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20 visiteurs par semaine – Khalifa sous haute surveillance

 

Le maire de Dakar est sous le régime de la restriction de visite à Rebeuss. La mesure qui fâche ses partisans, limite le nombre de ses visiteurs à 20 personnes par semaines. Ses avocats qui dénoncent une violation du droit de leur client en détention, annoncent la saisine du doyen des juges pour faire cesser la restriction des visites du maire de Dakar.

Objection Mme l’envoyée spéciale : Pourquoi Mimi touré ne parle-t-elle pas des cas ‘’apéristes’’ comme l’affaire El Hadji Seck Ndiaye Wade ?

Dans ce Sénégal, l’on oublie beaucoup de dossiers pour uniquement parler de l’affaire de la Caisse d’avances de la mairie de Dakar qui vaut au premier magistrat de la capitale un séjour carcéral. Dans une publication, Mimi Touré, envoyée spéciale du Président de la République fait bien la morale aux politiciens qui pillent les deniers publics. Ce qui est tout à fait légitime puisque le Sénégal a besoin de transparence et de reddition des comptes pour marcher véritablement vers l’émergence. Mais, pourquoi vouloir se montrer amnésique et ne parler que des opposants et non des ‘’apéristes’’ pris la main dans la caisse. Actunet, revient sur l’affaire El Hadji Seck Ndiaye Wade pour rafraichir la mémoire à certains, non sans oublier le rapport de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) qui a épinglé Cheikh Oumar Hann, Directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud).

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Pourtant, cet ancien directeur général des transports routiers a été pris par l’Ofnac et conduit en prison. Quelques jours après, il est nommé président de Conseil d’administration du Fonds d’entretien routier autonome du Sénégal (FERA).

Voici un rappel des faits

Il s’appelle El Hadj Seck Ndiaye Wade. Responsable politique à l’Alliance pour la république dans le département de Mbour (Apr), il était encore le Directeur des transports routiers au ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement. Le 13 juillet dernier, il avait été relevé de ses fonctions, mais c’était pour bénéficier d’une promotion particulière. Par décret présidentiel n°2016-985 du 13 juillet 2016, il a été nommé président du conseil d’administration du Fonds d’entretien routier autonome du Sénégal (FERA). Mais où est la curiosité ?

 El Hadj Seck Ndiaye Wade, nouveau PCA du FERA, était sous le coup d’une inculpation prononcée à son encontre au mois d’avril dernier par le juge d’instruction du 1er cabinet sis au tribunal de grande instance de Louga. Il avait été aussitôt placé sous mandat de dépôt puis écroué à la prison centrale de Louga en mars. Quelques jours plus tard, il bénéficiait d’une liberté provisoire, «sur intervention de bras politiques haut placés», précisent des sources proches du dossier, alors que la plupart de ses co-inculpés sont restés en détention à la maison d’arrêt de Louga.

Permis de conduire, licences de transport, dossiers d’agrément…

Tout est parti d’une longue enquête menée dans la capitale du Ndiambour par l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC) au Service des mines de ladite localité. Les découvertes faites par l’Ofnac avaient démantelé un solide réseau de «corruption et de concussion dans le domaine de l’établissement des permis de conduire, du traitement des dossiers d’agrément et de licences de transport», indique le rapport public 2014-2015 de l’organe de contrôle.

«L’enquête a permis de constater qu’il était réclamé aux usagers le montant de cent cinquante mille (150 000) francs Cfa pour le passage du permis en un seul jour et cent mille (100 000) francs Cfa, si c’est au-delà.» Par ailleurs, ajoute la même source, «il était exigé des usagers les montants pour le paiement des droits de mutation et de timbres, pratique qui ne s’expliquent pas pour une administration qui n’est pas une régie financière et qui n’est habilitée par aucun texte à s’immiscer dans cette affaire. De tels faits sont accomplis en violation flagrante du Code général des impôts.»

Le premier fonctionnaire à être pris dans les filets de l’Ofnac est le dénommé Pape Mor Guèye, directeur régional des transports terrestres qui ne se priva pas d’expliciter aux enquêteurs le mode opératoire mis en place pour faire tourner le système de corruption. Son supérieur hiérarchique, El Hadj Seck Ndiaye Wade, est sur la liste des gros bonnets qui perçoivent leur part des sommes «collectées» auprès des usagers du Service des mines de Louga, en compagnie d’une demi-dizaine d’agents, tous dans le coup. C’est quand le dossier d’enquête a été transmis au juge d’instruction que les têtes ont commencé à tomber. Le successeur d’El Hadj Seck Ndiaye Wade à la direction des transports routiers est Cheikh Oumar Gaye, nommé au conseil des ministres du 13 juillet 2016. Voila les faits.

Que de dire de l’affaire Cheikh Oumar Hann du nom du Directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud) ? Le rapport produit par l’Ofnac est exhaustif, renseigne et enseigne. Ce n’est pas la peine de revenir sur le fonds puisque les Sénégalais dans leur majorité ne sont pas amnésiques. Ceci étant, pourquoi ne pas ‘’emballer’’ la justice pour faire la lumière dans ses affaires qui précèdent de loin le dossier du maire de Dakar, surtout que Mbaye Ndiaye, ministre d’Etat auprès du Président de la République et directeur des structures de l’Alliance pour la République (Apr) a clairement défendu que ce dossier du premier magistrat de la capitale est strictement et éminemment politique. Ce qui est certain, il y a une pile de dossiers sous les…coudes.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Adji Mergane Kanouté, vice-présidente des femmes de Bennoo : «Que Khalifa Sall et Bamba Fall retrouvent leurs familles…»

Adji Mergane Kanouté, vice-présidente des femmes de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar a laissé entendre qu’elle souhaite que les maires Khalifa Sall et Bamba Fall retrouvent très vite leurs familles et amis.

Le plus ardent souhait d’Adji Mergane Kanouté, la première vice-présidente des femmes de Bennoo Bokk Yaakaar, c’est que les maires socialistes de Dakar et de la Médina, Khalifa Sall et Bamba Fall, recouvrent très vite la liberté et aillent retrouver leurs proches. «Je fais confiance en la justice du pays et je souhaite que les maires Khalifa Sall et Bamba Fall retrouvent leurs familles, amis et sympathisants», a-t-elle indiqué.

D’après le leader de l’Union pour le développement du Sénégal (Uds/A), «Khalifa Sall, en homme politique averti, doit normalement disposer des justificatifs sollicités. C’est un homme qui a toujours porté en bandoulière la rigueur et la transparence dans la gestion des affaires qui lui sont confiées. Je garde espoir qu’il s’en sortira la tête haute au grand bonheur des sénégalais et en particulier des dakarois qui lui ont fait confiance en portant leur choix sur sa personne», soutient-elle.

«Notre formation politique est pour le principe de la reddition des comptes. La transparence dans la gestion des affaires publiques est une demande, une exigence citoyenne. Dès lors, tout détenteur d’une parcelle de pouvoir dans la gestion de nos deniers publics est dans l’obligation de rendre compte. Il serait important pour le sénégalais lambda d’être en mesure de connaitre la nature de ces dépenses dites urgentes. Est-ce des urgences sociales ? Déjà qu’il a un chapitre social pour les dépenses de la ville de Dakar», dit-elle.

Et d’ajouter : «si ces dépenses urgentes ont été orientées dans le domaine social, il serait maladroit de parler de détournement d’objectifs étant donné que des bénéficiaires ont pu témoigner du soutien qu’ils ont eu du maire de Dakar. Des ayants droits ne tarissent pas d’éloges sur la dimension sociale du maire Khalifa Sall.»

Avec actunet.sn

 

Multiplication des soutiens à Khalifa Sall : New Cities et l’Observatoire International de la Démocratie Participative expriment leur vive préoccupation

Suite à la détention du Maire Khalifa SALL, dépositaire de mandat légitime confié par les populations de Dakar, l’Observatoire International de la Démocratie Participative (OIDP) exprime ses vives préoccupations face à cette situation, qu’il suit de près.

Au nom de l’ensemble de ses membres à travers le monde, l’Observatoire fidèle à sa vocation, pour un approfondissement  de la démocratie dans la gouvernance publique, en appelle aux autorités sénégalaises afin de soutenir la démocratie locale et renforcer l’État de droit.

Comité directeur OIDP

Actunet.sn

Emprisonné à Rebeuss – Khalifa dit tout sur la caisse d’avance

 

Le maire de Dakar qui séjourne à Rebeuss a fait publier via un twitter sa part de vérité sur les fonds de la caisse d’avance qui lui vaut d’avoir maille à partir avec la justice. entre la procvédure judiciaire engagée contre lui et la raison d’être de la caisse en question, Khalifa dit tout.

 

Ndiogou CISSE

 

En prison, Khalifa Sall continue de s’expliquer sur les fonds qui ont conduit à son arrestation. A travers un document qu’il a fait publier par son camp, le maire de Dakar revient sur la mission de l’inspection général d’Etat, la procédure judiciaire à son encontre et les raisons qui ont motivé la création de la caisse d’avance . Dans le document que nous avons parcouru, le maire de Dakar explique que «  c’est à l’issue d’une mission de vérification administrative et financière à la Ville de Dakar », que l’Inspection générale d’Etat, un organe de contrôle de l’Etat placé sous l’autorité directe du Président de la République, a proposé dans son Rapport définitif l’ouverture d’information judiciaire sur. Celle-ci fait savoir l’édile porte sur «  les conditions de création et de fonctionnement de la caisse d’avance et l’utilisation faite des crédits exécutés à travers cette caisse ». Le document Tweet du maire de Dakar de renseigner   que « le rapport de l’Inspection générale d’Etat et les propositions qu’il contient ont été transmis au Président de la République qu’il les a érigées en directives et a saisi le Procureur de la République pour l’ouverture d’une information judiciaire sur les deux points sus indiqués ». Mais Pour s’attaquer à la procédure, le maire de Dakar indique « qu’ après une enquête préliminaire marquée par la violation de l’article 5 de la Directive de l’UEMOA qui donne droit à toute personne de se faire assister par ses avocats, une enquête préliminaire marquée par la violation du secret de l’enquête par le Procureur avec des procès-verbaux d’audition ont été immédiatement communiqués…. et une enquête préliminaire conduite uniquement à charge sans respecter une seule fois la présomption d’innocence qui constitue pourtant un droit inaliénable dans toute procédure pénale, le Procureur de la République a annoncé avoir saisi le Doyen des Juges d’Instruction en visant trois infractions : détournement de deniers publics, escroquerie sur des deniers publics, faux et usage de faux en écritures ».

Création de la caisse d’avance

Pour Khaf, « aucune de ces accusations n’est fondée ». Le maire de dakar de noter « qu’une enquête impartiale aurait pu permettre de le démontrer surtout que le Procureur de la République ne s’est jamais intéressé aux conditions de création et de fonctionnement de la caisse d’avance et a orienté toute son enquête sur l’utilisation des fonds de la caisse d’avance contrairement aux recommandations de l’Inspection générale d’Etat ». Dans sa ligne de défense, le maire Khalifa Sall souligne que « la présente note, qui retrace les conditions de création de la caisse d’avance, son histoire, les motivations et objectifs poursuivis par les plus hautes autorités de l’Etat en créant la caisse d’avance, permet d’établir le lien évident entre les conditions de création de la caisse d’avance et l’utilisation des fonds ». En revenant sur le

 l’évolution de la situation politique du Sénégal non sans citer des hommes politiques qui ont présidé aux destinées de la Ville de Dakar avant lui. Si Khalifa rappelle tout cela, c’est pour donner la preuve que « toutes les autorités locales du Sénégal, seules celles de Dakar ont bénéficié de fonds politiques pour accompagner l’Etat ou se substituer à lui dans la gestion de la Capitale ou du pays ». Pour donner une idée du fonctionnement de la caisse, des décisions de mandatement et des messages Radio Portes durant l’année 1995 sont joints pour étayer ce qui a été exposé précédemment.  Khalifa Sall de révéler : «

 ce qui fait la particularité de ce message, c’est qu’il autorise le mandatement et le paiement des dépenses diverses d’un montant de 30.000.000 FCFA sans couverture budgétaire ».

Utilisation de la caisse d’avance

 

Le maire incriminé fait savoir « que parmi les dépenses autorisées sur toutes les caisses d’avance relatives aux dépenses diverses établies par l’ordonnateur après avis conforme du receveur percepteur municipal, il a toujours été mentionné « toutes aides ou assistance apportées aux populations». Cette disposition n’exclut aucune forme d’aide ou d’assistance et n’exclut aucun bénéficiaire » ? Khalifa Sall d’expliquer en même temps que «  les fonds politiques servaient entre autre à faire face aux dépenses énoncées dans les arrêtés pris à cet effet par les différents Maires qui se sont succédé. De façon générale, la caisse d’avance sert  à régler, comme l’intitulé du compte budgétaire le précise, les dépenses diverses de la ville logées au niveau du cabinet du Maire ». En énonçant les actions et activités qui justifient les diverses dépenses, Khalifa Sall soutient que

« la caisse d’avance a toujours été considérée et acceptée par tous les acteurs (autorités centrales, maires et receveurs percepteurs municipaux) comme des fonds politiques ».  le maire de Dakar qui évoque l’époque de Senghor aà aujourd’hui informe que « le maintien de la caisse d’avance décidé après l’arbitrage du Président Abdou DIOUF en 1997/98  pouvait laisser penser que la question était définitivement actée par l‘autorité politique C’est pourquoi en 2001 et 2003, mes prédécesseurs, Monsieur Mamadou DIOP comme Monsieur Pape DIOP, ont pris des arrêtés de création de la caisse d’avance. C’est d’ailleurs ce dernier arrêté n°00503/MVD/SM/DAF en date du 31 janvier 2003 qui continue à régir la caisse d’avance ». Il dira aussi que «  la Ville de Dakar est la Capitale du Sénégal, elle a une Place, un Rang et un Rôle dans notre pays, en Afrique et dans le Monde, elle devra toujours pouvoir les tenir ». Le maire Khalifa de se défendre en estimant  « que contrairement à ce qui a été dit, cette affaire n’est pas une procédure judiciaire normale ». Mr Sall de poursuivre en jugeant que «  cela se voit avec cette convocation lancée quelques jours après une enquête de police menée tambour battant et à peine après la désignation d’un juge d’instruction, sans qu’il ait pris connaissance du dossier, sur la simple base d’un rapport de police manifestement à charge… ». Le maire de Dakar d’ajouter que « cette affaire est un complot politique avec un habillage judiciaire marqué par un acharnement sans précédent connu, par le choix de ce calendrier ».

DOSSIER CONTROLE TECHNIQUE DES VEHICULES AUTOMOBILES : De l’opacité dans la mécanique

Un des mécanismes de lutte mis en place par les autorités publiques pour lutter contre les accidents de la route et améliorer la qualité de l’air à Dakar est le Centre de contrôle technique des véhicules automobiles (CCTVA). Ce dernier fait même la fierté des usagers. Mais, face à la recrudescence des accidents au Sénégal – plus de 50 morts à l’espace de moins d’un mois – des voix s’élèvent pour s’interroger quant à l’efficacité du contrôle: «que vaut le centre de contrôle de Dakar ? Pourquoi le projet d’extension tarde toujours à se matérialiser ?» En attendant d’obtenir quelques éléments de réponses, la liste des accidents mortels se suivent et se ressemblent chaque week-end. Pendant ce temps, une véritable chaîne de nébuleuse et d’opacité s’est installée autour du CCTVA,  mettant en doute le contrôle technique. Dépassant largement sa capacité d’accueil, les machines de contrôle sont usées remettant  en cause la fiabilité du résultat. Que dire du business autour du centre où plusieurs jeunes et des courtiers «aident» les automobilistes à remplir les conditions requises pour passer convenablement sa visite technique.

Réforme de l'UE : Hamon veut un "new deal", Mélenchon menace de claquer la porte

Les deux candidats de la gauche ont présenté le week-end dernier leurs propositions pour réformer l’Union européenne et mettre fin aux politiques d’austérité. Si l’objectif est partagé, le chemin pour y parvenir est radicalement différent.

Côte d’Ivoire: un an après l’attentat de Grand-Bassam, où en est l’enquête?

En Côte d’Ivoire, une cérémonie d’hommage aux 19 victimes de Grand-Bassam va avoir lieu ce lundi matin 13 mars et une minute de silence sera respectée à 12h45. C’est heure à laquelle les tirs ont commencé, il y a un an jour pour jour. Le 13 mars 2016, pour la première fois, la Côte d’Ivoire était frappée par un attentat terroriste. Depuis, l’enquête a beaucoup avancé, notamment grâce à la coopération entre les services de renseignements d’Afrique de l’Ouest.

La justice française: une indépendance toute relative

« C’est un assassinat politique ». La phrase a provoqué un séisme dans l’institution judiciaire. Ces quelques mots ont été prononcés par François Fillon, le 1er mars 2017, lorsqu’il a indiqué qu’il était convoqué chez les juges en vue d’une mise en examen dans l’affaire des emplois fictifs. Jamais, au cours d’une campagne présidentielle, un candidat n’avait attaqué si violement les juges, ni contesté publiquement, leur indépendance.

UE-Turquie: les Européens face à Erdogan et à leurs contradictions

Entre la Turquie et les Pays-Bas, le week-end a été marqué par l’escalade des tensions. Pour des raisons d’ordre public, les Néerlandais ont refusé l’atterrissage aux Pays-Bas au ministre turc des Affaires étrangères et ont reconduit à la frontière allemande la ministre de la Famille et des affaires sociales, qui venaient tous deux mener campagne pour le référendum du 16 avril par lequel le président Recep Tayyip Erdogan entend étendre ses pouvoirs. Celui-ci a d’ailleurs accusé les Pays-Bas d’être une « République bananière » et d’avoir des pratiques rappelant le « fascisme et le nazisme ».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention