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Contre la radicalisation des jeunes – La gendarmerie concocte sa stratégie

 

Contre la radicalisation des jeunes, la gendarmerie Sénégalaise profite de la célébration des dix (10) ans d’existence de l’Ecole des Officiers de la Gendarmerie nationale pour organiser un séminaire au quel prennent part les Ecoles des officiers de la gendarmerie des Républiques de Côte  d’Ivoire, du Mali, de la France et du Royaume du Maroc ?

 

Par Ndiogou CISSE

La célébration des dix (10) ans d’existence de l’Ecole des Officiers de la Gendarmerie nationale se déroulera dans la période du 12 au 18 février 2017 avec comme activité principale un séminaire international sur la radicalisation religieuse des jeunes.

Ce séminaire aura lieu le 14 février 2017 à partir de 09 heures  a la caserne General Mame Bounama Fall sous la présidence de Monsieur le Général de division Haut commandant de la Gendarmerie nationale et Directeur de la justice militaire.  Durant cette période, il est attendu la participation des Ecoles des officiers de la gendarmerie des Républiques de Côte  d’Ivoire, du Mali, de la France et du Royaume du Maroc ainsi que celle d’éminents conférenciers.

ANCAR – La modernisation du secteur agricole au menu

L’Agence nationale de conseil agricole et rural (Ancar) a soumis hier au ministre de l’Agriculture et de l’équi- pement rural, Papa Abdoulaye Seck, le rapport sur «la stratégie pour un accompagnement modernisé du monde rural» au Sénégal. D’après Marième Dramé, directrice d’Ancar, «des ateliers d’études, de réflexions et de recherches se sont tenus suivant un long processus avec des structures qui ont un voletConseil agricole etrural dansleurs activités».Ces différentes rencontres «ont abouti à un atelier national qui a permis à ces structures de communiquer sur leurs expériences, leurs approches et leurs outils d’accompagnements», a-t-elle dit. Selon Marième Dramé, ce travail entre dansle cadre desinstructions données par Macky Sall lors du conseil des ministres du 22 juin 2016.Conférence pendant laquelle le président de la République avait interpelé le gouvernement surl’expérimentation d’un nouveau système d’accompagnement desregroupements de producteurs. La cérémonie s’est tenue dansleslocaux de l’Ancarsousla présence effective de PapaAbdoulaye Seckministre de l’Agriculture et de l’équipement rural qui, après avoir réitéré la volonté du pré- sident de la République à moderniser le secteur agricole, levierincontesté de l’économie sénégalaise, a rappelé que «l’agriculture doit être un secteur hautement revigoré et il nous faudrait réfléchir à un environnement propice à son développement». Considérant que le développement du secteur agricole entraînera l’expansion de l’économie sénégalaise, Papa Abdoulaye Seck a estimé qu’«il est impératif d’avoir un conseil agricole et rural qui doit être piloté par des préoccupations légitimes des acteurs du secteur». Le ministre a ajouté que : «vu l’importance de l’agriculture pour l’émergence de notre pays, il nous faudrait un conseil agricole etrural nouveau qui saura palier nos attentes et relever les défis». Et pour atteindre les objectifs que le conseils’est fixé, PapaAbdoulaye Seck leur a recommandé de viser l’efficacité et l’efficience de leurs interventions ; de faire preuve d’adaptation ; et enfin de considérer que les agriculteurs ont droit aux progrès.

CAMPAGNE DE COMMERCIALISATION DE L’ARACHIDE – Vers un remplacement des semences écrémées

La réunion du Comité de suivi de la campagne de commercialisation de l’arachide qui s’est tenue le mardi, était l’occasion pour le ministre de l’Agriculture et de l’équipement rural, Dr Papa Abdoulaye Seck, de donner la parole aux acteurs, opérateurs, producteurs, partenaires et institutions, et de déclarer : «Nous allons tendre progressivement à un remplacement dessemences écrémées par celles dites certifiées qui assurent plus de productivité.» Malick Ndiaye, Dg Cncas, se félicite de la campagne en cours. Selon lui, «la banque a mis cinq milliards Cfa pour la Sonacos, mobilisé quatre milliards Cfa pour les opérateurs pour accompagner les opérations de collecte.» Cependant, le problème de la question du financement dessemences est noté, maisle Dg promet des solutions. D’après le communiqué, Mamadou Thiam, président de l’Unis, soutient, enthousiaste, la décision du ministre de réduire le quota des semences écrémées, surtout au niveau de la variété 7333. Pourlui, «beaucoup de semences écrémées risquent de rejoindre les huileries». Et de rappeler que l’année d’avant, l’écrasante majorité des semences étaient écrémées, l’année dernière ils étaient à cinquante mille tonnes de semences écrémées et vingt mille tonnes de semences certifiées. Pour cette année, il déclare qu’ils sont à cinquante-cinq mille tonnes de semences certifiées et vingt mille tonnes de semences écrémées. Prenant part à la réunion, Massamba Dioum, président Cnia, se félicite de la rapidité de la réception des camions en 24h et de leurs paiements. En outre, il précise que : «Nous sommes à un total de cent huit mille tonnes et nous allons peut-être atteindre les cent dix mille tonnes. Donc, nous avons presque doublé parce que l’année dernière, nous étions à quarante-six mille tonnes. La grande satisfaction en est que la Sonacos qui n’avait fait que sept mille tonnes l’année dernières, en est, pour cette année, à cinquante-huit mille tonnes. Ce qui est très conséquent par rapport à ce qu’elle avait eu». Toussatisfaits de la rencontre, cependant Pape Dieng, Dg Sonacos, se focalise sur les objectifs. Selon lui, «un objectif d’un million de tonnes d’arachide pose problème, parce que les besoins des huiliers, les besoins des exportateurs et les besoins en autoconsommation sans oublier les réserves personnelles, tous ces besoins réunis, tournent autour d’un million quatre cent mille tonnes. Donc, on devrait, à ce niveau, revoir à la hausse nos ambitions même si dans le Pse l’objectif est d’un million de tonnes avec cent mille tonnes d’arachide pour les exportations. Ce qui démontre que la demande va plus vite que les objectifs fixés», croit-il savoir.

Par Rokhaya Nar

ACCIDENT À KOLDA – Un conducteur de Jakarta tué à hauteur de la gare routière

Un conducteur de moto jakarta a été mortellement fauché hier par un camion benne à hauteur de la gare routière de Kolda aux environs de 11h. La victime est un jeune de 26 ans répondant au nom de Woury Diallo. Selon les témoins, son corps a été traîné par le camion sur une distance de 25m après la collision. Le chauffeur a été mis aux arrêts. Il est actuellement dansleslocaux du commissariat urbain de Kolda. Il va être déféré dans les prochaines heures et sera conduit, par la suite, à la Maison d’arrêt et de correction de Kolda où il attendra d’être fixé sur son sort. Pour rappel, un autre accident de jakarta a eu lieu il y a deux semaines à Bantanguel. La victime croyant être poursuivie par les policiers stationnés au rond point de l’église, essaie de s’échapper à vive allure. Voulant tourner au niveau du pont de Bantanguel, il cogne violemment un poteau électrique en fer, avant de terminersa course dans un canal à ciel ouvert. Il a rendu l’âme le lendemain.

PASSATION DE SERVICE À L’ADEPME – MaboussoThiam lègue 18 milliards à Idrissa Diabira

Signalant les «tentatives de prédations» et «les appétits» que suscite l’Adepme, le directeur sortant, MaboussoThiam, a révélé avoir sécurisé un montant de 18 milliards pour les trois années à venir. Il a prodigué hier des conseils de bonne gestion à son successeur, Idrissa Diabira, à l’occasion de leur passation de service dans les locaux de la boîte.

TENSION AU SEIN DU SECTEUR DE LA SANTÉ – Le Psd Jant bi exige la démission d’Éva Marie Coll Seck

Devant ce qu’ils qualifient de «dé- sastre» dans le secteur de la santé, Mamour Cissé et ses camarades ont appelé en réunion de Bureau, hier, le ministre en charge de la santé, Éva Marie Coll, à rendre le tablier.

Vivement préoccupés par la situation actuelle dans le secteur de la santé, Mamour Cissé et ses camarades, qui étaient en réunion de bureau politique, n’ont pas usé de la langue de bois. À les en croire, il ressort du diagnostic qu’ils ont fait que la solution devrait être le départ de la ministre de la Santé. «Devant l’émoi et la consternation de toute une nation incrédule ; face à la détresse de 650 malades et de leurs proches, plongés dans l’incertitude ; prenant acte d’une négligence dont les conséquences prennent de plus en plus l’allure d’une catastrophe nationale, le Bp du Psd Jant Bi, dès l’ouverture de ses travaux, a demandé au ministre de la Santé de démissionner, sans délai». Car, «ni ses regrets, ni ses solutions à l’emporte-pièce ne peuvent l’absoudre du terrible péché d’une incapacité totale, aujourd’hui, à anticiper sur les évènements, dans un secteur aussi vital que la santé !» Particulièrement virulent, le Bureau politique qui a visiblement du mal à soutenir cette situation, indique que la haute administration de ce secteur, «usée par une longévité» qui a fini d’installer la «routine, la somnolence et l’autosatisfaction», n’a pluslesréflexes ni les capacités d’impulser une véritable dynamique d’opérationnalité et de fonctionnalité qu’impose, aujourd’hui, la forte demande sociale, en matière de soins de santé. Estimant que notre système de santé est malade de son management, Mamour Cissé etses camaradesréitèrent que «le ministre de la Santé doit partir, certes avec les honneurs, pourson parcours, mais partir quand même, pour permettre l’ouverture de nouvelles perspectives, de nouvelles ambitions, portées avec volontarisme, lucidité et responsabilité par un leadership innovant, rigoureux et pragmatique». OUVRIR UNE ENQUÊTE Dans cette perspective, le Psd Jant Bi demande «l’ou- verture d’une enquête sérieuse», pour situer toutes les responsabilités sur cette atroce négligence qui ne pourrait rester sans suite. Par ailleurs, considérant «comme trop long» le délai de six mois promis par les autorités, le Psd Jant Bi se demande à quoi nous sert alors tout ce «crédit diplomatique» dont se glorifie le gouvernement, s’il ne peut pas nous servir à obtenir, dans des délaisraisonnables, auprès de tous nos «amis» éparpillés à travers le monde, un seul appareil de ra- diothérapie, malgré l’urgence vitale.

CONFECTION DES CARTES BIOMÉTRIQUES D’IDENTIFICATION EN ITALIE – Des émigrés se révoltent contre Macky

Les émigrés sénégalais vivant à Naples, Caserta, Salerno, Benevento et Avellino sont très en colère contre l’État qu’ils accusent de leur manquer de considération dans la confection des cartes biométriques Cedeao d’identification et la satisfaction de leurs revendications

En appréciant le travail de la mission en charge de la confection des nouvelles cartes biométriques d’identification qui s’est rendue dans leurs villes de résidence en Italie, des émigréslaissent éclater leur colère. Amenés par Modou Ndiaye, ci-devant coordonnateur des Sénégalais de Naples, nos compatriotes émigrés sous-estiment le nombre de cartes confectionnées par jour par la mission. En fait, évaluée par rapport au nombre de de- mandeurs de cartes à Naples, Caserta, Salerno, Benevento et Avellino, les émigrés qui ruent dans les brancards trouvent insupportables que la commission qui n’a que 6 jours à passer dans ces villes, ne puisse confectionner que 720 cartes par jour pour des candidats estimés à plus de 9000. Modou Ndiaye et ses compatriotes dénoncent, par voie de communiqué, un manque de respect, ajoutant qu’il leur était venu à l’esprit de boycotter la mission avant que les responsables ne les en dissuadent. Dans les localités précitées d’Italie, les Sénégalais sont regroupés en Dahira ou en groupe d’appartenance à un parti politique. Pour le cas du coordonnateur de Naples, Modou Ndiaye, qui est en même temps responsable de l’Apr du Président Macky Sall, mais menace de s’allier avec l’op- position pour former une liste aux élections législatives. 8 POLITIQUE La Tribune – N°1589 Vendredi 10 Février 2017 c mjn CONFECTION DES CARTES BIOMÉTRIQUES D’IDENTIFICATION EN ITALIE Des émigrés se révoltent contre Macky Les émigrés sénégalais vivant à Naples, Caserta, Salerno, Benevento et Avellino sont très en colère contre l’État qu’ils accusent de leur manquer de considération dans la confection des cartes biométriques Cedeao d’identification et la satisfaction de leurs revendications. Par Ndiogou CISSÉ Vivement préoccupés par la situation actuelle dans le secteur de la santé, Mamour Cissé et ses camarades, qui étaient en réunion de bureau politique, n’ont pas usé de la langue de bois. À les en croire, il ressort du diagnostic qu’ils ont fait que la solution devrait être le départ de la ministre de la Santé. «Devant l’émoi et la consternation de toute une nation incrédule ; face à la détresse de 650 malades et de leurs proches, plongés dans l’incertitude ; prenant acte d’une négligence dont les conséquences prennent de plus en plus l’allure d’une catastrophe nationale, le Bp du Psd Jant Bi, dès l’ouverture de ses travaux, a demandé au ministre de la Santé de démissionner, sans délai». Car, «ni ses regrets, ni ses solutions à l’emporte-pièce ne peuvent l’absoudre du terrible péché d’une incapacité totale, aujourd’hui, à anticiper sur les évènements, dans un secteur aussi vital que la santé !» Particulièrement virulent, le Bureau politique qui a visiblement du mal à soutenir cette situation, indique que la haute administration de ce secteur, «usée par une longévité» qui a fini d’installer la «routine, la somnolence et l’autosatisfaction», n’a pluslesréflexes ni les capacités d’impulser une véritable dynamique d’opérationnalité et de fonctionnalité qu’impose, aujourd’hui, la forte demande sociale, en matière de soins de santé. Estimant que notre système de santé est malade de son management, Mamour Cissé etses camaradesréitèrent que «le ministre de la Santé doit partir, certes avec les honneurs, pourson parcours, mais partir quand même, pour permettre l’ouverture de nouvelles perspectives, de nouvelles ambitions, portées avec volontarisme, lucidité et responsabilité par un leadership innovant, rigoureux et pragmatique». OUVRIR UNE ENQUÊTE Dans cette perspective, le Psd Jant Bi demande «l’ou- verture d’une enquête sérieuse», pour situer toutes les responsabilités sur cette atroce négligence qui ne pourrait rester sans suite. Par ailleurs, considérant «comme trop long» le délai de six mois promis par les autorités, le Psd Jant Bi se demande à quoi nous sert alors tout ce «crédit diplomatique» dont se glorifie le gouvernement, s’il ne peut pas nous servir à obtenir, dans des délaisraisonnables, auprès de tous nos «amis» éparpillés à travers le monde, un seul appareil de ra- diothérapie, malgré l’urgence vitale. TENSION AU SEIN DU SECTEUR DE LA SANTÉ Le Psd Jant bi exige la démission d’Éva Marie Coll Seck Devant ce qu’ils qualifient de «dé- sastre» dans le secteur de la santé, Mamour Cissé et ses camarades ont appelé en réunion de Bureau, hier, le ministre en charge de la santé, Éva Marie Coll, à rendre le tablier. Pour donner la preuve qu’ils ne sont passatisfaits de la mission en question, les Sénégalais concernés promettent de publier le nombre de ceux qui ont eu le sésame au terme des six jours qui leur ont été ré- servés. Modou Ndiaye évoque leur part dans le dé- veloppementsocioéconomique du Sénégal et insistent pour que l’autorité leur accorde plus de considération. En tout cas, très en colère, Ndiaye lance un appel au Président Macky Sall, pour la satisfaction des doléances des émigréssénégalais de Naples, Caserta, Salerno, Benevento et Avellino. À défaut, prévient- il, ce sera la sanction par les urnes. Au-delà des cartes biométriques d’identification Cedeao, le res- ponsable de la délégation des Sénégalais de l’extérieur en Italie en a eu pour son grade. Présenté comme un responsable limité, il lui est reproché de manquer à sa mission.

Le ministre de la Justice Me Sidiki Kaba livre le juge Dème à ses pairs

Le ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba, a livré le magistrat Ibrahima Hamidou Dème à ses pairs pour d’éventuelles sanctions.

Me Sidiki Kaba qui faisait face aux parlementaires hier a bien précisé que ni le Président Macky Sall, encore moinslui, ne peuvent sanctionner le juge Dème ; que cela est du ressort de ses pairs. «Ni le Président, ni le ministre de la Justice ne peuvent prendre des sanctions à l’endroit d’un magistrat. C’est du ressort de ses pairs», a lancé le ministre de la Justice. Revenant sur la démission et les griefs soulevés par le juge Dème, Me Sidiki Kaba n’a pas manqué de plus ou moins le traiter de néophyte du droit pour que ce qui concerne la consultation à domicile. «La consultation à domicile, contrairement à une idée véhiculée par des néophytes du droit, ne consiste pas pour le ministre à se déplacer en voiture pour aller trouver le magistrat concerné. La procédure de consultation à domicile est utilisée en cas d’urgence et d’impossibilité de réunir le Conseil supérieur de la magistrature (Csm) qui est convoqué par le Président de laRépublique. Elle consiste à demander aux membres du Csm leur avis sur les affectations proposées. Chaque membre est consulté individuellement en son domicile ou en son lieu de travail pour les mesures urgentes à prendre et relatives à l’affectation de magistrats», a lancé le ministre. Sans manquer de renseigner que cette pratique rentre dansle cadre des mesures urgentes. «La procédure de consultation à domicile est légale. Elle est prévue par les dispositions de l’article 6 de la loi organique n°2017-11 du 17 janvier 2017 portant organisation et fonctionnement du Csm qui prévoit que le Conseil supérieur de la magistrature se réunit au moins deux fois par an, sur convocation de son président. Toutefois, en cas d’urgence, le Csm peut statuer par voie de consultation à domicile. La seule exigence est l’urgence à prendre des mesures d’affectation», a expliqué Me Sidiki Kaba, qui rappelle que c’est maintenant devenu une loi. Le ministre de la Justice a insisté pour signaler que la mesure facilite certaines procédures, allège les problèmes de fonctionnements et ce sont généralement les magistrats qui la convoquent. «C’est le cas des magistrats en détachement qui demandent à être réintégrés, ceux qui sollicitent un rapprochement familial, ceux qui veulent bénéficier d’une formation, ou qui ont eu une bourse extérieure. Il faut préciser que généralement, les magistrats concernés par ces mesures sont demandeurs. La consultation à domicile est transparente. Chaque membre du Csm consulté individuellement donne son avis sur chaque proposition, assorti de ses observations librement faites par écrit. Comme lorsque le Csm se réunit, la même règle de la majorité s’applique pour chaque mesure d’affectation ou de détachement proposée. La légalité et la transparence de la procédure de la consultation ne souffrant d’aucun doute, tout membre du Csm est soumis à la seule autorité de la loi», a indiqué le ministre de la Justice. Me Sidiki Kaba a également condamné ce qu’il qualifie de «justice-spectacle, une justice-médiatique et une justice- émotionnelle».

Par Cheikh Anta Seck

De la tension, hier, au siège du PS

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