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Contestation de Mimi Touré à Kaolack – Macoumba Diouf appelle au respect des populations

Le maire et coordonnateur de l’Apr à Latmingué, Macoumba Diouf appelle les détracteurs Kaolackois de l’ancien Premier ministre, Mimi Touré à respecter les Sénégalais.

 21Par Ndiogou CISSE

 Le Dr Macoumba Diouf, par ailleurs maire de la commune de Latmingué, appelle les apéristes qui sabordent l’arrivée de Mme Mimi Touré au Saloum « à respecter les Sénégalais ».  Tout en souhaitant la bienvenue à l’ancien Premier ministre, Macoumba Diouf demande aux responsables et militants de l’Apr qui attaquent Mimi Touré « de respecter la volonté de Macky Sall qui l’a nommée envoyée spéciale du parti au Sénégal et dans diaspora ». Pour le Dr Diouf, l’arrivée de Mimi Touré à Kaolack, « en plus de contribuer à la massification du camp de Macky Sall va servir au développement de la région ». En se prononçant sur les dissensions en cours dans le camp du parti au pouvoir à Kaolack, Macoumba Diouf estime que « tous ceux qui se soucient du développement du Saloum, de quelque bord qu’ils soient doivent cautionner le retour de Mimi Touré chez elle ». En convoquant « l’expertise de l’ancien Premier ministre et son sens élevé de la dignité et du patriotisme », Macoumba Diouf pense que Mimi Touré doit être une fierté pour tous les kaolackois. «En tant qu’envoyée de Macky Sall, fils du Saloum, qui a préféré travailler pour son pays que de rejoindre les Nations unies, pourquoi Mimi Touré demanderait-elle la permission pour venir à Kaolack », plaide M. Diouf .   Le maire de Latmingué qualifie la démarche des anti Mimi Touré «d’ absurde », ajoutant que ceux qui lui refusent cette possibilité « manquent de civisme et ignorent que le Sénégal est une et indivisible». Dans sa position de défenseur de l’ancien Premier ministre, Macoumba Diouf indique « qu’ au-delà de son atout d’intellectuelle d’envergure, Mimi Touré est une technocrate et une actrice politique qui a des convictions ».

«Une chance pour Kaolack»

En plaidant un accueil chaleureux Pour Mimi Touré, le maire de Latmingué fait savoir que son arrivée à Kaolack cadre avec l’ appel qu’il a toujours réitéré pour que les responsables apéristes du Saloum et particulièrement ceux de la région de Kaolack s’unissent et se solidarisent pour le développement de la région et du Sénégal. Macoumba Diouf soutient que « ceux de l’Apr qui sont contre Mimi Touré se trompent de cible et d’adversaire politique ». Pour le coordonnateur Apr de latmingué, « face à Wattu Sénégal, la décision de Mimi Touré de militer à Kaolack est une chance pour l’Apr, pour Benno bokk yakaar, et tous ceux qui soutiennent le Président Macky Sall » Au-delà des querelles qui minent la formation du Président Sall à Kaolack, Dr Macoumba Diouf  demande à tous les responsables Apr de tendre la main à leurs frères de l’opposition dans la région, de leur ouvrir les bras et de leur donner la place qu’ils méritent à leurs côtés. «Toutes les personnes qui veulent accompagner l’action du Président de la République doivent être les bienvenues à nos côtés », déclare Mr Diouf qui se posent encore des questions sur les raisons qui poussent certains à s’opposer à la venue de Mimi Touré à Kaolack.

Investi Président de la Gambie – Barrow attendu sur le pillage de forêts du Sénégal

Le Président Adama Barrow de la Gambie que la Cedeao, le Sénégal notamment a aidé à s’installer au pouvoir après sa victoire contestée par le Président Jammeh, ne sait pas encore prononcé sur la coupe irrégulière de bois qui dévaste les forêts du Sénégal au profit des multinationales chinoises qui sont encore en Gambie où elles continuent de réceptionner les cargaisons de bois en provenance de nos forêts.

Par Ndiogou CISSE

Le Président Adama Barrow de la Gambie qui est investi aujourd’hui en Gambie comme troisième Chef de l’Etat de ce pays, est attendu par les Sénégalais sur le pillage de nos forêts au sud du pays. Pas plus que la semaine dernière, les militaires de la Cedeao qui sont stationnés près de Birkima ( capitale de trafic du bois en Gambie) ont intercepté 16 camions bourrés de bois sans que cela n’intrigue les officiels de la Gambie. En tout cas, aucune déclaration n’a été faite en dénonciation de ce trafic pour lequel, le Sénégal subit de plein fouet les conséquences néfastes avec notamment une perte annuelle d’environ 40.000 hectares de forêts. A cause de ce fléau de la coupe illégale de bois , les services du ministre de l’Environnement et du Développement durable font savoir que les superficies forestières du Sénégal sont passées de 9,7 millions d’hectares en 2005 à 8,5 millions d’hectares. Si à Birkama, les militaires de la Cedeao empêchent les cargaisons de passer, les camions qui les transportent, ont trouvé une voie de contournement par le village de Mandinamba qui leur permet de rallier les établissements des Chinois installés tout au tour . En Gambie, les multinationales chinoises qui y sont installées le long de la frontière sud, échangent des motos jakarta contre du bois. Le phénomène qui s’était limité aux départements de Ziguinchor et Bignona, s’est étendu à la région de Sédhiou. Sare Bodjo, village gambien situé à un kilomètre de la frontière Sénégalaise, est l’un des principaux centres du trafic de bois de nèw. Cette une variété très prisée dont l’exploitation est interdite au Sénégal mais qui continue d’être exportée comme pas possible vers la Chine où elle alimente l’industrie du meuble. Ca ne fait pas longtemps que des images filmées par un drone au-dessus de ce village par Haidar El-Ali, ex-ministre de l’environnement sénégalais, témoignait de l’ampleur du pillage de nos ressources forestières

Barcelone : Piqué monte au créneau pour défendre Luis Enrique…

Gerard Piqué, défenseur central du FC Barcelone a tenu à défendre son coach Luis Enrique face aux critiques.

La défaite face au Paris Saint-Germain (4-0) a fait beaucoup de dégâts au sein du FC Barcelone. La star de l’équipe Lionel Messi aurait été particulièrement atteinte par cette déroute, mais c’est surtout Luis Enrique qui est pointé du doigt. Le technicien espagnol fait en effet l’objet d’une pluie de critiques et plusieurs grands noms du football espagnol ont réclamé son départ. Il est d’ailleurs sous contrat jusqu’en juin prochain et le Barça n’aurait pas encore entamé les négociations, pour le prolonger.

« Avant, nous étions dans une m**** absolue ! »

Face à la tourmente, Gerard Piqué a tenu à défendre Luis Enrique en rappelant qu’il avait ramené le FC Barcelone vers les sommets. « Quand Luis Enrique est arrivé, nous étions dans une m**** absolue ! » a lancé le défenseur central du Barça, d’après des propos rapportés par Mundo Deportivo. « Avec lui nous avons gagné le triplé et j’aimerais beaucoup qu’on regarde le travail fait par le coach depuis qu’il est ici. Nous le soutiendrons jusqu’à la mort et nous surmonterons tous les obstacles ensemble ».

PSG – MERCATO : BEN ARFA PROCHAINE VICTIME DE GONÇALO GUEDES ?

Arrivé au PSG pour 30 millions d’euros cet hiver, le portugais Gonçalo Guedes  ne devrait pas s’éterniser sur le banc des remplaçants. Hatem Ben Arfa qui a commencé à allier le bon et le mauvais ces derniers jours pourrait se voir doubler par Gonçalo Guedes.

Ben Arfa devra affaire à Gonçalo Guedes

 

Lors du chat organisé sur le site du quotidien Le Parisien, Ronan Folgoas, le spécialiste du PSG au quotidien a donné des informations sur la nouvelle recrue. Pour lui, le joueur va se relancer dans les prochains mois. Il voit Hatem Ben Arfa comme sa victime potentielle au regard de ses faméliques prestations.

« Un peu de patience. Guedes prend tout juste ses marques au PSG et à Paris. Il vit tout seul, sa famille n’est pas venue avec lui. Bref, il a besoin de digérer pas mal de choses nouvelles. Et puis, les performances récentes d’Hatem Ben Arfa (très bon à Rennes début février, mais très décevant hier lors de son entrée en jeu) peuvent lui laisser une place sur les fins de match », a-t-il réagi à une question sur le jeune joueur de seulement 20 ans.

 

Portrait du Rapper BOB de Sicap Mbao

https://www.youtube.com/watch?v=jkOap-lj6d4

MATAR NDOUR SUR L’EVOLUTION DE LA PHOTOGRAPHIE EN AFRIQUE

“On a beaucoup plus de presse-bouton que de photographes”

Faire de la photographie, ce n’est pas seulement appuyer sur un bouton. C’est du moins l’avis de l’expert en photographie,MatarNdour. Car pour lui, si la photo n’est pas empreinte d’âme, c’est parce qu’il n’y a pas de photo.

Pas moins de 15 jeunes, venus du Burkina Faso, du Congo, de Burundi et du Sénégal, ont été outillés pendant 5 jours àunMasterclass de photographie,sous l’initiative d’Africalia et sous le thème : «La photographie créative»,animé parle photographe Belge Charles Verraest et leSénégalais MatarNdour.

Et dans son intervention, MatarNdoura souligné que la photographie est un mediumen perpétuelle évolution. “En Afrique, nous avons un déficit criard d’écoles de formation photographique et d’institutions. Les gens aiment beaucoup faire la photo, mais ils n’ont pas cette maîtrise, cette technique pour parfaire la photo. Donc, c’est des laissés-pour-compte», a déploré le photographe, au cours de cette formation intensive avec beaucoup de déplacementspour allier l’aspect théorique et pratique.

A en croire MatarNdour, faire de la photoce n’est passeulementappuyer sur un bouton. Parce que, dit-il : “Quand tu vois ce qui se passe, tu comprendras qu’on a beaucoup plus de presse-bouton que de photographes.  On dit à ces jeunes :‘’Il ne faut pas faire de belles photos, mais il faut faire de bonnes photos. Une photo peut être belle, et après ? Si la photo ne raconte rien du tout, n’a pas d’âme, ce n’est pas une bonne photo”.

MatarNdour enchaîne : “Il faut faire appel à la créativité créative, ça fait appel à une technique photographique. Parce qu’il faut avoir une technique de l’espace, c’est-à-dire quand tu vas dans la rue, il y a énormément d’éléments visuels, mais parmi ces éléments, il faut êtretrèssélectif pour pouvoir composer une bonne photo. Et il faut que cette photo renseigne un certain message, il faut aussi qu’elle ait de l’âme et des émotions».

Pour cet expert, cette émotion se dégage à partir même de l’auteur de l’image. “Si la photo n’est pas empreinte d’âme, c’est parce qu’il n’y a pas de photo. Donc, il y a cette technique esthétique, cette tendance qu’on appelle humaniste, poétique, car faire la composition, c’est faire de la poésie. C’est toute la différence entre un presse-bouton et un photographe», a souligné MatarNdour.

AdamaAidara KANTE

TROIS QUESTIONS A CHARLES VERRAEST PHOTOGRAPHE BELGE «C’était des moments impressionnants, photographiquement et socialement»

Par A.A.K – Il a foulé le sol sénégalais pour la première fois, mais garde tout de même de bons souvenirs. Charles Verraest, un photographe belge qui a engrangé beaucoup d’expériences dans la photographie conceptuelle, a partagé durant 5 jours, son expérience avec une dizaine de jeunes venus d’horizons divers pour apprendre les techniques de l’image.

C’est votre première fois en Afrique, quelles sont vos impressions ?

C’est la première fois que je viens en Afrique, c’est tout nouveau. Et donc, j’ai découvert des jeunes très engagés dans la photo, mais aussi dans la vie. Cela m’a impressionné fortement. A vrai dire, je repars comme un autre homme, vue tout cette expérience en Afrique, avec Matar qui nous a introduits dans le quartier de Ouakam, c’était très impressionnant. Et surtout comment on voit le Street photographique, comment on doit rapprocher les gens, c’était des moments impressionnants, photographiquement et socialement.

 

Vous avez eu une formation académique, alors qu’au Sénégal, certains photographes sont plus ou moins formés dans le tas. Comment avez-vous réussi à faire cette jonction ?

Les jeunes avaient déjà une toute petite expérience avec Youtube et internet, mais le problème avec Youtube, c’est qu’il y a beaucoup d’informations, il faut donc savoir canaliser les choses. Et s’il y avait alors une petite formation, cela pourrait marcher, mais on a vu quels étaient les problèmes et on a travaillé là-dessus, sur les techniques.  En 5 jours, on a fait beaucoup, maintenant, c’est à eux de continuer et de rechercher.

Quel usage faites-vous de ces photos prises lors de cette Masterclass, des expositions ou bien ?

Ce n’est pas encore fini, on va encore travailler pendant 3 mois. Et normalement après cela, on n’aimerait bien faire une exposition, ou écrire un livre, si les moyens se poursuivent bien entendu.

Êtes-vous prêt à revenir au Sénégal ?

Tout de suite, je ne pars pas. C’est un beau pays.

ÉLECTIONS LÉGISLATIVES DE 2017 – Khalifa Sall, Abdoulaye Baldé et Cheikh Bamba Dièye investissent la Banlieue

Cinq mois nous séparent des élections législatives prochaines, mais la pêche aux voix est lancée. De par son poids électoral (11% de l’électorat national), la Banlieue est très courtisée. Ousmane Ngom, Khalifa Sall, Cheikh Bamba Dièye et Abdoulaye Baldé y étaient.

KHALIFA SALL «AU- CUN INDIVIDU NE PEUT ME LIQUIDER» Le maire de Dakar, Khalifa Sall, a rendu une visite de courtoisie à un ancien baron du Parti socialiste, Abdoulaye Guèye, à Tivaouane Diacksao. Une visite dans un contexte où le Ps traverse des dissensions profondes, entre Tanor Dieng et Khalifa Sall. Le maire de Dakar a réitéré leur participation (son camp et lui) aux prochaines législatives. «Personne ne pourra nous empêcher d’avoir une liste aux lé- gislatives de 2017. Le combat que nous menons, nousle ferons au sein du parti. C’est une question de principe. Nous ne quitterons pasle Ps», précise Khalifa Sall. Accompagnés par Idrissa Diallo, Ibrahima Hanne, entre autres responsables, le maire de Dakar a dit toute sa sérénité en ce qui concerne sa convocation à la Dic. «La caisse d’avances est une caisse de facilité dont dispose la mairie de Dakar pour lui permettre de faire face à un certain nombre de facilités. Elle existe depuis 1920. Je vais dé- férer à la convocation mais je sais que je n’ai rien fait de ré- préhensible. Ça, c’est certain. Cependant si c’est pour me liquider, c’est peine perdue. Il n’y a que Dieu qui peut liquider une personne. Aucun individu ne peut me liquider», avertit le chargé de la vie politique du Ps. CHEIKH B. DIÈYE : «APRÈS L’ÉCHEC DE LA TRAQUE DES BIENS MALACQUIS MACKY TRAQUE SES OPPO- SANTS» À Guinaw Rail Sud, Cheikh Bamba Dièye présidait un meeting politique de la section communale. Faisant un tour d’horizon de l’actualité nationale, le leader du Fsdb/J n’a pas manqué de se prononcer sur la convocation de Khalifa Sall à la Dic. L’ancien maire de Saint Louis, qui ne serait pas d’ailleurs épargné par l’Ige, se désole. «Après avoir lamentablement échoué dans la traque des biens mal acquis, Macky Sall se tourne vers la traque des adversaires déclarés. Mais cela ne passera pas. S’il veut nous enfermer, il n’a qu’à dire ce qu’on doit dire pour qu’il nous enferme», martèle-t-il. Il s’interroge : «il y a combien de voleurs de milliards dans ce pays ? Combien de dé- trousseurs d’argent dans ce pays ?». Selon Cheikh B Dièye, «la République ne doit pas marcher autour de ces quelques miettes qu’on va chercher dans les pré- rogatives des mairies, de façon illusoire. Ça ne va pas prospérer. C’est nous qui avions dit “Non” quand Macky Sall etses acolytes avaient détalé. Macky Sall n’a fait que récolter le fruit du travail des autres», cogne M Dièye. ABDOULAYE BALDÉ : «AVOIR UN GROUPE PARLEMENTAIRE» L’Union des centristes du Sé- négal (Ucs) a battu le rappel des troupes à l’unité 3 des Parcelles assainies à Guédiawaye. Abdoulaye Baldé prépare activement les législatives. «Notre objectif pour les législatives est d’avoir un groupe parlementaire. C’est bien possible. Car l’Ucs est bien implantée à travers le Sénégal. Nous n’excluons pas d’aller en coalition, mais nous devons d’abord compter sur notre propre force. Tous les responsables doivent s’unir. D’ailleurs nous allons vers l’organisation de notre parti. Car nous ne voulons pas que les tares des autres gangrènent notre formation politique», dixit le maire de Ziguinchor. Pour le maire Baldé, la banlieue ne doit pas être considérée comme du bétail électoral. «L’Ucs considère la banlieue comme la 15ème région du pays. Quand nous aurons le pouvoir, nous allons développer un programme spécial pour la banlieue de Dakar», promet l’ex ministre sous Wade. À Diamaguène Sicap Mbao, le président du Mouvement Libéral Ci Kanam, Ousmane Ngom, a installé la section de Diamaguène. «Nous avons reçu plusieursrésolutions quisouhaitent que Lck aille à ces élections sous sa propre bannière ; mais avec la participation d’autres formations et mouvements qui partagent les mêmes objectifs et les mêmes valeurs»

Chers Mansour, Aziz, Daouda, et très chers amis et collègues journalistes.

Je partage avec vous cet avis de cambriolage de mon domicile pour le porter à la connaissance de l’opinion et des autorités aux fins de dispositions républicaines. Un fait qui vient encore confirmer la gravité actuelle de la crise sécuritaire dans laquelle se trouve notre pays dit “émergent”. Voici ci-dessous le déroulement des faits :
“Dans la nuit du 17 au 18 février 2017, une bande de malfaiteurs s’est introduite nuitamment à mon domicile, villa n° 212 sis Quartier Serigne Mansour Sy à Keur Massar, un petit espace d’une centaine de concessions situé entre les quartiers de Elhadji Pathé et l’Unité 3 des Parcelles assainies. Le forfait porte sur un matériel d’une valeur de près de 3 millions FCFA constitué de deux écrans plats de grande dimension de marque Sharp et SAMSUNG” et d’autres objets.
Les auteurs ont escaladé les bâtiments voisins pour atteindre, on se sait comment, la cage d’escaliers (coulé en béton armé) au dessus de l’étage pour pincer et défoncer subtilement la porte en fer  et pouvoir descendre jusqu’au rez-de-chaussée et vider le salon. La maison est tellement barricadée et bunkerisé qu’on comprendrait difficilement comment ils ont pu y accéder.

Le forfait commis au moment où les étudiants et autres gaillards de la maison sont absents des lieux. Ceci traduit l’acuité jamais atteint du problème de sécurité à Dakar en général et particulièrement dans la banlieue où “le ver est dans le fruit”.

Pour s’en rappeler, de nombreux sénégalais avaient corrélé l’avènement, la prolifération et le gonflement des écuries de lutte avec la quasi éradication du banditisme à Dakar sous le régime de Me Abdoulaye Wade parce que simplement l’Etat avait réussi à installer la peur dans leur propre camp en les poursuivant sans relaxe jusqu’à leur dernier retranchement. Ce qui n’est plus le cas actuellement, la peur est du côté de la population qui n’ose même faire preuve de solidarité devant des cas d’agressions diurnes.
Au lendemain du forfait qui a du reste produit une vraie psychose dans la famille (quand on imagine qu’ils (les voleurs / agresseurs) ont certainement vu, portes ouvertes, les tout-petits enfants (filles et garçons) en plein sommeil), j’ai déposé une plainte contre X au niveau de la Brigade de Gendarmerie de Keur Massar pour être en phase avec le fonctionnement normal d’une République en tant  que citoyen civilisé. Là aussi, il est aisé de se rendre que des cas similaires pleuvent comme une averse. Facile à comprendre me dirait-on car pour près de 138 quartiers que compte cette Commune, il n’y a qu’une seule brigade avec quelques éléments certes très professionnels et déterminés, et un CB expérimenté qui mérite d’être renforcés en urgence

Voila globalement la situation très préoccupante que nous vivons, impactant gravement sur le moral de chacun à se sentir fier de son pays avec l’envie de contribuer au Sénégal qu’on se veut “Émergent”

Dr Thierno NDOUR
Géographe – Expert Géomaticien
Tel. GSM Sn  : +221 77 515 79 54
: +221 70 886 50 05 / 70 886 50 25
E-mail : thiernondour@gmail.com

Jeureujeuf Khadimou Rassoul

SELON LE PRÉSIDENT DE L’ACT, ABDOUL MBAYE «Le Président Macky Sall utilise la justice pour combattre l’opposition»

Le président de l’Alliance pour la citoyenneté
le chef de l’État doit laisser la justice faire son travail au lieu de continuer à l’instrumentaliser au détriment de l’opposition. «J e vous prends à témoin, parce que je ne suis pas le seul concerné. Nous avons un régime en place qui a décidé de combattre son opposition en utilisant le sys- tème judiciaire. La justice est une chose importante, la justice est une chose sacrée ; mais elle est malheureusement manipulée par les hommes et j’ai la conviction, comme je l’ai toujours dit à mon père, monsieur le juge feu Kéba Mbaye, que la justice appartient au Bon Dieu qui en donne délégation», a regretté le président de l’Act. Et d’ajouter : «Monsieur le Président Macky Sall, faites attention à la manière dont vous utilisez la justice pour combattre l’op- position». Sur un autre registre, le patron de l’Act est revenu sur sa tour- née à Kaolack. Une tournée qui lui a permis de faire dix jours dans le Saloum et d’être en contact direct avec les populations qui, dit-il, peinent à joindre au quotidien les deux bouts. «J’ai été dans les coins les plus reculés de Kaolack. J’ai écouté les chefs de famille, les hommes de ma génération et j’ai noté une sorte de désespoir, de rési- gnation et d’échec. Non pas l’échec d’efforts qu’ils avaient déployés tout au long de leur vie pour construire une famille, mais un échec qui n’est pas de leur responsabilité. C’est pour les jeunes et le futur du Sénégal que j’ai décidé de m’engager en politique. J’ai rencontré des femmes, beaucoup de femmes ; sur leurs frêles épaules elles ont la charge de leurs enfants, elles ont la charge de leur fa- mille, c’est dur car elles tra- vaillent du matin au soir, avec peu de revenus pour beaucoup d’efforts. Enfin, j’ai écouté les jeunes et ils se plaignent du chômage. Et ce qui est déses- pérant c’est qu’il n’y a pas dans leurs yeux une lueur d’espoir d’un lendemain qui pourrait être plus prometteur et ils ont même une sorte de pudeur à en parler, il faut savoir lire dans leurs yeux, pour mesurer l’importance de leur détresse». Abdoul Mbaye a terminé son discours en invitant le Président Macky Sall à se concentrer sur la demande sociale, «au lieu de passer son temps à caser sa clientèle politique et sa famille au détriment des Sénégalais qui ne savent plus à quel saint se vouer».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention