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Un élève du Lycée Limamoulaye kidnappé et tué

C’est un crime crapuleux. Un élève inscrit en seconde année de Brevet de technicien en Electricité au Lycée de Limamoulaye a été kidnappé dans la nuit de samedi à dimanche à Guédiawaye par des individus encore inconnus. Après d’intenses recherches, le corps sans vie de M. Dièye a été découvert hier dans la forêt de

Sankalgam. La victime a reçu une balle dans la poitrine. Ses ravisseurs sont activement recherchés par la gendarmerie de Sangalkam qui a ouvert une enquête. L’on signale que la victime est domiciliée à Keur Massar où elle était retournée pendant les vacances de pâques.

Gouvernance des ressources petrolières et gazières – Le Cese préconise des mécanismes de gestion inclusifs

Pour échapper à la malédiction des ressources naturelles (gaz, pétrole), le Conseil économique, social et environnemental (Cese) pré- conise de mettre en œuvre des mécanismes de gestion inclusifs. L’institution dirigée par AminataTall a ouvert hier la deuxième édition de ses journées «portes ouvertes» sur le thème : «Gestion durable des ressources naturelles : le pétrole et le gaz».

De la place de l’obelisque à la place soweto (Assemblée Nationale) : Y’en a marre, au défi de la réal politk

Les invectives et autres attaques que servent les proches du chef de l’Etat au Mouvement Y’en a marre, après leur rassemblement du vendredi 7 avril dernier, ne sont que la preuve du désarroi et de la psychose qui habitent le camp présidentiel, suite à la «pédagogie de la cohabitation politique», que tente de construire l’opposition Mankoo Wattu Senegaal. C’est du moins la conviction du journaliste analyste politique, Momar Seyni Ndiaye, qui reste convaincu que cette stratégie des membres de l’Alliance pour la République (Apr), semble rapprocher «la société civile en dormance et une opposition émiettée». Il a, par ailleurs, invité les responsables de l’Apr à décortiquer ce message des Sénégalais.

KISAL/SÉNÉGAL SUR LES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES «La majorité présidentielle doit unir ses forces pour balayer l’opposition»

De retour d’une tournée dans le département de Podor, les responsables du Parti Kisal/Sénégal ont salué la «mobilisation» de leurs militants «décidés» à faire gagner la coalition Benno au soir du 30 juillet prochain. Ces alliés du Président Macky Sall invi- tent la majorité présidentielle «à taire» ses querelles et à «unir» ses forces pour «balayer cette opposition bavarde et paresseuse». Dans ce sens d’ailleurs, ce parti appelle l’opposition à la raison, estimant qu’il ne sert à rien d’aller se «taper des promenades à la prison de Rebeuss juste à la recherche du buzz». Parce qu’«il n’est pas raisonnable de vouloir une chose et son contraire». «Si nous voulons une gestion vertueuse, nous devons laisser la justice faire son travail. Le maire de Dakar sera relâché par la justice s’il arrive à justifier les factures (…)», ont- laissé entendre Salif Badji et ses camarades. Ils demandent à l’opposition d’arrêter de «divertir» les Sénégalais et de proposer des programmes «crédibles». Kisal/Sénégal qui souligne que le Président Macky Sall «s’est toujours montré attentif» aux problèmes des Sénégalais qu’il tente de résoudre tous les jours, notamment à travers l’initiation de programmes sociaux, pense que les gens sauront reconnaître ce qui est en train d’être fait de positif. «Même si nous lui reconnaissons le droit de s’exprimer, le mouvement Y’en a marre doit confesser que beaucoup d’efforts ont été faits, même si le chemin est encore long», a-t-il confié, l’exhortant à éviter de s’en prendre «injustement à la justice». Par ailleurs, dans le cadre des investitures, Kisal appelle à l’établissement de listes «justes et équitables», car malgré l’ouverture de la coalition Benno, le président doit se souvenir de ceux qui ont, les premiers, cru en lui. «Notre parti ne saurait tolérer d’être absent de ces listes», ont-ils prévenu. Ce parti qui encourage les Sénégalais à donner une majorité au Président Macky Sall «pour continuer de dérouler» les programmes au bénéfice «exclusif» des Sénégalais, appelle tous les soutiens du président à se battre pour lui donner une large majorité à l’Assemblée nationale. Dans ce sens, Salif Badji et ses camarades encouragent et félicitent le directeur général de l’Adpme, Idrissa Diabira, pour son engagement aux côtés du chef de l’État. Selon eux, il fait un travail remarquable pour faire participer à la victoire de la majorité présidentielle.

Par Charles Senghor

Wade maître d’ouvrage du gouvernement de transition

Au cœur de la stratégie d’unification de l’opposition en vue des prochaines législatives, Me Abdoulaye Wade, qui a repris du poil de la bête, se positionne comme un pivot central déterminé à imposer un régime de cohabitation en inversant les rapports de force à l’Assemblée nationale à l’issue du scrutin du 30 juillet prochain.

Madiop Diop, maire de Grand Yoff «Quand Khalifa travaillait, Macky chômait »

À Grand Yoff, les partisans du maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, ont organisé hier une caravane de distribution de 10 mille prospectus pour éclairer les Séné- galaissur l’innocence de Khalifa Sall. Selon le maire de Grand Yoff qui a dirigé la manifestation, Khalifa Sall est un détenu politique et s’il faut chercher des voleurs, il faut regarder du côté du Pouvoir. «Khalifa Sall a fait une déclaration de patrimoine. De même que Macky Sall. Ce qui nous inquiète tous, c’est le fait que Macky Sall crie partout que Khalifa Sall est un voleur. Kha- lifa Sall a été député de 1983 à 1996. Alors que Macky Sall, de 1983 à 1996, était chômeur. Actuellement, Macky Sall a 8 milliards de patrimoine, alors que Khalifa Sall n’a même pas 1 milliard. Nous voulons savoir parmi les deux, qui est le voleur ?», s’interroge Madiop Diop. Pour lui, Macky Sall veut tout simplement se débarrasser d’un adversaire politique devenu gê- nant. C’est pourquoi, le maire et la jeunesse socialiste de grand Yoff exigent la libération de Khalifa Sall, Bamba Fall et compagnie. Arborant des teeshirts blancs à l’effigie de Khalifa Sall, la caravane qui s’est livrée à des séances d’explications a démarré au rond point Liberté 6 pour ensuite se rendre au marché Monument et à la Patte d’oie, avec comme but de rallier le maximum de Sénégalais à leur cause.

La Cojer de Podor se prépare pour les législatives

Dans les différents états-majors politiques, c’est le branle-bas de combat en direction des investitures pour les élections législatives du 30 juillet prochain. Les membres de la Cojer de Podor qui ne sont pas en reste réclament urbi et orbi l’investiture au moins de deux jeunes du département. Selon Moussa Sarr et ses camarades, cette exigence est largement soutenue par une bonne partie des cadres et responsables de la mouvance présidentielle du département. Ces derniers considèrent que ce serait un retour d’ascenseur à l’endroit des jeunes apéristes de Podor, compte tenu de leur engagement et de leur discipline militants. Pour leur porte-parole, Amadou Seydi Ball, la Cojer de Podor est l’une des premières et rares coordinations départementales à être structurée au terme d’un processus transparent et démocratique sous la supervision de cadres du département. Estimant que ses camarades et lui ont trop attendu et tout laissé au profit des adultes, Amadou Seydi Ball indique qu’il est impensable voire dangereux pour l’Apr que les jeunes ne soient pas investis candidats pour la députation.

Sédhiou, 6 morts – L’excès de vitesse et la surcharge incriminés

Un accident grave s’est produit hier, mardi 11 avril, sur l’axe Anice/Djimassar sur la route nationale N°6 dans le département de Goudomp. Le bilan encore provisoire fait état de 6 morts dont 5 sur le coup et 14 blessés graves. La camionnette qui convoyait les commerçants en partance pour le marché hebdomadaire de Yarang Balante, était en surnombre de passagers, aggravé par un trop plein de bagages de divers ordres. L’éclatement des deux pneus arrière a provoqué des tonneaux qui ont propulsé le véhicule dans les bas-fonds

RAPPORT 2016 D’AMNESTY INTERNATIONAL «1032 personnes ont été exécutées dans 23 pays en 2016»

Dans son dernier rapport, Amnesty international a révélé qu’il y a eu moins de 37% d’exécution en 2016.

Le rapport annuel sur l’utilisation de la peine de mort publié hier, a révélé que «1032 personnes ont été exécutées dans 23 pays en 2016, soit 37% de moins qu’en 2015». Le directeur du bureau régional d’Amnesty international,Alioune Tine, a révélé que les informations relatives à ces chiffres proviennent de sources variées comme les données officielles, les renseignements fournis parles condamnés à mort et leurs familles ou représentants, lesrapports d’autres organisations de la société civile, et les informations parues dans les médias. Le rapport indique que la «menace grandissante» de Boko Haram a de l’effet.Car, en 2016, au moins 160 personnes ont été condamnées à la peine capitale durant les procès des personnessuspectées d’appartenir au groupe armé Boko Haram. Alioune Tine qui note une augmentation «alarmante» de 145% du nombre de condamnations à mort en Afrique subsaharienne, précise que la décapitation, la pendaison, le peloton d’exécution et l’injection létale ont été les méthodes d’exécution utilisées en 2016 à travers le monde. Par ailleurs, les informations dont dispose l’organisation de défense des droits de l’homme révèlent que des condamnés à mort ont vu leur peine commuée ou ont bénéficié d’une grâce dans 28 pays en 2016. Mieux, au moins 60 condamnés à mort ont été innocentés dans neuf paysla même année. Le directeur du bureau régional d’Amnesty qui soutient que 18.848 personnesse trouvent actuellement sous le coup d’une sentence capitale dansle monde, confie que le recours à la peine de mort aux États Unis est à «son plus bas niveau» depuis le début des années 1990.Toutefois, il pense qu’il faut continuer de se battre pour éviter le retour en force des exécutions en 2017». Au cours de la rencontre,Amnesty international a dit toute son opposition «en toutes circonstances et sans aucune exception à la peine de mort». «Quelles que soient la nature et les circonstances du crime commis, la culpabilité ou innocence ou toute autre situation de la personne condamnée, ou la méthode utilisée pour procéder à l’exécution. L’organisationmilite en faveur de l’abolition totale de ce châtiment», a dit l’ancien patron de la Raddho, estimant que la peine de mort n’est pas dissuasive. Tirer d’affaire Mbayang Diop Se prononçantsurle casMbayang Diop, de ce nom de jeune femme dansles prisonssaoudiennes, at- tendantsa pendaison, le Directeur du bureau régional d’Amnesty international,s’est voulu rassurant, soutenant que tout sera fait pour la tirer d’affaire. Parce que «le droit à la vie, c’est un droit inviolable pour tout être humain (…)». «Chaque fois qu’Amnesty international cherche à avoir des informationsrelatives à la question de la peine de mort, on essaie de voir aussi combien d’étrangers ont été tués, c’est une information qui revient tout le temps dansles enquêtes d’Amnesty», a-t-ilsoutenu. D’ailleurs, Alioune Tine souligne qu’à cet effet, une manifestation a été faite à la place de l’Obélisque, sous la houlette de Seydi Gassama, Directeur exécutif d’Amnesty international Sénégal, pour demander à ce qu’elle ne soit pas exécutée».

Par Charles T. SENGHOR

Réponse de Pape Dieng aux Y’en a marristes «Ni la Sonacos SA, ni même les autres huiliers ne sont concernés par les bons impayés»

Le directeur général de la Sonacos SA, a tenu hier un point de presse dans un hôtel de la place à Kaolack. Pape Dieng a apporté un démenti suite à la déclaration du mouvement «Y’en a marre» sur les bons impayés avant de faire un bilan de la camp

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention