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Attaque chimique en Syrie : Paris a “la preuve” que le régime est responsable

La France prouvera “dans quelques jours” que le régime de Bachar al-Assad a bien organisé l’attaque chimique sur la ville de Khan Cheikoun, qui a fait 87 morts le 4 avril, a annoncé le ministre des Affaires étrangères français Jean-Marc Ayrault.

Touba – Serigne Sidy Makhtar Mbacké appelle les disciples Mourides à venir prendre part au Kazu Rajab

Le Khalife général des Mourides, Serigne Cheikh Sidy Mokhtar Mbacké, appelle toute la communauté musulmane particulièrement les disciples Mourides à venir prendre part au Kazu Rajab qui se tiendra ce lundi 24 avril selon un communiqué parvenu à IGFM.

Le kazu Rajah, qui commémore la naissance de Serigne Mouhamadou Fallilou Mbacké revêt une importance capitale pour l’islam et le mouridisme.

Aussi, le Khalife général des Mourides recommande aux fidèles d’accompagner Serigne Abo Mbacké, khalife de Serigne Mouhamadou Fallilou Mbacké, dans la célébration du kazu Rajab et de beaucoup s’adonner à la lecture du saint Coran en cette journée mémorable.

Aliou Sall vers la mise en place d’une liste parallèle ?

Entre Aliou Sall et les législatives 2017, la trame ne fait que démarrer. Quelques jours après avoir annoncé sa décision de renoncer à son investiture en tant que tête de liste de Bby du département de Guédiawaye aux législatives du 30 juillet 2017… ” dans l’optique de ne pas être la porte d’entrée de ceux qui veulent s’en prendre au Président de la République ” mais aussi de le mettre à l’aise par rapport aux assauts de l’opposition, Aliou Sall semble se tracer une voie de contournement pour atterrir à l’hémicycle.

Nos sources sont formelles. Le maire de Guédiawaye serait en train de négocier la confection d’une liste parallèle avec le soutien déjà acquis d’une dizaine de maires à travers le Sénégal. Autrement dit,  Aliou Sall est très loin d’avoir donné son dernier mot. Cette semaine,ses militants ont multiplié les agissements visant à faire revenir leur maire sur sa décision de ne pas prendre part aux élections et de ne pas occuper la tête de liste départementale. Affaire à suivre…

FISCALITÉ LOCALE – Le Cese recommande une réforme

 

Pour permettre aux collectivités territoriales d’avoir plus de ressources leur permettant de financer leur développement, le Conseil économique, social et environnemental (Cese), recommande à l’État de réformer la fiscalité locale. L’État, par le biais du ministre du Budget, est favorable à une telle réforme mais pense que celle-ci doit se faire de manière systémique.

 

Par Cheikh NDONG

Dans le contexte de mise en œuvre du Pse et de l’Acte 3 de la décentralisation, la fiscalité constitue un levier stratégique pour le financement de l’action publique et la réduction des inégalités. C’est dans ce cadre que le Cese s’est autosaisi, à l’occasion de l’occasion de sa deuxième session ordinaire de l’année 2016, du thème : «Équité, transparence et justice fiscale : quel gage pour une justice sociale au Sénégal ?».

Il ressort des recommandations de la commission du genre, de l’équité et de la bonne gouvernance, dirigée par Marie Madeleine Pinto Sène, que dans l’exposé des motifs du Code général des impôts, aucune allusion n’est faite à l’amélioration du dispositif fiscal des collectivités territoriales.

Diagnostiquant la fiscalité des collectivités territoriales, les conseillers estiment qu’il y a une insuffisance de matières imposables qui ne favorise pas leur développement économique, social et culturel, ni l’action en faveur des populations défavorisées. Selon eux, malgré le rôle prépondérant de l’agriculture dans le Pse avec l’avènement de l’agrobusiness et des fermes agricoles, les revenus tirés de ce secteur sont encore faiblement taxés.

Pour le conseiller Mamadou Diop, ancien Maire de Dakar, l’État doit repenser la fiscalité locale pour permettre aux collectivités d’assurer leur développement. Pour lui, l’État doit faire le saut en allouant près de 30% de la Tva aux collectivités locales comme le fait le Maroc. À l’en croire au Sénégal, c’est seulement 5,5% de la Tva qui sont alloués aux collectivités locales.

À cette occasion, le ministre délégué en charge du Budget, Birima Mangara, a reconnu la nécessité de réformer la fiscalité locale. Toutefois, il a estimé que le financement des collectivités territoriales, à travers une réforme de la fiscalité, doit passer par une démarche systémique qui tienne compte de l’environnement macroéconomique du Sénégal. Il pense que la démarche doit être systémique pour toucher l’ensemble du système, de sorte à mettre en place des mécanismes innovants de financement des collectivités territoriales. En ce qui concerne le prélèvement de la Tva affectée aux collectivités territoriales, le ministre du Budget a tenu à rassurer les conseillers en soutenant que tout cela va être amélioré, concomitamment avec l’amélioration de la situation macroéconomique.

À l’en croire, si l’État met l’accent sur la mobilisation des recettes fiscales et douanières, au point d’aller au-delà de ses attentes, il peut chaque année, procéder à des transferts beaucoup plus importants. Toutefois, Birima Mangara a laissé entendre aux conseillers qu’ils ne peuvent pas pour le moment, arrêter un taux, compte tenu de beaucoup de contraintes. Selon lui, tout ce qu’ils peuvent faire d’ici quelques années, c’est de mettre l’accent sur le transfert massif de ressources vers les collectivités locales.

Le ministre en charge du Budget a soutenu que l’objectif est d’asseoir une politique fiscale propre aux collectivités territoriales qui leur permettrait de s’attendre, dans le cadre de leur prévision budgétaire, à des ressources certaines et recouvrables. Les conseillers sont aussi largement revenus sur la pression fiscale qui, selon eux, étouffe les Pme-Pmi et même les particuliers. Sur ce, le ministre du Budget a soutenu que le taux prévisionnel est de 20% et le Sénégal est à 17%. Selon Birima Mangara, il faut aujourd’hui renforcer les moyens de mobilisation des ressources, élargir l’assiette pour atteindre ce taux de 20%, tout en assurant que notre pays est en tête du peloton au niveau de l’Uemoa.

 

 

Fonds politiques : La loi ordonne, la classe politique dispose

Appelés tantôt fonds spéciaux ou fonds de souveraineté, tantôt fonds politiques ou caisse noire, au forceps même caisse d’avance, les dotations financières que gèrent de manière discrétionnaire certaines autorités à la tête d’institutions constitutionnelles n’ont toujours pas fini de faire l’objet d’un véritable amalgame au sein de la classe politique. Pourtant, ces sommes souvent abyssales, sources d’enrichissement rapide, guère soumis au contrôle citoyen, n’en sont pas moins régies par des normes de droit, même si celles-ci sont en elles-mêmes germes d’embrouillement. Raison suffisante pour recueillir l’éclairage du  Pr en droit public Ndiougou Sarr de l’UGB de Saint-Louis et du spécialiste en décentralisation et ancien député Seydou Diouf, sur les dispositions législatives et/réglementaires qui encadrent les fonds politiques ou autre caisse d’avance ou régie d’avance, ces « tontines » de la République qui se mutent parfois en couteaux à double tranchant pour la classe politique. En témoigne le cas Khalifa Sall !

Décision de Macky Sall d’écarter des législatives Aliou Sall et Cie : Ce que peut bien cacher cette décision

C’est avec une grande surprise que des membres de l’Alliance pour la République (Apr) et de Bennoo Bokk Yaakaar ont appris la décision de leur mentor, Macky Sall d’écarter de la course des législatives Aliou Sall à Guédiawaye et d’autres membres de sa famille comme Abdoulaye Timbo de Pikine. Ce qui a causé de vives réactions poussant même des jeunes ‘’apéristes’’ à manifester devant les grilles du Palais. Un fait inédit. Mais, en réalité, cette décision peut bien cacher une astuce politique.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Des dix stratégies de la ‘’manipulation’’ qu’il a développée, le professeur Noam Chomsky, linguiste de grande renommée a insisté sur celle relative à ‘’créer des problèmes puis offrir des solutions’’. Au Sénégal, cela semble être une démarche fortement utilisée par nos hommes politiques. En toute occasion et à tout moment, les astuces politiques pullulent et peuplent l’océan du jeu de cache-cache. Et, ce qui se fait sur le dos du peuple, pousse nécessairement à des réactions.

C’est le résultat attendu. Et pour cause, par rapport à la décision de Macky Sall, Président de la République, président de l’Alliance pour la République (Apr) et de Bennoo Bokk Yaakaar, d’écarter son jeune frère de la course aux élections législatives tout comme certains membres de sa famille comme Abdoulaye Timbo de Pikine peut bel et bien cacher une autre astuce politique. Maire de Guédiawaye, élu par les populations, Aliou Sall ‘’figurera’’ sur les listes. Il faut juste laisser le temps aux populations ‘’apéristes’’ de poursuivre leur action pour demander à leur mentor-président de reculer pour revoir sa décision.

Au finish, il est fort probable que l’on reviendra pour défendre que ce sont ceux qui l’ont élu qui ont formulé la demande qui veut que le maire de Guédiawaye conduise la liste Bennoo Bokk Yaakaar dans le département de Guédiawaye. Surtout que le Président Macky Sall ne prendra pas le risque d’écarter son petit-frère sur la base d’une ‘’dévolution monarchique du pouvoir’’. Si tel est le cas, qu’il décide de mettre de côté tous les membres de sa famille qui sont dans l’appareil d’Etat et nommés par décret. Ce serait une sage décision. Pour l’heure, nul ne peut affirmer qu’écarter Aliou Sall est une décision irrévocable quand on sait que les sorties se multiplient pour plaider en sa faveur. Mais, n’est-ce pas une manière de contourner le regard posé sur le maire petit-frère au cœur de nombre de dossiers, de donner le temps aux contestations dans l’Apr pour ensuite le faire figurer sur les listes ?

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

 

Retour au Sénégal – Karim se constitue un trésor de guerre

 

Karim Wade dont le retour au Sénégal sera effectif dans quelques jours ne revient pas au bercail pour faire de la figuration. Nous apprenons d’une source qui lui est très proche que le fils de Me Abdoulaye Wade qui s’est constitué un trésor de guerre pour faire face à Macky Sall, va remobiliser ses troupes à coup de financements. Un régime averti…

Par Ndiogou CISSE

Le fils de Me Abdoulaye dont le retour au Sénégal est imminent , s’est bien préparé à cette fin. Au Qatar où il a été exilé après son élargissement de prison, l’ancien ministre d’Etat a mis à profit ce séjour pour se faire une santé financière. On apprend que Karim Wade s’est fait un trésor de guerre pour pouvoir faire face à Macky Sall. C’est un secret de polichinelle qu’en politique, au Sénégal et ailleurs en Afrique, l’argent joue un rôle important dans la fidélisation des militants et sympathisants. Pour l’avoir compris ainsi, Karim Wade ne s’en est pas privé en se constituant une manne avant de rentrer au Sénégal où ses ouailles commençaient à se décourager après son exil Qatarie.   A propos du trésor de guerre de Karim Wade dont le retour risque de bouleverser la donne politique au Pds et dans le pays, on nous apprend qu’il l’a acquis avec ses amis de certains pays du Golf mais aussi avec ceux de son père, Me Aboulaye Wade qui a réussi à se tisser un puissant réseau financier dans les pays arabes lorsqu’il était au pouvoir. En revenant au Sénégal, Karim Wade va donc casser la tire lire pour ré- enthousiasmer ses troupes. En les remobilisant, les mouvements de soutien qui vont être regroupés en une seule entité, vont disposer de fonds pour leurs activités politiques. Tous les responsables du Pds qui se sont arrimés derrière le choix de Me Abdoulaye Wade, qui fait de Omar Sarr, le coordonnateur national du Pds vont recevoir leur part de financement. Dans son plan de conquête de l’électorat, on apprend encore que le fils de l’ancien Président Wade qui rentre au bercail avec les poches pleines, n’écarte pas  la possibilité de mettre dans sa besace certaines formations de l’opposition moyennant leur financement. Comme pour dire que dans la guerre qu’il va mener à Macky Sall, Karim a déjà le nerf et va s’en servir pour se frayer un passage en direction du palais de la République. Si Karim Wade tient aux élections législatives de 2017, c’est qu’il sait que sa candidature à la présidentielle de 2019 peut tomber sous le coup d’une invalidation. Pour rappel, Karim Wade a été arrêté après la défaite de son père aux élections de 2012. Dans le cadre de la reddition des comptes, cet ancien ministre de l’énergie, des infrastructures, des transports aériens et de la coopération internationale est le seul dignitaire de l’ancien régime a été être emprisonné dans le cadre de la traque des biens mal acquis et condamné à 6 ans de prison assortie d’une amende et de la confiscation de la totalité de ses biens.

 

 

Habré retourne à la barre

L’ancien Président Tcadien Habré qui a été condamné à la réclusion à perpétuité n’a qu’a prier en croisant les bras jusqu’ au 27 avril prochain. C’est en effet ce jour que l’ex Président Tchadien emprisonné au Cap Manuel sera édifié sur son sort. Pour rappel, après sa condamnation, Habré avait par le biais de ses conseils fait appel de la décision prononcée contre lui par les juges des Chambres Africaines Extraordinaires (Cae). C’est donc le prononcé du verdict du procès de cet appel qui va démarrer le jeudi 27 avril 2017, à la salle 4 du Palais de Justice Lat Dior de Dakar, à partir de 10heures.

 

Y en a marre

Depuis quelques jours, l’engagement de Y en a marre aux prochaines élections législatives fait polémique dans les chaumières. Si certains Sénégalais pensent que le Mouvement doit défendre la population à l’Assemblée nationale, d’autres estiment que Y en a marre doit se démarquer de la politique et rester une sentinelle de la démocratie. La désignation de Fadel Barro comme coordonnateur de la coalition Ifana avait fait jaser plus d’un. Toutefois, du côté de Y en marre, on soutient que le mouvement n’est membre d’aucune coalition en perspective des prochaines élections législatives. Fadel Barro et compagnie restent dans leur dynamique d’alerte pour que le régime ne verse pas dans certaines erreurs. Aujourd’hui, le mouvement Y en a marre est occupé par la suite à donner à la grande mobilisation du 7 Avril dernier à la Place de l’Obélisque pour attirer l’attention du régime de Macky Sall qu’il est en train de prendre le mauvais chemin. D’ailleurs, ils ne vont pas tarder à publier un communiqué pour remettre les choses à l’endroit et annoncer au peuple les prochaines activités du mouvement. Ils se disent conscients que le régime attend que le mouvement s’engage aux législatives pour le discréditer.

Coupure d’électricité à la séance plénière du Cese

On ignore si c’est Senelec ou c’est le service technique du Conseil économique, social et environnemental (Cese), mais la salle plénière de l’institution dirigée par Aminata Tall a subi une coupure d’électricité deux fois en l’espace de 30 minutes. La coupure a plongé la salle dans une obscurité totale pendant plusieurs minutes, obligeant les conseillers à allumer les torches de leurs portables. Si c’est Senelec, elle a mis mal à l’aise le ministre et les conseillers.

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