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Pape Malick Sy, frère cadet de Serigne Cheikh Tidiane Sy : «Les marabouts sont des citoyens comme tous les autres. Certains ministres sont indignes»

El Hadji Malick Sy plus connu sous le nom de Pape Malick Sy a réparé un tort qui est souvent fait aux marabouts et qui consiste à les bâillonner sur des sujets d’ordre politique. Pour le frère cadet du Khalife général des tidianes, les marabouts ont leur mot à dire sur la politique. Ces mises au point ont été faites lors de la ziarra générale de Tivaouane.

Les marabouts ne doivent pas se prononcer sur des sujets politiques. Voici un discours qu’on a l’habitude d’entendre de certains sénégalais. Une opinion que ne partage, mais pas du tout Serigne Pape Malick Sy. Le frère cadet de Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy a laissé entendre qu’on ne peut plus reprocher aux marabouts de dire ce qu’ils pensent du jeu politique. Pour la bonne et simple raison qu’ils sont des citoyens au même titre que tous les autres. Et Pape Malick Sy ne s’est pas arrêté en si bon chemin.

Pape Malick Sy a fustigé par ailleurs l’indignité de certains ministres. « Certains ministres digèrent difficilement d’être limogés », a-t-il déploré en rappelant le cas d’un ministre qui a été remercié par Senghor et qui est allé implorer l’intervention de Serigne Cheikh Ahmed Tidiane pour revenir dans le gouvernement d’alors. « Serigne Cheikh a supplié Senghor de le reprendre alors que la liste du nouveau gouvernement était déjà publiée ».

Mais selon Pape Malick Sy, si des ministres sont indignes des responsabilités qui leur sont confiées au point de pleurnicher quand ils sont relevés de leurs fonctions, d’autres par contre méritent d’être félicités.

Ces goulots d’étranglements qui étouffent les collectivités

Le lancement de l’Acte 3 de la décentralisation avait suscité beaucoup d’espoir mais aussi des critiques. Après près de quatre ans de mise en œuvre, les collectivités locales rencontrent beaucoup de difficultés. Celles-ci se résument en quatre «f» : financement, fonctionnalité, formation et foncier.

DRAME À MBACKÉ – La gendarmerie s’oppose à l’inhumation d’un talibé battu à mort

Encore un cas de talibé battu à mort qui a défrayé la chronique tout le weekend à Touba et Mbacké. Il s’agit d’un jeune talibé, âgé de 10 ans environs qui a été torturé, après l’avoir attaché, battu et privé de nourriture durant des jours. Ne pouvant plus, en effet, supporté l’atrocité des sé- vices, il décède.

La tragédie s’est produite, samedi, un peu avant midi, dans un Dara sis à Darou Salam, notamment à «Senthiane ya», quartier situé à la périphé- rie-est de Mbacké.Aprèsla mort du jeune talibé, les auteurs du crime se sont alors précipités pour l’enterrer en catimini. Mais c’était sans compter avec la vi- gilance et la perspicacité des gendarmes de la brigade de Mbacké qui ont été informés du décès de l’enfant. Ces derniers ont rappliqué dare dare au dara mortuaire, puis aux cimetières de Darou Salam où le talibé dé- cédé devait être inhumé. Lorsque les éléments de la Gendarmerie se sont présentés dansl’enceinte des cimetières, ils ont surpris ceux qui s’affairaient déjà (trois individus), autour du corps du défunt. De sources proche de l’enquête, ils avaient fini d’ef- fectuer la toilette funèbre, de lui enrôler le linceul ets’apprêtaient même à procéder à la prière fu- nèbre. Sur place, les hommes en bleu ont, en effet, avisé les sapeurs-pompiers, quisont venus récupérer le corps du jeune talibé, pour le déposer à l’hôpital Matlaboul Fawzeini de Touba, «afin d’être acheminé à Dakar pour autopsie».Après, les gendarmes ont interpelé les trois personnes trouvées sur les lieux. Selon toujours nos sources bien au fait de l’affaire, «des traces de coups sont visibles sur le corps sans vie du jeune talibé et seraient l’œuvre de son moniteur, A. Seck, âgé d’une vingtaine d’années, qui n’est personne d’autre que le fils de S. Badiane, propriétaire du dara, en question, qui est également le père du dé- funt. Le père, S. Badiane, le fils, A. Seck, auteur principal des sévices qui ont entraîné la mort du jeune talibé, et un autre, M. Thiam, ont été tous les trois interpellés et placés en garde à vue, en attendant la suite de l’enquête.

APRÈS LA DYNAMIQUE VICTORIEUSE DE 2012 – La coalition Benno se vide de ses premiers combattants

Même si la coalition Benno bokk yakaar qui a amené le Président Macky Sall au pouvoir est toujours là, il faut noter que beaucoup de ses membres ont quitté la barque.

Après le passage du candidat de la coalition Macky 2012 au second tour de l’élection présidentielle de 2012, avec 26% de l’électorat, les coalitions perdantes de l’op- position d’alors ont respecté leur parole, au nom notamment de la charte des Assises natio- nales en soutenant le premier d’entre eux. Cette coalition forte de dizaines de partis lui per- mettra de remportersans grande difficulté cette élection avec près de 66% des suffrages face au Président Abdoulaye Wade dont le troisième mandat, vive- ment contesté, a occasionné une violence qui a débouché sur mort d’hommes. Les élections législatives qui s’ensuivirent ai- deront la coalition victorieuse à consolider cette mouvance présidentielle qui était pourtant condamnée à imploser, comme l’ont été d’autres alliances élec- torales dans l’histoire politique du Sénégal. LE SEPTENNAT DE LA SÉPARATION Mais, petit à petit, le Président Macky Sall commencera à se retrouver devant la réalité du terrain politique au point de ne pas tenir en compte certaines promesses qui ont sous-tendu ce compagnonnage. C’est le cas du député Imam Mbaye Niang, leader du Mrds. Pour marquer le coup, il ne se limitera pas seulement à quitter la majorité présidentielle. Il abandonne également son poste de «Secrétaire» à l’Assemblée nationale en raison de la décision du Président Sal, de «n’avoir pas honoré sa promesse de ré- duire de sept à cinq ans la durée de son mandat en cours». Ce sont les mêmes raisons qui ont motivé le départ du président de l’Union pour la démocratie et la réforme (Udr), Dolèle Yaakaar, Mansour Ndiaye. Un peu plus tôt, le leader de la coalition Taxaw Tem, Ibrahima Fall, avait déjà abandonné le navire. Pour éviter «le bilan décevant» du Président Macky Sall. «Le bilan de Macky Sall est plutôt décevant dans le mesure où, si l’on rapporte ce qui a été fait à ce qui a été promis, force est de reconnaître que les résultats ne sont pas à l’image des promesses. Ce n’est pas avec 7 % qu’on peut se développer. Il faut qu’on éduque les citoyens et ce n’est pas la peine de chercher à les induire en erreur. Beaucoup de pays sont aujourd’hui à 7,8,9% ; cela ne suffit pas pour l’émergence», soutenait-il dans l’émission Grand format de la Rfm en 2014. Ils ne seront pas seuls. Puisque d’autres partis viendront s’ajouter à cette longue liste de départ de la coalition Benno bokk yakaar. C’est le cas pour Cheikh Bamba Dièye, devenu un farouche opposant. Comme du reste Cheikh Tidiane Gadio. Dans son coin, l’ancien ministre et chef de fil du parti des Citoyens pour l’Éthique et la transparence «Jarin sama reew», candidat malheureux à l’élection présidentielle de 2012, Moussa Touré, est devenu un franc-tireur, dégainant tout le temps sur la gestion du Président Sall. L’expert-comptable, Mor Dieng, du Parti Yakaar, est allé s’occuper de ses affaires, comme du reste le Professeur Amsatou Sidibé, parti de Benno suite à ses sorties fracassantes sur sa vision de la marche de la gouvernance du régime Sall. Autant d’alliés de la première heure ont ainsi dit «au revoir» pour se braquer contre le Pré- sident qui peut, toutefois, compter sur de nouvelles adhésions. De nombreuses têtes ont rejoint l’Apr pour occuper les espaces laissés par les frustrés. Idrissa Seck n’échappera pas à ces désistements. En septembre 2013, il annoncera avec fracas la sortie de son Rewmi de la coalition présidentielle. Une démarche qui mettra fin aux relations très heurtées entre les deux hommes. L’«homme de Princeton» n’ayant jamais, selon ses détracteurs, accepté que «l’ingénieur» le précède au Palais de l’ex-Avenue Roume. Il partira avec de nombreux élus tout en perdant ses ministres, Pape Diouf et Oumar Guèye, qui avaient décidé de rester. LA SCISSION DANS LES PARTIS Dans cette marche commune avec le président de la République, le Ps et l’Afp y laisseront des plumes. Khalifa Sall sera suivi dans sa lutte pour de nombreux socialistes. El Hadj Malick Gackou, lui, créera son Grand Parti, emportant avec lui des pans entiers. Même si le président Macky Sall peut compter sur les adhésions, il regrettera certainement d’avoir perdu les hommes qui l’ont aidé au second tour de l’élection présidentielle de 2012. Ils seront ses principaux adversaires aux prochaines joutes électorales.

Latribune

OUSMANE KANE

 Le coordonnateur de la Cojer à Bambey, a indiqué ce week-end que la coalition Benno bokk yakaar (Bby) a encore de beaux jours devant elle. «L’unité de Benno avec Mor Ngom est une réalité, notamment dans le Baol où elle contrôle sous la houlette du ministreconseiller spécial à la présidence 11 communes sur 12», a-t-il dit. Ousmane Kane s’exprimait en marge de la commémoration du cinquième anniversaire de l’accession de Macky Sall au pouvoir. Selon le patron des jeunesses républicaines du département de Bambey, l’unique commune qui est sous la coupe de la parlementaire libéraleAïda Mbodji, est aujourd’hui à la croisée des chemins. «La seule commune qu’elle dirige est plongée dans l’obscurité et dans l’insalubrité qui fait de Bambey l’une des villes la plus sale du Sénégal», a notamment souligné le jeune “apériste”.

ABDOU KARIM SALL

Le directeur de l’Artp, non moins responsable politique de l’Apr à Mbao, déplore avec la dernière énergie la violence intervenue lors de la rencontre des femmes de l’Apr, samedi passé. AKS appelle ses “sœurs” à plus de calme et de sérénité. «L’heure n’est pas à la bataille et aux invectives. Nous devons serrer les coudes, rester unis, car l’objectif qui vaille présentement c’est de gagner les élections lé- gislatives prochaines. Je vous invite à la sérénité», dixit AKS. Le directeur de l’Artp présidait la journée dédiée à la quinzaine de la femme, que les femmes de Mbao ont célébrée ce 25 mars, coïncidant avec l’an V de Macky Sall au pouvoir. «Le Président Macky Sall nous a instruit d’aider les femmes. Elles occupent une place de choix dans le Plan Sénégal émergent. D’ici la fin du mois d’avril prochain, nous allons implanter une mutuelle pour financer 5.000 femmes», dit-il devant un parterre de femmes.

PVD

Le Bureau politique du Parti pour la vérité et le développement (Pvd) informe de la mise sur pied de son comité électoral pour les législatives du 30 juillet prochain. Dans un communiqué Sokhna Dieng Mbacké et ses camarades rappellent aux militants que les inscriptions sur les listes électorales sont prolongées jusqu’au 28 avril. Sur un autre registre, le Pvd a salué le déplacement àTivaouane de Serigne Modou Kara et de la présidente du parti Sokhna Dieng. Il a présenté à son tour ses condoléances à Serigne Abdoul Abdoul Aziz Al Amin à la suite de la disparition de Cheikh Tidiane Sy Al Makhtoum

SERIGNE DJILY MATY LÈYE Serigne

Djily Maty Lèye va se pré- senter aux législatives prochaines. Décision symbolique et pleine de sens : ce fils du Khalife général des Mourides compte faire face à la liste de l’Alliance pour la République àTouba. Est-ce avec la bénédiction de son père ? Tout porte à le croire. Ce qui pourrait être un coup dur pour le parti présidentiel qui rencontre beaucoup de difficultés dans sa course pour la reconquête deTouba.

Douloureux anniversaire…

Macky Sall et les siens auraient certainement aimé fêter cinq ans au pouvoir d’une autre manière que dans ce contexte très lourd. Même si des pas ont été franchis en termes d’amélioration des conditions de vie des populations, il y a de nombreuses attentes qui ont été déçues. Sur le plan social, la diminution du prix des loyers a été une décision salutaire mais elle n’a pas été suivie d’effets, d’où ce retour à la case-départ. Tout comme la baisse des prix de certaines denrées de première nécessité qui a fait long feu à cause des spéculations de commerçants véreux qui échappent complètement au contrôle des services compétents de l’État, souvent complices. Au-delà du bien être social promis, la gestion transparente, la gouvernance vertueuse, la lutte pour une justice équitable, une justice pour tous, demeurent toujours un rêve pour nombre de Sénégalais qui croyaient au «Président de l’espoir». Dès lors les huées de Paris, de Suisse, les pierres à l’Université sont à décrypter avec intelligence au lieu de les minimiser si maladroitement…

Attaque à Londres: Des femmes musulmanes se rassemblent sur le pont de Westminster

Des femmes musulmanes se sont rassemblées sur le pont de Westminter dimanche, là où un assaillant a foncé sur des passants avec sa voiture mercredi, tuant trois personnes. Elles portaient toutes du bleu, en signe d’espoir. Alors que Big Ben sonnait 16 heures, elles se sont tenu la main pendant 5 minutes. Un message de paix et de solidarité après le choc de l’attaque, apprend-on sur le site The Independant.

Mercredi, Londres a été la cible d’un attentat : Khalid Masooud, 52 ans, a foncé sur des passants qui marchaient sur le pont de Westminter, avant de poignarder un officier de police. Trois personnes ont été tuées et une quarantaine blessées.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention