D’après le classement 2015 des 500 Entreprises africaine, Sonatel est la première entreprise sénégalaise. Selon The Africa Report de Jeune Afrique qui classe les entreprises africaines, la Sonatel est la première entreprise sénégalaise et 94ème africaine. Pour 2015, la Sonatel a gagné 8 places par rapport à sa 102ème place en 2014 avec un Chiffre d’affaires de 1 509 635 000 de dollars et un bénéfice de 403 698 000 de dollars. Après la Sonatel, Total Sénégal qui est 158ième niveau africain est la deuxième société au Sénégal. Le groupe gagne 23 places par rapport à 2014 avec un chiffre d’affaires estimé à 782 526 000 de dollars en baisse de 18% par rapport à 2014 et un bénéfice de 906 7000 dollars. En troisième position, on a, d’après le classement repris par ‘’lejecos’’, la société africaine de raffinage (Sar) qui occupe la 162ième africaine. Elle perd 7 places par rapport à 2014 avec un chiffre d’affaires de 766 176 000 dollars, en baisse par rapport à 2014 de 18%. Son bénéfice est évalué à 20 581 000 dollars. La Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec) est 4ème au Sénégal. Elle est classée à la 284ième place africaine et gagne 29 places par rapport à 2014 avec un chiffre d’affaires estimé à 451 541 000 de dollars Dans le même sillage, Vivo Energy Sénégal est classée 311ème en Afrique. Sococim Industries arrivederrière. Il est classé 456ème en Afrique et gagne 15 places par rapport à 2014.
Présidentielle 2017 : l'élection du rejet
S’il fallait chiffrer l’ampleur de la crise politique que la France traverse, le baromètre Ipsos–Le Point montre à quel point la politique est tombée dans les basses pressions. Il suffit pour cela de comparer, à travers le temps, la cote de popularité des différents candidats à la présidentielle au mois de février, soit deux mois avant le scrutin. Popularité et intentions de vote ne sont pas toujours corrélées, mais on n’a pas encore vu un candidat impopulaire remporter une présidentielle. Depuis 2002, le futur président était toujours un homme parmi les plus populaires deux mois avant le verdict des urnes. Et c’est assez logique… En somme, la popularité ne suffit pas, mais elle est nécessaire.
La corruption a favorisé l'émergence du groupe État islamique
Selon une ONG, les gouvernements occidentaux doivent lutter contre la corruption qui a contribué, en Irak, en Libye et au Nigeria, à l’émergence de mouvements radicaux.
L’ONG Transparency International tape du poing sur la table ce mardi. Selon elle, les gouvernements occidentaux doivent lutter contre la corruption qui a contribué, en Irak, en Libye et au Nigeria, à l’émergence de mouvements radicaux comme le groupe État islamique (EI) ou Boko Haram. « Les mouvements radicaux comme le groupe État islamique prospèrent quand les gens perdent toute confiance en ceux qui sont au pouvoir, quand les responsables profitent de la misère du plus grand nombre, quand la police exploite plutôt qu’elle ne protège et quand les opportunités économiques sont trustées par une minorité », souligne l’ONG dans un rapport de son antenne britannique intitulé « Le grand tournant : la corruption et l’émergence de l’extrémisme violent ». Elle note aussi que les groupes comme Daech et Boko Haram se servent de la corruption pour recruter, se présentant comme une alternative aux autorités corrompues. « S’attaquer à la corruption devrait être la priorité numéro un », appelle-t-elle de ses vœux, notant qu’il « y a des étapes pratiques qui peuvent être prises diplomatiquement comme le refus de visas ou le gel des avoirs pour commencer à traiter la corruption des élites ».
Santé: Macron promet 5 milliards pour les hôpitaux
“Pilier de notre système de santé”, l’hôpital “coûte très cher”, a déclaré mardi le candidat d’En marche, Emmanuel Macron, qui a proposé d’améliorer l’organisation des soins et promis d’investir 5 milliards d’euros dans les hôpitaux.
“Nous devons aujourd’hui améliorer l’organisation de l’hôpital en le décloisonnant”, a lancé Emmanuel Macron qui a décliné ses propositions en matière de santé lors d’un grand oral organisé par la Mutualité.
Il propose pour cela “de plafonner à 50%” la tarification à l’activité des hôpitaux (T2A), de “renforcer l’autonomie des hôpitaux” ou encore “d’élargir” les groupements hospitaliers de territoire pour avoir en amont une meilleure organisation de l’offre de soins.
Le but est d’éviter que “tout le monde converge vers l’hôpital, source de désorganisation et de coût”, a-t-il souligné.
Le candidat a avancé “un cadrage global permettant de maintenir l’Ondam (l’Objectif national des dépenses d’Assurance maladie, ndlr) à 2,3% en 2018-2022”, avec un “plan d’investissement dans l’hôpital et l’innovation médicale de 5 milliards d’euros sur la période”.
Beyrouth : Marine Le Pen refuse de porter le voile pour rencontrer le mufti
Ce mardi, Marine Le Pen a refusé de porter le voile pour rencontrer à Beyrouth le mufti de la République, estimant avoir été mise « devant le fait accompli », bien qu’elle ait été prévenue la veille de cette demande protocolaire. Au dernier jour de sa visite au Liban, la candidate frontiste s’est vue tendre un voile à son arrivée au siège de Dar al-Fatwa, la plus haute autorité sunnite du pays, pour y rencontrer cheikh Abdellatif Deriane. Elle a refusé de le mettre et est repartie aussitôt. « Je ne me voilerai pas », a-t-elle insisté devant des journalistes. « J’ai indiqué lundi que je ne me voilerai pas. Ils n’ont pas annulé le rendez-vous, j’ai donc crû qu’ils accepteraient que je ne porte pas le voile », a-t-elle souligné. « Ils ont cherché à m’imposer ça, à me mettre devant le fait accompli, eh bien on ne me met pas devant le fait accompli », a expliqué la présidente du Front national.
Ligue des champions : pourquoi Monaco impressionne l'Europe
Grâce à leur attaque prolifique et leur jeu emballant, les Monégasques suscitent l’enthousiasme et les convoitises chez les grands d’Europe. Explications.
Début février, l’AS Monaco frappe un grand coup en Ligue 1. Le club de la principauté s’impose avec maestria face à Nice (3-0), un concurrent direct dans la course au titre dans le championnat hexagonal. Le lendemain, en Angleterre, Pep Guardiola, l’entraîneur de Manchester City, évoque pour la première fois le club monégasque, sans tarir d’éloges. « Monaco, c’est une équipe très forte, très complète avec des joueurs affûtés physiquement, capables d’inscrire de nombreux buts. » Le technicien, double vainqueur de la Ligue des champions (2009, 2011), lance même une boutade : « Pour être au niveau, on va devoir aller à la salle de sport ! »
ELIMINATION TOUS AZIMUTS DES CLUBS SENEGALAIS EN AFRIQUE – A qui la faute à ces échecs successifs ?
L’élimination (encore et encore) des équipes sénégalaises engagées sur le front africain repose la lancinante question de la viabilité et des ambitions de ces entités. Depuis le départ du défunt Omar Seck de la JA (club qui se morfond depuis dans les méandres de la division régionale), aucune lueur d’espoir n’est venue accompagner la sortie de nos représentants.
Il est vrai que sous nos cieux, se pratiquent deux footballs, celui financé par l’Etat, et un autre entretenu par des amoureux fous qui se font harakiri chaque semaine pour que vive le football local. Seulement, le mal est autant structurel que conjoncturel.
Le football sénégalais est dans le fond du trou, ce titre qui a barré la Une du journal que vous avez entre vos mains, n’a pas fait plaisir à ces auteurs. Mais la réalité, plus triste elle est, demeure la réalité. Aujourd’hui, le mal est profond. Les clubs vivotent, leurs présidents se font chaque jour harakiri pour que roule le ballon sur les différentes pelouses du pays.
Un autre football est pris entièrement en charge par l’Etat du Sénégal à coups de millions de francs Cfa. C’est certes une question de représentation et de souveraineté, n’empêche qu’une portion congrue de cette manne aurait constitué un bol d’air financier pour les clubs qui tirent le diable.
Le président Mack Sall avait, dans son programme électoral, souhaité fouetter considérablement la portion allouée au sport dans le budget de l’Etat en le ramenant à 1%. Une justice, avait alors crié sous les toits la peuplade du ballon rond. Aujourd’hui, tout le monde attend de ses vœux ce réajustement.
Aussi, la Ligue gagnerait à se montrer davantage agressive dans son approche avec les sponsors, afin de les inciter à s’impliquer plus et mieux dans le partenariat. Le naming, entre autres, est une formule de plus en plus répandue dans le marketing sportif et qui permet de faire gagner de l’argent au championnat professionnel et aux clubs.
Le naming, une voie à explorer
Le naming, dans le domaine du marketing sportif, ou plus précisément du sponsoring sportif, est la pratique qui consiste à donner à une enceinte sportive (le plus souvent un stade) ou à une compétition le nom d’une marque ou d’une société sponsor. Le logo du sponsor ou namer est également le plus souvent associé à la nouvelle identité visuelle du stade ou de la compétition. L’expression de naming peut également être plus rarement utilisée lorsque le nom du sponsor est donné à une équipe sportive.
C’est d’ailleurs grâce à cette pratique que les vainqueurs des championnats au Maroc (Botola Pro Maroc Télécom D1) et en Afrique du Sud (Absa Premiership), en exemple, reçoivent le pactole en fin d’exercice. Presque 200 millions pour le vainqueur en terre chérifienne et 1,236 milliard de nos francs pour le sud-africain (Mamelodi Sundowns, le champion en titre et récent vainqueur de la Ligue des champions en Afrique, a remporté la super coupe Total devant le Tp Mazembé, tiens même la CAF fait du naming).
Et c’est dans cette fourchette que sont primées les équipes remportant le championnat en Tunisie et en Algérie. L’aspect financier est devenu vital dans le football moderne. Les clubs les plus démunis auront toujours du mal à exister dans ce concert où les meilleurs joueurs se recrutent et se gardent à coups de millions. Ce que, évidemment, nos clubs n’ont pas aujourd’hui et ne peuvent pas. Pour la simple et bonne raison que le vainqueur du championnat professionnel sénégalais se voit octroyer une enveloppe de 20 millions (sic).
Avec cette misère, il est impossible pour un club sénégalais de gérer les finances liées à une saison, encore moins de retenir ses meilleurs éléments qui, pour des raisons sociales, sont souvent obligés d’aller voir ailleurs. Recruter des internationaux sur le continent devient dès lors une utopie. Un palliatif demeure une bonne formation au niveau des jeunes.
La part du sport dans le budget de l’Etat à corriger
Si des personnages illustres, comme feu Omar SECK, avaient réussi à radicalement changer le visage d’un club, par la force de son ingéniosité et des moyens personnels, il demeure que cet exemple n’a pas prospéré. «Souvent, la famille te demande de te retirer, de peur que le patrimoine ne soit entamé sérieusement», confie un proche de président de club.
C’est dire si l’Etat doit rapidement corriger un impair qui confine nos clubs à se coiffer du bonnet d’âne en Afrique. «Le président Mack Sall consent des efforts dans la réalisation d’infrastructures. C’est très bien, mais les clubs aussi ont besoin plus que jamais du soutien financier de l’Etat. On ne peut plus continuer à gérer les clubs comme il y’ a trente ans. Que l’Etat mette les moyens tout en exerçant un contrôle à la fin de chaque exercice pour voir comment a été dépensé l’argent jusqu’au moindre centime. C’est une manière d’aider les clubs et le football sénégalais à franchir un palier», assure ce secrétaire exécutif d’un club de l’élite.
Il ajoute que «les présidents ne peuvent à eux seuls supporter toutes les charges liées au fonctionnement du club, sans parler des salaires et des primes de matches». Du coup, la promesse faite au monde sportif par Macky Sall en 2012 de porter à 1% la part du sport dans le budget du Sénégal est attendue comme père Noël par les enfants aux moments des fêtes de fin d’année. Comprenez aussi que la manne financière n’est pas un gage de compétitivité, mais elle permet aux clubs de mieux se structurer et de pouvoir faire leur marché sur la scène africaine tout en conservant leurs meilleurs éléments.
Le manque d’efficacité des nos attaquants
En championnat national comme en Afrique, les attaquants sénégalais, dans la grande majorité, ne marquent pas beaucoup de buts. C’est là où le travail spécifique lors des séances d’entraînement est correcteur. La seconde mi-temps de Niary Tally en coupe d’Afrique face aux modestes camerounais, demeure un exemple patent. Il appert nécessaire que les techniciens s’attèlent à cette tâche. Qu’il est honorifique pour un entraîneur de transformer un bucheron en véritable machine à marquer. Au final, est-ce que ce n’est pas aussi ce qui manque sous nos cieux ?
La faute à ces échecs répétés et successifs incombe à toute une échelle de responsabilités. Au rang desquels, les acteurs du secteur, puis l’Etat qui n’a pas voulu mettre un seul kopeck depuis le passage dans le monde concurrentiel et non moins exigeant du football professionnel.
Séga DIALLO
Contestation de Mimi Touré à Kaolack – Macoumba Diouf appelle au respect des populations
Le maire et coordonnateur de l’Apr à Latmingué, Macoumba Diouf appelle les détracteurs Kaolackois de l’ancien Premier ministre, Mimi Touré à respecter les Sénégalais.
21Par Ndiogou CISSE
Le Dr Macoumba Diouf, par ailleurs maire de la commune de Latmingué, appelle les apéristes qui sabordent l’arrivée de Mme Mimi Touré au Saloum « à respecter les Sénégalais ». Tout en souhaitant la bienvenue à l’ancien Premier ministre, Macoumba Diouf demande aux responsables et militants de l’Apr qui attaquent Mimi Touré « de respecter la volonté de Macky Sall qui l’a nommée envoyée spéciale du parti au Sénégal et dans diaspora ». Pour le Dr Diouf, l’arrivée de Mimi Touré à Kaolack, « en plus de contribuer à la massification du camp de Macky Sall va servir au développement de la région ». En se prononçant sur les dissensions en cours dans le camp du parti au pouvoir à Kaolack, Macoumba Diouf estime que « tous ceux qui se soucient du développement du Saloum, de quelque bord qu’ils soient doivent cautionner le retour de Mimi Touré chez elle ». En convoquant « l’expertise de l’ancien Premier ministre et son sens élevé de la dignité et du patriotisme », Macoumba Diouf pense que Mimi Touré doit être une fierté pour tous les kaolackois. «En tant qu’envoyée de Macky Sall, fils du Saloum, qui a préféré travailler pour son pays que de rejoindre les Nations unies, pourquoi Mimi Touré demanderait-elle la permission pour venir à Kaolack », plaide M. Diouf . Le maire de Latmingué qualifie la démarche des anti Mimi Touré «d’ absurde », ajoutant que ceux qui lui refusent cette possibilité « manquent de civisme et ignorent que le Sénégal est une et indivisible». Dans sa position de défenseur de l’ancien Premier ministre, Macoumba Diouf indique « qu’ au-delà de son atout d’intellectuelle d’envergure, Mimi Touré est une technocrate et une actrice politique qui a des convictions ».
«Une chance pour Kaolack»
En plaidant un accueil chaleureux Pour Mimi Touré, le maire de Latmingué fait savoir que son arrivée à Kaolack cadre avec l’ appel qu’il a toujours réitéré pour que les responsables apéristes du Saloum et particulièrement ceux de la région de Kaolack s’unissent et se solidarisent pour le développement de la région et du Sénégal. Macoumba Diouf soutient que « ceux de l’Apr qui sont contre Mimi Touré se trompent de cible et d’adversaire politique ». Pour le coordonnateur Apr de latmingué, « face à Wattu Sénégal, la décision de Mimi Touré de militer à Kaolack est une chance pour l’Apr, pour Benno bokk yakaar, et tous ceux qui soutiennent le Président Macky Sall » Au-delà des querelles qui minent la formation du Président Sall à Kaolack, Dr Macoumba Diouf demande à tous les responsables Apr de tendre la main à leurs frères de l’opposition dans la région, de leur ouvrir les bras et de leur donner la place qu’ils méritent à leurs côtés. «Toutes les personnes qui veulent accompagner l’action du Président de la République doivent être les bienvenues à nos côtés », déclare Mr Diouf qui se posent encore des questions sur les raisons qui poussent certains à s’opposer à la venue de Mimi Touré à Kaolack.
Investi Président de la Gambie – Barrow attendu sur le pillage de forêts du Sénégal
Le Président Adama Barrow de la Gambie que la Cedeao, le Sénégal notamment a aidé à s’installer au pouvoir après sa victoire contestée par le Président Jammeh, ne sait pas encore prononcé sur la coupe irrégulière de bois qui dévaste les forêts du Sénégal au profit des multinationales chinoises qui sont encore en Gambie où elles continuent de réceptionner les cargaisons de bois en provenance de nos forêts.
Par Ndiogou CISSE
Le Président Adama Barrow de la Gambie qui est investi aujourd’hui en Gambie comme troisième Chef de l’Etat de ce pays, est attendu par les Sénégalais sur le pillage de nos forêts au sud du pays. Pas plus que la semaine dernière, les militaires de la Cedeao qui sont stationnés près de Birkima ( capitale de trafic du bois en Gambie) ont intercepté 16 camions bourrés de bois sans que cela n’intrigue les officiels de la Gambie. En tout cas, aucune déclaration n’a été faite en dénonciation de ce trafic pour lequel, le Sénégal subit de plein fouet les conséquences néfastes avec notamment une perte annuelle d’environ 40.000 hectares de forêts. A cause de ce fléau de la coupe illégale de bois , les services du ministre de l’Environnement et du Développement durable font savoir que les superficies forestières du Sénégal sont passées de 9,7 millions d’hectares en 2005 à 8,5 millions d’hectares. Si à Birkama, les militaires de la Cedeao empêchent les cargaisons de passer, les camions qui les transportent, ont trouvé une voie de contournement par le village de Mandinamba qui leur permet de rallier les établissements des Chinois installés tout au tour . En Gambie, les multinationales chinoises qui y sont installées le long de la frontière sud, échangent des motos jakarta contre du bois. Le phénomène qui s’était limité aux départements de Ziguinchor et Bignona, s’est étendu à la région de Sédhiou. Sare Bodjo, village gambien situé à un kilomètre de la frontière Sénégalaise, est l’un des principaux centres du trafic de bois de nèw. Cette une variété très prisée dont l’exploitation est interdite au Sénégal mais qui continue d’être exportée comme pas possible vers la Chine où elle alimente l’industrie du meuble. Ca ne fait pas longtemps que des images filmées par un drone au-dessus de ce village par Haidar El-Ali, ex-ministre de l’environnement sénégalais, témoignait de l’ampleur du pillage de nos ressources forestières
Barcelone : Piqué monte au créneau pour défendre Luis Enrique…
Gerard Piqué, défenseur central du FC Barcelone a tenu à défendre son coach Luis Enrique face aux critiques.
La défaite face au Paris Saint-Germain (4-0) a fait beaucoup de dégâts au sein du FC Barcelone. La star de l’équipe Lionel Messi aurait été particulièrement atteinte par cette déroute, mais c’est surtout Luis Enrique qui est pointé du doigt. Le technicien espagnol fait en effet l’objet d’une pluie de critiques et plusieurs grands noms du football espagnol ont réclamé son départ. Il est d’ailleurs sous contrat jusqu’en juin prochain et le Barça n’aurait pas encore entamé les négociations, pour le prolonger.
« Avant, nous étions dans une m**** absolue ! »
Face à la tourmente, Gerard Piqué a tenu à défendre Luis Enrique en rappelant qu’il avait ramené le FC Barcelone vers les sommets. « Quand Luis Enrique est arrivé, nous étions dans une m**** absolue ! » a lancé le défenseur central du Barça, d’après des propos rapportés par Mundo Deportivo. « Avec lui nous avons gagné le triplé et j’aimerais beaucoup qu’on regarde le travail fait par le coach depuis qu’il est ici. Nous le soutiendrons jusqu’à la mort et nous surmonterons tous les obstacles ensemble ».