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Gf assomme la con- currence…

Contraints au nul 1-1 à Déni Biram Ndao le 8 novembre dernier, les leaders du championnat ont bandé les muscles et frappé un grand coup dans la course au titre.Après une première mi-temps équilibrée (1-1), Ibrahima Niane tout juste avant la pause (45ème) répond de fort belle manière à l’ouverture du score de Babacar Seck 24ème. La grande explication au sommet de cette Ligue 1 bascule au retour des vestiaires. D’abord à l’heure de jeu, le défenseur Mactar Kanté trompe son propre gardien en déviant le ballon dans ses buts. Gf passe devant. Les hommes de Malick Daff poussent, mais ne parviennent pas à traduire au tableau d’affichage leurs occasions. Une action de Sabaly va venir plier l’affaire. Le virevoltant attaquant se joue de Matar Kanté avant de tromper Khadim Thioub pour assommer le Jaraaf, et faire exploser les férus grenats, qui peuvent croire en la possibilité d’un titre. Sassy Diallo réduira le score, mais en vain. Avec cette défaite les espoirs de titre pour le Jaraaf s’envolent.

Diambars plonge

L’Us Ouakam qui restait sur sept matchs sans victoire, s’est imposée 2-1 contre Diambars. Moussa Diouf (11ème) et Ablaye Sow (16ème) ont plié le match au quart d’heure de jeu pour donner de l’air à leur club, qui quitte la zone de relégation. Par contre en signant une troisième défaite d’affilée en Ligue 1, les académiciens de Saly reculent à la 6ème place avec 22 points.

Le président va inaugurer cet aprèsmidi les nouveaux locaux du groupe DMédia à la citéTeylium. Le Directeur général Massamba Mbaye revient ici sur les perspectives. Entretien déjà paru dans le Nouvel Hebdo.

Quel est l’intérêt recherché en regroupant tous les supports du groupe dans un même bâtiment ? Cette nouvelle installation entre dans la logique de développement du Groupe. Nous étions à Sacré Cœur à nos débuts en 2008 avec juste un magazine, une radio et une volonté partagée. Par la suite nous avons migré vers la Médina dans des locaux qui nous offraient une plate-forme intéressante notamment pour la télévision. Il y a eu la naissance d’un quotidien La Tribune. Et le groupe s’est étoffé progressivement avec un site Internet actunet.sn et un hebdomadaire, Nouvel Hebdo. Nous nous sommes vite retrouvés à l’étroit. Nous venons d’aménager dans de nouveaux locaux qui nous appartiennent. Cette migration est également un beau prétexte pour faire une conduite du changement. Le Groupe DMedia a toujours eu une ambition de performance. Celle-ci est tributaire de l’effort commun autour d’une vision partagée. Nous avons une vocation de services. C’est parce que les populations ont adhéré à ce projet que nous sommes arrivés à ce niveau de référence. Nous comptons davantage servir ce peuple en lui proposant des contenus de qualité. Dans la pluralité, l’équilibre, l’équité et le respect des lois et règlement de notre République. Quellessont les attentes du groupe surtout par rapport à son positionnement dans l’espace médiatique sénégalais et son ouverture conti- nue au niveau interna- tional ? Nous sommes un groupe leader. Cette position ne se décrète pas. Nous sommes un groupe qui a eu la plus grande marge de progression par rapport à sa jeune histoire. Nous sommes en train d’entretenir cette dy- namique. Cela se fait bien sûr avec une remise en cause constante entretenue par les données du marché, par les re- tours que nous collectons sur nos cibles. Est-ce qu’il y a des efforts qui seront fournis en renforcement de la qualité pour mieux fidéliser les téléspectateurs, auditeurs et lecteurs des supports du groupe D Media ? Des surprises…? Le renforcement de la qualité est notre crédo. Nos seuls vrais moyens étaient nos ressources humaines et notre imagination. Avec un cadre de travail plus propice, nous allons relooker les programmes et renforcer les dynamismes internes. Oui ! Il y aura du nouveau et une conquête de nouvelles cibles !

SADA DIALLO, INITIATEUR DU MOUVEMENT «SICAP DEBOUT» «Y’en a marre ferait mieux de se refonder Parti politique»

Responsable politique Apr en France, Sada Diallo, initiateur du mouvement Sicap debout», estime que le mouvementY en a marre ferait mieux de se muer en parti politique.

Qu’est-ce qui vous a poussé à mettre en place ce mouvement ? Nous avons lancé l’opération «Sicap Debout» parce qu’il est temps que Sicap retrouve son image d’antan. En effet, depuis qu’on a détruit ce qui était le poumon des Sicap, à savoir les deux terrains de basket du Sibac, les terrains de foot de Yonnu Ndam, de Yeggo, de Sidibé, pour faire passer les deux voies de Sacré cœur, la jeunesse sicapoise a perdu son âme. Vous savez, la majorité des habitants n’ont pas compris que c’était à cause de cesinfrastructuressportives que notre jeunesse était préservée de la drogue et du dé- crochage scolaire. Car, c’est grâce au sport que nos jeunes avaient un esprit sain dans un corps sain. C’est pourquoi nous demandons au maire de la Commune de Sicap Liberté de nous remettre au minimum nos deux terrains de basket aux abords des deux voies pour faire revivre notre équipe de Basket quis’entraîne depuislors dans une école primaire en lieu et place de ces parkings de vente de véhicule qui n’apportent rien à la population. Derrière «Sicap Debout» il y a juste un fils des Sicap qui veut apporter sa contribution au bien-être des habitants de sa commune et qui soutient les actions du Président de la République Macky Sall. C’est aussi pour cette raison que vous menez des activités politiques ? J’ai toujours mené des activités politiques dans l’ombre ; je suis membre de la Ccr ; je prépare actuellement ma thèse de doctorat à la faculté de droit de Versailles, une ville dans laquelle j’ai monté mon comité.J’ai d’ailleurs lancé récemment l’opération «Sicap debout pour une inscription massive sur les listes électorales», en présence de Mme le ministre, Dr Anta Sarr Diacko, Déléguée générale à la Protection sociale et à la solidarité nationale. D’ailleurs vous avez vu aussi que j’ai lancé une opé- ration pour «la vulgarisation des grandes réalisations sociales du Président de la République Macky Sall». Pour me parler des réalisations du Président Macky Sall, un vieux sérère m’avait dit : «Macky Sall meune na cerré lalo, wayé amoul ay sim katt». C’est une phrase qui m’a vraiment marqué. Ce qui veut dire que le Président est en train de faire des réalisations exceptionnelles. Toutefois, il y a un problème d’appropriation et de vulgarisation de ses réali- sations au niveau des popula- tions. C’est pourquoi nous avons initié cette opération en com- mençant par les grandes réali- sationssociales comme le Pnbsf, la Cmu, la Carte d’égalité des chances etc. De quelle manière procé- dez-vous à la vulgarisation des réalisations du président de la République ? On a commencé par l’opération «Sicap debout pour la vulgari- sation des grandes réalisations sociales du Président Macky Sall», à travers un focus sur le Programme de bourses de sé- curité familiale qui est l’une des plus grandesréalisationssociales de l’histoire du Sénégal. Pour ce faire on s’est basé sur des études menées par desinstitutions internationalessur le Programme pour produire des extraits de té- moignages de bénéficiaires dont les publications ont commencé dans les réseaux sociaux qui sont devenusincontournables et dansles autressupports de communication avec des actions de terrain, afin que les Sénégalais comprennent l’impact de ce programme sur 300.000 familles. Des campagnes de communication seront aussi menées après la bourse,sur la Couverture maladie universelle et la carte d’éga- lité des chances. Après avoir fait un tour d’horizon sur les réalisations sociales, nous lan- cerons l’opération pour la vul- garisation des réalisations éco- nomiques du Président de la Ré- publique. Que pensez-vous de la dé- claration récente du Mouvement «Y en a marre» ? Voussavez, on ne peut pas abandonner un navire pendant 5 ans et revenir pour faire des critiques sur un programme politique. Nous demandons à ces «y en a maristes» de créer un parti politique et de venir présenter un programme politique fiable aux Sénégalais. Ce n’est vraiment passur ce terrain qu’on attendait Y en a marre, car à la place de nouveaux types de Sénégalais nous avons vu de nouveaux types de politiciens. C’est pour- quoi nous demandons à tous les Sénégalais, comme il est de tra- dition dans nos cultures, de porter le «Sagar bou khonk» pour nous protéger de ces nouveaux types de politiciens. Nous ne sommes pas des moutons de panurge.

DIVISION DU RÉSEAU DES ENSEIGNANTS DE L’APR – Amath Suzanne Camara va présenter sa propre liste aux législatives

La crise a atteint son sommet au Réseau des enseignants de l’Alliance pour la République (Apr). C’est durant ce weekend que son coordonnateur “contesté”, Youssou Touré, a présidé leur Conseil national. Au même moment, ses pourfendeurs, avec son adjoint Amath Suzanne Camara en tête, étaient en réunion dans un hôtel de la place. Une rencontre durant laquelle ils ont pris la résolution de se pré- senter aux prochaines législatives sous leur propre bannière. Cela résulte de la frustration causée par la présence des autorités de l’Apr au Conseil pré- sidé par Youssou Touré. «Nous prenons acte de la présence des autorités du parti à ce prétendu Conseil national et considérons cet acte comme une bénédiction pour nos adversaires. En consé- quence, nous prenons notre destin en main et déclarons ici, solennellement, que nous irons aux législatives sous notre propre bannière», ont décidé les camarades d’Amath Suzanne Camara. Ils ont aussi précisé que les autorités du parti ont tenté une médiation à quelques minutes du démarrage du Conseil de Touré. Mais c’était peine perdue avec le rassemblement organisé en parallèle par Camara et compagnie, qui ne pouvaient plus rejoindre le Conseil national. «Nous voudrions exprimer tout notre respect à leur endroit ainsi que notre regret de ne pouvoir donner une suite favorable à cette demande (se rendre au conseil), puisque les délégations, venues de différentes parties du pays, étaient déjà en place et le processus de validation du plan d’action déjà en cours (…). C’est donc en toute souveraineté que l’Assemblée a jugé nécessaire de poursuivre ses travaux et laisser les autorités trouver une solution à cette crise, selon leur “bon vouloir”, ont-ils dit. Non sans réaffirmer leur «ancrage dans le parti et derrière le Pré- sident Macky Sall». Pour accroître les chances de la coalition dénommée “Dekkal Ngor”, ses initiateurs ont lancé un appel particulier aux enseignants qui veulent soutenir Macky Sall, sans se retrouver dans les instances du parti. «Nous lançons un appel à toutes les personnes éprises de justice ainsi qu’à tous les frustrés de l’Alliance pour la République, à se préparer à se joindre à nous à travers cet appel historique».

MEETING DE RALLIEMENT – Rahma pêche dans les eaux de Bokk gis gis

Le mouvement Rahma s’est encore illustré dans la commune de Kaolack en décrochant un gros bonnet de la Convergence Bokk gis gis, en l’occurrence le coordonnateur dudit parti à Kaolack, Matar Diagne.

Depuis quelques temps l’attelage politique commence à connaître une nouvelle donne dans la commune de Kaolack. En atteste les ralliements tous azimuts qui animent actuellement l’arène politique dans la ville de «Mbossé». Le week-end dernier, un gros bonnet de la convergence Bokk gis gis de Pape Diop, par ailleurs, coordonnateur de cette entité, Matar Diagne, a décidé de déposer ses baluchons au mouvement «Rahma». À cet effet, un meeting de ralliement a été organisé en vue de marquer de façon officielle cette union entre deux ténors politiques à Kaolack, à savoir Mouhamed Ndiaye et Matar Diagne. Réunissant des leaders politiques de l’Apr tels que le ministre des Sports Matar Bâ, la ministre de la Femme, Mariama Sarr, la première vice-présidente de l’Assemblée nationale, Awa Guèye et Serigne Babacar Mbacké Moukabaro, la rencontre était une occasion pour le nouveau militant de l’Apr de s’exprimer sur son ralliement qui, d’après lui, est suscité par un besoin de reconnaissance et de considération. «J’ai beaucoup investi dans mon ancien parti, et pourtant j’ai toujours senti un manque de considération de la part de mon leader, Pape Diop, qui ne fait rien pour motiverses collaborateurs. C’est la raison pour laquelle, j’avais gelé depuis un bon moment toutes mes activités politiques, et retourné aux États Unis, mais c’est Mouhamed Ndiaye qui m’a appelé pour me demander de revenir au Sénégal. Donc, je vous promets que nous allons travailler, mes collaborateurs et moi, dans le cadre de la mas- sification de l’Alliance pour la République et la réélection du Président Macky Sall en 2019». De son côté, Mouhamed Ndiaye du mouvement «Rahma», s’en est félicité en déclarant que cela est venu à point nommé, du fait de la représentativité de cette sensibilité, mais aussi et surtout du contexte de pré- campagne qui demande de booster les rangs de l’Apr pour une victoire écrasante au len- demain des électionslégislatives et présidentielles. Même son de cloche du côté du ministre des Sports, Matar Bâ. Venu représenter le chef de l’État, ce dernier s’est beau- coup félicité de ce nouveau ral- liement en invitant par ailleurs les leaders de l’Apr, dont Ma- riama Sarr, Awa Guèye, Diène Farba Sarr, entre autres, à conti- nuer à travailler ensemble pour le triomphe de leur parti dans le Saloum. Matar Bâ n’a pas aussi oublié de transmettre le message du Président Macky Sall au grand public, c’est-à- dire un message d’encourage- ment et de motivation à l’égard du coordonnateur du mouve- ment Rahma, Mouhamed Ndiaye.

Le Pm fusille l’opposition

Sous un autre angle, le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne n’a pas épargné les adversaires du pouvoir, estimant que «personne n’acceptera qu’il y ait d’un côté le Sé- négal du passé et un conglomérat, un pot-pourri inspiré depuis le Qatar et qui veut perturber la sérénité de notre pays». Au moment où il y a la vision portée par le Président Macky Sall d’un Sénégal émergent et prospère dans le cadre d’un État de droit. Le natif de Gossas qui note que le chef de l’État a mis 687 milliards Cfa dans l’éducation nationale et la for- mation professionnelle pour développer le capital humain, appelle le peuple à refuser «de retourner en arrière, vers un Sénégal du passé, rétrograde et revanchard qui n’a jamais accepté que Macky Sall soit président de la République».

CONSEIL NATIONAL DES ENSEIGNANTS DE L’APR – Le Président Macky Sall confirme YoussouTouré

Le Président Macky Sall, qui a présidé le Conseil national des enseignants de l’Apr samedi dernier, a appelé à taire les querelles.

Attentif au discours du coordonnateur des enseignants de l’Apr, le Président Macky Sall qui est finalement arrivé en fin d’après midi pour rehausser de sa pré- sence la rencontre, alors qu’il était attendu un peu plus tôt, a d’abord appelé «à taire leurs querelles et à travailler ensemble dans l’unité pour la bonne dynamique du Parti…». Apparemment mécontent du comportement de certains membres du Réseau des enseignants, le président de la République a fait savoir qu’il ne tolérera pas certains écarts. Cet appel répond aux préoccupations du coordonnateur national du Réseau des enseignants, qui a exhorté le président de la République à siffler la fin de récréation. Parce que sa structure n’acceptera plus de se faire insulter par «un groupuscule d’insignifiants». Le secrétaire d’État qui a ré- colté des applaudissements très nourris, rappelle que malgré «le manque de considération» dont il fait l’objet, son Réseau «a toujours répondu présent» à l’appel du président de la République et de son gouvernement. D’où la mise en œuvre du programme 17-19 consistant à donner à la mouvance présidentielle 600 mille électeurs. Toutefois, il suggère un changement de cap. Parce que son Réseau «n’acceptera plus d’être laissé en rade». Changer les choses Dans ses complaintes, Youssou Touré qui a informé pour se plaindre, qu’«aucun poste de directeur général d’une société nationale ou de Pca n’est oc- cupé par un membre du Ré- seau» malgré «sa très forte re- présentativité (…)». «Ces ca- marades, patriotes engagés et convaincus par votre vision éclairée, souhaitent juste par- ticiper à vos côtés à l’œuvre de construction nationale», at-il dit au chef de l’État. M. Touré qui demande un quota «significatif» pour les enseignants sur les listes des candidats à la députation, estime qu’«il est temps que les choses bougent, changent, qu’on comprenne que les militants sont tous d’égale dignité et qu’il faudrait que leurs préoccupations soient correctement prises en charge par le gouvernement». Le président qui a conforté Youssou Touré dans ses fonctions de coordinateur, a promis l’enrôlement de 600 mille enseignants d’ici à 2019 et a garanti une prise en charge et même des députés dans la mesure du possible.

TAUX DE CROISSANCE DANS LES PAYS EN DÉVELOPPEMENT – Entre leurres et lueurs

Le taux de croissance est-il un indicateur pertinent dans un pays en développement ? Des experts et des hommes de la science économique ont tenté de répondre à cette question controversée autour d’un colloque sur le thème : «Accélération de la transformation économique et sociale : quelles nouvelles opportunités pour le Sénégal ?».

«Accélération de la tr ansforma tion économique et so- ciale : quelles nouvelles op- portunités pour le Sénégal ?». C’est le thème d’un colloque scientifique organisé par le La- boratoire de recherches éco- nomiques et monétaires (La- rem) de l’Ucad. Selon le Dr Fallou Samb, conseiller spécial du Président de la République en charge des investissements et du commerce, on parle beaucoup de transformation et d’émergence… Il faut qu’on s’arrête sur les concepts. Selon lui, Karl Max parlait de structure et de superstructure. C’est pourquoi, selon lui, il y a une transformalité de l’économie. À l’en croire, si on parle de transfor- mation structurelle de l’éco- nomie, c’est qu’il y a une struc- turalité. Pour le Pr Samb, il faut réin- venter l’économie. Le conseiller du Président Sall admet que la transformation structurelle de l’économie ne peut pas se faire sans une prise en charge de la problématique de la demande sociale. Pour lui, au delà de l’impact de la transformation, il faut espérer un impact sur les populations mais aussi, il faut de la qualité. Pour le Pr Makhtar Diouf, économiste, la transformation économique n’a rien à voir avec des taux de croissance. Pour le Pr Diouf, le taux de croissance dans un pays développé n’a au- cun sens. à en croire l’enseignant à la retraite, il faut que les pays africains se secouent et arrêtent avec ces termes de la Banque mondiale et du Fmi (émergence, taux de croissance). Selon lui, dans un pays déve- loppé, si on passe d’un point de croissance, c’est des milliers d’emplois créés, alors que ce n’est pas le cas dans un pays sous développé. C’est pourquoi, selon lui, le taux de croissance tel que calculé par le Fmi, n’est pas un indicateur pertinent de mesure de l’économie dans un pays sous développé où le taux de pauvreté est assez élevé. Selon lui, en 2000, le Président Abdou Diouf se targuait d’un taux de croissance de 6% avec félicitation du Fmi et de la Banque mondiale, mais les Sé- négalais lui ont tourné le dos. Parlant du Pse, qu’il dit l’avoir bien étudié, et soutient qu’au train où vont les choses, il n’a pas vu un début de piste d’émergence au Sénégal. À cet effet, l’économiste de renom invite lestenants du pouvoir à accepter les suggestions qui leur sont faites. Car selon lui, son point de vue n’a rien de politicien. «La transformation économique n’a rien à voir avec des taux de croissance», insiste-t-il.

SENTAXITRAFIC – Du nouveau dans le transport urbain au Sénégal

Soucieuse des difficultés de transport dont rencontre la population sénégalaise, la société SENS a tenue avant-hier une conférence de presse dans un hôtel de la place à Dakar pour lancer la plateforme Sentaxi Trafic dans le but de rénover le secteur du transport urbain au Sénégal et en Afrique de l’ouest.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention