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Sit-in pour la libération de l’Imam Aliou Ndao

Les manifestations de soutien en faveur de l’imam Aliou Badara Ndao ne s’estompent pas. Hier, certains de ses disciples dont des élèves, des enseignants entre autres ont tenu un rassemblement pour exiger sa libération immédiate. Dénonçant les conditions de détention du célèbre imam de Kaolack, ils estiment que sa condamnation est arbitraire. «Je suis vraiment déçu par l’attitude des autorités. Je leur rappelle qu’elles ont commis une erreur monumentale, elles se sont trompées sur la personne d’Aliou Aliou Badara Ndao. Imam Ndao n’est pas la personne qu’ils présument. Imam Ndao est un homme sincère, qui ne vit qu’à la sueur de son front. Imam nous a inculqué des valeurs de travail, d’éthique, de respect de soi-même et de l’autre. C’est grâce à lui que nous sommes aujourd’hui là où nous sommes. C’est lui qui nous a encouragés à allier la religion et les études. Nous condamnons avec la dernière énergie son arrestation. Et nous dénonçons les mauvaises conditions de sa détention. «Imam n’a rien fait, rien de ce qu’on le reproche n’est vrai. Il est loin d’être un terroriste. Sa place n’est pas là où il se trouve actuellement, en train d’être torturé. J’exige qu’il soit libéré sans délai afin qu’il retourne auprès de ses talibés», affirme Ibrahima Guèye, professeur au lycée de Mbadakhoune sous les acclamations des élèves.

Ousmane Tanor Dieng et les journalistes

Décidément, Ousmane Tanor Dieng ne veut pas parler de Khalifa Sall. Hier lors de la première session plénière du Hcct, à la pause, le président du Haut Conseil devait faire face à la presse, mais à la grande surprise, il a fait faux bond aux journalistes, en envoyant son porteparole qui, lui aussi, a tardé à venir. Finalement, le porteparole s’est pointé devant les journalistes et a dit que le Président va parler. Mais Ousmane Tanor Dieng a salué les journalistes, le sourire en coin. Avant de commencer l’interview, il a précisé qu’il ne répondrait que sur les questions relatives au Hcct et non sur les questions d’actualité. Malgré l’insistance des journalistes, il a campé sur sa position.

L’affaire Khalifa Sall divise Tivaouane

Le moins que l’on puisse dire est qu’à Tivaouane, les avis sont partagés en ce qui concerne l’affaire Khalifa Ababacar Sall. Dans notre édition d’hier, le député Cheikh Tidiane Diouf a marqué son désaccord en ce qui concerne l’incarcération du maire de Dakar. Quant à l’ancien député-maire de Tivaouane El Hadji Malick Diop, il est favorable à 100% à la position du pouvoir. «Tous les ordonnateurs ont tous approuvé la charte de transparence des marchés publics. La réédition des comptes s’impose à tous les ordonnateurs et personne n’en sera épargné, telle est la volonté du Président Macky Sall, volonté que nous devons tous soutenir». El Hadji Malick Diop a tenu ces propos lors du dîner de gala organisé par la Présidente du Conseil Départemental de Tivaouane Seynabou Gaye Touré dans le cadre de la célébration de la journée internationale des droits de la femme.

AÏSSATA TALL SALL «KHALIFA SALL EST VICTIME D’UNE CABALE»

Les conseils du maire de la ville de Dakar, Khalifa Sall, sous mandat de dépôt dans l’affaire de la «Caisse d’avance» de sa mairie, envisagent de saisir le Doyen des juges pour, non seulement, lever la mesure de restriction des visites de leur client, mais aussi pour demander une liberté provisoire. Mieux, Me Aïssata Tall Sall, après la visite faite à Khalifa Sall hier, lundi 13 mars, annonce la saisine éventuelle de la Chambre d’accusation, tout comme la Cour de la Cedeao, pour lever la détention de Khalifa Sall, «victime d’une cabale», à son avis.

Le pôle d’avocats du maire socialiste de la ville de Dakar, Khalifa Sall, ne comptent pas lésiner sur les moyens pour sortir de prison leur client, sous les liens de la détention dans l’affaire de la “Caisse d’avance“ de sa mairie. En effet, venue s’enquérir hier, lundi 13 mars, des conditions de détention de son client, ainsi que des contours du dossier qui lui a valu un mandat de dépôt, Me Aïssata Tall, une des conseils de l’édile de Dakar, a annoncé une série d’actions à mettre en branle pour extirper Khalifa Sall de Rebeuss. Tout d’abord, l’avocate révèle que seules 20 personnes, sympathisants et membres de la famille confondus, sont autorisées à voir Khalifa Sall, une fois par semaine. Une mesure jugée «intolérable» que la robe noire compte lever. Pour ce faire, elle informe qu’elle va rencontrer le Doyen des juges.

Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, les avocats de Khalifa Sall envisagent de demander une liberté provisoire. Et pour cela, la maire socialiste de Podor expose deux possibilités. La première voie, selon elle, a été écartée d’emblée par le mis en cause, notamment celle de la consignation du montant pour lequel il est poursuivi (1,800 milliards), car estimant que «cela s’apparenterait à un aveu». La deuxième alternative reste alors la contestation sérieuse des faits, dans la mesure où «nous avons des contestations sérieuses par rapport à ces faits». A cet effet, poursuit-elle, «nous allons déposer un mémoire auprès du doyen des juges, éventuellement saisir la Chambre d’accusation». En plus de cela, Aïssata Tall Sall informe, qu’éventuellement, la défense va saisir la Cour de la Cedeao, pour lever la détention du maire de Dakar. Pour couronner le tout, surtout sur le plan communicationnel, Aïssata Tall Sall et compagnie n’écartent pas l’idée de tenir, très rapidement, un point de presse sur les tenants et les aboutissants de cette affaire.

«KHALIFA SALL EST VICTIME D’UNE CABALE»

La robe noire, non moins député-maire a, par ailleurs, dégagé en touche les charges relatives au détournement, recel et escroquerie portant sur des deniers publics, et également d’association de malfaiteurs qui pèsent sur son client. Elle a indiqué, en effet, que «Khalifa Sall que j’ai rencontré m’a expliqué et m’a convaincu qu’il est victime d’une cabale». Pour elle, cette affaire a été montée de toutes pièces pour «salir» son client, et pour «chercher à atteindre sa moralité». Pis, estime-t-elle, «on cherche surtout, en tant qu’homme politique, à l’achever». Ce qui semble être perdu d’avance dans la mesure où, «je peux vous dire que j’ai rencontré un homme courageux, déterminé», renseigne-t-elle. Estimant, en outre, qu’il y a «trop de violence exercée» contre le premier magistrat de la ville de Dakar, Me Tall Sall promet, de concert avec ses confrères, de «démontrer que Khalifa Sall n’a rien fait et qu’il ne mérite pas d’être en détention».

OUSMANE TANOR DIENG DEfinit son plan de travail

Le président du Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct) invite ses collègues à œuvrer pour faire de leur institution un outil de planification « ascendante ». S’exprimant hier, lundi 13 mars, lors de la cérémonie d’ouverture de la première session ordinaire de l’année 2017 du Hcct, Ousmane Tanor Dieng a notamment exhorté les hauts conseillers à être en première ligne face aux préoccupations des élus locaux.

Le Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct) tient depuis hier, lundi 13 mars, sa première session ordinaire pour l’année 2017. Faute de siège, la cérémonie d’ouverture de cette rencontre a eu lieu dans un hôtel de la place en présence du ministre du Travail, du Dialogue Social, des Organisations Professionnelles et des Relations avec les Institutions, Mansour Sy et des membres de cette nouvelle institution. Prenant la parole, lors de cette rencontre qui marque également le démarrage effectif des activités de cette nouvelle institution née des dernières réformes constitutionnelles adoptées lors du référendum du 20 mars dernier, le président du Hcct Ousmane Tanor Dieng  a dégagé les grandes orientations de la mission de l’institution.

Dans un discours de près d’une vingtaine de minutes, le président du Hcct a exhorté ses collègues hauts conseillers à œuvrer ensemble pour faire du Haut conseil un «outil de planification ascendante». Estimant que les «Sénégalais attendent de nous que nous soyons des acteurs essentiels de cette grande espérance en ouvrant des passerelles entre l’État et les collectivités territoriales, entre les élus locaux et les acteurs à la base», Ousmane Tanor Dieng a ainsi demandé à ses collègues de placer le dialogue et la concertation au centre de l’action du Hcct.

En effet, selon lui, les Institutions qui réussissent le mieux dans la compétition mondiale sont celles qui sont capables de fédérer tous les acteurs dans un même projet. À ce titre, le secrétaire général du Parti socialiste a invité ses collaborateurs de travailler ensemble, en toute responsabilité, au-delà des appartenances partisanes» pour dit-il, «défendre de la République».«Le dialogue et la concertation préparent les succès de demain. Il est impératif qu’on continue de donner l’image de gens respectables qui s’écoutent, qui dialoguent et qui tirent le débat vers le haut. Il y a suffisamment d’enjeux complexes autour de nous qui nous commandent des débats de haut niveau», dira par suite le président Ousmane Tanor Dieng. Avant d’exhorter dans la même veine les hauts conseillers à être en première ligne face aux préoccupations des élus locaux et en première ligne pour accompagner le gouvernement dans son ambition de territorialisation des politiques publiques.  Et cela d’autant plus, a-t-il souligné que «l’enjeu, c’est de nous mobiliser pour préparer les mutations».

Par ailleurs, revenant sur cette rencontre de deux jours ouverte depuis hier, lundi, et dont la clôture est prévue aujourd’hui, le président du Hcct a indiqué qu’elle s’articule autour de trois points dont le premier est consacré à la  mise à niveau de l’ensemble des Hauts Conseillers pour renforcer leurs capacités sur les missions de l’État dans un contexte de décentralisation et sur l’organisation et le fonctionnement du Haut Conseil. Poursuivant son propos, il a indiqué que le deuxième point est réservé à la compréhension des missions et la méthodologie de travail. S’agissant du troisième point, il a indiqué qu’il porte, pour coller à la réalité du moment, sur la contribution à l’amélioration de l’Acte III de la décentralisation en vue de donner la position de « notre institution » sur cette thématique majeure de réforme qualitative de l’État sénégalais.

NOUS AVONS DEMANDÉ L'INDULGENCE DU CHEF DE L'ÉTAT SUR LE CAS KHALIFA SALL

Recevant hier, le chef d’entreprise Babacar Fall, qui a décidé de faire de la politique en soutenant le président de la République, Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine a révélé qu’il est personnellement intervenu auprès de Macky Sall pour lui demander de faire preuve de mansuétude à l’endroit de Khalifa Sall.

Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine a évoqué hier l’affaire Khalifa Ababacar Sall. Le porte-parole du khalife général des tidianes recevait le chef d’entreprise Babacar Fall qui a décidé de faire de la politique en soutenant le Président Macky Sall, dans la ville de Thiès. “Nous sommes intervenus auprès du chef de l’État pour demander son indulgence sur le cas Khalifa Sall”, a révélé le marabout qui soutient qu’il va poursuivre son plaidoyer en faveur du maire de Dakar.

“Nous allons continuer à intervenir et j’ai dit à Macky Sall que même le nom qu’il porte mérite qu’il soit pardonné”, indique Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine rappelant au passage que Khalifa Ababacar Sall a un enfant dans la famille, issu de son mariage avec la fille de Serigne Habib Sy.

Cependant, il précise encore une fois que Tivaouane n’a jamais exprimé une quelconque colère contrairement à ce qui a été dans la presse. “Nous ne sommes pas fâchés, mais nous avons le droit d’intervenir pour un fils de la famille”, dit Al Amine qui trouve que Khalifa Sall est allé trop loin en tenant une conférence de presse alors qu’il le lui avait déconseillé. “Il ne devait pas le faire”, martèle-t-il.

Par ailleurs, Abdoul Aziz Sy Al Amine est revenu sur les remous au sein du Conseil municipal de Tivaouane. S’il est intervenu pour apaiser la tension, dit-il, parce qu’il s’agit des affaires de Tivaouane. Cependant, il dément toute implication dans la gestion municipale. Tout comme il n’est pas intervenu pour imposer qui que ce soit à la tête de la mairie. “Notre seule demande était que le maire ne soit pas une femme”, a-t-il précisé.

Le porte-parole du khalife général des tidianes a fait ces révélations lors d’une rencontre avec Babacar Fall, souteneur du Président Macky Sall. Sur les raisons de sa visite, ce dernier explique : “nous sommes venus voir Serigne Abdoul Aziz Sy, qui nous a mis en confiance par rapport à nos ambitions politiques à Thiès. Notre mission qui est de servir notre région sera plus légère. Nous avons sollicité et obtenu ses prières pour que le chemin de notre soutien politique au chef de l’État soit bien éclairé et que les objectifs soient atteints au soir du 30 juillet d’abord, ensuite en 2019 à l’occasion de l’élection présidentielle”.

Interpellé sur la déclaration du guide religieux par rapport à l’affaire du maire de Dakar, il s’est contenté de répondre “Khalifa Sall est un Sénégalais, il n’est pas notre ennemi et nous prions qu’il franchisse cette étape”, clame-t-il.

MOUHAMED BOUN ABDALLAH DIONNE EXALTE LES REALISATIONS DU PUDC

Rétablir la justice sociale à travers le Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc), c’est la mission que s’est assignée le gouvernement du Sénégal. Ainsi, un atelier de partage de l’expérience du Pudc du Sénégal a été organisé, hier. Occasion pour le chef du gouvernement, Mouhamed Boun Abdallah Dionne de lister les réalisations du Pudc.

Faisant du développement durable et inclusif son cheval de bataille, le président de la République avait mis en place le Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc). Dix huit mois après, un atelier de partage de l’expérience du Pudc a été organisé, hier, sous la présidence du Premier ministre Mouhamed Boun Abdallah Dionne avec la participation de plusieurs délégations ministérielles de pays amis. Dans son allocution, le chef du gouvernement a indiqué que la pensée et l’action politique du président de la République sont traversées par ce qu’on pourrait appeler la dialectique de l’inclusion. « L’agenda 2030 que nous avons adopté avec la communauté internatioanle centrée notamment sur le développement humain ne peut se réaliser sans une forte synergie avec les acteurs et un fort engagement de leur part car les défis sont énormes et complexes et leur prise en charge très urgente», a indiqué le Premier ministre Mouhamed Boun Abdallah Dionne qui estime que le Pudc s’inspire et est adossé au Pse, notamment à travers son axe 2 qui conciste à susciter la transformation de la structure de l’économie sénégalaise dans le sens de soutenir une dynamique de croissance forte durable et inclusive.

Toutefois, indique-t-il, le Pse confronté à la profondeur des inégalités et des disparités de diverses zones entre le milieu urbain et le monde rural, le chef de l’Etat a décidé avec l’accompagnement du programme des Nations Unies pour le développement dont l’expertise et le dynamisme sont reconnus d’élaborer et de mettre en oeuvre le Pudc qui est un outil de promotion des territoires qui ont été longtemps abandonnés. «Le Pudc et un programme novateur tant dans sa conception que dans sa mise en oeuvre. Il a pour vocation fondamentale de répondre dans la célérité et l’efficacité aux besoins vitaux des territoires ruraux dans un souci d’équité et de justice sociale», soutient-il.

Avant d’ajouter : «Le Pudc a favorisé l’accès à des populations aux services sociaux de base à travers la mise en place d’infrastructures socio-économiques afin d’améliorer significativement leurs conditions de vie et de promouvoir l’implication des acteurs locaux pour le développement de leurs terroirs respectifs ». En ce qui concerne les réalisations dudit programme, le chef du gouvernement a tenu à rappeler que le Pudc dans sa mission d’offrir de meilleures conditions aux populations rurales a construit et réhabilité plus de 3000 km de pistes rurales mais aussi d’installer plus de 238 forages compte non tenu des 150 châteaux d’eau. Il s’y ajoute, poursuit-t-il, l’électrification de plus de 420 villages et de la mise à disposition de pas moins de 5000 équipements notamment de décortiqueuses et batteuses pour l’allègement des travaux en milieu rural. Pour lui, le Pudc a contribué au rapprochement des capacités des groupements professionnels et à la facilitation de l’accès au service financier et de la mise en place d’un système suivi-évalua

FAUT-IL ASSURER UNE IMMUNITÉ AUX MAIRES ?

Cette interrogation est agitée par certains maires suite à l’arrestation de l’édile de Dakar. Mais en posant comme une nécessité l’instauration d’une immunité pour les maires afin d’éviter les détentions arbitraires, on est en droit de se poser la question à savoir si les défenseurs de ce point de vue appréhendent réellement la portée et l’étendue de l’immunité parlementaire. En d’autres termes, l’immunité parlementaire est-elle applicable aux maires ? Cette immunité n’irait-elle pas à l’encontre des principes d’une bonne gouvernance locale ? Ne serait-elle pas une façon d’instaurer une impunité absolue pour les organes exécutifs locaux ?

L’immunité est un moyen de protection particulière qui se traduit par une irresponsabilité et une inviolabilité de la fonction parlementaire. Elle est d’ordre public, ce qui a comme conséquence qu’elle peut être invoquée pour la première fois à tous les niveaux de la procédure ; que le parlementaire ne peut pas y renoncer ; que le juge doit les soulever d’office et statuer sur les exceptions qu’elle constitue sans pouvoir les joindre au fond ; afin, que les actes de procédure accomplis en méconnaissance de l’immunité soient nuls.

L’irresponsabilité : l’article 61 de la Constitution dispose : “Aucun député ne peut être poursuivi, recherché, arrêté, détenu ou jugé à l’occasion des opinions ou votes émis par lui dans l’exercice de ses fonctions.”

L’exercice des fonctions doit être entendu de manière compréhensive. Il englobe non seulement l’activité en séance plénière, mais également les réunions de groupe et de commission ainsi que les missions à l’extérieur ;

L’irresponsabilité est absolue. Elle fait obstacle à toute poursuite aussi bien pénale que civile ou disciplinaire. Elle protège le parlementaire non seulement au cours de son mandat, mais encore après l’expiration de celle-ci pour les opinions émises pendant qu’il exerçait.

CAN U20 : MALGRE LA FINALE PERDUE – Quatre Lionceaux dans le must de la CAF

 

Malgré la défaite en finale de la Coupe d’Afrique des Nations des juniors, la deuxième de suite, le Sénégal a placé quatre de ses joueurs dans l’équipe type de la CAF. Une belle prouesse qui prouve, si besoin, que la qualité des U20 est récompensée dans cette compétition. Même si on aurait aimé les voir sur le toit de l’Afrique.

 

Vainqueur de la deuxième édition de la CAN junior à domicile, dimanche dernier, la sélection zambienne dispose de cinq champions dans l’équipe type concoctée par la Confédération africaine de football (CAF). Cerise sur le gâteau, la palme du meilleur joueur du tournoi est revenue à Patson Daka, l’auteur d’un des buts de la finale. Le sacre à domicile n’est pas étranger à la présence de quatre de ses coéquipiers. Notamment en défense où l’équipe a été la plus hermétique du tournoi, avec seulement deux buts encaissés en cinq sorties.

D’ailleurs, c’est dans ce secteur que l’équipe anglophile a bâti son succès. Le gardien Mangani Banda et le défenseur central Salomon Sakala font bonne figure. Côté finaliste malheureux, on retrouve deux défenseurs sénégalais, le longiligne Ousseynou Diagne et Mamadou Mbaye. Ces derniers cités ont réalisé de bonnes performances tout au long du tournoi. Dans l’impact et dans la relance, ils ont fait montre de belles dispositions.

Au milieu de terrain aussi, compartiment médian où naissent souvent les actions déséquilibrant l’équipe adverse, on retrouve Crépin Diatta @et Ibrahima Niane. Même si on n’attendait plus d’eux lors de la finale, la fatigue des matches accumulés a constitué un déficit de fraîcheur pour eux. Sans oublier la nervosité et l’énervement qui se sont avéré de sérieux adversaires à leur épanouissement ce dimanche sur le terrain. Ceci est arrivé au mauvais moment, car le jour où tout devait se napper d’un voile immaculé de bonheur.

Pour compléter la liste des récipiendaires, on note la présence du guinéen Morlaye Sylla et l’artificier sud-africain, Luther Singh. Meilleur buteur de la compétition, le jeune pensionnaire de la formation arc-en-ciel a montré toute sa science du but. Rappelons aussi que Lamine Sarr, portier malheureux lors de la finale perdue face à la Zambie, il figure parmi les remplaçants.
Séga DIALLO

 

Le «Onze Type» CAF

Gardien : Mangani Banda (Zambie)
Défenseurs : Ousseynou Diagne (Sénégal), Mamadou Mbaye (Sénégal), Solomon Sakala (Zambie)
Milieux de terrain : Krépin Diatta (Sénégal), Ibrahima Niane (Sénégal), Morlaye Sylla (Guinée), Edward Chilufya (Zambie), Fashion Sakala (Zambie)
Attaquants : Luther Singh (Afrique du Sud), Patson Daka (Zambie)

 

Remplaçants : Lamine Sarr (Sénégal), Prosper Chiluya (Zambie), Enock Mwepu (Zambie), Grant Margeman (Afrique du Sud), Liam Jordan (Afrique du Sud), Yamodou Touré (Guinée), Mohamed Aly Camara (Guinée)

 

Moussa Sy mouille Macky et Mbaye Ndiaye – Mimi Touré enfonce Khalifa Sall

 Au moment où les avocats du maire de Dakar se battent pour l’annulation de la procédure qui lu vaut son séjour carcéral, la bataille de l’opinion fair rage entre partisans de khalifa Sall et et du Président, Macky Sall. Pour contrer Mimi Touré qui tente d’enfoncer le maire Sall, Moussa Sy de son camp, le lave et mouille Macky et Mbaye Ndiaye en déclarant « qu’ils connaissent la caisse d’avance ».

Par Ndiogou CISSE

L’emprisonnement du maire de Dakar qui est parti pour être le feuilleton de l’été est une occasion pour le camp de Khalifa Sall et celui qui lui fait face de se tirer dessus. La preuve par la déclaration de Mimi Touré.   En se prononçant sur le dossier du maire en question, l’envoyée spéciale du Président Sall déclare : « au Sénégal, depuis 2012, le Président Macky Sall a ouvert une nouvelle ère de reddition des comptes publics qui s’inscrit dans la culture devenue universelle de bonne gouvernance et de lutte contre l’impunité ». Mimi Touré ajoute : « l’obligation de rendre compte s’impose désormais à tous les gestionnaires de deniers publics, compte non tenu de leur notoriété ». Pour l’ancien Premier ministre qui a connu les dossiers de la traque des biens en tant que Ministre de la justice, «  le principe est valable pour ceux qui ont géré hier, pour ceux qui gèrent, aujourd’hui et ceux qui seront aux manettes, demain. En   se référant à l’affaire Khalifa Sall, Mimi Touré soutient «… que selon les estimations du ministère de la Santé, un poste de santé complet avec équipements et logement de la sage-femme et de l’infirmier coutent 120 millions. Par conséquent, 1, 8 milliard FCFA permettent de construire 15 postes de santé pour nos populations ». répond t-elle à ceux qui considèrent l’arrestation du maire de Dakar comme une cabale. Mais pour Moussa Sy le maire des Parcelles «tout le gouvernement de Macky Sall réuni plus ses présidents d’institutions, Khalifa Sall est plus transparent qu’eux». En révélant que Khalifa Ababacar Sall a eu à gérer au moins 275 milliards de budget, » Moussa Sy fait savoir que « ce n’est pas 360 millions par an, soit 30 millions par mois que Khalifa Sall va détourner ».

Accusation contre disculpation de Khalifa Sall

Selon le maire des Parcelles, «  Il faut vraiment être ignoble, méchant, pour oser vouloir porter une telle méchanceté sur la personne de Khalifa Ababacar Sall » pour lequel il dit qu’il peut « peux jurer sur le Saint Coran qu’il est blanc comme neige ».  Moussa d’insister en soutenant que : « tout le gouvernement de Macky Sall réuni plus ses présidents d’institutions, Khalifa Sall est plus transparent qu’eux ». Le maire des Parcelles, visiblement remonté contre l’arrestation de Khalifa déclare : «  nous avons vu des jeunes avec qui nous avions partagé l’Ujtl et le Pds, aujourd’hui, avec de belles maisons à Dakar. Nous avons vu un griot avoir un château de 80 millions aux Almadies. J’en profite pour interpeler publiquement le président Pape Diop. Je lui demande, après le maire Mamadou Diop, de dire aux Sénégalais ce qu’est cette caisse. A quoi elle a servi durant la présidence de Abdoulaye Wade ». Moussa Sy qui ne s’arrête pas à ces révélations informe que «Macky Sall et Mbaye Ndiaye connaissent cette caisse». Pour être plus précis, le maire des parcelles souligne : «Macky Sall, avant d’être président de République, connaissait cette caisse. En 2009, pendant trois mois, le maire Khalifa Sall n’a pas voulu toucher à la caisse. C’est après que l’équipe municipale de Benno Siggil Sénégal (Bss) a décidé d’utiliser la caisse. C’est ça la vérité », tranche il

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