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La Côte d’Ivoire obtient 843,9 millions de dollars du FMI, pendant que le Sénégal attend toujours son programme

Alors que les autorités sénégalaises peinent à conclure un nouveau programme avec le Fonds monétaire international (FMI) pour accéder à ses ressources financières, la Côte d’Ivoire, elle, récolte les fruits de sa discipline économique.

Au terme de sa dernière mission à Abidjan, le FMI a annoncé l’octroi de deux décaissements d’un montant global de 843,9 millions de dollars. Ces fonds seront disponibles dès l’achèvement des revues par le Conseil d’administration de l’institution.

Dans le détail, 509,5 millions de dollars seront alloués au titre du Mécanisme élargi de crédit et de la Facilité élargie de crédit (MEDC/FEC), tandis que 334,4 millions de dollars proviendront de la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD).

Le FMI salue les progrès considérables accomplis par la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre de ses objectifs économiques, notamment la résorption des déséquilibres macroéconomiques, la reconstitution des réserves régionales, et les avancées dans la transformation économique du pays vers le statut de revenu intermédiaire de la tranche supérieure.

L’institution internationale met également en avant les efforts ivoiriens en matière de résilience climatique, à travers des réformes d’adaptation et d’atténuation.

Selon le communiqué du 30 septembre dernier, l’économie ivoirienne demeure solide et résiliente. La croissance devrait atteindre 6,3 % en 2025, tandis que l’inflation devrait reculer à environ 1 % en moyenne cette année, un résultat meilleur que prévu.

Le vigile de l’ex-épouse de Madiambal Diagne arrêté pour cambriolage à la Cité Djily Mbaye

Le cambriolage survenu au domicile de l’ex-épouse du journaliste Madiambal Diagne, à la Cité Djily Mbaye, a connu son épilogue. L’enquête menée par les services de police a permis d’identifier le principal suspect : le vigile de la maison, Samba Camara.

Selon les informations rapportées par Libération, ce dernier a été inculpé et placé en détention pour vol en réunion commis la nuit avec escalade et effraction. Les investigations ont révélé qu’il avait simulé son absence avant de s’introduire discrètement dans la demeure afin de s’emparer de bijoux, montres et parfums de luxe.

Les enquêteurs ont pu établir sa présence sur les lieux grâce au bornage de son téléphone, une preuve technique accablante. Malgré ces éléments, Samba Camara nie toujours les faits qui lui sont reprochés.

La CEDEAO, ce grand malade (Par Gabriel Thomas Fall)

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) est née en 1975 à Lagos, portée par un idéal : bâtir un espace de solidarité où circuleraient librement les hommes, les marchandises et les idées. Cette vision s’inspirait des réussites d’autres blocs régionaux, mais surtout d’une évidence : aucun pays ouest-africain, isolément, ne pouvait relever les défis du développement, de la sécurité et de la stabilité. Pendant un temps, cet idéal a semblé à portée de main. Mais cinquante ans plus tard, l’organisation donne l’image d’un grand malade, fatigué, affaibli et de plus en plus déconnecté des aspirations populaires.

 

Les récents bouleversements politiques dans la région – coups d’État militaires au Mali (2020, 2021), en Guinée (2021), au Burkina Faso (2022) et au Niger (2023) – ont mis à nu les failles de la CEDEAO. Son réflexe a été d’imposer des sanctions sévères : fermeture des frontières, suspension de la coopération, isolement diplomatique. Ces mesures, censées ramener les militaires à la raison, ont produit l’effet inverse : renforcer les régimes en place, alimenter un discours de résistance nationale et accroître la défiance vis-à-vis d’une organisation perçue comme inféodée à des logiques extérieures, notamment françaises. Dans l’opinion publique, l’image de la CEDEAO a basculé. D’outil d’intégration et de fraternité, elle est devenue synonyme de contraintes, de sanctions et de décisions imposées d’en haut. Les peuples, censés être le socle de sa légitimité, n’y reconnaissent plus leur voix ni leurs intérêts.

 

Au cœur de la CEDEAO devait se trouver l’intégration économique. Mais ce chantier reste largement inachevé. La libre circulation, proclamée dès 1979, demeure entravée par des frontières jalousement gardées et par une prolifération de postes de contrôle où prospèrent corruption et tracasseries. Les grands projets d’infrastructures régionales – corridors routiers, interconnexions énergétiques, marché commun – progressent trop lentement. Quant à la monnaie unique, l’ECO, elle s’enlise dans des reports successifs depuis vingt ans. Les divergences entre pays anglophones et francophones, l’absence de convergence macroéconomique et les pesanteurs liées à l’arrimage du franc CFA à l’euro empêchent tout progrès réel. Résultat : les échanges intra-régionaux plafonnent autour de 12 % du commerce total, un chiffre dérisoire au regard des potentialités.

 

À cette crise de légitimité et à ces blocages structurels s’ajoute un mal plus insidieux : la captation de l’organisation par certains États au détriment d’autres. La CEDEAO, censée appartenir à l’ensemble de ses quinze membres, est progressivement devenue l’apanage, voire le jouet, de quelques-uns. La répartition des postes stratégiques, loin de refléter une rotation équitable, illustre une logique de chasse gardée. Le cas du Sénégal est révélateur : malgré son poids politique, diplomatique et économique dans la région, et malgré la règle non écrite de rotation, il n’a jamais eu l’honneur de diriger la Commission de la CEDEAO. À l’inverse, certains pays y placent régulièrement leurs ressortissants aux postes de commande, accentuant l’impression d’un déséquilibre institutionnalisé. Cette surreprésentation alimente le soupçon d’une organisation verrouillée, où le mérite, l’équilibre régional et la symbolique de l’unité passent après les calculs d’influence et les réseaux de connivence. Une telle dérive mine l’esprit communautaire. Elle entretient chez plusieurs États le sentiment d’être marginalisés, relégués au rang de simples figurants dans un projet qui devait pourtant être commun.

 

La naissance de l’Alliance des États du Sahel (AES) en 2023, regroupant le Mali, le Burkina Faso et le Niger est venue consacrer la fracture. Ce regroupement, conçu en réaction aux sanctions de la CEDEAO, revendique une logique souverainiste et sécuritaire. Il attire la sympathie d’une partie des opinions publiques, fatiguées d’attendre les fruits d’une intégration qui n’arrive pas. Cette situation crée une scission inédite : d’un côté, une CEDEAO fragilisée, divisée entre ses États membres ; de l’autre, une alternative qui, bien qu’encore embryonnaire, défie son autorité et menace son avenir même. Si rien n’est fait, la communauté risque de perdre le rôle fédérateur qui lui donnait sens.

 

Et pourtant, les besoins d’intégration régionale sont plus pressants que jamais. Aucun État ouest-africain ne peut, seul, affronter les défis du terrorisme transfrontalier, du changement climatique, de la crise alimentaire ou de la pression migratoire. La fragmentation actuelle est donc une impasse. La CEDEAO peut encore se relever, à condition d’accepter une véritable refondation. Elle doit rompre avec la logique punitive qui l’a décrédibilisée, corriger ses déséquilibres internes, et replacer les peuples au cœur de son projet. Cela implique plus de transparence, plus d’équité entre États, mais aussi une réorientation vers le développement concret : agriculture, infrastructures, énergie, jeunesse, mobilité. Une CEDEAO utile dans le quotidien des citoyens retrouverait sa légitimité.

 

La CEDEAO est bien un grand malade. Mais un malade qui peut encore être soigné. Elle devra se réinventer, se démocratiser en interne, adopter une gouvernance plus juste et inclusive, et renouer avec sa vocation première : bâtir une communauté de destin, solidaire et confiante en elle-même. Faute de quoi, c’est l’Afrique de l’Ouest tout entière qui vacillera.

 

 

Gabriel Thomas Fall, Citoyen sénégalais et de la CEDEAO

Sénégal : Le FMI reporte le vote sur la dérogation liée à la dette

Le Conseil d’administration du Fonds monétaire international discute ce vendredi de la situation financière du Sénégal, mais ne procédera pas au vote attendu sur une dérogation cruciale en matière de fausse déclaration de dette. L’approbation de ce mécanisme est indispensable pour débloquer de nouveaux financements. Le pays, qui espère obtenir des liquidités supplémentaires, devra patienter encore quelques semaines. Deux sources proches du dossier affirment néanmoins que les discussions progressent dans la bonne direction.

Une décision reportée malgré des discussions avancées

Selon des informations obtenues par l’agence Reuters, le Fonds monétaire international (FMI) n’a pas prévu d’autoriser dès ce vendredi la dérogation attendue par le Sénégal. Celle-ci doit permettre à Dakar de retrouver l’accès à des financements dans le cadre du programme de prêts suspendu depuis plusieurs mois. Le blocage persiste car certains critères techniques n’ont pas encore été remplis par les autorités, empêchant un vote formel du Conseil d’administration.

Les négociations autour de ce dossier sont toutefois bien avancées, et les sources interrogées estiment que la dérogation devrait être validée d’ici la fin de l’année. L’absence de calendrier précis pour la prochaine réunion du Conseil alimente néanmoins une certaine incertitude. Contacté, un porte-parole du FMI n’a pas souhaité faire de commentaires, tout comme le ministère sénégalais des Finances. Ces silences renforcent l’attente des marchés et des partenaires financiers, dans un contexte où la stabilité budgétaire demeure une priorité.

 

Crue du fleuve Sénégal : alerte pour Bakel, Matam, Podor, Dagana et Saint-Louis

Les autorités ont lancé une alerte de crue sur le fleuve Sénégal, prévoyant une hausse significative du niveau de l’eau entre le 2 et le 5 octobre. Bakel pourrait dépasser la côte d’alerte en raison des fortes pluies dans le haut-bassin.

Les populations riveraines et les acteurs économiques sont appelés à la vigilance et à la mise en place de mesures préventives. Le suivi de la situation est assuré en coordination avec l’OMVS et les services techniques compétents.

Affaire des masques : Ndèye Aminata Loum Ndiaye, libérée sous contrôle judiciaire

Après plusieurs mois de détention provisoire, Ndèye Aminata Loum Ndiaye, ex-directrice de l’Administration générale et de l’Équipement au ministère du Développement industriel et des PME, a obtenu sa libération sous contrôle judiciaire. La décision de la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar va à l’encontre des réquisitions du parquet.

La justice a estimé que les éléments du dossier ne justifiaient pas son maintien en prison. L’affaire porte sur la gestion controversée de 2,5 milliards de F CFA destinés à l’achat de masques durant la pandémie, après un rapport accablant de la Cour des comptes.

Si l’ancienne responsable bénéficie d’une liberté surveillée, d’autres acteurs du dossier restent détenus, dont le gestionnaire Mamadou Moustapha Diop, le chauffeur Mouhamadou Bamba Amar, ainsi que l’ex-ministre Moustapha Diop, poursuivi devant la Haute Cour de justice pour détournement de fonds et corruption.

Cyberattaque contre la DGID : le site relancé après une rançon réclamée par le groupe Black Shrantac

La Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID) a annoncé, vendredi 3 octobre, la remise en service complète de son site internet après une attaque informatique majeure. Selon l’institution, l’incident est désormais maîtrisé et les services en ligne sont de nouveau accessibles.

L’enquête désigne le groupe de hackers émergent Black Shrantac comme auteur présumé, ayant exigé une rançon de 250 000 dollars. Leurs méthodes incluent l’exfiltration et la revente potentielle de données sensibles. Les informations ciblées concernaient des dossiers fiscaux, administratifs et techniques touchant particuliers et entreprises.

La DGID assure qu’un plan de continuité a été activé dès l’attaque pour sécuriser les opérations, et que la surveillance reste maximale afin d’éviter de nouvelles intrusions.

Violences politiques au Sénégal : ouverture d’une enquête inédite pour crimes graves

La justice sénégalaise a lancé ce vendredi une procédure historique sur les violences politiques qui ont secoué le pays entre 2021 et 2024, faisant plus de 80 morts. L’enquête, confiée à la DIC et à la Section de recherches de la gendarmerie, porte sur des faits de « meurtres, tortures, assassinats et crimes contre l’humanité ».

Les premières auditions concernent Pape Abdoulaye Touré, fondateur de l’Initiative Zéro Punitè, ainsi que des proches de victimes. Amnesty International s’est engagée à accompagner les familles dans ce combat judiciaire, sous la supervision du procureur de Dakar.

Affaire de viol présumé : le fils d’un haut fonctionnaire sénégalais incarcéré

Un jeune homme de 18 ans, I. Touré, fils d’un haut responsable sénégalais, a été placé sous mandat de dépôt à la prison de Mbour pour viol présumé sur une adolescente de 14 ans.

Selon L’Observateur, les parents de la victime ont découvert en septembre dernier qu’elle entretenait une relation avec lui. L’adolescente affirme avoir subi des rapports sexuels non consentis, tandis que le mis en cause reconnaît les relations mais nie toute contrainte.

Le procureur, saisi de l’affaire, a ordonné une enquête et la détention provisoire du jeune homme, soulignant la volonté de la justice de traiter ce dossier avec rigueur.

Madiambal Diagne : « S’il y avait opposition, j’aurais déjà été arrêté »

Le patron du groupe Avenir Communication a rejeté les rumeurs faisant état d’une opposition qui aurait motivé son départ pour la France. Selon lui, si tel avait été le cas, il aurait déjà été arrêté à son domicile bien avant son voyage.

Il ajoute qu’il menait ses activités normalement jusqu’à son départ, et que s’il avait été réellement visé, la police de l’aéroport l’aurait immédiatement interpellé.

Concernant le limogeage du commissaire de police de l’aéroport, qu’il juge avoir agi avec « un certain zèle », il estime que cela relève davantage de la mise en scène. De la même manière, il trouve surprenant le renvoi du chef de la Division des investigations criminelles, se demandant si les autorités attendaient de ce dernier qu’il procède à son arrestation « de manière illégale, avant même toute audition ».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention