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Madiambal Diagne : « S’il y avait opposition, j’aurais déjà été arrêté »

Le patron du groupe Avenir Communication a rejeté les rumeurs faisant état d’une opposition qui aurait motivé son départ pour la France. Selon lui, si tel avait été le cas, il aurait déjà été arrêté à son domicile bien avant son voyage.

Il ajoute qu’il menait ses activités normalement jusqu’à son départ, et que s’il avait été réellement visé, la police de l’aéroport l’aurait immédiatement interpellé.

Concernant le limogeage du commissaire de police de l’aéroport, qu’il juge avoir agi avec « un certain zèle », il estime que cela relève davantage de la mise en scène. De la même manière, il trouve surprenant le renvoi du chef de la Division des investigations criminelles, se demandant si les autorités attendaient de ce dernier qu’il procède à son arrestation « de manière illégale, avant même toute audition ».

Insuffisance d’éclairage public : Une aubaine pour les malfaiteurs

Actuellement, l’éclairage public fait défaut dans pas mal de quartiers de la capitale Sénégalaise donnant l’occasion aux malveillants de se livrer à leurs sports favoris.

Certains coins de Dakar sont dans le noir et les pouvoirs publics semblent ne rien
faire pour régler la situation
Face à l’ampleur du défaut d’éclairage public à Dakar et sa banlieue, nous avons
contacté un cadre de la Senelec qui n’a pas voulu donner une réponse à cette question.
En tout cas, à plusieurs niveaux, dès la nuit tombée, l’obscurité s’abat comme un
manteau sur de nombreux quartiers de la capitale et la frayeur s’empare des habitants
qui craignent un vol, une agression par des malfaiteurs qui rodent dans la nuit noire et
trouvent une belle occasion, pour agir.

L’éclairage public est indispensable à la sécurité
De manière générale, la lumière permet aux individus de se repérer dans l’espace afin de
pouvoir se mouvoir ou se défendre au besoin. Si la capitale Sénégalaise baigne encore dans
une quasi obscurité, cela pose problème. L’éclairage est envisagé dans une perspective
sécuritaire, dans la logique d’une surveillance policière active. L’éclairage aide à sécuriser
les espaces urbains en plein développement. La population Dakaroise accroit d’une
manière inédite. L’éclairage public doit suivre pour une meilleure protection des biens et des personnes.

Nouveau programme avec le Sénégal : LE FMI DÉLIBÈRE AUJOURD’HUI

A l’issue de sa réunion d’aujourd’hui, le Conseil d’administration du Fmi va probablement annoncer les étapes de la reprise de la coopération avec le Sénégal. Il semblerait que cela ne soit qu’une question de temps, si l’on en croit la directrice de la Communication du Fonds. Mme Julie Kozack s’est voulue particulièrement rassurante hier, ce qui ne lui était pas arrivé depuis un moment.

On va sans doute bientôt entendre les thuriféraires du régime en place, et probablement aussi le ministre de l’Economie, M. Abdourahmane Sarr, plastronner que le coup de gueule du Président Bas­sirou Diomaye Faye a pour une fois produit un rapide effet. Il y a juste une semaine, le vendredi 26 septembre dernier (une date funeste pour ce pays, sur plusieurs points : Ndlr) que le chef de l’Etat, parlant de l’état des négociations, avec un média audiovisuel français, a déclaré, en marge de l’Ag des Nations unies à New York, que «le Fmi est libre de faire les démarches additionnelles qui le rassurent par rapport aux données sur lesquelles il veut travailler», a convenu Bassirou Diomaye Faye. Il a néanmoins ajouté : «Mais nous voulons que le Fmi presse un petit peu le pas pour que nous sachions sur quel pied danser avec lui, a-t-il indiqué. Il y a des partenaires qui attendent son signal pour continuer à travailler avec le Sénégal.»
A la question des journalistes sur l’intérêt d’avoir mené les audits qui ont conduit à la suspension du programme avec le Fonds, Bassirou Diomaye Faye a déclaré : «Les autorités sénégalaises n’ont pas fait faire cet audit pour le Fmi : nous l’avons fait pour la crédibilité des dirigeants que nous sommes, vis-à-vis de notre Peuple, pour la crédibilité du Sénégal vis-à-vis de ses partenaires.»
Depuis cette sortie présidentielle, le Fonds semble être resté de marbre, se limitant à dérouler son propre calendrier. Ce n’est qu’hier, au cours de son briefing régulier avec la presse, que la directrice du département de Commu­nication, Mme Julie Kozack, a pris la parole, pour donner, pour une fois, du baume au cœur des Sénégalais.
Elle a affirmé que les équipes du Fmi reconnaissent le travail remarquable du gouvernement pour clarifier la situation concernant les «données erronées» mises à jour par le gouvernement. Par conséquent, a-t-elle informé, «le Conseil d’administration va se réunir demain (aujourd’hui) pour discuter du cas du Sénégal, et nous pensons pouvoir rendre publics les résultats de cette discussion, dans la même journée». Ce qui justifie l’optimisme derrière ces propos, c’est la déclaration qui les précède. Mme Kozack a en effet affirmé que son institution et le gouvernement du Sénégal «ont en commun un engagement fort pour en finir de manière constructive avec les données erronées des finances du Sénégal. Et je tiens à reconnaître les efforts réalisés par les dirigeants sénégalais, qui ont réalisé des audits fructueux sur la dette publique. Il y a eu notamment les audits réalisés par l’Inspection générale des finances (Igf), suivie par la Cour des comptes, avant l’audit récent mené par un cabinet de réputation internationale (Forvis Mazar. Ndlr).» Elle s’est félicitée que le gouvernement a accepté de mettre tous ces audits à la disposition des équipes du Fonds. Il faut rappeler que depuis septembre 2024, ce ne sont pas moins de 5 missions du Fmi qui se sont rendues au Sénégal pour dénouer l’équation de ces révélations et de la suspension du programme en cours que le Fmi avait avec le Sénégal.
Il faut croire que tout cela a fini par payer, si l’on en croit Julie Kozack, qui a ajouté hier : «Partant de ce travail si détaillé que nous avons réalisé ensemble, du travail considérable mené par les autorités sénégalaises, ainsi que des informations actuellement disponibles, nos équipes sont prêtes à passer à l’étape suivante de nos engagements. Le premier point sera de discuter d’un programme, ce que nous pensons pouvoir entamer durant les prochaines rencontres annuelles d’automne.» Ces rencontres conjointes se tiendront cette année, du 13 au 18 octobre, à Washington.
Se voulant encore plus rassurante, Julie Kozack a tenu à ajouter que «le Fmi est totalement engagé à coopérer avec les autorités sénégalaises pour obtenir un programme destiné à assurer la stabilité économique, la résilience et une croissance inclusive pour le bénéfice de la population sénégalaise».

avec le quotidien

Lamignou Darou et Boy Dakar fixés sur leur sort : leur jugement prévu le 8 octobre 2025

Placés sous mandat de dépôt, Lamignou Darou et Boy Dakar devront comparaître devant la justice le mercredi 8 octobre 2025.

Selon l’avocat Me Famara Faty, la date de leur procès a été retenue par les autorités judiciaires.

Lamignou Darou est poursuivi pour avoir tenu des propos jugés injurieux à l’encontre des participants à la marche pacifique organisée par le collectif Rappel à l’ordre. De son côté, Boy Dakar est poursuivi pour des déclarations considérées comme outrageantes envers l’ancien président Macky Sall.

Leur procès est très attendu, tant il suscite un vif intérêt auprès de l’opinion publique et des acteurs politiques.

Pape Mahawa Diouf placé sous mandat de dépôt après ses accusations contre l’ASER

Le porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (APR), Pape Mahawa Diouf, a été placé sous mandat de dépôt ce jeudi après son audition à la Division spéciale de cybersécurité. Il est poursuivi pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles, à la suite d’une plainte déposée par l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (ASER).

Selon des sources judiciaires, l’ancien coordonnateur de la cellule de communication de Benno Bokk Yaakaar passera sa première nuit en détention et pourrait être jugé en flagrant délit dès lundi prochain.

L’affaire trouve son origine dans des propos tenus par Pape Mahawa Diouf lors de l’émission Faram Facce, diffusée le 17 septembre sur la TFM. Au cours de cette intervention, il avait affirmé qu’un détournement de 37 milliards de francs CFA aurait eu lieu au sein de l’ASER, des accusations que l’agence a vigoureusement rejetées dans un communiqué publié le lendemain.

Propos contre Macky Sall : la famille de l’ancien président porte plainte contre Ngoné Saliou Diop

La famille de l’ancien président Macky Sall a saisi la Division spéciale de la cybercriminalité (DSC) d’une plainte contre la chroniqueuse Ngoné Saliou Diop, plus connue sous le nom de « Ngoné Saliou ».

Dans le document adressé au commissaire Faye, chef de la DSC, les plaignants reprochent à la journaliste d’avoir tenu, lors d’une émission diffusée sur la chaîne en ligne Sans Limites, des propos jugés « injurieux, violents et à caractère ethnique » envers l’ex-chef de l’État. La famille dénonce une atteinte « grave à l’honneur et à la dignité » et estime que de tels propos sont de nature à « alimenter les tensions » et à menacer le vivre-ensemble.

Les plaignants demandent que la justice prenne toutes les mesures nécessaires pour que de tels agissements ne restent pas impunis, n’excluant pas de se constituer partie civile au procès.

Pour rappel, Ngoné Saliou Diop a présenté publiquement ses excuses à la communauté pulaar, affirmant n’avoir « jamais eu l’intention de blesser qui que ce soit ». Elle a demandé pardon à toutes les personnes qui se sont senties offensées par ses déclarations.

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