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Abdou Mbow condamne l’interdiction de voyage de Pape Malick Ndour : « prise d’otage politique »

Abdou Mbow, député et ancien président du groupe parlementaire BBY, a vivement condamné ce dimanche l’interdiction de sortie du territoire imposée à Pape Malick Ndour, le qualifiant de journaliste critique du régime. Dans une déclaration sans détour, il a dénoncé « ces scandaleuses prises d’otages » et parlé d’une « tentative d’acharnement » assortie d’un « enlèvement » et d’une volonté manifeste d’humiliation, qu’il attribue à une manœuvre politique destinée à faire taire les voix dissidentes.

Soutenant Ndour, Abdou Mbow affirme que « son seul tort est de pointer, à chaque prise de parole, l’incompétence du régime en place ». Il critique par ailleurs le manque de transparence dans la procédure, estimant qu’il aurait été de bon sens d’informer préalablement la personne visée par une enquête afin de lui éviter « une énorme perte de temps et d’argent ».

Le député invoque aussi la jurisprudence de la Cour suprême dans l’affaire Mansour Faye pour avertir que ces intimidations « ne passeront pas » et qu’elles sont condamnées à un « échec judiciaire cuisant et honteux », rappelant que le Sénégal est un État de droit. Il en profite pour fustiger l’amateurisme du pouvoir et le ramener à l’essentiel : selon lui, il faut résoudre les problèmes des Sénégalais et sortir le pays du « coma économique » dans lequel, dit-il, le gouvernement l’a plongé. Enfin, Abdou Mbow met en garde contre toute tentative d’intimidation électorale : « Vous ne leurrez plus personne » et ces méthodes ne garantiront pas une réélection en 2029.

Pape Malick Ndour dénonce une « dérive politique » après son interpellation à l’AIBD

L’ancien ministre de la Jeunesse, Pape Malick Ndour, a animé ce dimanche un point de presse au cours duquel il est revenu en détail sur les circonstances de son interpellation à l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD) et sur sa convocation prévue ce lundi à la Section de Recherches (SR) de Colobane. Face aux journalistes, l’ex-membre du gouvernement a tenu à dénoncer ce qu’il qualifie de « dérive politique » dissimulée sous une façade judiciaire.

« On m’accuse de faits prétendument commis durant mon mandat de ministre », a-t-il déclaré, tout en s’interrogeant sur la régularité de la procédure. « Jusqu’ici, aucun ministre n’a été convoqué à la Section de Recherches sans passer par l’Assemblée nationale et la Haute Cour de justice. Dans mon cas, il y a manifestement une volonté de me museler ou de m’humilier. Mes droits sont bafoués », a-t-il soutenu.

Malgré ses critiques, Pape Malick Ndour a affirmé qu’il se rendra à la convocation. « Je ne fuirai pas la justice. J’irai répondre en républicain, même si je considère que mes droits sont violés. J’ai toujours voulu m’expliquer devant la justice et faire face à ceux qui m’accusent. »

Concernant l’affaire des tortures présumées impliquant Pape Abdoulaye Touré, un militant proche du mouvement PASTEF, l’ancien ministre a rejeté toute implication. « Je ne connais absolument pas la personne qui m’accuse. Je ne l’ai jamais vue, jamais rencontrée. Son nom même m’était inconnu. Quel intérêt aurais-je eu à m’en prendre à lui ? C’est absurde », a-t-il déclaré.

Les accusations de complicité de torture le liant à Antoine Félix Diome, ancien ministre de l’Intérieur, et au général Moussa Fall, haut commandant de la gendarmerie, relèvent selon lui du « pur fantasme ». Ironisant sur la situation, il a souligné : « C’est la même gendarmerie, citée dans ces prétendues tortures, qui est chargée de m’auditionner demain. »

En conclusion, Pape Malick Ndour a dénoncé une « instrumentalisation du pouvoir » visant à « salir et intimider » des responsables de l’ancien régime. « On veut me faire taire, mais je resterai debout. Les seules armes que j’ai toujours utilisées pour défendre mes positions sont mes compétences et mon savoir », a-t-il affirmé d’un ton ferme et résolu.

Pape Malick Ndour brise le silence et promet de …

Je tiens à apporter les précisions suivantes concernant mon récent projet de déplacement à l’étranger.
J’avais prévu de voyager sur Paris, dans la nuit du samedi 4 au dimanche 5 septembre 2025, à bord de la compagnie nationale Air Sénégal, après avoir pris mon billet depuis le début de la semaine. Cette émission de billet faisait suite à une précédente réservation que j’avais dû annuler une semaine auparavant.
En tant qu’agent de l’État, ma structure d’affectation avait été dûment informée, conformément aux règles administratives, puisque j’avais sollicité et obtenu une autorisation d’absence.
Toutes les formalités liées à ce déplacement ont été effectuées dans la plus grande transparence et dans le respect strict des procédures en vigueur. Les services compétents de l’État disposaient, bien avant mon arrivée à l’aéroport, de toutes les informations relatives à ce voyage, puisque j’ai moi-même veillé à ce que tout l’environnement étatique concerné soit parfaitement informé puisque je devais être en mission officielle pour le compte de mon département. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’avais délibérément choisi Air Sénégal, sous la tutelle du ministère des Transports aériens, plutôt qu’une compagnie étrangère. Tout en sachant que l’information serait relayée au plus haut niveau.
Alors, moi, tenter de fuir ? (rires). C’est méconnaitre mon histoire, mon sang… Comment quelqu’un qui chercherait à fuir passerait-il par l’aéroport, à visage découvert, dans la masse du samedi soir à l’aéroport, au vu et au su de tout le monde ? Il y a à peine un mois, j’étais à Abidjan, et j’avais également transité par le même aéroport, à l’aller comme au retour. Si j’avais l’intention, pourquoi n’aurais‑je pas pris la fuite depuis Abidjan? C’est de l’affabulation…
Les événements survenus hier à l’aéroport sont extrêmement graves. Il s’agit d’un enlèvement et d’une tentative manifeste d’humiliation, sur fond de manipulation politique et de pressions exercées sur les forces de défense et de sécurité. Ceci est symptomatique d’un pouvoir qui instrumentalise les institutions pour tenter de faire taire la voix de ses contradicteurs et détourner l’attention des véritables urgences du pays.
S’agissant des procédures en cours dont je viens d’être informé, je m’en réjouis. J’ai toujours exprimé mon désir personnel d’en découdre sur le terrain judiciaire, face à ceux qui m’accusent. Sur ce dossier précis, je prie le Tout-Puissant pour qu’Il accorde la victoire à celui qui dit la vérité et n’a rien à se reprocher, thi barké Rassouloulahi (PSL). Et que SA lourde main s’abatte sur tout coupable éventuel, qu’il s’agisse du prétendu complice de torture ou de l’accusateur infondé. À tous ceux qui me soutiennent, voilà la seule prière que je vous demande de faire.
Je reviendrai ce soir sur les faits graves qui se sont passés à l’aéroport lors d’un point de presse, où je donnerai tous les détails sur les circonstances de cet incident et sur la campagne de désinformation en cours.
Sabre au clair pour faire fâce à l’imposture…

Interpellation à l’AIBD : Pape Malick Ndour relâché mais interdit de quitter le territoire

L’ancien ministre de la Jeunesse, Pape Malick Ndour, a été interpellé dans la nuit de samedi à l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD), alors qu’il s’apprêtait à embarquer sur un vol de Royal Air Maroc à destination de Casablanca. Escorté hors de l’aéroport par quatre agents de police, sa destination initiale demeurait inconnue.

De nouveaux éléments sont toutefois apparus ce dimanche. D’après des informations rapportées par Battu Degg TV, l’ancien ministre a finalement regagné son domicile. Pape Malick Ndour fait désormais l’objet d’une interdiction de sortie du territoire et a été convoqué devant la section de recherches pour le lundi 6 octobre 2025.

Fièvre de la Vallée du Rift à Saint-Louis : 10 morts et 74 cas confirmés, la situation reste préoccupante

La région de Saint-Louis fait face à une propagation inquiétante de la fièvre de la Vallée du Rift (FVR). Selon le dernier bilan communiqué par la Direction régionale de la Santé, la maladie a déjà causé dix décès depuis la détection du premier cas le 21 septembre dernier, pour un total de 74 contaminations confirmées.

Désormais, l’ensemble des cinq districts sanitaires de la région sont touchés, signe d’une circulation active du virus. Les autorités sanitaires rapportent 15 patients suivis à domicile, 4 hospitalisés, tandis que 45 personnes ont été déclarées guéries.

Surveillance renforcée et appel à la vigilance

Face à cette évolution préoccupante, les services de santé ont renforcé la surveillance épidémiologique dans toute la région. Les populations sont appelées à la vigilance, surtout dans les zones rurales, où les contacts étroits entre l’homme et le bétail favorisent la transmission du virus.

La fièvre de la Vallée du Rift, transmise principalement par les piqûres de moustiques ou le contact avec des animaux infectés, affecte à la fois les humains et les troupeaux. En plus des pertes humaines, elle engendre d’importantes conséquences économiques pour les éleveurs.

Mesures de prévention recommandées

Les autorités sanitaires rappellent les gestes essentiels pour limiter la propagation :

  • éviter tout contact avec des animaux malades ou morts,
  • se protéger contre les moustiques (moustiquaires, répulsifs, vêtements longs),
  • et signaler rapidement tout cas suspect aux structures sanitaires les plus proches.

L’évolution de la situation est suivie de près par les autorités, qui appellent à la responsabilité collective pour contenir la maladie et éviter de nouvelles pertes humaines.

Sédhiou : un berger retrouvé mort par balle à Tognataba, la région sous le choc

La région de Sédhiou est en deuil. Ce samedi 4 octobre 2025, le corps sans vie d’un berger a été découvert dans le village de Tognataba, commune de Baghère, plongeant la population locale dans la tristesse et la consternation.

Alertée vers 9 heures, la brigade de proximité de gendarmerie de Tanaff s’est immédiatement rendue sur les lieux. Selon des informations rapportées par Seneweb, la victime, identifiée comme D. Ba, âgée de 56 ans, a été retrouvée morte au milieu de son troupeau de bœufs.

Marié à trois épouses et père de 22 enfants, le berger était réputé pour sa rigueur et sa routine bien connue des habitants. Chaque soir, il se rendait en forêt vers 18 heures pour surveiller son troupeau, avant de regagner son domicile aux alentours de minuit.

Un drame survenu dans la nuit du 3 au 4 octobre

La nuit du vendredi 3 au samedi 4 octobre a rompu cette habitude. Ne le voyant pas rentrer, sa famille a tenté de le joindre, en vain. C’est finalement un de ses fils, parti vérifier le troupeau au petit matin, qui a fait la macabre découverte.

Les gendarmes, accompagnés de l’Infirmier Chef de Poste (ICP) de Baghère, ont relevé sur le corps deux blessures par balle  l’une au niveau du ventre, l’autre au flanc droit.

Un fusil de chasse calibre 12 mm, appartenant à la victime, a été retrouvé à trois mètres du corps, contenant deux cartouches non tirées, ainsi que sept cartouches de recharge à proximité.

Malgré une fouille minutieuse des environs, aucun autre indice n’a été découvert pour éclaircir les circonstances exactes du drame.

Une tentative de vol de bétail ?

Les premiers éléments de l’enquête orientent vers une tentative de vol de bétail qui aurait mal tourné. Cependant, selon la famille de la victime, aucun bœuf ne manque à l’appel, le troupeau étant complet. Cette contradiction laisse planer le doute sur le véritable mobile du meurtre.

Le corps de D. Ba a été transféré à l’hôpital régional de Kolda pour autopsie, tandis que l’enquête se poursuit pour déterminer les circonstances précises de ce drame qui secoue toute la communauté.

Grave accident à Nguekhokh : deux morts et vingt et un blessés dans une collision entre un camion et un car « Ndiaga Ndiaye »

Un dramatique accident de la route s’est produit ce samedi sur l’axe Nguekhokh, impliquant un camion et un car de transport en commun de type “Ndiaga Ndiaye”. Selon les informations rapportées par Dakaractu Mbour, le bilan humain est particulièrement lourd.

D’après les premiers éléments, deux personnes ont perdu la vie sur les lieux, tandis que 21 blessés ont été recensés, dont 15 dans un état grave. Tous les blessés ont été évacués en urgence à l’hôpital Thierno Mansour Barro de Mbour pour y recevoir les soins nécessaires.

Pour l’heure, les causes exactes de la collision restent à déterminer. Les premières hypothèses évoquent la vitesse, l’état de la route ou une manœuvre imprudente comme facteurs possibles de l’accident.

Les secours et les autorités locales se sont rapidement rendus sur place pour porter assistance aux victimes, sécuriser la zone et faciliter l’évacuation des blessés.

Cet énième drame relance une nouvelle fois le débat sur la sécurité routière au Sénégal, où les accidents graves continuent d’endeuiller de nombreuses familles.

Mort mystérieuse de Mamadou Khadialy Sylla en Italie : la communauté sénégalaise réclame vérité et justice

La mort de Mamadou Khadialy Sylla, un Sénégalais de 35 ans, continue de bouleverser la communauté sénégalaise en Italie. Tailleur respecté et apprécié, il a perdu la vie dans des conditions encore floues à la prison de Santa Maria Capua Vetere, dans la région de Campanie.

Selon L’Observateur, ce décès survenu en détention a déclenché une vive émotion et une colère grandissante, ravivant le débat sur le traitement réservé aux détenus étrangers dans les prisons italiennes.

Tout a commencé le 25 septembre dernier à la gare de Caserta, où Mamadou Khadialy Sylla aurait été impliqué dans trois agressions, dont un vol de téléphone portable. Interpellé par la police ferroviaire, il aurait été maîtrisé avec une technique d’immobilisation au cours d’une altercation. Blessé, il est conduit à l’hôpital avant d’être placé en détention. Le lendemain, il est retrouvé mort dans sa cellule, dans des circonstances encore inexpliquées.

Ce drame a suscité une forte mobilisation. Le dimanche 28 septembre, plus d’une centaine de personnes, dont de nombreux Sénégalais, se sont rassemblées sur la place Dante, en Campanie, pour réclamer « vérité et justice ». Les manifestants dénoncent un système judiciaire perçu comme indifférent au sort des immigrés.

Face à la pression, une enquête pour homicide involontaire a été ouverte. Trois médecins, dont deux exerçant aux urgences de l’hôpital ayant accueilli Mamadou, sont dans le collimateur de la justice italienne. Des proches du défunt soupçonnent une erreur médicale, évoquant une possible administration excessive de médicaments.

Ce drame s’ajoute à la liste des décès de Sénégalais à l’étranger dans des conditions controversées, mettant une nouvelle fois en lumière la précarité et la vulnérabilité des migrants face à des systèmes carcéraux souvent opaques.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention