Ils se sont affrontés l’autre dimanche dans un combat où ils ne se sont pas fait de cadeau. Lirou Diane et Khadim Ndiaye ont tourné cette page. Dimanche dernier, en marge de Modou Anta / Zarco, les deux athlètes se sont chambrés et ont rigolé ensemble. D’ailleurs, le Boucher de Thiaroye était attristé par la blessure de sa dernière victime
Pakala s’impose samedi et dimanche
Après avoir enlevé la 5ème édition du drapeau Cheikh Kanté, samedi dernier à Fatick, avec en poche un pactole de 600.000 sur la mise d’un million, Pakala de Mbour est allé s’imposer, le lendemain dimanche, dans un gala à Djilass. C’est dire que le leader de Mbour Montagne retrouve petit à petit son meilleur niveau.
MARIAGE – Mamy Ba Miss Oscar 2014 s’est mariée à Paris(images)
En couple, depuis quelques années, les deux tourtereaux ont décidé de sceller leur union en toute solennité. La Miss de Dakar Plateau a épousé l’élu de son cœur, M. Ba, lors d’une cérémonie traditionnelle dans la capitale française. En effet, elle a été sacrée Miss des Oscar des vacances 2014. Animatrice à la télévision privée Rdv, la diva de Dakar Plateau et M. Ba se sont dit «OUI» pour le meilleur et le pire. La cérémonie a visiblement eu lieu dans une ambiance intimiste. La mariée portait une superbe robe à manches courte en dentelle blanche, ouverte sur les côtés, avec une jolie couronne de fleurs blanches dans les cheveux.
ALLIANCE POUR LA REPUBLIQUE (APR) : Les petits secrets d’un fan’s club qui peine à grandir
Créée en 2008 quelques jours après la fracassante démission de Macky Sall de toutes ses fonctions électives (député-président de l’Assemblée nationale – maire de Fatick), l’Alliance pour la République (Apr) a grandi, autant dans l’opposition que dans l’exercice du pouvoir. Mais depuis 2012, comme happée par les exigences de la gouvernance qui l’ont mise dans une nouvelle posture, elle reste non structurée, soumise aux oukases de son fondateur au gré des événements, livrée aux guerres intestines desquelles coule le sang comme récemment à son siège, etc.
Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)
C’est dans des circonstances difficiles que l’Alliance pour la République a vu le jour. Combattu au sein du Parti démocratique sénégalais (Pds), Macky Sall s’était résigné à démissionner de toutes ses fonctions électives. Nous étions en 2008. Et après le vote de la loi Sada Ndiaye écrite par un constitutionnaliste médiatique qui s’est retrouvé à ses côtés après le départ de Wade, les dés étaient pipés pour Sall. Il n’avait plus d’alternative que partir. Tout au début, dit-on, il n’y croyait pas puisque qu’il n’avait pas forcément des ambitions présidentielles. Plusieurs de ses proches collaborateurs l’ont déjà dit. L’un d’eux, devenu ministre, a même osé aller plus loin : Macky Sall n’a jamais pensé être même un chef de quartier. Mais le destin a ses raisons que la raison ignore… Son élection de 2012 à la magistrature suprême allait le confirmer.
Après l’épisode de l’Assemblée nationale, Macky Sall voulait rentrer aux USA
Fatigué par un combat où ses plus coriaces adversaires ne lui ont pas fait de cadeaux, Macky Sall, après avoir quitté le Perchoir, a bien envisagé de tout laisser tomber en prenant une ‘’retraite anticipée’’ loin du ring politique. Aux États-Unis, nous précise-t-on, pays dans lequel il disposait déjà d’un titre de séjour, de même que des membres de sa famille. «Comme vous le savez, il a vécu un moment à Houston avec sa famille puisqu’il avait obtenu la Green card. Il ne pensait pas créer un parti politique pour affronter son ancien mentor qui a été abusé sur le potentiel de l’homme», souffle un proche collaborateur.
Poursuivant, notre interlocuteur rajoute : «Notez bien que tous les postes qu’il a occupés ont été prestigieux. Et cela, c’est grâce à Karim Wade. De son poste de conseiller à celui de président de l’Assemblée nationale, c’est Karim Wade. Celui-là même que des gens ont utilisé lors de sa fameuse convocation devant les députés pour atteindre Macky Sall. Mais, ce qui est certain, après sa démission, il allait quitter le Sénégal.» Le principal concerné l’a déjà dit, affirmant qu’il n’avait jamais eu l’ambition de briguer le suffrage des Sénégalais. L’autre révélation de notre source est que la décision que Me Wade avait prise était de faire de son collaborateur déchu «ambassadeur du Sénégal aux Nations-Unies.»
Création de l’Apr : Le guide religieux, le sigle du parti et le numéro du récépissé
Toujours en rapport avec l’ambition de créer un parti après le rôle joué par les premiers compagnons, Macky Sall cogitait sur le nom, surtout qu’au Sénégal il est très rare de créer un parti dont le nom n’existe pas encore. Des moments de réflexion intellectuelle et de contorsion plus ou moins mystique, a émergé le sigle APR pour ‘’Alliance pour la République’’. «C’était tellement mystique que si vous vérifiez, vous verrez que le numéro du récépissé de ce parti est le 313…» Dans cette décision de rejoindre le pays de l’oncle Sam, certains de ses plus proches amis ont intervenu pour l’en dissuader. Il s’agit de ceux qui sont considérés comme les principaux géniteurs du parti qui allait devenir le parti au pouvoir. En clair, ses premiers compagnons. Il s’agit entre autres de Me Alioune Badara Cissé, Diène Farba Sarr, Abou Abel Thiam, son épouse Marième Faye Sall et quelques autres. «Ce sont ces gens-là qui l’ont convaincu de rester pour affronter le vieux. Ce n’est qu’après que certains ont rejoint le groupe comme Me Djibril War ou Mame Mbaye Niang (avec les conseils de Cheikh Béthio Thioune dont il était le disciple).
Donc, les autres sont venus après, et petit à petit le parti a commencé à prendre forme», renseigne notre interlocuteur qui a préféré garder l’anonymat. Seulement, il confirme que celui qui est devenu Président de la République après les sacrifices consentis par plusieurs de ses proches «a délaissé certains de ses premiers compagnons qui sont aujourd’hui dans l’oubli.» Une occasion pour dire que «le Président Macky Sall est très mal entouré et les gens exercent sur lui une mauvaise influence qui le pousse à prendre des décisions fracassantes sur certains dossiers.» Une thèse que réfute Abdourahmane Ndiaye, secrétaire administratif national de l’Apr. «Tous les premiers compagnons du Président Macky Sall sont là à part une ou deux démissions. Je ne me souviens même pas des noms. En tout cas, tous les héros de 2012 sont encore là et sont toujours d’attaque», dit-il.
«Un fourre-tout»
Depuis son accession au pouvoir, l’Apr semble être un fourretout où tout le monde réclame un leadership. Ce qui est la cause de guerres intestines sans relâche, le lit d’une grave crise interne. Ce qui est normal puisqu’elle est encore et toujours une formation politique non structurée. De quoi faire dire à un interlocuteur très proche du cercle présidentiel : «Certains ne veulent pas de la structuration parce que cela ne les arrange pas. Ce parti est devenu un fourre-tout où tout le monde fait ce qu’il veut. Mais le plus écœurant, c’est de voir des clans se former autour de personnes qui ne représentent rien. Ce sont ces gens-là qui sont pour la plupart au secrétariat exécutif national. Certains y sont parce qu’également, ils sont des proches de la première dame.» Une prise de position qui a fait réagir Abdourahmane Ndiaye qui indique que leur parti est bel et bien organisé. «Nous sommes structurés. Il est vrai que le directoire ne se retrouve pas depuis un moment, mais ce n’est pas le cas pour le secrétariat exécutif. Nous prenons des décisions régulièrement.»
Il ajoute : «Maintenant, structurer à la base n’est pas facile pour un parti au pouvoir au vu des ambitions des uns et des autres. Ceux qui le réclament, ils disent que forcément ils trouveront une place. Mais un parti ne dépend pas d’une structuration pour fonctionner et pour se massifier.» A propos de la violence qui fait légion dans leurs rangs, il explique que c’est une forme d’expression d’un parti. «A chaque fois qu’il y a un enjeu, il y a forcément une concurrence. C’est ce qui explique cette guéguerre que l’on constate», clarifie-t-il. Un avis que ne partage pas Patrice Sané, membre de la Convergence des cadres républicains : «il est plus que temps que Macky Sall siffle la fin de la récréation en organisant le parti et en exigeant de tout le monde l’arrêt des querelles.»
Mais pour Abdourahmane Ndiaye, le véritable problème se situe plus dans le comportement des uns et des autres. «On trouvera toujours des poux sur la tête de l’autre. Demba Diop a été assassiné en politique parce que les commanditaires croyaient qu’il gênait tout simplement. Pourtant à l’époque, c’était le parti unique. Donc, tout est lié à l’exercice du pouvoir», rappelle-t-il. Pour lui, être au pouvoir signifie avoir des militants et des clients. «Nous sommes une boutique qui offre plusieurs articles. Cela peut donner l’impression de désordre, mais nous gagnons toujours les élections depuis 2012 avec la coalition Bennoo Bokk Yakaar», fait-il remarquer.
Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn/Nouvel Hebdo)
Léna Sène conduit des investisseurs américains au Sénégal: 60 milliards de FCFA dans leurs valises
Après la Gambie, Léna Sène a amené des investisseurs américains dans notre pays. Grâce à son entregent, ces entrepreneurs américains étaient la semaine dernière au Sénégal. Ils envisagent d’investir dans plusieurs secteurs. Ils ont dans leur besace 100 millions de dollars, l’équivalent de 60 milliards de FCFA. Ces investisseurs ont été reçus par le Premier ministre, Boun Abdallah Dionne qui a magnifié le geste de Léna Sène.
Ladite délégation, s’est rendue au pôle urbain de Diamniadio, entre autres sites. Léna Sène s’est engagée à faire profiter au Sénégal son portefeuille relationnel et l’expérience acquise durant ses passages à Wall Street, Havard et à la Maison Blanche.
Actunet.sn
Affaire Khalifa Sall : Les confessions de Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine
Le porte-parole du Khalife général des Tidianes, Serigne Abdoul Aziz Sy a fait des confidences sur l’affaire Khalifa Sall. Al Amine qui recevait hier, le chef d’entreprise Babacar Fall venu le solliciter pour des prières pour soutenir Macky Sall, a profité de l’occasion pour éclairer la position de Tivaouane dans cette affaire.
«Avant-hier, j’ai téléphoné le chef de l’Etat pour lui demander d’accorder son pardon à Khalifa Sall. Khalifa est des nôtre. J’ai dit à Macky Sall de le libérer, rien que pour le nom de Khalifa qu’il porte. Khalifa Sall est l’homonyme de mon père Babacar Sy», a confié le guide religieux.
Parlant de la supposée colère de Tivaouane contre Khalifa Sall et Macky Sall, il soutient qu’il n’en est rien. «J’ai demandé un service au Président de la République, je ne peux donc être en colère contre lui», a-t-il indiqué. Non sans ajouter : «Je ne peux pas être en colère contre qui que ce soit. J’ai dépassé ce cap-là. C’est naturel que j’intercède en faveur de Khalifa Sall qui a épousé la fille de mon frère, Serigne Habib Sy. Khalifa Sall est donc de la famille Sy, même s’il a divorcé d’avec notre fille avec qui, il a eu des enfants.»
Dans la foulée, il a sermonné les deux personnalités. A Khalifa Sall, Al Amine dira qu’il a commis des erreurs dans sa communication. «Je l’avais instruit de ne pas faire de conférence de presse. Mais Khalifa Sall a trop vite parlé. Ses collaborateurs l’ont poussé à faire une sortie. Aujourd’hui, il est empêtré dans ses déclarations. Parce que ceux qui l’encourageaient à parler sont dehors et lui, il est dans les liens de la détention», a-t-il dit.
A propos de Macky Sall, il soutient qu’il est inaccessible. «J’ai dit au chef de l’Etat que son problème, c’est qu’il est difficile à voir. Certes, il a des services de renseignements qui l’informent, mais de notre côté, nous avons souvent des informations que nous voulons partager avec lui. Mais, il est inaccessible. Il doit être plus ouvert et équilibré pour recevoir et écouter les populations. Il doit faire cet effort, même s’il faut constater qu’il ne peut rencontrer tout le monde», a-t-il dit.
Actunet.sn
Boy Niang 2 / Sa Thiès par PAF ?
Venu donner un coup de main à son collègue Assane Ndiaye pour sa journée du 12 mars dernier, le promoteur Pape Abdou Fall a été envahi par des supporters de Boy Niang 2. Ces derniers ont demandé au patron de PAF production de ficeler le combat Boy Niang 2 / Sa Thiès pour la fin de la saison.
La Mairie de Dakar rejette la requête du Gouverneur
Ne quittons pas la mairie de Dakar pour dire que ce ne sont pas seulement les nécessiteux qui vont souffrir de la suspension de la caisse d’avance de la Ville de Dakar. Certains démembrements de l’Etat vont en souffrir. Les autorités vont devoir chercher une autre caisse pour faire de petits travaux pour la fête de l’Indépendance. Car, la Ville n’a pas accédé à la requête du gouverneur de Dakar sollicitant le nettoyage, le désencombrement et le rafistolage de quelques artères en vue de la fête de l’Indépendance. La Ville de Dakar a répondu au gouverneur de Dakar qu’il n’y a plus de caisse d’avance pour assurer le financement de ces petits travaux pour la fête de l’indépendance. La guerre comme à la guerre.
Rencontre Mbagnick Ndiaye et Sidy Lamine Niass
Restons toujours avec le contentieux entre l’Etat et le Groupe Walfadjri sur la redevance de fréquences. Les deux parties se retrouveront aujourd’hui vers midi pour examiner les réponses techniques que l’Artp posera sur la table. Apparemment, les autorités n’avaient pas bien préparé la rencontre avec le Pdg du Groupe Walf. Car, à la fin de la rencontre, le Secrétaire d’Etat à la Communication, Yakham Mbaye, a déclaré à la presse que «le Pdg du groupe Walf a mis sur la table des éléments constitutifs, des plaintes de désaccords relatifs aux créances. Il s’est expliqué et nous fournis aussi des explications. Ainsi nous avons convenu de revoir le sujet en profondeur parce que le contentieux est né en 2011». Selon M. Mbaye l’Etat n’a pas tous les éléments constitutifs du dossier. Raison pour laquelle, l’Artp est chargée de faire un travail technique pour avoir une idée claire du dossier. Selon le Secrétaire d’Etat à la Communication, «Walf a mis à notre disposition des éléments que nous ne possédions pas. Nous en avons fait autant». Il soutient à son tour qu’il n’y a aucun soubassement politique dans l’affaire. Sidi Lamine Niass, quant à lui, promet de se prononcer à l’issue de la rencontre d’aujourd’hui.
Rencontre Mbagnick Ndiaye et Sidy Lamine Niass
Après la déclaration du Pdg du Groupe Walfadjri, Sidy Lamine Niass samedi par rapport à des fréquences de radios attribuées à son Groupe, mais qui ne lui ont jamais été délivrées, le ministre de la Communication l’a a reçu hier pour échanger sur le contentieux. Mbagnick Ndiaye a reçu pendant plusieurs heures Sidy Lamine Niasse et son comptable. L’Etat réclame au Groupe Walf des redevances estimées 500 millions. Le Pdg du Groupe réfutant cette somme parce que les fréquences ne sont pas délivrées, estime qu’il doit payer 240 millions. Compte tenu des explications et documents fournis par le PDG de Walf, le ministre de Communication, Mbagnick Ndiaye a demandé au Directeur Général de l’Artp, présent à la rencontre de faire la situation. Mbagnick a rassuré le Pdg de Walf que l’Etat n’est pas là pour pousser des sociétés à la faillite. Il a exhorté tout le monde à travailler pour une solution consensuelle.