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Situation du maire de Dakar : Le Ps abandonne Khalifa Sall

Au sortir de sa réunion de Secrétariat exécutif, le Parti socialiste (Ps) a clairement démontré qu’il ne soutient pas le maire de Dakar. Khalifa Sall, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est abandonné par son parti qui a fait savoir qu’il réaffirme sa confiance à la justice et souhaite vivement que la procédure ainsi enclenchée suive son cours normal.

D’emblée, Ousmane Tanor Dieng ont défendu que «fidèle à ces principes, le Parti socialiste prend acte des suites judiciaires données aux rapports de l’Inspection Générale d’Etat (IGE) à l’issue de missions de vérification administrative et financière de certaines collectivités locales.» En effet, poursuivent-ils : «Sur la base des constats faits par l’IGE et au cours d’une procédure contradictoire, une suite judiciaire a été recommandée, pour certains dossiers, par l’organe de contrôle.»

Autant de raisons pour réaffirmer «sa confiance à la justice et souhaite vivement que la procédure ainsi enclenchée suive son cours normal.» Non sans dire que «fort de la conviction qu’il y va ainsi de la crédibilité de la classe politique qui aspire à gérer les destinées de notre pays, le Parti socialiste lance un appel à tous les acteurs pour plus de sérénité, de retenue, de responsabilité et d’objectivité, dans l’appréciation des faits afin d’éviter de fragiliser l’Etat de droit, rempart de la stabilité sociale du Sénégal.»

Ainsi, les ‘’Verts’’ de Colobane souhaitent «à toutes les personnes mises en cause de pouvoir fournir les preuves de leur innocence pour recouvrer rapidement leur liberté.» Ils ont également rappelé qu’Ousmane Tanor Dieng, «à l’occasion d’une réunion du Comité central tenue juste après les élections locales du 22 mars 2009, conseillait aux Maires socialistes nouvellement élus, «de faire de la transparence et de la reddition des comptes, un mode de gouvernance locale ». A les en croire, il a réitéré ces conseils aux exécutifs locaux élus à la suite des élections locales du 29 juin 2014, à l’occasion de la première session du Comité central du 20 décembre 2014 tenue après le 15ème Congrès ordinaire.»

AM (actunet.sn)

 

 

 

 

M. Amadou Diagne, Président du Fogeca reçu par des chefs d'entreprise au Portugal !

M. Amadou  Diagne, Président du Fogeca reçu par des chefs d’entreprise au Portugal pour les préparatifs du Forum Afrique-Portugal prévu en fin Avril 2017 au Palais des congrès de l’AIP

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Karim Wade bat le rappel des troupes – Une caravane et une tournée nationale contre Macky

En prélude au retour de Karim Wade annoncé au bercail pour avril, ses partisans se mobilisent. Le rappel des troupes qui commence ce lundi dans la banlieue par une caravane du mouvement Karim Tanifou Askan Wi va se poursuivre avec une tournée nationale contre le Président Macky Sall.

Par Ndiogou CISSE

Les partisans de Karim Wade se mobilisent en attendant le retour de leur mentor prévu en avril. La première étape du rappel des troupes du fils de Me Abdoulaye Wade commence par Pikine où une caravane va sillonner les rues pour une inscription massive des populations sur les listes électorales. Sous la houlette d’Astou Thiam, ci devant présidente du mouvement de soutien à Karim « Tanifou Askan Wi », les karimistes veulent démontrer à travers cette caravane que leur leader va prendre part aux élections législatives de juillet prochain., Emigrée Sénégalaise basée en Caroline du Nord, Astou Thiam qui a initié la caravane de la banlieue pour le compte de karim Wade va saisir l’occasion pour lancer son slogan de soutien au fils de Me Abdoulaye qu’elle intitule «  Never give up » ? en sillonnant les rues de Pikine, les karimistes vont sensibiliser les habitants sur l’enjeu des élections pour le choix des représentants du peuple et la nécessité de s’inscrire sur les listes électorales. Pour Astou Thiam qui a pris l’engagement de se battre aux côtés de l’ancien ministre d’Etat, Karim Wade jusqu’à son accession à la magistrature suprême du pays, « cela est le seul moyen pour abréger le régime dictatorial du Président Macky Sall »  Le rappel des troupes de karim ne s’arrête pas dans la banlieue de Dakar. Après Pikine, une tournée nationale va les mener à Dakar, Rufisque, Bambilor, Thies, Tavaoune, Touba Mbacké jusqu’à Kaolack, Louga et Vélingara. Un tel programme d’activités est pour les partisans de Karim Wade, la preuve qu’il sera bieentôt de retour au pays qu’il a quitté pour le Qatar. Pour rappel, après sa sortie de prison en Juin 2016, Karim Wade n’a pas passé une nuit à Dakar. Elargi de prison à la faveur d’une grâce prise dans la précipitation, Karim Wade a quitté la capitale sénégalaise, par vol spécial, pour le Qatar en compagnie d’Ali Ben Fetais Al-Marri, Procureur général et Ministre de la justice de ce pays arabe.

 

Le Grand Parti indexe

Le Grand parti dénonce le redéploiement de certaines machines vers des localités où le taux d’inscription sur les listes électorales et pour l’obtention de la carte d’identité est encore faible.

Une mesure prise par le ministre de l’intérieur pour dit-il, booster les inscriptions.

le parti de Malick Gakou compte organiser une caravane dans le département de Pikine pour dénoncer cette mesure.

Pikine, la coordination de l'APR à Guinaw Rail Sud gèle toutes ses activités.

Ces apréristes accusent Pape Mael Thiam de détournement d’objectif.

Ils lui reprochent d’user de ses pouvoirs pour détourner l’aide que la Première Dame à octroyer à la commune.

Ils menacent de ne pas battre campagne pour les législatives si leurs responsables ne sont pas investis.

BABA FALL  porte leur parole.

C'est officiel ! L'international de football, Ibrahima Touré divorce d'avec sa femme

…L’attaquant sommé de payer 10millions cfa de dommages à son ex épouse en sus de 500.000 cfa de pension alimentaire mensuel…

Le divorce a été officialisé entre l’attaquant Sénégalais Ibrahima Touré et son désormais épouse Banna Balfroy.
Il nous revient en effet que l’ex joueur de Monaco est tenu de payer à titre de dommage la somme de 10 plaques de nos pauvres sous dévalués à la Sénégalaise de nationalité Française.
En sus, il devra débourser mensuellement pas moins de 500.000 cfa en guise de pension alimentaire.
Last but not least, Ibrahima Touré, qui a opté pour une communauté de biens devra désormais tout partager avec son ex épouse. En clair, tous les biens achetés avec Banna pendant leur idylle sont supposés appartenir aussi bien à Touré qu’à Banna. Ainsi, la niche où crèche son ami chanteur Waly Seck est inscrite sur leurs biens communs au même titre que l’autre immeuble de trois étages sis à Sud Foire entre autres…
C’est dire que Touré est loin de sortir de l’auberge. Et pour cause ? Nous avons appris de nos informateurs tapis dans les rouages de Dame Justice que la gestion des biens communs peut aussi poser quelques problèmes puisque les décisions importantes (vente, etc.) exigent l’accord des deux conjoints (y compris après un divorce quand les biens communs tombent en indivision.

Elections législatives

L’article L 145 du code électoral portant répartition du nombre de sièges par département pose un réel problème dans son application strict.

C’est là, la conviction du chargé des élections de la Ligue Démocratique.

Ousmane Badiane affirme que certaines localités seront forcément lésées, et qu’on pourrait se retrouver avec plus de 200 députés à l’Assemblée Nationale.

Mais que dit cette article L 145 sur la clé de

Répartition des sièges de députés au scrutin majoritaire ?

Dakar a plus de siège que pikine qui a le poids démographique le plus important

Les autorités ont donc maintenu la répartition de 2012.

 

 

Les services suspendus à l'hopital de Pikine

Grogne des travailleurs de l’hôpital de Pikine qui observent depuis 10h un arrêt de travail.

C’est pour réclamer entre autres, le paiement des primes de rendement aux contractuels, le paiement des factures du plan sésame et de la CMU qui s’élève selon eux à 700 millions de FCFA.

Des factures qui ont fini de mettre à genoux l’hôpital .

22 mars 1967, 22 mars 2017 : Il y a 50 ans, Moustapha Lô, cousin de Serigne Cheikh Al Makhtum, voulait attenter à la vie du président Senghor

Il y a cinquante ans, jour pour jour, Moustapha Lô, cousin du défunt Khalife Cheikh Tidiane Sy, voulait attenter à la vie du président Léopold Sédar Senghor. La disparition d’Al Makhtoum à une semaine du 50ème anniversaire de l’acte perpétré par Moustapha Lô est un prétexte pour revenir sur cette affaire qui n’a pas encore révélé tous ses secrets. Si des témoins de l’histoire avouent que Moustapha Lô n’a jamais voulu tuer Senghor, d’autres soutiennent qu’il y a eu bel et bien tentative d’assassinat. Retour sur un événement historique qui fait encore couler beaucoup d’encre et beaucoup de salive !

C’était 22 mars 1967, jour de la fête de Tabaski. La cérémonie officielle se déroulait sur l’esplanade de la grande mosquée de Dakar. Une tribune était dressée en l’honneur des plus hautes autorités du pays, ainsi que des chefs de mission diplomatiques accrédités au Sénégal.

La tentative d’assassinat

A la fin de la prière, alors que le président Senghor avait quitté la tribune et s’apprêtait à monter dans sa voiture décapotable, un homme s’élance vers lui. Il appuie sur la gâchette d’un pistolet MAC de 9 mm sur le président de la République du Sénégal, et, selon les témoignages, comme ceux qui sont rapportés par Abdoul Baïla Wane, ancien directeur-adjoint de cabinet de Senghor, «on entendit par deux fois le déclic, mais le pistolet s’était enrayé. Un cri de frayeur s’éleva de la foule médusée. L’homme fut maîtrisé sur le champ, jeté dans une fourgonnette et conduit au Commissariat central».

L’identité de l’«assassin» de Senghor : Moustapha Lô, cousin de Cheikh Tidiane Sy

Qui était-ce ? Il s’agissait de Moustapha Lô, membre de la grande famille de Tivaouane, et cousin de Cheikh Tidiane Sy, défunt Khalife général des Tidjanes, alors mis en prison par Senghor. Une enquête est alors ouverte pour savoir si ce jeune, aussi «courageux», n’avait pas été payé pour abattre le président Senghor. La machine judiciaire, mise en marche, avait arrêté plusieurs personnalités soupçonnées à tort ou à raison d’être complice de Moustapha Lô.

L’unique question que se posaient les dignitaires du pouvoir était : «pour le compte de qui travaille-t-il, au point de vouloir assassiner le Président Senghor ?». Mais, celle qui grattait la cervelle du peuple, de manière générale, était plutôt : «est-ce que Moustapha Lô voulait vraiment tuer Senghor ?»

«Je voulais simplement lui donner un avertissement pour lui faire changer de politique», dira-t-il lors de son procès tenu le 18 juin 1967 à Dakar. «Les jours précédant l’attentat, Papa avait l’air pensif, et le jour-J, il est longuement resté sur sa natte de prière», se remémore sa fille Zeinabou Lô, âgée de six ans à l’époque. Lorsqu’il est sorti de sa maison pour se diriger vers la Grande mosquée de Dakar, sa famille ne se doutait certainement pas de la manière dont leur fête de Tabaski allait se passer.

Le désarroi de la famille de Moustapha Lô

La nouvelle de l’attentat se répand juste après la prière. Mais c’est bien plus tard que la famille Lô apprendra ce qui s’est passé. «Nous étions perchés sur le balcon. Ce sont les sirènes et gyrophares de la police qui nous ont alertés, raconte sa fille aînée, Oumou Kalsoum Lô. Papa est revenu sous une forte escorte. Il avait les pieds nus et les mains ligotées.» Oumou Kalsoum avait sept ans à ce moment, mais se rappelle encore du mauvais film du jour : «Ils (les policiers) ont saccagé notre demeure et ont malmené notre femme de ménage qui était sous la douche.»

L’épouse de Moustapha Lô, Fatou Sarr, qui avait accouché d’une fille la veille témoigne : «Je n’ai jamais compris son acte, puisqu’à la maison, il ne tuait jamais les moutons. D’ailleurs, je me suis chargée de trouver un boucher la veille, avant d’aller accoucher à la clinique.» 

Moustapha Lô, né en 1926 à Kaolack, est en effet décrit comme une personne courtoise et correcte, doublé d’une forte assise intellectuelle. «Il n’avait pas de problèmes, il n’était pas capable de tuer une mouche. C’est la raison pour laquelle j’ai eu du mal à admettre cette histoire», soutient sa veuve Fatou Sarr, âgée de 27 ans au moment des faits.

Après son arrestation, Moustapha Lô, arabisant autodidacte et ancien secrétaire particulier à l’ambassade du Sénégal en Egypte, est transféré au Camp pénal de Liberté V. Ce n’est que quelques jours plus tard que sa famille obtient le droit de visite. «On n’y est allé qu’une seule fois, j’étais avec Zeïnabou et mon frère Abdoul Aziz, confie Oumou Kalsoum. Il avait la tête basse ce jour-là.»

La condamnation

Son procès se tiendra le 18 juin 1967, Moustapha Lô est condamné à mort. Sa famille a tenté d’obtenir une grâce présidentielle. Les guides religieux aussi s’y sont mis. Thierno Seydou Nourou Tall, Serigne Abdoul Aziz Sy, l’Archevêque de Dakar Hyacinthe Thiandoum tentent de convaincre le Président Senghor, mais en vain. Soupçonnant un coup du camp de Mamadou Dia, Senghor dira que s’il lui pardonne, un autre pourrait réessayer.

Son épouse Fatou Sarr reste, malgré tout, optimiste. «J’ai toujours pensé qu’il (Senghor) n’allait pas le faire. La veille de son exécution, son oncle est venu me prévenir, mais je n’y avais pas cru. Je me suis résignée le lendemain, lorsqu’il a ramené les affaires de mon mari.» 

L’exécution
A 41 ans, Moustapha Lô est exécuté le 27 juin 1967, vers minuit, dans les champs de tirs situés derrière la Cour suprême sur la corniche ouest. Il repose au cimetière des Abattoirs, près du village artisanal de Soumbédioune. Ses complices ont écopé de peines diverses : Moustapha Dramé (prison à perpétuité) ; Doudou Ndiaye (10 ans et 150 000 FCFA d’amende) ; Momar Mbaye (5 ans de prison et 100 000 FCFA d’amende). Les trois autres prévenus, Magoum Ndiaye, Moustapha Diouf et Meissa Seck, ont été acquittés.

Un demi-siècle après, la famille Lô ne réclame ni «réparation» ni «réhabilitation» «Des gens nous demandent de tenter une action pour le réhabiliter», renseigne sa fille Zeinabou.
«Nous ne ferons rien, Dieu s’en chargera. Autant notre père n’avait pas le droit d’attenter à la vie de Senghor, autant il n’aurait pas dû être exécuté. Sa peine est de loin supérieure à son acte», soupire la fille de Moustapha Lô.

Source (lessentiel.sn)

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention