Emprisonnement de Sonko:Bougane exige sa libération et accuse Macky
Candidat de Benno : Macky Sall fait une précision
Le Président Macky Sall a reçu, ce lundi, une délégation du Secrétariat exécutif national (SEN) du PS et des autres entités membres de la coalition «Bennoo ak Tanor», qui avait porté la candidature du défunt secrétaire général des Verts en 2012. L’audience a démarré à 17 heures et a enregistré l’intervention de 19 personnes sur 200 invités.
D’après L’Observateur, qui donne l’information, il était question pour Aminata Mbengue Ndiaye et Cie d’évaluer le «premier contrat» entre le PS et Bennoo et de faire part au chef de la coalition de ce que les Socialistes attendent du futur candidat de la majorité pour la présidentielle de 2024. «Parce qu’il faudra que le PS investisse également ce candidat», justifie une source du journal.
L’Observateur rapporte que Macky Sall a profité de l’occasion pour lever un coin du voile sur sa démarche en vue de la désignation du champion de Bennoo pour l’élection du 25 février prochain. Le chef de l’État, précise le journal, a indiqué qu’il a choisi de prendre son temps afin de ne pas commettre d’erreur de casting.
De plus, ajoute la même source, il est en train de composer une équipe autour du futur candidat de Bennoo. Laquelle, aurait-il expliqué, sera composée de représentants de toutes entités parties de la coalition.
Le quotidien du Groupe futurs médias informe qu’après avoir reçu les membres du PS et leurs alliés, Macky Sall s’est entretenu avec le secrétaire général de l’AFP, Moustapha Niasse. Ce dernier était chargé d’auditionner les candidats à la candidature de Bennoo. L’Observateur croit savoir que l’ancien président de l’Assemblée nationale remettait à Macky Sall les conclusions de ses entrevues avec les cinq personnalités qui souhaitent porter les couleurs du camp du pouvoir lors de la prochaine présidentielle.
Emprisonnement de Sonko:Bougane exige sa libération et accuse Macky
Candidat de Benno : Les précisions de Macky
Le Président Macky Sall a reçu, ce lundi, une délégation du Secrétariat exécutif national (SEN) du PS et des autres entités membres de la coalition «Bennoo ak Tanor», qui avait porté la candidature du défunt secrétaire général des Verts en 2012. L’audience a démarré à 17 heures et a enregistré l’intervention de 19 personnes sur 200 invités.
D’après L’Observateur, qui donne l’information, il était question pour Aminata Mbengue Ndiaye et Cie d’évaluer le «premier contrat» entre le PS et Bennoo et de faire part au chef de la coalition de ce que les Socialistes attendent du futur candidat de la majorité pour la présidentielle de 2024. «Parce qu’il faudra que le PS investisse également ce candidat», justifie une source du journal.
L’Observateur rapporte que Macky Sall a profité de l’occasion pour lever un coin du voile sur sa démarche en vue de la désignation du champion de Bennoo pour l’élection du 25 février prochain. Le chef de l’État, précise le journal, a indiqué qu’il a choisi de prendre son temps afin de ne pas commettre d’erreur de casting.
De plus, ajoute la même source, il est en train de composer une équipe autour du futur candidat de Bennoo. Laquelle, aurait-il expliqué, sera composée de représentants de toutes entités parties de la coalition.
Le quotidien du Groupe futurs médias informe qu’après avoir reçu les membres du PS et leurs alliés, Macky Sall s’est entretenu avec le secrétaire général de l’AFP, Moustapha Niasse. Ce dernier était chargé d’auditionner les candidats à la candidature de Bennoo. L’Observateur croit savoir que l’ancien président de l’Assemblée nationale remettait à Macky Sall les conclusions de ses entrevues avec les cinq personnalités qui souhaitent porter les couleurs du camp du pouvoir lors de la prochaine présidentielle.
Placé sous mandat de dépôt : Ousmane Sonko transféré à la prison de Sebikotane
S’il est envoyé devant un tribunal pour jugement, Ousmane Sonko répondra aussi pour division de fausses nouvelles. Il a été retenu contre lui ce chef d’accusation, hier, selon un des avocats en la personne de Me Cheick Khoureychi Ba. « La huitième charge qui pèse sur lui, c’est la diffusion de fausses nouvelles », informe l’avocat. Les autres chefs d’accusation, au nombre de 7, sont : appel à l’insurrection, association de malfaiteurs, atteinte à la sûreté de l’Etat, association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, complot contre l’autorité de l’Etat, actes et manœuvres à compromettre la sécurité publique et vol à l’arraché (de téléphone).
« Le colis » n’a traîné nulle part. Ousmane Sonko est bien arrivé dans sa nouvelle résidence. Selon plusieurs sources, « Ousmane Sonko est transféré à la prison de Sébikotane ». L’opposant y séjourne depuis ce lundi, le même jour de son placement sous placement sous mandat pour 8 chefs d’accusation par le doyen des juges, Oumar Makham Diallo.
Dissolution du parti des Patriotes : pourquoi les maires, députés et autres élus de Pastef gardent leurs postes
Le parti Pastef a été dissout par le ministre de l’Intérieur, ce lundi. Il est reproché à cette formation politique lancée en 2014, notamment, les fréquents appels à l’insurrection de ses membres. Une question se pose : cette décision du gouvernement anéantit-elle les mandats des élus Patriotes ?
Le spécialiste en droit parlementaire Alioune Souané, interrogé par la RFM, informe que les maires, députés et autres élus membres de Pastef gardent leurs sièges. «Cette dissolution n’a aucune incidence sur ces mandats. Ils détiennent un mandat du peuple et ont été élus sous la bannière d’une coalition», indique-t-il en substance sur le plateau de la radio du Groupe futurs médias.
Affaire du téléphone portable : révélations sur la gendarme qui «filmait» Sonko
Ousmane Sonko a été arrêté vendredi dernier près de son domicile, à la Cité Keur Gurgui, à la suite d’une altercation avec une gendarme en civil. Le président de Pastef reprochait à cette dernière de l’avoir filmé sans son consentement. D’après le procureur de la République, cet incident constitue l’élément déclencheur de l’arrestation du leader des Patriotes, même si son dossier est lourd de chefs d’inculpation beaucoup plus graves (appel à l’insurrection, atteinte à la sûreté de l’État, notamment).
Selon L’Observateur, la gendarme en question se nomme Kh. D. Issue de la 51e promotion de l’École des sous-officiers de la gendarmerie (ESOG), elle est en poste à l’État-major de la gendarmerie.
Le journal renseigne qu’elle a déposé plainte contre Ousmane Sonko à la Sûreté urbaine. C’était, selon la même source, le jour des faits et sur instruction de sa hiérarchie.
L’Observateur rapporte que Kh. D a confié aux enquêteurs que ce vendredi-là, elle se rendait à la Cité Keur Gorgui pour rendre visite à une amie qui habite derrière le domicile du leader des Patriotes. Elle arrive sur place, se gare dans une rue, sort son téléphone portable et tente d’appeler sa copine, «pour avoir l’adresse exacte», précise le quotidien d’information.
C’est à ce moment-là, poursuit-elle, qu’elle aperçoit Ousmane Sonko et ses gardes du corps, revenant de la mosquée, se diriger vers elle. L’un des éléments de la sécurité du président de Pastef, toujours d’après la victime présumée, ouvre la portière de sa voiture et lui reproche de les filmer.
Le téléphone finit entre les mains de Sonko, qui le confisque lorsque la gendarme a refusé de le déverrouiller. Kh. D se rabat sur son deuxième téléphone et informe le commandant de la Brigade de la Foire avant de recevoir la consigne de la hiérarchie de la gendarmerie l’envoyant à la Sûreté urbaine pour le dépôt de sa plainte.
Ousmane Sonko a gardé le silence devant le juge Maham Diallo
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URGENT : OUSMANE SONKO ENVOYÉ EN PRISON
Le Doyen des juges d’instruction Oumar Maham Diallo a placé sous mandat de dépôt, ce lundi 31 juillet, le leader du parti Pastef Les Patriotes Ousmane Sonko.
Ousmane Sonko a été arrêté vendredi dernier pour avoir «volé avec violence le téléphone portable d’une femme gendarme» et pour avoir «aussitôt appelé le peuple, par un message subversif divulgué sur les réseaux sociaux, à se tenir prêt», selon le procureur.
L’opposant avait été condamné le 1er juin à deux ans de prison ferme dans une affaire de mœurs, un verdict qui le rend inéligible en l’état.
Sa condamnation a engendré début juin les troubles les plus graves depuis des années au Sénégal, qui ont fait 16 morts selon les autorités, une trentaine selon l’opposition.