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sadio mane : bUteUr rendement émollient

auteur du but sénégalais sur penalty, mané avait besoin de se remettre de ses agapes de la can passée, mais surtout d’exorciser les démons qui avait fait fourcher son pied. seulement, le rendement du joueur de liverpool remet sur le tapis le débat sempiternel des performances en club et leur corolaire en sélection nationale. depuis longtemps, très longtemps même, on attend du joueur qu’il ait le même rendement que tout le monde constate avec liverpool. Hier, face à la côté d’ivoire, il a été le joueur ayant perdu plus de ballons. surtout dans des zones où l’équipe est en remontée, où quand milieux et attaquants attendent qu’il se libère vite du ballon pour espérer mieux des autres déjà dé- marqués. rien. on constate que le mal est toujours dans le fruit, à savoir que certains comme lui, continuent de la jouer perso, au détriment du collectif. certes, il aura participé à deux, voire trois bonnes séquences collectives, mais dans l’ensemble, son égoïsme n’aura servi à personne, encore moins au collectif. a l’image de Keita baldé, remplacé à l’heure de jeu, son apport a été d’une telle transparence que son talent ne saura accepter. la percussion qu’on attendait d’eux sur les côtés n’a pas été à la hauteur de leur talent confirmé. ce qui est à l’origine du sevrage en bons ballons de l’attaquant axial. sur les dédoublements aussi, on n’a pas été servi plus que ça.

foot : amical international – À cHarlety Les Lions neutralisés par les Eléphants (1-1)

Lions et eléphants se sont quittés hier, dos-à-dos sur la pelouse de charlety, à Paris, en amical international. Pour leur seconde sortie, comme la première d’ailleurs, les protégés de cissé ne sont pas parvenus à conserver l’avantage. et c’est logiquement que les ivoiriens sont revenus dans la partie qui a été interrompue du fait des intempestives intrusions des supporters dans l’aire de jeu. L’arbitre chaperon a choisi d’arrêter la rencontre après avoir constaté le manque notoire de sécurité. une première qui relance sur la non-pertinence, aujourd’hui, de disputer des matches amicaux loin du Sénégal.

OPERATION COUP DE POING DE LA GENDARMERIE SUR LA VDN : 178 véhicules immobilisés pour diverses infractions

Dans le cadre de l’application des dix (10) mesures du ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, la gendarmerie a immobilisé 178 véhicules dont 55 pour défaut de permis de conduire, 38 autres pour défaut de visite technique à jour et 85 autres pour non port de ceinture de sécurité sur la VDN hier. Le Secrétaire général du ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Jules Aubin Sagna, en a fait l’annonce lors d’un point de presse organisé hier audit ministère pour édifier le public sur les résultats obtenus depuis l’effectivité de l’application des mesures de sécurité routière

PARTI DÉMOCRATIQUE SÉNÉGALAIS : Farba SENGHOR et Pape Samba MBOUP exclus

L’affaire Pape Samba Mboup et Farba Senghor est vraisemblablement close pour le Parti démocratique sénégalais (Pds-ancien parti au pouvoir de 2000 à 2012). Pour cause, réuni hier, lundi 27 mars 2017, sous la présidence d’Oumar Sarr, le secrétariat national du Pds a décidé l’exclusion pure et simple des deux sus nommés.

UTILISATION ET GESTION DES FONDS POLITIQUES : La société civile livre la clef

L’affaire de la caisse d’avance de la ville de Dakar a remis au goût du jour le débat sur la problématique de l’utilisation des fonds politiques ou fonds spéciaux (l’appellation importe peu) dont bénéficient certaines personnalités politiques sénégalaises. Interpellés sur la question, certains acteurs de la société civile sont presque unanimes à dire que les fonds spéciaux ne riment pas du tout avec l’exigence de la gouvernance transparente et vertueuse dont les tenants actuels du pouvoir chantent les louanges. Pour autant, le Secrétaire général par intérim de la Raddho, Sadikh Niass demande la suppression pure et simple de toutes les caisses d’avance, y compris celles des mairies, comme des fonds politiques de l’Assemblée nationale et toutes autres institutions qui en disposent. Abondant dans le même sens, le directeur de la section sénégalaise d’Amnesty international va plus loin en prônant la soumission de tous les utilisateurs de ces fonds spéciaux au contrôle de l’IGE et des autres corps de contrôle de l’État. Pour Seydi Gassama, même le président de la République devrait être contrôlé dans l’utilisation des fonds politiques qui lui sont attribués.

ALLEMAGNE – POLITIQUE MIGRATOIRE, STABILITE DES INSTITUTIONS, TERRORISME… : Des mesures péremptoires pour rester fort

Le gouvernement fédéral de la République d’Allemagne est dans la dynamique de s’entourer de toutes les garanties politiques et institutionnelles possibles pour circonscrire autant de périls qui peuvent compromettre sa stabilité. L’architecture des institutions est tellement solide que personne, fut-il ce führer d’Adolphe Hitler qui avait jeté son pays à la seconde guerre mondiale, ne peut les entamer. D’autres mesures restrictives et sélectives sont en cours d’exécution pour contrer les vagues de migrants et de terroristes qui hantent le sommeil de l’administration fédérale allemande. A l’initiative de la fondation Konrad Adenauer, une délégation sénégalaise de dix personnes composée de députés, de leaders politiques, d’acteurs de la société civile et des journalistes s’y est rendue dans le cadre d’un partage d’expériences dans les domaines ci-haut relevés.

Exclus, Pape Samba Mboup et Farba brûlent Wade et Karim

Le secrétariat national du Pds a exclu ce lundi 27 mars 2017 Pape Samba Mboup et Farba Senghor pour «actes d’indiscipline». Décision prise à la suite d’un rapport du secrétaire général national adjoint, Oumar Sarr.

Dans cet entretien accordé à Seneweb, le désormais ex-chargé de la propagande au Pds juge la procédure illégale et s’attaque à Karim Wade, «une personne très méchante que les sénégalais découvriront petit à petit». Il refuse, toutefois, de faire un recours et exclut toute alliance avec le Président Macky Sall. Entretien !

Vous venez d’être exclu du Pds. Vous devez être en colère ?

Je remercie plutôt le Seigneur d’avoir accompli sa volonté par cette décision. Je remercie également le président Abdoulaye Wade pour le long compagnonnage que nous avons eu. C’est moi-même qui ai adopté volontairement sa doctrine. J’ai fait un compagnonnage de plus de 40 ans avec lui. Nous avons beaucoup partagé et je sais que c’est un homme très généreux. Mais actuellement, il est âgé. Le problème fondamental, c’est son fils. Karim Wade est la source des malheurs du Sénégal et du Pds.

Qu’est-ce qui vous le fait dire ?

Parce qu’à partir de 2009, quand il a commencé à mettre la main dans le fonctionnement de l’Etat et du parti, il a tout chamboulé. Il a fait écarter les hauts responsables du Pds et des militants qui étaient autour de son père, pour installer des gens que personne ne connaissait et qui n’ont aucune compétence. Cela a eu une incidence très grave dans la gestion de notre pouvoir et a ouvert la brèche à nos adversaires. Des adversaires qui sont passés par son comportement pour atteindre tout notre système, mais aussi pour atteindre son père. C’est tout cela qui a amené notre défaite de 2012. Maintenant, depuis qu’il est sorti de prison, il continue de mettre la main dans le parti et à tout chambouler avec Whatshapp et les appels téléphoniques. On ne peut pas gouverner un pays ou un parti par Whattsapp.

Apparemment, vous en voulez à Karim Wade…

Karim est méchant. Il est très très méchant. Tout ce qui nous arrive, c’est lui. La vérité est qu’il y a un problème d’héritage au Pds. C’est un problème de succession du président Abdoulaye Wade. C’est la reprise de l’œuvre d’Abdoulaye Wade qui crée tous ces problèmes là. Karim a voulu créer un groupe de béni-oui-oui avec les Omar Sarr, Bakhao Diongue et El Hadji Amadou Sall… Mais ces gens-là viennent d’autres partis. Bakhao vient du Parti socialiste. Elle est arrivée après les événements de 2012. Amadou Sall vient du Rnd, Omar Sarr est un communiste-trotskiste. Il a été avec les Demba Ndiaye, Mimi Touré et Doudou Sarr. Ce sont ces gens-là qui vont récupérer le parti. Il (Karim) ne sait pas que ces gens-là sont les fils des anciens ennemis de son père. C’est une grande défaite pour le président Abdoulaye Wade quand on voit que les gens formés dans son parti son écartés et sont exclus.

Mais ne pensez-vous pas avoir prêté le flanc en adoptant une ligne contraire à celle du parti.

On me reproche d’avoir fait une tournée et d’être fractionniste. A-t-on oublié qu’il y a de hauts responsables du Pds qui ont créé leurs mouvements au vu et au su de tout le monde, qui ont déclaré qu’ils seront candidats en 2017 et qui préparent une liste parallèle aux élections législatives de 2017. Il s’agit de Aïda Mbodji. Tout le monde l’a vu. Il y a aussi Habib Sy, qui s’est déclaré candidat à la présidentielle de 2019, et Amadou Kane Diallo, lui aussi candidat en 2019. Ce dernier a même fait une tournée à l’extérieur, en France. Tournée qu’il est en train de faire au Sénégal. Il y a également Fallou Mbacké de Touba qui a déclaré ouvertement qu’il ferait une liste parallèle aux législatives. Pourquoi ces gens-là ne sont pas exclus. On vient exclure Farba Senghor. En plus la procédure utilisée pour nous exclure est viciée.

Viciée ? Pourquoi ?

Le règlement intérieur et les statuts du parti prévoient que nous soyons traduits devant le secrétariat national et que nous soyons assistés par un avocat ou par des assistants choisis librement par nous. Nous devrions être entendus, mais nous n’avons même pas été convoqués. On ne nous a même pas notifié la décision. Nous l’avons appris par voie de presse. Cet après-midi, Pape Samba Mboup a appelé à la permanence pour demander si nous étions convoqués à la réunion, on lui a répondu que nos noms ne figurent pas sur la liste des convoqués. Donc ils se sont réunis sans nous. Ils ont même, parait-il, voté. C’est triste de voir ce que Karim Wade est en train de faire. Il est très méchant. Nous l’avons couvert pendant tout ce temps-là. Nous n’avons jamais voulu blesser son père. Maintenant, il utilise l’âge de son père pour faire du n’importe quoi. C’est ça qui est triste. Les Sénégalais découvriront petit à petit qui est Karim. Est-ce qu’on doit être à Doha dans un trou et lancer des pierres à ceux qui sont à l’extérieur ? Le Pds a un seul problème actuellement, c’est Karim Wade. C’est lui qui nous a fait perdre le pouvoir et qui nous empêche de le reprendre. Tout est concentré sur Karim. J’avais dit aux responsables du Pds que nous devrions être unis, gagner les élections législatives et voter une loi d’amnistie en faveur de Karim Wade. Mais au lieu de cela, on est dans la diversion. Ce qui est grave pour le Pds.

Pourquoi êtes-vous donc la cible de Karim Wade comme vous dites ?

Karim Wade est derrière tout ça. Ils ont peur de moi. Ils savent que j’ai le système entre mes mains. Je suis l’épine dorsale. C’est moi qui tiens les rênes du parti. Je contrôle les responsables au niveau des départements et au niveau des communes. Comme c’est une course pour l’héritage du parti, ils ont peur que je récupère le Pds.

Vous êtes illégalement exclu, dites-vous ? Allez-vous faire un recours ?

Je ne ferai aucun recours. Je sais qu’ils voulaient m’exclure depuis. Même si tout s’est passé de manière anormale, je n’ai pas besoin de faire un recours. Ils savent que je connais le parti, je connais les procédures. Donc personne ne peut m’exclure par la voie normale. Je sais que si je les amenais devant les tribunaux, j’aurais obtenu gain de cause, mais ça n’en vaut pas la peine.

Maintenant, je viens d’être exclu, je vais réfléchir. Mais ce que je peux d’ores et déjà dire, c’est que je suis de l’opposition. Je me suis battu pour l’héritage d’Abdoulaye Wade. Je ne serai donc pas hors de cet héritage là. Je vais continuer de perpétuer l’œuvre du Président Abdoulaye Wade.

Vous n’envisagez donc pas de rejoindre le Président Macky Sall ?

Je n’ai jamais envisagé de rejoindre Macky Sall et je ne le ferai pas. Macky Sall le sait. Il n’a jamais tenté de venir vers moi. Il connait ma position. Je l’ai beaucoup aidé à se rapprocher de Me Abdoulaye Wade quand il a été exclu par Idrissa Seck qui avait donné des directives pour qu’il n’entre pas dans le palais. J’ai aussi beaucoup fait pour son entourage. Que ce soit le ministre de l’Intérieur actuel (Abdoulaye Daouda Diallo : Ndlr). C’est Mame Madior Boye qui me l’avait confié et je l’ai nommé Daf (Directeur administratif et financier : Ndlr) à Dakar Dem Dikk. Il y a aussi Cheikh Kanté du Port qui est passé par moi et Moustapha Cissé Lô. Si je l’avais voulu, j’aurais depuis longtemps eu des contacts avec eux. Mais je n’ai voulu avoir de contact avec personne. J’ai une ligne de conduite et ma dignité ne me permet pas d’être en collusion avec l’adversaire ou de faire des bassesses. Ma ligne est bien tracée, c’est la ligne wadiste. Je sais qu’Abdoulaye Wade est en dehors de mon exclusion parce qu’avec son âge, il est manipulé par son fils et par le groupe-là (Oumar Sarr et Cie : Ndlr). Mais son œuvre est là, il est colossal. Je ne renierai jamais le Wadisme, ni l’œuvre  d’Abdoulaye Wade.

Peut-on s’attendre à ce que vous créiez votre propre parti ?

Ce n’est pas encore à l’ordre du jour. Je suis en train de réfléchir. Et puis, rien se sert de multiplier les partis. Je vais réfléchir pour voir la meilleure conduite à adopter. A l’intérieur du Pds, je connais énormément de personnes avec qui j’ai partagé le passé d’Abdoulaye Wade et ils savent que l’œuvre d’Abdoulaye Wade sera perdu si elle tombe entre les mains d’Oumar Sarr et Cie. Je pense que ces gens-là prendront une décision et verront ce qu’il y a lieu de faire pour préserver l’oeuvre du président Abdoulaye Wade. Parce que c’est Abdoulaye Wade et son œuvre qui sont en péril à cause de Karim qui est aveuglé par le pouvoir et qui croit toujours qu’il a la possibilité de manipuler tout le monde alors qu’il est dans des conditions qu’il doit régler d’abord avant de vouloir se mêler de questions d’intérêt national.

Daouda Mine

ALIOU SALL, MAIRE DE GUÉDIAWAYE «Je ne veux ni être président de l’Assemblée nationale, ni vice-président. Mais…»

Accusé à tort ou raison par ses pourfendeurs de lorgner le fauteuil de président de l’Assemblée na- tionale, le maire de Guédiawaye, Aliou Sall, coupe la poire en deux. Il souligne qu’il n’en a pas l’ambition. «Je ne veux pas être président de l’Assemblée nationale, ni vice-président. Mais personne ne m’empêchera de briguer les suffrages des popu- lations de Guédiawaye», pré- cise-t-il. Avant de renchérir : «l’intimidation ne passera pas». Le frère de Macky Sall répond ainsi à ses détracteurs, notam- ment à Dias fils qui, lors d’une visite à Guédiawaye, a appelé les populations à ne pas voter pour le frangin du Président. S’exprimant en marge d’un meeting politique du mouvement citoyen «Tawfèkh», dirigé par Racine Bâ, qui a d’ailleurs dé- posé ses baluchons à l’Apr, Aliou Sall n’a pas manqué de traîner dans la boue l’opposi- tion. «En Suisse, nous avons enreg- istré des comportements irre- sponsables, violents de petits gens, membres de l’opposition, qui ont tenté de saboter la visite du chef de l’État. En France aussi, deux pelés et trois tondus ont manifesté alors que des gens se réunissaient tranquille- ment dans la résidence du chef de l’État à Paris. C’est un com- portement minable et petit de la part de ces gens-là»,s’indigne A. Sall. Parlant des 5 ans de Macky Sall, le maire tire un bilan élo- gieux du régime en place. «Dans le domaine agricole, qui aurait pu rêver que le Sénégal allait approcher l’autosuffisance en riz ? Qui aurait pu rêver la modernisation de l’agriculture en 5 ans ? Quel est le Président qui a pensé aux populations des villages frontaliers qui n’é- coutaient même pas les radios sénégalaises ? En si peu de temps, des centaines de kilo- mètres de routes goudronnées sont construites. Des villages sont désenclavés par des pistes rurales à travers le Pudc. Dire que les 5 ans du régime sont moroses, c’est faire preuve de mauvaise foi», clashe Aliou Sall.

Meeting de mobilisation en direction des législatives : Le MLK grossit, tire et avertit

La section Sandaga-Centre-ville et Environs du Mouvement Liguey-ak karim (MLK) a organisée ce week-end un meeting de remobilisation et d’animation à la rue Fleuris (Dakar plateau) sous la présidence de son coordonnateur national Alinard Ndiaye.

Ce meeting a vu la participation de Mamadou Bouth Bane président de Jubanti Sénégal, de babacar Mbaye Ngaraf, président de l’Alliance Sauver le Sénégal, des responsables de la section du Parti démocratique sénégalais (Pds) de Dakar-Plateau ainsi que de plusieurs responsables de mouvements karimistes.

En effet, l’objectif du MLK est de doter le Pds et l’opposition d’une large majorité à l’Assemblée nationale au soir des élections législatives de juillet 2017. Déjà, le MLK est en plein dans la bataille pour la reconquête de Dakar-plateau. D’ailleurs, ils ont réussi à faire inscrire plus de 3000 personnes dans le centre-ville.

Prenant la parole, Alinard Ndiaye a dénoncé avec force l’instrumentalisation notoire et à outrance de la justice dans le but d’écarter de sérieux concurrents à l’image de Karim Wade et de Khalifa Sall. A propos de Karim Wade, il a fait savoir que c’est Macky Sall himself qui l’a exilé de peur de l’avoir en face de lui comme adversaire lors de la présidentielle de 2019. A ce sujet, il a invité le pouvoir à rendre public tous les sondages qui les empêchent de dormir au sujet des élections à venir et qui donne «largement Karim vainqueur devant ce lion éternellement dormeur ; incapable de répondre aux besoins des populations.»

Une occasion pour inviter le Président Macky Sall et son régime «à mettre fin aux détentions arbitraires des leaders de l’opposition au moment où il couve des prédateurs notoirement épinglé comme le dg du coud et certains hommes d’affaires véreux.»

Parlant de l’exil et du retour de Karim, Alinard Ndiaye a signalé qu’il appartient «désormais à nous karimistes d’imposer le retour à Macky. En effet, si Macky SALL pense que le sort politique de Karim est entre ses mains en l’exilant, il se trompe, puisque nous devons à tout prix engager la bataille et le rapport de force pour réserver le moment opportun l’accueil que le peuple souverain avait réservé à Abdoulaye WADE en 1999 lorsque le puissant Abdou Diouf et son régime l’avaient contraint à un long séjour à l’étranger.»

Non sans lancer un appel à l’ensemble des acteurs politiques au sujet «des nombreux cas de fraudes noté dans les inscriptions sur les listes électorales, et regrette la rupture du dialogue politique autour du processus électoral tout en exigeant le départ de Abdoulaye Daouda Diallo à la tête du ministère de l’intérieur.

Parlant de la situation du pays, le Mlk a dénoncé avec force «le manque de vision, le tâtonnement et le manque de réalisme a travers des projets couteux et inutiles comme le TER.»

AM (actunet.sn)

De la fracassante déclaration de Mbaye Ndiaye à la grosse révélation de Moussa Tine : Khalifa, l’adversaire encombrant pour Sall

Presque tout le monde a été surpris d’entendre Mbaye Ndiaye, ministre d’Etat auprès du Président de la République et non moins directeur des structures de l’Alliance pour la République (Apr) faire une fracassante déclaration consistant à défendre que l’affaire Khalifa Sall est un dossier éminemment politique. Mais, tout le monde a été pétrifié en écoutant Moussa Tine débiter des mots en révélant que le Président Macky Sall l’a supplié de demander au maire de Dakar de retirer sa candidature. Ce qui pousse à clamer que Khalifa Sall est un adversaire encombrant dont il faut se débarrasser.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Dans ce Sénégal, la majorité des hommes politiques adoptent des démarches surprenantes pour éliminer un ou des adversaires. Tous les régimes qui se succédés ont quasiment opéré de la même manière, même s’il faut reconnaitre que certains l’ont toujours fait tact. Mais, depuis quelques temps, l’on assiste totalement à des éliminations mal calculées pour porter l’estocade à des adversaires politiques. Pendant presque trois ans, le Président Macky Sall a refusé de donner à des personnalités de grande envergure ce qu’il a accepté au Qatar. En effet, ces personnes bien connues et respectées ont entreprises des démarches pour l’élargissement de Karim Wade.

Mais, il a fallu l’entrée en matière de Doha et de son émir pour que l’on assiste à une grâce accordée au fils de Me Abdoulaye Wade, suivie d’un exil forcé. Un coup bien calculé puisqu’il s’agissait de se débarrasser d’un potentiel adversaire politique en le tenant très loin des frontières sénégalaises et d’Afrique. Ce qui semble être le cas pour Khalifa Sall, même s’il est dit qu’il y a présumé détournement de deniers publics. Et, s’il était le cas, ils sont nombreux à réfuter une telle thèse par rapport à la démarche et au contexte politique. Arrivé au pouvoir en 2012, Macky Sall n’avait-il pas la latitude de contrôler Khalifa Sall ? Pourquoi avoir attendu pareil moment pour le faire ? Fallait-il attendre qu’il prenne ses distances vis-à-vis d’Ousmane Tanor Dieng et du Parti socialiste (Ps) au pouvoir pour s’en prendre à sa gestion ? Ces questions font l’objet de tous les débats dans les cercles sociaux.

Seulement, il est avéré que le maire de la capitale reste et demeure un adversaire encombrant qu’il faut bâillonner en le mettant le corset pour des raisons strictement et éminemment politique. Cette appréhension n’est pas gratuite puisque c’est Mbaye Ndiaye, ministre d’Etat auprès du Président de la République et non moins directeur des structures de l’Alliance pour la République (Apr) qui a fait une fracassante déclaration consistant à défendre que l’affaire Khalifa Sall est un dossier éminemment politique. Mais, tout le monde a été pétrifié en écoutant Moussa Tine débiter des mots en révélant que le Président Macky Sall l’a supplié de demander au maire de Dakar de retirer sa candidature. Ce qui pousse à clamer que Khalifa Sall est un adversaire encombrant dont il faut se débarrasser. A vrai dire ‘’les dames de compagnie’’ auront du mal à trouver les meilleurs arguments pour contredire Mbaye Ndiaye et surtout porter une réplique convaincante face à Moussa Tine.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention