acquiert dès le bas âge. L’auteur des livres «Danser entre le ciel et la terre» et «Danse traditionnelle africaine» fait partie de ceux qui ont révolutionné le monde de la danse et lui a donné ses lettres de noblesse au Sénégal. Une autre vision de la danse pratiquée par les hommes a été bien possible grâce à lui.

 

Par Rokhaya Nar DIOP

 

«Danser la vie et vivre la danse», un leitmotiv bien de Cheikh Niane, artiste mondialement connu pour la danse. Pour pratiquer cet art qu’il dit commencer depuis sa naissance, dans les années 70, ce n’était pas évident, car il n’était pratiqué que par des femmes. «Un homme qui dansait n’était pas accepté, mais j’ai dû mettre mon empreinte pour redorer le blason de la danse et montrer le contraire. La danse est une passion. Normalement je ne dois pas danser, on doit le faire pour moi». Sa lignée est passée par là.

Mais, avec l’accord de sa regrettée mère, et étant un fils gâté, «le thiat» de la famille, elle ne lui refusait rien et cédait à tous ses caprices. Donc, c’est avec la bénédiction de sa mère que Cheikh Niane a pu intégrer le ballet national du Sénégal et Mudra Afrique, créé par Senghor en 1977. Maîtrisant son art à la perfection, Cheikh Niane est sollicité partout dans le monde, avec des tournées à l’appui.

Une expérience de plusieurs décennies dans la danse en bandoulière, Cheikh Niane dit ne pas être en phase avec ce que les jeunes appellent danse : «leur danse m’amuse et me fait rigoler. C’est pas mal». D’après lui, il n’y a aucune cohérence dans ce qu’ils font : «leur danse n’est pas si expressive comme je la pratiquais». Il s’offusque du manque de thèmes dans cet art : «chacun danse comme il veut. J’aimerai que les jeunes se professionnalisent et font des recherches», conseille-t-il. S’il n’est plus présent sur la scène, c’est que le danseur, a un planning chargé avec son complexe Yengoulène, mais il n’a pas décroché.

 

«Danser ne veut pas dire être vulgaire»

 

Selon lui, la danse n’a pas d’âge et il donne l’exemple de Doudou Ndiaye Rose, qui a joué jusqu’à sa mort. Des bâtons dans les roues, l’artiste en a connu, surtout sous le régime d’Abdou Diouf qui avait fermé Mudra Afrique en 1985. Son mécontentement d’alors lui a donné envie de créer un autre centre pour la danse. Avec l’appui de ses partenaires Européens, le complexe «Yengoulène» est né pour parer à l’injustice subie et en faire par la même occasion, un autre Mudra. Si ses partenaires ont mis les papiers en son nom et le faire propriétaire des lieux, le promoteur l’explique : «c’est par gratitude. Ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas payer ce que je leur ai appris. La culture n’a pas de prix. Grâce aux cours de danse, de chant et de cuisine que je leur ai appris, c’est une reconnaissance de leur part». Par ailleurs, il se désole que la danse ne nourrit pas son homme au Sénégal, contrairement à l’étranger où les danseurs sont plus pris en compte. «Danser entre le ciel et la terre» et «danse traditionnelle africaine», ce sont les noms de ses deux livres qu’il a publié en Allemagne pour expliquer le Ba.ba de la danse. La danse étant des expressions du corps qui véhiculent des messages, l’artiste aimerait que la jeune génération qui s’y adonne, soit plus correcte de par la mise : «il est inadmissible qu’un danseur soit vulgaire en laissant apparaître des parties intimes de son anatomie». La danse doit être faite avec classe et finesse pense-t-il. Il trouve «décourageant» l’attitude de certains danseurs : «la culture africaine, et sénégalaise en particulier, n’est pas vulgaire». Abondant dans le même sens, il préconise que les danseurs s’habillent en tenue traditionnelle lors de leurs prestations comme il le fait toujours. Après un constat, Cheikh Niane promet de rouvrir le Ballet Yengoulène pour le respect de la danse traditionnelle, avec des costumes et des tenues de scène.

 

 

 

 

AMÉLIORATION DES RACES – Les éleveurs de moutons se réorganisent(images)

 

 

L’édition 2017 de la Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (Fiara) a pris fin hier dans la soirée. Mais les éleveurs de moutons, eux, se sont donné rendez-vous le 29 avril prochain à Pikine. La rencontre ne sera pas pour exposer et de vendre, mais ce sera une occasion pour discuter de l’avenir des éleveurs de moutons. À l’unisson, les exposants de la Fiara de 2017 se sont accordés pour déplorer la marche de l’association qui les unit, l’Alliance pour le développement et l’amélioration des races (Adam).

Par Ahmed Bachir NDIAYE

 

Le porte-parole des exposants que nous avons rencontré hier, Issa Ndoye, a livré les détails de leurs préoccupations. «Au début de ses activités, l’Adam marchait comme sur des roulettes. Mais depuis un certain temps, elle est caractérisée par une gestion personnelle, alors qu’elle regroupe plus de de 50 bergeries et pas moins de 150 éleveurs. On n’est plus impliqué dans la marche de l’Adam. Nous ne sommes au courant de rien. Foires, réunions, voyages, subventions… Tout est centralisé et accaparé par un petit groupe. Et il n’y a qu’un seul interlocuteur entre les éleveurs de moutons et l’État du Sénégal, c’est l’Adam. Mais il faut que le ministre de l’Élevage sache que cette entité souffre d’une gestion personnelle. Elle est non inclusive», a déballé le doyen Ndoye. Pour prendre leur destin en main, les concernés avait annoncé lors d’un point de presse, leur volonté de mettre sur pied une nouvelle entité fédératrice. Elle a reçu l’assentiment de de 23 associations d’éleveurs et d’un bon nombre d’individuel, selon le comité ad hoc en charge du pilotage. C’est en ce sens que la rencontre du 29 avril est prévue. Les invitations sont lancées à travers tout le pays. «Il s’agira de discuter, entre éleveurs, des voies et moyens à mettre en place, pour parvenir à une structure où tout le monde se retrouve. Nous invitons donc tous les éleveurs à prendre part à la réunion». Entre autres objectifs, ces éleveurs entendent jouer leur partition dans l’amélioration des races de moutons locales, pour appuyer les programmes initiés en ce sens par le Gouvernement.

 

Des bêtes à tous prix

 

C’est à des prix «spectaculaires» que certaines espèces animalières sont cédées à la Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (Fiara). Moutons, perruches, lapins, pigeons, chiens, cailles, colverts… Tout y passe. Les stands qui les abritent ne désemplissent pas de monde. Leurs propriétaires sont fiers et pressés de faire la présentation de leurs animaux. Les visiteurs et acheteurs sont parfois consternés par les prix affichés.

 

Ma Ibra NDIAYE :

 

«Pourquoi j’ai refusé 52 millions Cfa pour un Ladoum»

 

Son mouton de race «Ladoum» se nomme «Roi Assane 2». À la Fiara de l’année dernière, il a refusé de le vendre à 52 millions Cfa. Aujourd’hui, c’est la troisième génération de ses progénitures qui est exposée. «Si j’ai refusé de vendre Assane 2 a 52 millions Cfa, c’est parce que j’étais sûr de pouvoir gagner plus d’argent avec lui. En l’achetant, j’avais plus de 200 Ladoum femelles à ma disposition. Avant de venir à la foire de l’année dernière, il s’est accouplé avec 60 de ces femelles.

Deux mois après, je me suis fait plus de 60 millions Cfa à travers la vente de sa progéniture. Aujourd’hui je suis à sa troisième génération», confie le propriétaire qui se frotte les mains. En effet, les petits du Roi Assane 2 sont vendus à plus d’un million Cfa. «Ce mouton est extraordinaire. Il est phénoménal. Sa progéniture est royale», s’extasie Ma Ibra Ndiaye. Il explique que la valeur marchande de sa marchandise est difficile à estimer. «En fait, c’est exactement comme si quelqu’un te demande de lui vendre ce que tu aimes le plus. Ce sera forcément compliqué à marchander».

 

Lapin Géant De Busca, de «Thierno lapin» :

 

«La Paire est à 400 mille Cfa»

 

Ce lapin est d’une taille impressionnante. À six mois, il fait environ un mètre de longueur. Son propriétaire vend la paire à 400 mille Cfa. «J’ai vendu ces lapereaux comme de petits pains», indique «Thierno lapin».

Ce dernier montre fièrement le numéro de matricule de la bête scanné sur l’oreille. Cela est le signe qu’il s’agit d’un lapin directement importé d’Europe. «Je vais m’en procurer d’autres. Mais je vais attendre que la période de froid arrive. Sinon je risque de perdre mon investissement, en les voyant mort de chaleur».

 

Poulet Brahman Elmine de Khalil

 

«Même à 200 mille Cfa, je ne vends pas mon poulet»

 

Ce jeune habitant de Guédiawaye ne cédera son poulet pour rien au monde. Il utilise ce poulet de race rare, «Brahman Elmine», uniquement pour la production. De type ornemental, cette volaille créé l’attraction autour d’elle, notamment grâce à son grand gabarit. Spécialiste d’espèce de volaille rare, Khalil a exposé autruche, paon, daim, oie, grue couronne, etc.

 

Pigeon Tabour Boukhori, d’Issa Pout

 

«La paire de pigeon vaut 325 mille Cfa»

 

 

Boulan, Mondain, Tambour Boukh ari… C’est une foule de race de pigeon que le nommé Issa Pout a exposé à la Fiara. Que des espèces rares, importées d’autres pays du monde entier. La race la plus chère, le tambour Bokhari, est cédée à 325 mille Cfa.

 

 

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