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V!ol sur mineur : Le tambour-major du lutteur Ada Fass arrêté…

Matar Diouf, alias Matar Ndiaye, tambour-major du lutteur Ada Fass, a été arrêté et accusé de viol sur une mineure de 15 ans. La plainte a été déposée par la mère de l’adolescente fin septembre, alléguant également un détournement de mineure. Selon l’enquête, la victime aurait rencontré l’accusé à plusieurs reprises, et ce dernier aurait abusé d’elle à trois occasions distinctes.

Les investigations ont révélé des preuves accablantes, notamment un certificat médical attestant de déchirures anciennes de l’hymen de la jeune fille. Malgré les dénégations du suspect, qui nie les faits et ne reconnaît qu’une relation amicale, les indices graves et concordants ont justifié sa mise en garde à vue. À l’issue de l’enquête, Matar Ndiaye a été déféré au tribunal de Dakar.

Triste nouvelle : l’actrice Arame Diop, alias Tabara dans “Fasséma”, est décédée

Nous venons d’apprendre avec une grande tristesse le décès de l’actrice Arame Diop, qui interprétait le rôle de Tabara, l’amie de Sagar dans la série Fasséma.

Toutes nos condoléances à sa famille et à Evenprod et à tout le monde du cinéma

Crise à Madagascar: le président Andry Rajoelina a été exfiltré par un avion militaire français

Le président malgache Andry Rajoelina a été exfiltré par un avion militaire français le 12 octobre 2025, est en mesure de confirmer RFI, après un accord avec le président Emmanuel Macron. Les autorités françaises indiquent qu’elles n’interviennent en aucune manière dans la crise malgache. Ce pays est secoué depuis le 25 septembre par des manifestations réprimées contre les coupures d’eau et d’électricité qui se sont muées en contestation contre le pouvoir et des appels à la démission du chef de l’État, notamment. Plus d’informations à suivre.

La note Caa1 de Moody’s : reflet d’une confiance perdue au Sénégal

Une dégradation historique de la note souveraine

Le 10 octobre 2025, l’agence Moody’s a abaissé la note de crédit du Sénégal de B3 à Caa1, avec perspective négative. Il s’agit de la troisième dégradation en moins d’un an, un fait inédit. Concrètement, cette note classe la dette sénégalaise parmi les investissements hautement spéculatifs, proches du risque de défaut.

Moody’s justifie sa décision par la détérioration rapide des indicateurs d’endettement et de liquidité : la dette publique atteindrait environ 119 % du PIB en 2024, un niveau record dans l’histoire récente du pays. De plus, le poids des intérêts pourrait absorber près de 27 % des recettes de l’État d’ici 2026, mettant à mal la soutenabilité budgétaire.

Mais au-delà des chiffres, cette dégradation reflète surtout une crise de confiance institutionnelle.

Une confiance ébranlée par la communication politique

Depuis l’alternance d’avril 2024, les nouvelles autorités ont multiplié les annonces spectaculaires : dénonciation d’une prétendue “dette cachée” des entreprises publiques, promesses de rupture radicale avec les institutions financières internationales, et déclarations de « souveraineté économique totale ».

Ces prises de parole ont eu un impact immédiat sur la perception des marchés. L’idée qu’un nouveau gouvernement découvre soudain un « trou caché » dans les finances publiques, sans preuve ni audit rendu public, a créé une onde de doute dans les milieux financiers.
Les investisseurs, eux, ont réagi non pas à une réalité chiffrée, mais à l’incertitude politique et à la confusion communicationnelle.

Résultat : la crédibilité du Sénégal  longtemps saluée dans la zone UEMOA s’est fragilisée, au moment même où le pays avait besoin de rassurer ses partenaires.

L’enchaînement d’annonces populistes et de plans non chiffrés

En parallèle, les nouvelles autorités ont lancé plusieurs plans de redressement, souvent présentés comme des alternatives au modèle économique antérieur.
Mais derrière les slogans et les ambitions affichées, peu de documents budgétaires précis ont été rendus publics.

Certains engagements, comme la mobilisation de plusieurs milliers de milliards de francs CFA sans endettement extérieur, ont été jugés irréalistes par les analystes. D’autres, comme la hausse simultanée de taxes et de dépenses sociales, ont donné l’image d’un pilotage plus politique que technique.

Les marchés financiers, eux, fonctionnent sur la prévisibilité et la cohérence.
Lorsque le discours devient populiste, les investisseurs appliquent une prime de risque — ce qui se traduit mécaniquement par des taux d’intérêt plus élevés et une notation plus basse.

Une crise de confiance, plus qu’une crise économique

Il faut le dire clairement : le Sénégal n’est pas en faillite.
Ses fondamentaux restent solides, sa croissance demeure autour de 6 %, et ses perspectives dans l’énergie, l’agriculture et les services sont réelles.
Ce n’est donc pas l’économie qui est sanctionnée, mais la gouvernance.

La note Caa1 exprime la perte de confiance envers la parole publique :
• Des annonces non vérifiées sur la dette,
• Des budgets improvisés,
• Des programmes mal chiffrés,
• Et une communication confuse sur la stratégie financière.

Les marchés et les institutions internationales ne sanctionnent pas un régime politique ; ils sanctionnent le doute.

Restaurer la rigueur et la transparence

Ensuite, la transparence doit être érigée en principe absolu de gouvernance.
Le débat autour de la prétendue “dette cachée” a démontré combien la communication politique peut fragiliser la confiance financière d’un pays lorsqu’elle n’est pas étayée par des éléments vérifiés.
À ce jour, aucune instance internationale, y compris le FMI, n’a confirmé l’existence d’une telle dette. Les marchés, eux, ont surtout réagi à la confusion créée par ces annonces et au flou qui s’en est suivi.

Dès lors, il devient essentiel que toutes les obligations de l’État — y compris celles des entreprises publiques et les arriérés internes — soient recensées, vérifiées et publiées sur la base de faits établis.
Non pas pour nourrir la polémique, mais pour restaurer la confiance par la clarté.

Le gouvernement gagnerait à renforcer la collaboration technique avec le FMI et la Banque mondiale, afin d’améliorer les systèmes de gestion budgétaire et comptable et d’harmoniser les standards de reporting.
La confiance ne reviendra que si les partenaires disposent de données fiables, auditables et cohérentes, émanant d’institutions solides plutôt que de discours politiques.
C’est à travers cette rigueur et cette transparence que le Sénégal pourra démontrer qu’il reste un emprunteur sérieux, crédible et prévisible, à la hauteur de son potentiel économique.

La continuité de l’État, gage de stabilité

Enfin, il faut réaffirmer la continuité de l’État, au-delà des alternances politiques.
Les discours de rupture peuvent séduire une partie de l’opinion, mais ils inquiètent les investisseurs, qui cherchent avant tout la stabilité.

Le Sénégal a bâti sa réputation sur la prévisibilité et la discipline budgétaire.
C’est cette réputation qu’il faut retrouver — non par des promesses, mais par des actes concrets :
• respect des engagements financiers,
• transparence des chiffres,
• et gestion prudente des ressources publiques.

Loin d’être une fatalité, la note Caa1 doit servir d’électrochoc.
Elle rappelle que la confiance se gagne sur la durée et se perd en une phrase.

Conclusion

La dégradation de Moody’s n’est pas un jugement économique définitif, mais un verdict de gouvernance.
Le Sénégal conserve ses atouts, mais il doit urgemment prouver qu’il sait gérer ses finances avec discipline, transparence et responsabilité.

C’est à ce prix et à ce prix seulement que la confiance des partenaires reviendra, et que notre pays pourra retrouver sa place parmi les économies les plus respectées de la région.

Tribune d’un citoyen sénégalais engagé

Italie : un Sénégalais poignardé à mort à Rome dans un probable drame passionnel

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Un Sénégalais de 39 ans, répondant au nom de Mamadou Diallo, a perdu la vie dans des circonstances violentes et tragiques en Italie. Il a été poignardé à mort par un homme cap-verdien âgé de 44 ans, ce samedi matin vers 7 heures, à Tomba, un quartier résidentiel situé dans le nord de Rome.

Selon le quotidien Les Échos, tout serait parti d’une dispute conjugale entre la victime et son épouse, également d’origine cap-verdienne. Diallo se serait rendu au domicile de cette dernière pour tenter de réconcilier le couple, séparé depuis plusieurs mois.

Mais la rencontre a rapidement dégénéré. Les échanges ont pris une tournure violente, attirant l’attention du voisinage. L’un d’eux, l’auteur présumé du meurtre, serait alors intervenu.

D’après la version rapportée par la police italienne, le Sénégalais aurait tenté, sans succès, de frapper son assaillant avec une bouteille en verre. En réaction, ce dernier se serait saisi d’un couteau avant de le poignarder violemment au cou.

Des témoins ont immédiatement alerté les secours. Les équipes médicales ont transporté Mamadou Diallo à l’hôpital San Pietro-Fatebenefratelli, où il a succombé à une hémorragie massive, malgré les tentatives de réanimation.

Le suspect a été interpellé une heure après les faits, avec son pantalon taché de sang. Il est actuellement placé en garde à vue au commissariat de Ponte Milvio, en attendant d’être présenté à un juge.

Les enquêteurs italiens poursuivent leurs investigations, mais la piste d’un drame passionnel est pour l’instant privilégiée.

Farba Ngom et Tahirou Sarr : neuf mois de détention sans audition, la défense crie à l’injustice

Neuf mois après leur placement sous mandat de dépôt, Farba Ngom et Tahirou Sarr n’ont toujours pas été entendus sur le fond de leur dossier. Une situation que leur avocat, Me Baboucar Cissé, qualifie de « très grave » et « inacceptable », dénonçant une détention prolongée en violation du droit à la défense.

« Aujourd’hui, ni Tahirou Sarr ni Farba Ngom n’ont été entendus. Cela fait neuf mois qu’ils sont en prison sans avoir eu l’occasion de s’expliquer. Mais le cas le plus préoccupant, c’est celui de Farba Ngom. Il est médicalement prouvé qu’il est malade. Le jour même de son inculpation, le 27 février, il a présenté son dossier médical au juge, qui n’en a pas tenu compte », a déploré l’avocat lors d’une conférence de presse.

Selon Me Cissé, plusieurs rapports médicaux confirment l’état de santé alarmant de son client. Trois professeurs de médecine civils, désignés par la justice, auraient conclu à un risque de “mort subite” en cas de maintien en détention. Malgré ces conclusions, la demande de mainlevée du mandat de dépôt reste sans réponse.

« La loi est claire. L’article 140 du Code de procédure pénale prévoit que lorsque l’état de santé d’un détenu est incompatible avec la détention, le mandat doit être levé. Pourtant, on ferme les yeux », a fustigé Me Cissé, plaidant pour la libération immédiate de son client, au besoin sous contrôle judiciaire.

L’avocat a également critiqué la loi sur la CENTIF, qu’il a qualifiée de « scélérate », estimant qu’elle favorise des détentions préventives abusives et empêche les mis en cause de se défendre efficacement.

Enfin, Me Cissé a mis en doute la solidité des accusations portées contre ses clients, notamment concernant les 125 milliards de francs CFA supposément issus du Trésor public.

« On accuse, on emprisonne, mais on ne prouve rien. Si cet argent vient réellement du Trésor, qu’on montre les signatures, les procédures, les inspecteurs. Rien de tout cela n’existe », a-t-il conclu, appelant au respect des droits de la défense, qu’il considère comme « sacrés » au regard de la Constitution.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention