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Les aliments hyperprotéinés sont-ils vraiment bons pour la santé?

“Enrichis en protéines”, “Hyper protéinés”, “high protein”… Peut-être avez-vous croisé ces étiquettes en faisant vos courses. Les produits alimentaires estampillés enrichis en protéines plastronnent aux rayons des spécialités laitières, des fromages, des barres de céréales… jusqu’aux saucissons! Une offre qui répond à une demande des consommateurs.

 

Les protéines, des macronutriments essentiels pour la santé

Que ce soit pour calmer les petits creux, éviter les fringales ou choyer ses muscles, il est vrai que les protéines se parent de nombreuses vertus.
Maillon indispensable de l’équilibre alimentaire, ces macronutriments (aux côtés des lipides et des glucides) sont rassasiants et stimulent la satiété. Ils aident à freiner l’absorption du sucre et donc aident à réguler la glycémie. Ils forment donc des alliés d’une gestion du poids. Ils participent aussi à la construction musculaire et jouent un rôle immunitaire et enzymatique lié à la digestion”, décrit Claire-Aurore Doray, diététicienne-nutritionniste, spécialisée dans l’alimentation à IG bas et la perte de poids.

Si on ne peut se passer des protéines, faut-il pour autant céder à la mode du super protéiné? Selon notre experte, ce type de produits cible avant tout les sportifs et les personnes qui cherchent à développer leur mase musculaire. Mais ils ne sauraient constituer une solution miracle. “Les industriels de l’agroalimentaire surfent beaucoup sur cette vague du protéiné mais cette tendance relève selon moi davantage d’un intérêt marketing que d’un argument nutritionnel”, remarque notre interlocutrice. Et de préciser: “Une alimentation variée et équilibrée tous les jours suffit en principe à combler nos besoins en protéines” chez l’adulte.

 

L'”enrichi en protéines”, un coup de pouce ponctuel chez le senior

Néanmoins, concède Claire-Aurore Doray, les produits riches en protéines peuvent ponctuellement apporter un coup de pouce à une alimentation trop pauvre en protéines. Ce qui peut être le cas chez certains seniors. En vieillissant, les besoins en protéines sont accrus et peuvent atteindre 1 à 1,2g de protéine par kilo de poids et par jour chez le senior (parfois jusqu’à 1,5 g/kg/jour en cas de pathologie, perte de poids ou activité physique soutenue), ce qui revient à manger 2 tranches de jambon ou 2 œufs ou 100 g de viande ou 150-200g de poisson par repas. Cette augmentation des apports recommandés en protéines aide à lutter contre la fonte musculaire liée à l’âge, dite sarcopénie. “Chez le senior, ces produits enrichis en protéines peuvent compléter une alimentation variée et équilibrée, notamment en cas de faible appétit ou de perte de poids involontaire”, reprend l’experte.

La moindre appétence pour la viande et les protéines animales, courante en vieillissant, peut aussi justifier le recours éventuel à ces produits hyperprotéinés.

Produits hyperprotéinés: lesquels choisir?

Si on souhaite tenter l’expérience des produits enrichis en protéines, on s’oriente de préférence vers les laitages. “Les yaourts, les fromages blancs et les Skyr sont naturellement riches en protéines et certaines marques les enrichissent en protéines en ajoutant de la poudre de lait industrielle ou du lactosérum sans complètement dénaturer le produit”. Autre conseil utile, on privilégie les versions les plus brutes possibles aux versions élaborées dont la liste d’ingrédients à rallonge cache souvent des additifs. “On choisit par exemple des yaourts nature enrichis que l’on aromatise soi-même avec un peu de sirop d’agave, de la purée d’amande, un peu de miel, de la confiture, un fruit frais ou un peu de compote”.

Vous raffolez du saucisson et du fromage? On oublie les versions enrichies en protéines, qui présentent peu d’intérêt. “Le saucisson est plus un produit plaisir à consommer ponctuellement et le fromage est déjà naturellement riche en protéines”.

Quid des pâtes hyperprotéinées? Là aussi, on passe son tour. “Les pâtes enrichies en protéines ont peu de sens selon moi, car on les consomme essentiellement pour leur source de glucides et non pour leurs protéines”.

En cas de petite faim, les barres de céréales enrichies en protéines valent le détour, à condition de bien scruter les étiquettes et de comparer la ligne “apport en protéines pour 100g” entre deux références équivalentes. On choisira celle avec l’apport en protéines pour 100 g le plus important. “Autour de 10 à 12g de protéines pr 100g c’est bien pour rassasier et lutter contre la fonte musculaire”, conseille la diététicienne.

Comment manger plus de protéines naturellement sans craquer pour l’hyperprotéiné

L’hyperprotéiné doit rester une solution occasionnelle qui ne remplace en rien l’équilibre alimentaire, fait valoir Claire-Aurore Doray: “Avant de se tourner vers ce type d’aliments, on veille à apporter suffisamment de protéines dans ses repas en misant sur les sources de protéines classiques comme la viande, les yaourts, les œufs, les légumineuses (telles que les lentilles, les pois cassés, pois chiches, les haricots blancs, rouges, etc), les amandes ou encore les noix de cajou”.

Fractionner ses repas est une autre idée pour muscler ses apports en protéines sainement. “Si on ne mange pas assez de protéines au repas, on peut faire 4 ou 5 petits repas dans la journée enrichis avec des petits apports en protéines. Par exemple, on ajoute dix amandes et un yaourt à la fin de chaque repas, ou on met un peu de purée d’amandes dans les yaourts ou les tartines le matin”, recommande l’experte.

 

Dr Paulin Basinga, directeur Afrique de la Fondation Gates: « notre objectif: faire de l’éradication des maladies infectieuses une réalité »

Rencontré à Dakar, début septembre, en marge du Forum africain des systèmes alimentaires 2025, Dr Paulin Basinga a également participé à New York au Gala Goalkeepers awards de la Fondation Gates dont il est le directeur Afrique. Le médecin rwandais, successeur du sénégalais Cheikh Oumar Seydi, revient, dans cette interview, sur les actions de la Fondation Gates dans la recherche scientifique, la santé et le développement sur le continent africain.  

Quelles sont la mission et les priorités de la Fondation Gates en Afrique ?

L’Afrique a accompli des progrès remarquables au cours de la dernière génération, et la mission de notre Fondation est de soutenir cette dynamique en investissant dans des priorités définies et menées par les Africains eux-mêmes, afin de nous rapprocher de la réalisation des Objectifs de développement durable. Nous travaillons aux côtés des gouvernements, d’organisations locales et internationales et des communautés, en mobilisant l’expertise scientifique pour renforcer le leadership national.

Sur l’ensemble du continent, nos priorités incluent la lutte contre les décès évitables de mères et de nouveau-nés, la protection des jeunes générations contre les maladies infectieuses mortelles, et la sortie de la pauvreté pour des millions de personnes.

Nous collaborons également étroitement avec différents pays pour aligner nos actions sur leurs objectifs nationaux de développement, notamment dans les domaines de la santé maternelle et infantile, de la nutrition, de la vaccination et de l’agriculture, y compris le soutien aux petits exploitants agricoles. Le principe directeur de toutes nos actions est d’investir dans les priorités africaines, afin de garantir un progrès durable, ancré et conduit localement.

Parlant de maladies infectieuses mortelles, pensez-vous que l’éradication du paludisme sera bientôt possible sur le continent ?

Cette année encore, le continent a prouvé que l’élimination de maladies infectieuses est possible. Le Niger est devenu le premier pays africain à éliminer l’onchocercose, ou la cécité des rivières, un jalon historique qui illustre ce qu’il est possible d’accomplir grâce à un leadership fort, de la persévérance et des outils adaptés. Au cours des 25 dernières années, des progrès similaires ont été réalisés contre d’autres maladies majeures. La mortalité liée à la tuberculose a chuté de 45 %, sauvant environ 63 millions de vies, et l’accès élargi à un diagnostic plus rapide et à des traitements améliorés permet à des pays comme l’Afrique du Sud de se rapprocher de leurs objectifs d’élimination de la tuberculose. Dans la lutte contre le paludisme, les avancées ont également été considérables, mais pour éliminer cette maladie, nous devons conjuguer innovations audacieuses et renforcement des systèmes de santé. Des percées récentes, comme le vaccin R21/Matrix-M, les moustiquaires et insecticides de nouvelle génération, ainsi que de meilleurs traitements, élargissent les possibilités, et ce sont des scientifiques africains qui mènent ces travaux. Ici même, la science progresse à un rythme rapide, nous rapprochant plus que jamais d’outils révolutionnaires de nouvelle génération. Cela inclut la recherche sur des technologies prometteuses comme le forçage génétique (« gene drive »), qui pourrait offrir une solution décisive là où les outils actuels atteignent leurs limites. Le Cap-Vert, l’Ile Maurice et l’Algérie ont déjà été certifiés exempts de paludisme par l’Organisation mondiale de la santé, un accomplissement remarquable sachant que l’Afrique supporte encore environ 95 % des cas mondiaux et 96 % des décès liés au paludisme en 2021. L’éradication est la seule solution durable. À la Fondation Gates, nous travaillons avec des scientifiques, des gouvernements et des communautés africaines pour accélérer le développement et la distribution équitable des outils de nouvelle génération, tout en renforçant les systèmes de santé capables d’atteindre les zones les plus reculées et les plus touchées.

Chaque étape franchie nous rappelle que l’élimination est possible, et qu’un monde

sans paludisme est à portée de main. Avec des investissements soutenus à long terme, de l’innovation et un leadership communautaire fort, nous pouvons faire en sorte que la prochaine génération grandisse à l’abri des maladies infectieuses les plus meurtrières d’aujourd’hui. Notre objectif est de faire de l’éradication des maladies infectieuses une réalité pour la génération à venir.

Au Sénégal, depuis quelques années, la Fondation Gates soutient l’Institut Pasteur de Dakar dans la production de vaccins. Où en est ce partenariat ?  

L’Institut Pasteur de Dakar (Ipd) est un pilier de l’innovation en santé publique en Afrique, avec une longue expérience dans la recherche, le développement et la fabrication de vaccins, notamment contre la fièvre jaune, protégeant ainsi des millions de personnes en Afrique et dans le monde. Ces dernières années, la Fondation Gates a collaboré avec l’Ipd pour renforcer la production existante de vaccins et faire progresser de nouvelles technologies afin de préparer l’Afrique aux défis sanitaires futurs. Un premier soutien, d’un montant de plus de 5 millions de dollars américains, a permis à l’Ipd de rénover son usine de production de vaccins contre la fièvre jaune pour répondre aux normes de préqualification de l’Oms. Ce soutien initial s’est ensuite élargi à la mise en place de capacités de production d’Arn messager (ArNm) à Dakar. Les scientifiques de l’Ipd ont déjà réalisé des avancées, notamment dans la recherche sur le tout premier candidat vaccin à ArNm du Sénégal contre la fièvre de la Vallée du Rift. Ce sont des étapes encore précoces, mais essentielles, vers l’objectif à long terme de bâtir un écosystème vaccinal durable et dirigé localement en Afrique. Le rôle de la Fondation reste catalytique, apportant financement, expertise technique et capacité de mobilisation, tandis que la vision et le leadership demeurent entre les mains de l’Ipd. L’objectif commun est de permettre à l’Afrique de développer ses capacités scientifiques, réglementaires et industrielles pour répondre rapidement aux épidémies et assurer la pérennité des programmes de vaccination de routine. Nous avons également soutenu l’autorité de régulation sénégalaise, l’Arp, dans l’obtention du niveau 3 de maturité (ML3) de l’Oms pour les médicaments, et nous continuons à l’accompagner vers ce même niveau pour les vaccins. Cette étape est cruciale pour permettre à l’Arp d’exercer une supervision efficace de la production de vaccins de l’Ipd, au bénéfice de l’Afrique et du reste du monde.

Il circule souvent de fausses informations sur les vaccins et sur les objectifs de la Fondation Gates. Comment luttez-vous contre cette désinformation ?

La désinformation constitue un défi majeur pour tous les acteurs de la santé mondiale et du développement, mais aussi pour les familles et les communautés. Car elle risque d’éroder la confiance dans les solutions mêmes qui sauvent des vies et améliorent la santé, le bien-être et les perspectives économiques. Notre approche consiste à travailler avec des partenaires qui garantissent l’accès à une information précise, transparente et diffusée en temps utile. Cela signifie soutenir les gouvernements, les institutions de santé et les organisations communautaires pour qu’ils partagent les faits de manière pertinente et adaptée aux publics qu’ils servent. En définitive, la meilleure réponse à la désinformation, c’est l’impact visible. Lorsque les communautés constatent les bénéfices des vaccins, d’une meilleure nutrition ou de systèmes agricoles renforcés, la confiance s’installe naturellement. Elle grandit quand les familles voient moins d’enfants tomber malades et davantage de mères survivre à l’accouchement. Ces progrès visibles parlent d’eux-mêmes.

Bill Gates a annoncé que sa Fondation mettrait fin à ses activités d’ici à 2045. Qu’en est-il exactement ?

Comme vous le savez peut-être, Bill Gates a annoncé, en mai dernier, un engagement historique, au cours des 20 prochaines années, que la Fondation investira 200 milliards de dollars, soit environ le double de ce qu’elle a dépensé au cours des 25 dernières années, afin d’accélérer les progrès en matière de santé mondiale et de développement. Notre priorité restera les domaines où notre impact peut être le plus fort, réduire la mortalité infantile, éradiquer ou éliminer les maladies infectieuses et sortir encore davantage de personnes de la pauvreté.

Fixer une date de fin reflète notre conviction que les progrès durables doivent, en fin de compte, être dirigés et assumés par les gouvernements et les communautés eux-mêmes. La philanthropie vient en appui, comme un levier complémentaire aux solutions publiques qui sauvent des vies. Notre objectif désormais est de maximiser l’impact de chaque dollar investi et de chaque partenariat, pour que les 20 prochaines années soient encore plus transformatrices que les 25 précédentes.

Touba : l’hôpital Matlaboul Fawzeyni se mobilise contre le cancer du sein et de l’utérus

L’hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba a organisé une journée de consultation et de mammographies gratuites pour lutter contre les cancers du sein et de l’utérus ce jeudi. Cette initiative a attiré des centaines de femmes qui ont répondu présentes pour bénéficier de ces services de santé gratuits.

Selon le Dr Basile, gynécologue, le dépistage précoce est crucial pour lutter efficacement contre ces maladies. Il a souligné que le cancer se développe généralement à partir de lésions précancéreuses et que la détection de ces anomalies à temps est essentielle. Le directeur général de l’hôpital, Massamba Thioro Sall, a ajouté que le cancer du sein, lorsqu’il est détecté précocement, offre de meilleures chances de guérison précise le Soleil.

M. Sall a précisé que l’hôpital se mobilise activement avec un programme concret, comprenant notamment des journées de dépistage et de mammographies gratuites. Des créneaux spéciaux seront réservés aux consultations et dépistages pour les femmes éligibles tout au long du mois d’octobre.

Le Dr Basile a souligné que la vaccination contre le cancer du col de l’utérus concerne les filles de 9 à 14 ans, mais a insisté sur l’importance du dépistage régulier une fois qu’elles sont actives sexuellement. M. Sall a lancé un appel vibrant aux entreprises, leaders d’opinion et citoyens pour soutenir cette cause et participer à la lutte contre le cancer.

L’hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba est déterminé à lutter contre les cancers du sein et de l’utérus en promouvant le dépistage précoce et en facilitant l’accès aux soins de santé. La mobilisation de la communauté est essentielle pour faire reculer ces maladies et sauver des vies.

Comment choisir, préparer et cuisiner les champignons, ces trésors d’automne et de santé

3 bonnes raisons de manger des champignons pour notre santé

  • Ils contribuent à notre hydratation

Y compris en hiver, il est conseillé de boire 1,5 litre d’eau par jour, et même jusqu’à 2 litres ou plus, selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). L’alimentation va pourvoir à l’apport de ce demi-litre supplémentaire, notamment via les champignons, constitués en moyenne de 90% d’eau.

  • Ils sont riches en fibres

Impliquées dans la régulation du transit, la satiété et le maintien du poids, les fibres participent également à ralentir la glycémie, réduire la synthèse du cholestérol, prévenir les cancers et nourrir les bactéries nécessaires à l’équilibre du microbiote intestinal.

  • Ils regorgent de propriétés nutritionnelles

Pourvus de plusieurs vitamines du groupe B, de vitamine D, de sélénium (oligo-élément), de potassium (minéral), les champignons contiennent aussi des antioxydants tels que l’ergothionéine et le glutathion, présents notamment dans les cèpes. Ils contribuent au bon fonctionnement neuromusculaire et immunitaire, à la santé cutanée, osseuse et cardiovasculaire, ainsi qu’à la lutte contre le vieillissement cellulaire. Enfin, ils sont source de protéines végétales.

Si les variétés de culture sont présentes toute l’année, l’automne reste la saison privilégiée pour les champignons, qui foisonnent dans les sous-bois et sur les étals

Pourquoi ne faut-il pas trop manger de champignons (et pas tous les jours)?

De façon raisonnée et en petite quantité. Même lorsqu’ils sont comestibles, ces végétaux – ni légumes ni fruits – sont de véritables éponges, absorbant métaux lourds et produits toxiques. Pour limiter les risques, ne les cueillez pas à proximité de zones industrielles, d’activités chimiques ou d’agriculture intensive.

De plus, leurs fibres peuvent irriter les intestins sensibles, causant ballonnements et diarrhées. Résultat, ils ne doivent pas être consommés dans les mêmes proportions qu’un légume d’accompagnement tel que les haricots verts mais plutôt comme un condiment.

Enfin, évitez d’en manger plus de 200 g par semaine et sur plusieurs repas d’affilée.

Comment bien les choisir

  • En forêt.

Veillez à respecter la réglementation (quantités et espèces autorisées…) et ne ramassez pas les plus petits. Cueillez ceux qui paraissent en bonne santé (sans tache, pas abîmés…) en les déterrant entièrement, sans les couper: leur pied est essentiel pour les identifier. Transportez-les dans un panier à fond plat et jamais dans un sac plastique, car ils fermentent rapidement.

  • Sur les étals.

 

Comment savoir si des champignons sont bons ou pas?

Vérifiez systématiquement leur comestibilité! Certaines espèces toxiques peuvent être confondues avec des variétés comestibles. Pour limiter les risques, ne vous fiez pas aux applications de reconnaissance sur smartphone et faites toujours identifier votre cueillette par un pharmacien.

En cas de nausées, vomissements, diarrhées après ingestion d’un champignon, contactez immédiatement un médecin ou le centre antipoison.

 

Comment les préparer

Comme ils sont gorgés d’eau, ne les lavez pas afin de ne pas en ajouter! Pour ôter terre et saletés, utilisez un petit pinceau et un linge humide.

Comment conserver les champignons frais?

Quelques jours au frigo et plusieurs mois au congélateur.

Ils peuvent également être mis en conserve ou séchés au four à basse température pendant quelques heures puis placés dans des bocaux fermés hermétiquement, à garder plusieurs semaines.

 

Comment les cuisiner: crus ou cuits?

Hormis les champignons de Paris, ils se consomment tous cuits, de préférence saisis à la poêle pour faire dégorger leur eau tout en préservant leur croquant. Ils se marient parfaitement avec les aromates (ail, échalote, persil…), les épices (curry, paprika…), et se dégustent en fricassée, soupe, purée, gaufre salée, omelette.

Quels champignons dans mon panier: 8 variétés qui enchantent le palais

Le cèpe

Graal de la chasse aux champignons, excellent frais, poêlé avec une pointe d’ail et quelques herbes, il enchante omelettes, viandes et sauces. Même séché, le cèpe réveille un plat de lasagnes de son petit goût de noisette. Snacké à la poêle, puis mixé avec des châtaignes et un peu de crème fraîche ou végétale, il permet de concocter un délicieux potage d’automne.

Veillez à ne pas le choisir trop vieux, car il risque d’être spongieux.

 

La girolle

Aussi appelé chanterelle commune, ce champignon des bois est reconnaissable à sa corolle et à sa couleur orangée. Attention toutefois de ne pas le confondre avec la fausse girolle, laxative ou, dans les régions méridionales, avec le pleurote de l’olivier, toxique. Si vous ramassez des girolles, faites-les identifier avant de vous régaler de leur saveur fruitée en fricassée ou avec de la viande rouge, du veau, du poulet…

Le champignon de Paris

Le plus commun et le plus consommé, blanc ou brun, présent toute l’année, il est le seul à se manger cru sans restriction, émincé en salade, par exemple. Si vous le dégustez ainsi, épluchez la peau de son chapeau afin d’éliminer les mauvaises bactéries, détruites par la cuisson. Délicieux aussi lorsqu’il est cuit, le champi de Paris est un ingrédient incontournable de la blanquette de veau et de l’escalope à la crème. Il garnit les galettes de sarrasin et se décline au four farci avec du fromage frais, en gratin…

Pleurote, trompette-de-la-mort, shiitaké, truffes et morilles

Le pleurote offrira sa saveur subtile à des pâtés, des “pains de viande” végétaux et des quiches salées, tandis que la trompette-de-la-mort accompagnera parfaitement des coquilles Saint-Jacques. Pensez aussi à l’option plus exotique mais très en vogue du shiitaké, un champignon d’origine asiatique, succulent en poêlée. Sans oublier les précieuses truffes et morilles pour donner un air de fête à vos repas.

Premier cas de Fièvre de la Vallée du Rift détecté à Dakar : la maladie atteint la capitale

La région de Dakar a enregistré son premier cas de Fièvre de la Vallée du Rift (FVR), jusque-là absente de la capitale, selon un communiqué du ministère de la Santé. Le cas a été signalé dans le district sanitaire de Keur Massar, marquant une nouvelle étape préoccupante dans la progression de l’épidémie.

Ce nouveau cas porte à 196 le nombre total d’infections confirmées depuis le début de la flambée, dont 21 décès et 147 guérisons recensés. La maladie, qui restait principalement concentrée dans la région de Saint-Louis (179 cas), s’étend désormais à Dakar, renforçant l’inquiétude des autorités sanitaires.

Le ministère de la Santé appelle les populations à observer strictement les mesures de prévention et à coopérer avec les équipes médicales dans les actions de dépistage et de sensibilisation.

Le même communiqué fait également état de 6 cas confirmés et 2 cas probables de Mpox (variole du singe), tous enregistrés dans la région de Dakar. À ce jour, 8 patients sont guéris et 22 personnes contacts demeurent sous surveillance médicale.

Serie A : la Juventus Turin dans le viseur de l’UEFA, deux ans après avoir été suspendue pour non-respect du fair-play financier

La Juventus Turin fait l’objet d’une enquête de l’UEFA pour violations des règles du fair-play-financier qui lui avait valu une suspension des compétitions européennes en 2023-24, selon des documents publiés jeudi soir. Le club, de son côté, assure avoir respecté le règlement et considérablement réduit son déficit la saison dernière.

a Juventus Turin fait l’objet d’une enquête de l’UEFA pour violations des règles du fair-play-financier qui lui avait valu une suspension des compétitions européennes en 2023-24, selon des documents publiés jeudi soir. “En référence au paramètre de la règle des revenus, le 18 septembre, comme d’usage dans des situations similaires pour les clubs participant aux compétitions de l’UEFA, la Juventus a reçu de l’UEFA une communication sur l’ouverture d’une procédure pour le dépassement potentiel pour la période triennale 2022-23 à 2024-25”, a expliqué la Juve.

 

“L’issue de cette procédure (…) est attendue pour le printemps 2026 et pourrait donner lieu à une éventuelle sanction financière (mais d’un montant vraisemblablement peu significatif) ainsi qu’à d’éventuelles restrictions sportives (telles que, par exemple, des restrictions à l’inscription de nouveaux joueurs dans les listes des compétitions de l’UEFA)”, poursuit le texte. Dans ces documents communiqués aux actionnaires en vue de son assemblée générale du 7 novembre, le club le plus titré du football italien assure “avoir respecté le ratio Squad Cost (salaires et indemnités de transfert ne devant pas dépasser 70% des recettes, NDLR) et prévoit (…) de pouvoir respecter ce paramètre également pour l’année civile 2025”.
Selon les règles du fair-play financier, le déficit admis pour un club sur trois ans ne doit pas dépasser 60 millions d’euros, déficit porté à 90 millions d’euros sur la même période pour un club “en bonne santé financière”. La Juventus a enregistré des pertes de 58,1 millions lors de la saison 2024-25, un net recul par rapport aux 199,2 millions d’euros perdus lors de l’exercice précédent. La Juve, contrôlée par la famille Agnelli via sa holding Exor, avait été privée de compétitions européennes en 2023-24 en raison d’infractions au fair-play financier. Avant la 7e journée du Championnat d’Italie ce week-end, le club bianconero, opposé dimanche à Côme, est 4e à trois longueurs du leader et champion en titre, Naples, mais vient d’enchaîner cinq nuls de suite toutes compétitions confondues.

Dakar 2026 : Le Gabon En Soutien Au Cojoj

Le président du Comité national olympique et sportif sénégalais (Cnoss) et du Comité d’organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse (Cojoj) Dakar 2026 a effectué une visite de travail à Libreville (Gabon) le mardi 14 octobre 2025. Mamadou Diagna Ndiaye a ainsi été reçu en audience par le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, président du Gabon, en présence de son homologue, Gressant Pambo, président du Comité national olympique (CNO) du Gabon. Il a saisi l’opportunité pour présenter l’état des préparatifs de Dakar 2026. Les échanges avec le chef de l’Etat gabonais ont porté sur les perspectives de partenariat et de soutien mutuel entre les deux CNOs en vue de cet événement historique qui marquera la première organisation d’une manifestation olympique sur le continent africain.

Le Général Brice Clotaire Oligui Nguema a fait part de sa fierté de voir l’Afrique accueillir les JOJ. Il s’est félicité des grandes avancées dans la préparation qui lui ont été présentées, avant de manifester sa disponibilité pleine et entière ainsi que celle de tout le Peuple gabonais à être à côté du Sénégal et du COJOJ pour le succès de l’événement.

« Nous sommes résolument engagés aux côtés de Dakar 2026 et à œuvrer au succès de cet événement continental » (Cno Gabon)

En marge de la visite, des séances de travail ont été tenues entre les délégations des deux CNOs, suivies de visites de sites et infrastructures sportives. Ces rencontres ont permis de réaffirmer les liens d’amitié, de fraternité et de coopération, au-delà des deux entités membres du Comité International Olympique, entre les communautés sportives des deux pays.

« Le CNO du Gabon est honoré de recevoir le Président Ndiaye et sa délégation. Les Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026 sont une occasion unique pour le rayonnement du sport et des jeunes athlètes africains. Nous sommes résolument engagés aux côtés de Dakar 2026 et à œuvrer au succès de cet événement continental », a souligné Gressant Pambo, président du CNO Gabonais.

« Cette visite s’inscrit dans la volonté commune du Sénégal et du Gabon de promouvoir les valeurs de l’olympisme, de renforcer la coopération régionale et de faire des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026 un véritable symbole d’unité, de jeunesse et de fierté africaine », a dit pour sa part le président Mamadou Diagna Ndiaye, devant Son Excellence le Général Brice Clotaire Oligui Ngema, Président de la République du Gabon.

La délégation était composée de Ibrahima Wade, coordonnateur général du Comité d’organisation des JOJ Dakar 2026, Louis Lamotte, directeur de cabinet du président du COJOJ Dakar 2026, Balla Dieye, directeur des Relations Internationales, Khadidiatou Niang, directrice des cérémonies, Abdoulaye Thiam, président de l’Association nationale de la presse sportive et de l’AIPS Afrique. L’Ambassadeur du Sénégal au Gabon a également pris part aux travaux.

Économie circulaire: 21 pays africains cherchent à harmoniser leurs initiatives

L’Assemblée générale annuelle de l’Alliance africaine pour l’économie circulaire (Acea) a été ouverte, hier, à Addis-Abeba (Ethiopie). C’était en présence des représentants des 21 pays membres dont le Sénégal mais aussi des partenaires techniques et financiers. L’alliance cherche, à travers cette réunion, à promouvoir l’alignement des initiatives nationales, régionales et continentales en matière d’économie circulaire. Cela, afin de favoriser la cohérence, la mobilisation dynamique (politique et technique) pour mettre en œuvre les feuilles de route nationales en matière d’économie circulaire conformément à la recommandation de l’Union africaine, l’exploration du rôle des institutions et des cadres régionaux pour stimuler l’industrialisation et l’intégration de l’économie circulaire dans les chaînes de valeur africaines.

L’alliance veut aussi l’approfondissement de la collaboration entre les pays membres et les partenaires techniques régionaux afin d’accélérer l’harmonisation des politiques, l’innovation et les investissements. « Depuis le lancement du Plan d’action de l’Union africaine sur le continent en juillet 2025, une forte dynamique a été construite pour le développement de l’économie circulaire en Afrique. Cette conférence est donc arrivée au bon moment pour nous permettre d’explorer nos partenariats internationaux et de promouvoir des solutions innovantes qui permettront d’améliorer l’économie circulaire en Afrique », a déclaré Charles Nyandiga, responsable Environnement au Pnud. Selon lui, l’Assemblée générale 2025, placée sous le signe de l’alignement continental pour la transformation de l’économie circulaire en Afrique, « est un appel à unir nos efforts, à améliorer notre impact, à accélérer la transition de l’Afrique vers un avenir durable, inclusif et prospère ».

A l’en croire, en Afrique, les initiatives sur l’économie circulaire sont nombreuses. Les gouvernements adoptent des politiques, les entreprises pilotent des solutions innovantes et les entrepreneurs démontrent la viabilité commerciale des pratiques circulaires. Mais la plupart des efforts restent fragilisés et localisés, limitant la capacité du continent à développer des économies de taille et des marchés régionaux. « Cette réunion est une opportunité pour mieux nous aligner afin de développer des initiatives nationales, régionales et continentales pour que la transition vers l’économie circulaire en Afrique soit cohérente, disponible et impactant », a insisté M. Nyandiga.

Il a souligné la nécessité d’utiliser des plateformes d’intégration régionale pour le développement de l’économie circulaire en Afrique. Poursuivant, le responsable Environnement du Pnud a soutenu que les transitions vers l’économie circulaire nécessitent des investissements et des solutions innovantes. « Notre défi pour cette réunion est d’explorer des moyens durables de mobiliser des financements et d’améliorer l’innovation pour s’assurer que les projets d’économie circulaire sont bancables, inclusifs et climatiquement intelligents », a estimé Charles Nyandiga. Pour sa part, Nathaniel Oluoch Agola, économiste en chef à la Banque africaine de développement (Bad), a félicité la Commission de l’Union africaine pour l’annonce récente de son Plan d’action sur l’économie circulaire. Pour lui, ce document sert de guide pour dynamiser l’agenda de l’économie circulaire sur le continent africain. Ce plan définit la manière dont l’Afrique peut transformer la circularité en un moteur de compétitivité, de résilience et d’opportunité.

AVEC LE SOLEIL

Assises de l’Entreprise : Baïdy Agne pose la dette intérieure sur la table

Les Assises de l’entreprise 2025 du Conseil national du patronat (Cnp) se tiennent depuis hier à King Fahd Palace. L’ouverture de cette manifestation, qui s’étale sur deux jours, a été une occasion pour le président du Cnp, Baïdy Agne, de plaider en faveur des entreprises privés pour l’apurement de la dette intérieur que leur doit l’Etat. «L’étape de la vérification des créances échues est en cours… L’entreprise a reçu la circulaire du ministre des Finances et du budget.

L’apurement progressif des créances, le délai d’attente… L’entreprise sollicite le gouvernement pour qu’il soit le plus court possible, et qu’une priorité soit accordée aux secteurs en difficulté», a mentionné le président du Cnp dans son discours. Soulignant les difficultés auxquelles le secteur privé national est confronté, le pa­tron du Cnp appelle à moins de pression fiscale sur les entreprises privées. «L’équili­bre budgétaire nécessaire à notre politique macroéconomique et le financement de nos politiques sectorielles nous interpellent tous. Cependant, concernant la santé de l’entreprise, lorsque j’interpelle l’entreprise, elle me répond : «mon cher Baïdy, la situation est difficile, j’ai sur le dos les Impôts, la Douane, le contrôle économique et l’Inspection du travail»», a fait savoir M. Agne aux officiels venus répondre à l’appel du Cnp. L’entreprise plaide pour le civisme fiscal. Mais, souligne M. Agne, «la pression est trop forte sur les mêmes contribuables».
Sur la dette intérieure due aux entreprises privées, Bakary Sarr, directeur de Cabinet du ministre des Finances, parle d’un montant de 300 milliards de francs Cfa. Il précise que le ministre des Finances et du budget a saisi l’ensemble des entités du secteur privé pour faire un recensement exhaustif de ce que l’Etat doit à ces entreprises. «En faisant ce travail de recensement et de certification, la prochaine étape, c’est de procéder à l’apurement. Dans la loi de finances qui a été déposée hier à l’Assemblée nationale, un montant complémentaire de 300 milliards a été réservé pour l’apurement de ces arrières», informe M. Sarr.
La présente édition 2025 des Assises de l’entreprise est placée sous le thème central : «Croissance plus, économie compétitive, souveraineté & emplois durables.» Ce thème, selon le président Agne, traduit l’engagement républicain de l’entreprise pour l’atteinte des objectifs du Plan de redressement économique et social 2025-2029 et l’Agenda national de transformation Sénégal 2050. En effet, argue-t-il, «notre Etat fait face à des urgences et priorités économiques, budgétaires et sociales… Nous en sommes conscients. La santé de l’entreprise est de plus en plus fragile dans des secteurs d’activités. Nous l’avons constaté. Mais, nous sommes des entrepreneurs optimistes. L’entreprise ne bute jamais sur des difficultés, ni ne contourne des obstacles. L’entreprise les transforme en escaliers pour sa croissance et sa pérennité. Croissance plus, c’est en effet à l’entreprise de la générer par l’investissement et des gains de productivité».
C’est la raison pour laquelle, à ces présentes assises, trois salons expo-conférences sont organisés, où le savoir-faire, la compétitivité de l’entreprise sénégalaise, le potentiel de croissance sectorielle, le développement socio-économique de pôles territoriaux et la contribution fiscale sont visibles : le Salon international de l’économie numérique (Sipen 2025), le Salon national de l’industrie (Dakar industrie 2025) et le Salon du Btp (Innov-Bat).

Inclusion numérique : Ecobank Sénégal dote le Groupe scolaire inclusif «Ensemble Demain» d’une salle informatique

Les apprenants du Groupe scolaire inclusif «Ensemble Demain», situé à Mbour, peuvent maintenant pousser un ouf de soulagement. Quelques jours après la rentrée des classes, Ecobank Sénégal a doté cet établissement d’une salle informatique entièrement équipée, afin d’améliorer les conditions d’apprentissages et de renforcer l’inclusion numérique.
Les responsables de  la filiale sénégalaise du groupe bancaire panafricain Ecobank Transna­tional Incorporated (Eti) ont profité hier de la célébration de la 13e édition de la Journée Ecobank pour procéder à son inauguration. Une occasion pour le Directeur général d’Ecobank Sénégal de rappeler que «l’éducation est un levier majeur de développement. En soutenant une école comme «Ensemble Demain», Ecobank Sénégal souhaite contribuer à bâtir une société plus inclusive, où chaque enfant, quelles que soient ses capacités, a accès aux outils nécessaires pour réussir». Pour Sahid Yallou, «cette initiative illustre également l’engagement durable de la banque à donner à la jeunesse sénégalaise les moyens de bâtir un avenir confiant et autonome».
Fondé en 2009 par un non-voyant, le Groupe scolaire «Ensemble Demain» est un modèle d’intégration, accueil­lant aujourd’hui plus de 300 élèves, parmi lesquels des enfants avec déficiences auditives, visuelles ou intellectuelles, qui côtoient des enfants valides. Le directeur de l’école inclusive «Ensemble Demain» a exprimé sa gratitude. «C’est un appui qui contribue à la transformation sociale de notre société pour le progrès et l’assurance de tout le monde. Nous nous en réjouissons, parce que c’était un vœu, une envie qu’on avait, et voilà, le Bon Dieu a fait que ce problème est aujourd’hui réglé», a déclaré Alioune Deh.
La réalisation d’une salle d’informatique à cette école sise à Mbour s’inscrit dans un engagement plus large d’Eco­bank. Ces trois dernières années, la banque a déjà équipé des salles informatiques dans d’autres établissements sénégalais tels que  le Cem de Ru­fisque-Ouest, le Lycée Mame Abdou Aziz Sy de Guédiawaye, y ajoutant un abonnement internet illimité et la solution d’Intelligence artificielle.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention